Plan National de prévention par les Activités Physiques ou Sportives 2008

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Plan National de
prévention par les
Activités Physiques ou
Sportives 2008
Jean-Luc Grillon
Médecin conseiller
DRDJS/DRDASS
Champagne-Ardenne
Correspondant régional PNNS
Medec, 11 mars 2009
Activité Physique
(Population vs SHN)
x10
/10
France
Baromètre Santé 2008 50%
12%
65-75
Activité physique, contextes
et effets sur la santé Inserm, 2008
• Prévient les principales pathologies
chroniques (cancer, maladies
cardiovasculaires, diabète, ostéoporose et
maladies ostéoarticulaires)
• Permet une croissance harmonieuse chez
l’enfant et l’adolescent
et le maintien de l’autonomie chez les
personnes âgées
Activité physique, contextes
et effets sur la santé Inserm, 2008
• Contrôle du poids corporel (adulte/enfant)
• Amélioration de la santé mentale (anxiété,
dépression)
• Élément majeur du TTT des principales
pathologies chroniques (cardiopathies
ischémiques, bronchopathies chroniques
obstructives, obésité et diabète de type 2
Activité physique, contextes
et effets sur la santé Inserm, 2008
• Risques minimisés par le respect de
précautions élémentaires et un suivi.
• La promotion d’une APS favorable à la
santé relève d’actions multisectorielles :
structures sportives, santé, éducation,
transports…
• Formation des professionnels de santé et
le développement de nouveaux métiers.
Risques
Activité
Sport et Santé
ESPÉRANCE ET QUALITÉ DE VIE
Mode de vie « sain »
1. Pas de Tabac
2. Peu d’alcool
3. Fruits et Légumes
4. Activité Physique
+ 14 ans d’espérance de vie
KT Khaw, PLoS Medicine 2008
ESPÉRANCE ET QUALITÉ DE VIE
Mode de vie « sain »
1. Pas de Tabac : Décret 16 Nov 2006
2. Peu d’alcool : Loi HPST 2009
3. Fruits et Légumes : PNNS
4. Activité Physique ?
PNAPS 2008
RECOMMANDATIONS
1.
2.
3.
4.
…
PNAPS 2008
Ministère de la Santé, de la Jeunesse,
des Sports et de la Vie Associative
RETROUVER SA LIBERTÉ
DE MOUVEMENT
Plan National de prévention
par l’Activité Physique ou Sportive
PNAPS
Rapport Préparatoire
de la Commission Prévention, Sport et Santé
présidée par le Pr Jean-François Toussaint
8 groupes de travail pour
promouvoir les Activités
Physiques ou Sportives
Enfant et adolescent
Université
Entreprise
Séniors
Prévention tertiaire
Environnement
Formation
Communication
Groupe de travail prévention
tertiaire
Coordinatrice: Latino-Martel Paule
Ancellin Raphaelle, Bouillet Thierry,
Buttet Pierre, Dantoine François,
Douard Hervé, Duclos Martine,
Fauchard Thierry, Grillon Jean-Luc,
Perrin Claire, Thoreux Patricia
Groupe de travail prévention
tertiaire
Autres contributeurs et auditions:
Carré François, Crespo Bruno,
Dejean Alain, Laureyns Franck,
Ravilly Sophie, Riviere Daniel,
Rothier Serge, Strauch Georges,
Thélot Bertrand
Prévalence
-Maladies chroniques : 20% de la
population, soit 15 millions de personnes
(dont 50% en ALD et + 30% en 2010.
Coût : 84 milliards d’euros)
-Maladies rares (moins de 1 personne
sur 2.000) : 6 à 8% de la population soit 4
millions de personnes.
