qui la psychologie s’est d’ailleurs imposée comme alternative pour comprendre la
nature des mécanismes de la création artistique ainsi que la fonction spécifique de l’art.
il emprunte le détour de la psychologie pour comprendre, en fait pour entrer dans
l’intelligence de l’homme.
Il va sans dire que mon cœur chante « magnificat » et déborde de sincères
reconnaissances à l’égard de ces âmes généreuses que j’ai rencontrées plus
particulièrement au cours de cette formation duale qui s’est soldée par l’écriture de ce
mémoire. Je reste donc sensible avec déférence à la bienveillance de tous ceux qui ont
suivi et encouragé son écriture, ceux qui, d’une manière ou d’une autre, ont rendu
possible cette soutenance. Ce sont en prime abord nos institutions de provenance et les
structures d’accueil au nombre desquelles on peut ranger nos formateurs de l’Université
Uni-mail de Genève via l’Institut pour le Développement et de l’Education des Adultes
de Genève en Suisse. Nous les remercions pour la qualité de leurs enseignements
pointus qui nous ouvrent la porte de nouvelles problématiques à la pertinence avérée,
qui nous convient à résoudre des problèmes jusqu’ici restés sans solution ; bref à nous
poser les vraies questions en matière d’éducation de qualité. Ayant appris beaucoup par
eux, nous leur en savons gré.
Je pense à l’instant au Professeur Antonio Faundez et à ses collaborateurs de
l’Institut pour le Développement et de l’Education des Adultes de Genève (IDEA) à
savoir Carlo Santarelli, Edivanda Mugrabi, Alexander Freeman. A ce titre, j’associe
mes formateurs lors des séminaires de Genève et durant les cours intensifs organisés à
l’UFR/SH/DEDA de l’Université de Ouagadougou. Ils ont pour noms François
Audigier, Jacques Vonèche, Jeanette Friedrich, Annick Flückiger, Jean Brun, Christian
Souchon, Adama Ouédraogo, Mathias Marschall, Mamadou Zongo, Félix Compaoré,
Maxime Compaoré, Jean-Paul Bronckart, François Vodoz, Murielle Backer. Que ceux
que le sort contraint à la discrétion, veuillent bien m’en excuser.
Je ne saurais taire les noms des responsables du Porojet DEDA (Bouréima
Ouédraogo, le chef dudit projet, Jacques Nanéma, son responsable académique et
Isidore Zoma, son coordonnateur administratif et logistique) auxquels j’associe
évidemment ceux des autorités académiques de l’Université de Ouagadougou tels que
Messieurs Justin Koutaba et Moussa Willy Bantenga, respecteur directeur de l’UFR/SH
et directeur adjoint de ladite unité de formation et de recherches.
Je remercie plus particulièrement les Professeurs Amadé Badini et Albert J.
Nouhouayi, respectivement directeur et codirecteur de ce mémoire qu’ils ont accepté de