Moteur à courant continu Figure 1 Figure 2 Figure 3 Figure 8 Figure 10 Figure 9 9 Figure 11 Construction : Ils consistent en un cadre rectangulaire PQRS fait de fils de cuivre isolés (Figure 1). Ce cadre est placé entre deux aimants (Figure 2) de telle sorte que le plan du cadre soit parallèle à la direction du champ magnétique (Figure 3). Les extrémités du cadre sont attachées aux deux moitiés X et Y de la bague ouverte d'un commutateur (Figure 4). Ces deux moitiés de bagues sont isolées et l'une de l'autre et sont montées sur un essieu autour duquel la rotation doit avoir lieu (Figure 5). À l'extérieur, deux balais conducteurs B1 et B2 appuient sur X et Y respectivement (Figure 6). Ces balais sont connectés à une source de courant continu (Figure 7). Figure 4 Figure 5 Figure 6 Fonctionnement : Supposons que le courant de la batterie entre par le balai B1, Figure 7 passe dans le cadre PQRS et reparte par le balai B2 (Figure 8). La combinaison du champ magnétique de l'aimant et du champ électrique du cadre crée des forces sur les branches PQ et RS. Ces forces ont des droites d'actions différentes (Figure 9) et font donc tourner le cadre dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (Figure Figure 12 Figure 13 10). Les branches QR et SP subissent elles aussi des forces, mais comme elles sont égales et opposées, et possèdent la même droite d'action (Figure 11), elles s'annulent. Une fois que le cadre a tourné de 90°, les balais perdent le contact avec la bague (Figure 12) et le courant dans le cadre est supprimé. En l'absence de courant, les branches PQ et RS ne subissent aucune force. Cela implique que le cadre ne devrait plus tourner. Toutefois, en raison de l'inertie rotationnelle (Figure 13), le cadre continue à tourner un peu plus loin de sorte que le contact est rétabli (Figure 14). Figure 13