(8.000 maladies dont 65% graves et
invalidantes)
Prévalence
-Handicap : de 1 à 5,5 millions de
personnes, mais 8 millions d’inaptitude
motrice (150.000 personnes en fauteuil
roulant), 3,1 millions de personnes avec
déficience visuelle, 4 millions de
personnes avec déficience auditive et 3
millions de personnes avec handicap
mental ou psychique
Intérêt de la pratique des
activités physiques ou sportives
en prévention tertiaire
-Prévention des co-morbidités : diabète,
maladies cardio-vasculaires et cancers,
handicaps
-Amélioration des capacités fonctionnelles
et de la qualité de vie des patients
-Prévention des récidives après rémission
de la maladie : cancers
L’expérience canadienne
• L’Agence de la Santé Publique, le
Programme Kino-Québec (Activité
physique et Poids Corporel, Activité
Physique et Santé Osseuse, Stratégies
Eprouvées,…), Diabètaction,…
• Prise en charge en prévention tertiaire : Le
changement des habitudes de vie (tabac,
nutrition, AP) sont les objectifs prioritaires
des réseaux de soins (maladies CV, diabète,
cancers, ostéoporose, maladies chroniques
respiratoires)
Outils canadiens de promotion de la
santé par l’AP
- Guide canadien d’évaluation de la condition
physique et des habitudes de vie (certifié par
la société canadienne de physiologie de
l’exercice)
- Guide canadien d’AP pour une vie saine
X-AAP dérivé du QAAP
- Approche comportementale (Prochaska et
Di Clemente)
- Modèles communautaires intégrés
- Modèles professionnels de coordination
Programmes canadiens d’exercices
physiques avec prise en charge par
des kinésiologues puis des
éducateurs sport-santé
• Dans les cliniques, les centres de réadaptation
cardiaque, physique, psychiatrique, les centres
communautaires (centres de santé, centres sociaux,
centres locaux socio-communautaires), le centre Epic
pour la cardiologie
• Par des crédits d’impôt pour l’enfant (projet chez
l’adulte) car coût de la sédentarité estimé à 2,1
milliards d’euros et AP bénéfique pour la santé
Les besoins des patients
- Prise en charge initiale en Activité Physique
Adaptée (APA) intégrée à l’Education
Thérapeutique du Patient (motivation,
activité physique, condition physique, programme,
orientation si besoin vers des cycles d’APA)
- Puis accompagnement vers une offre « sport-
santé » de proximité
Le médecin traitant doit pouvoir conseiller,
accompagner (sur le plan financier si besoin) et
orienter son patient
Propositions concernant les personnes
atteintes de maladie chronique ou
rare, ou en situation de handicap
- Permettre d’identifier et d’accéder à un cycle
d’éducation pour la santé reposant sur des séances
pratiques d’APA
-Mettre en place, à partir des aides financières
individuelles identifiées par le réseau sport-santé, un
dispositif de « chèques actifs », tickets ou
coupons sport-santé pour les personnes en situation
précaire, et communiquer sur ces aides
Recommandations pour les professionnels
- Créer un véritable projet d’APA articulé à des projets
individualisés sport-santé pour tous les établissements des
secteurs sanitaire, médico-social, et social, accueillant des
personnes en situation de handicap
- Valider le statut des professionnels de l’Activité
Physique Adaptée et intégrer l’APA dans les
programmes et structures d’Education Thérapeutique du
Patient
- Soutenir (emplois aidés,…) la création d’emplois de
professionnels de l‘APA accueillant des personnes atteintes de
maladie chronique, de maladie rare ou en situation de handicap
Les nouveaux acteurs de l’APA
(Educateurs Médico-Sportifs,
Professeurs d’APA ou Actiphysiciens)
-Assurent le face à face pédagogique (Education
Thérapeutique du Patient)
-Elaborent des programmes au sein des
services, réseaux de santé ou réseaux
sport-santé
-Assurent le relais vers les offres « sportsanté » de proximité
Ils sont reconnus par les patients et les médecins,
mais n’ont pas de statut dans la fonction publique
hospitalière
Propositions concernant la dimension réseau
Développer dans chaque région un réseau
transversal sport-santé, animé par un chef de
projet APA et santé et un médecin
coordinateur travaillant au sein de l’ARS et de la
DRJSCS, assurant le relais entre d’une part les
professionnels des champs sanitaire, médico-social et
social, les réseaux de santé thématiques ou
populationnels, les associations de patients et,
d’autre part, les associations et clubs sportifs
agréés
Propositions concernant la dimension réseau
• Développer des plateformes
polyvalentes
d’éducation du patient en associant, au niveau de
chaque communauté hospitalière de territoire, les
services de réadaptation et les services de
soins de suite, à partir d’une révision du Schéma
Régional d’Organisation Sanitaire Soins de Suite et
Réadaptation (SROS
SSR)
• Développer et aider au financement des projets
sport-santé des associations par une dynamique
fédérale spécifique, une déclinaison en région du projet, en
particulier par la formation des dirigeants et par le
développement des offres sport-santé
Recommandations prioritaires
prévention tertiaire
-Des programmes d’APA dans les établissements de
soins et dans les établissement pour personnes en situation de
handicap, des cycles d’éducation reposant sur des
séances d’APA, des projets « sport-santé »
-Un statut pour les professionnels de
le soutien à la création d’emplois aidés
l’APA et
-Un structure faisant, dans chaque région, le pont entre le
sanitaire, le médico-social et le social : le réseau
transversal sport-santé
-Un dispositif permettant sur l’ensemble du territoire national,
l’accessibilité des patients précaires aux
offres « sport-santé »
Réseau sport santé bien
être en région
Champagne-Ardenne
Objectif général
Rendre possible la réalisation, pour toute
personne insuffisamment active présentant ou
non des facteurs de risque cardio-vasculaires, des
pathologies avérées, une situation de handicap ou
de rupture du lien social, d’une Activité
Physique Régulière, Adaptée, Sécurisante et
Progressive (APS RASP), dans le cadre d’un
programme Personnalisé, amenant du Plaisir pour
une pratique Pérenne (règle des 3 P)
Objectifs opérationnels
• Fédérer et coordonner les acteurs du projet
• Elaborer et expérimenter des outils
• Proposer un parcours
collaboratifs
de soins coordonné
• Mettre en place des formations complémentaires
pour les professionnels de la Santé et du Sport.
