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Cned, Français 5e —
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Séquence 1
c) Claude Roy est aussi le narrateur dans ce texte : l’amour des livres indique que c’est
l’écrivain lui-même qui parle.
d) Il écrit ce texte pour dire qu’il aime les livres et pour expliquer pourquoi il achète des
livres.
2- a) Dans le texte, Claude Roy cite de nombreux endroits où l’on peut trouver des livres : les
bibliothèques, les librairies, les « bouquineries », les librairies spécialisées, les boîtes des
quais et les foires aux livres d’occasion.
b) Voici le tableau à compléter :
Endroits où on peut acheter des livres Endroit où on peut emprunter des livres
- les librairies
- les « bouquineries »
- les librairies spécialisées
- les boîtes des quais
- les foires aux livres d’occasion
- les bibliothèques
B – Décrire des livres comme des êtres humains
1- a) Dans les lignes 3 à 8, les verbes conjugués à la troisième personne du pluriel sont
les suivants : « partagent ; accompagnent ; flânent ; travaillent ; dorment ; se frottent ;
acceptent ; ronronnent ; traînent ; écornent ; se perdent ; se retrouvent. »
b) Normalement, ce sont les hommes ou les chats (« ronronnent » (l. 6)) qui font les
actions évoquées par ces verbes.
c) Mais, dans le texte, ce sont les livres qui sont sujet de ces verbes.
d) L’expression « avoir une mine de papier mâché » signifie qu’on a mauvaise mine, qu’on
a l’air fatigué.
e) Dans le texte, l’emploi de cette expression est amusante car Claude Roy parle de livres
qui ont l’air fatigué, usé, vieux. Or, les livres sont faits avec du papier et le papier mâché
est précisément du papier qui n’a pas de forme car il a été longtemps trempé dans l’eau.
2- Voici les expressions qu’il fallait analyser en soulignant les mots ou groupes de mots qui
présentent les livres comme des êtres humains et en encadrant les mots ou groupes de
mots qui indiquent qu’il s’agit bien d’un livre.
- « des magasins d’où l’on sort avec un ami sous le bras »
- « si j’aime pouvoir inviter un livre à me suivre, à partager ma vie, à se balader avec moi
dans ma poche »
Dans chacun des exemples ci-dessus, la comparaison sous-entendue est la suivante : le livre
est comme un ami. Le rapprochement du livre et d’un ami est une métaphore, puisqu’il n’y
a pas d’outil de comparaison dans ces exemples.
3- a) La comparaison qui montre que Claude Roy considère les livres comme des hommes est
la suivante :
« des livres qui se confièrent à moi comme des hommes »
comparé outil de comparant
comparaison