• Favoriser l’accessibilité aux offres d’activités
physiques adaptées pour les publics qui en sont les plus
éloignés (précarité, handicap,…)
La structure opérationnelle du
réseau
Les professionnels
de santé
Les usagers
Le milieu sportif
01/03/11
Plan National de
prévention par les
Activités Physiques ou
Sportives 2008
Jean-Luc Grillon
Médecin conseiller
DRDJS/DRDASS
Champagne-Ardenne
Correspondant régional PNNS
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Medec, 11 mars 2009
01/03/11
Activité Physique
(Population vs SHN)
x10
/10
France
2
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Baromètre Santé 2008 50%
12%
65-75
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Activité physique, contextes
et effets sur la santé Inserm, 2008
• Prévient les principales pathologies
chroniques (cancer, maladies
cardiovasculaires, diabète, ostéoporose et
maladies ostéoarticulaires)
• Permet une croissance harmonieuse chez
l’enfant et l’adolescent
et le maintien de l’autonomie chez les
personnes âgées
4
01/03/11
Activité physique, contextes
et effets sur la santé Inserm, 2008
• Contrôle du poids corporel (adulte/enfant)
• Amélioration de la santé mentale (anxiété,
dépression)
• Élément majeur du TTT des principales
pathologies chroniques (cardiopathies
ischémiques, bronchopathies chroniques
obstructives, obésité et diabète de type 2
5
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Activité physique, contextes
et effets sur la santé Inserm, 2008
• Risques minimisés par le respect de
précautions élémentaires et un suivi.
• La promotion d’une APS favorable à la
santé relève d’actions multisectorielles :
structures sportives, santé, éducation,
transports…
• Formation des professionnels de santé et
le développement de nouveaux métiers.
6
Risques
Activité
Sport et Santé
7
7
01/03/11
ESPÉRANCE ET QUALITÉ DE VIE
Mode de vie « sain »
1. Pas de Tabac
2. Peu d’alcool
3. Fruits et Légumes
4. Activité Physique
+ 14 ans d’espérance de vie
8
KT Khaw, PLoS Medicine 2008
01/03/11
ESPÉRANCE ET QUALITÉ DE VIE
Mode de vie « sain »
1. Pas de Tabac : Décret 16 Nov 2006
2. Peu d’alcool : Loi HPST 2009
3. Fruits et Légumes : PNNS
4. Activité Physique ?
PNAPS 2008
9
01/03/11
RECOMMANDATIONS
1.
2.
3.
4.
…
PNAPS 2008
10
01/03/11
Ministère de la Santé, de la Jeunesse,
des Sports et de la Vie Associative
RETROUVER SA LIBERTÉ
DE MOUVEMENT
Plan National de prévention
par l’Activité Physique ou Sportive
PNAPS
Rapport Préparatoire
de la Commission Prévention, Sport et Santé
présidée par le Pr Jean-François Toussaint11
et réunie d’avril à octobre 2008
01/03/11
8 groupes de travail pour
promouvoir les Activités
Physiques ou Sportives
Enfant et adolescent
Université
Entreprise
Séniors
Prévention tertiaire
Environnement
Formation
Communication 12
01/03/11
Groupe de travail prévention
tertiaire
Coordinatrice: Latino-Martel Paule
Ancellin Raphaelle, Bouillet Thierry,
Buttet Pierre, Dantoine François,
Douard Hervé, Duclos Martine,
Fauchard Thierry, Grillon Jean-Luc,
13
Perrin Claire, Thoreux Patricia
01/03/11
Groupe de travail prévention
tertiaire
Autres contributeurs et auditions:
Carré François, Crespo Bruno,
Dejean Alain, Laureyns Franck,
Ravilly Sophie, Riviere Daniel,
Rothier Serge, Strauch Georges,
Thélot Bertrand 14
01/03/11
Prévalence
-Maladies chroniques : 20% de la
population, soit 15 millions de personnes
(dont 50% en ALD et + 30% en 2010.
Coût : 84 milliards d’euros)
-Maladies rares (moins de 1 personne
sur 2.000) : 6 à 8% de la population soit 4
millions de personnes.
(8.000 maladies dont 65% graves et
invalidantes)
15
01/03/11
Prévalence
-Handicap : de 1 à 5,5 millions de
personnes, mais 8 millions d’inaptitude
motrice (150.000 personnes en fauteuil
roulant), 3,1 millions de personnes avec
déficience visuelle, 4 millions de
personnes avec déficience auditive et 3
millions de personnes avec handicap
mental ou psychique
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Intérêt de la pratique des
activités physiques ou sportives
en prévention tertiaire
-Prévention des co-morbidités : diabète,
maladies cardio-vasculaires et cancers,
handicaps
-Amélioration des capacités fonctionnelles
et de la qualité de vie des patients
-Prévention des récidives après rémission
de la maladie : cancers 17
01/03/11
L’expérience canadienne
• L’Agence de la Santé Publique, le
Programme Kino-Québec (Activité
physique et Poids Corporel, Activité
Physique et Santé Osseuse, Stratégies
Eprouvées,…), Diabètaction,…
• Prise en charge en prévention tertiaire : Le
changement des habitudes de vie (tabac,
nutrition, AP) sont les objectifs prioritaires
des réseaux de soins (maladies CV, diabète,
cancers, ostéoporose, maladies chroniques
18
respiratoires)
01/03/11
Outils canadiens de promotion de la
santé par l’AP
- Guide canadien d’évaluation de la condition
physique et des habitudes de vie (certifié par
la société canadienne de physiologie de
l’exercice)
- Guide canadien d’AP pour une vie saine
X-AAP dérivé du QAAP
- Approche comportementale (Prochaska et
Di Clemente)
- Modèles communautaires intégrés
19
- Modèles professionnels de coordination
01/03/11
Programmes canadiens d’exercices
physiques avec prise en charge par
des kinésiologues puis des
éducateurs sport-santé
• Dans les cliniques, les centres de réadaptation
cardiaque, physique, psychiatrique, les centres
communautaires (centres de santé, centres sociaux,
centres locaux socio-communautaires), le centre Epic
pour la cardiologie
• Par des crédits d’impôt pour l’enfant (projet chez
l’adulte) car coût de la sédentarité estimé à 2,1
milliards d’euros et AP bénéfique pour la 20
santé
01/03/11
Les besoins des patients
- Prise en charge initiale en Activité Physique
Adaptée (APA) intégrée à l’Education
Thérapeutique du Patient (motivation,
activité physique, condition physique, programme,
orientation si besoin vers des cycles d’APA)
- Puis accompagnement vers une offre « sport-
santé » de proximité
Le médecin traitant doit pouvoir conseiller,
accompagner (sur le plan financier si besoin) et
orienter son patient
21
01/03/11
Propositions concernant les personnes
atteintes de maladie chronique ou
rare, ou en situation de handicap
- Permettre d’identifier et d’accéder à un cycle
d’éducation pour la santé reposant sur des séances
pratiques d’APA
-Mettre en place, à partir des aides financières
individuelles identifiées par le réseau sport-santé, un
dispositif de « chèques actifs », tickets ou
coupons sport-santé pour les personnes en situation
précaire, et communiquer sur ces aides
22
01/03/11
Recommandations pour les professionnels
- Créer un véritable projet d’APA articulé à des projets
individualisés sport-santé pour tous les établissements des
secteurs sanitaire, médico-social, et social, accueillant des
personnes en situation de handicap
- Valider le statut des professionnels de l’Activité
Physique Adaptée et intégrer l’APA dans les
programmes et structures d’Education Thérapeutique du
Patient
- Soutenir (emplois aidés,…) la création d’emplois de
professionnels de l‘APA accueillant des personnes atteintes de
23
maladie chronique, de maladie rare ou en situation de handicap
01/03/11
Les nouveaux acteurs de l’APA
(Educateurs Médico-Sportifs,
Professeurs d’APA ou Actiphysiciens)
-Assurent le face à face pédagogique ( Education
Thérapeutique du Patient)
-Elaborent des programmes au sein des
services, réseaux de santé ou réseaux
sport-santé
-Assurent le relais vers les offres « sportsanté » de proximité
Ils sont reconnus par les patients et les médecins,
mais n’ont pas de statut dans la fonction publique
hospitalière
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01/03/11
Propositions concernant la dimension réseau
Développer dans chaque région un réseau
transversal sport-santé, animé par un chef de
projet APA et santé et un médecin
coordinateur travaillant au sein de l’ARS et de la
DRJSCS, assurant le relais entre d’une part les
professionnels des champs sanitaire, médico-social et
social, les réseaux de santé thématiques ou
populationnels, les associations de patients et,
d’autre part, les associations et clubs sportifs
agréés
25
01/03/11
Propositions concernant la dimension réseau
• Développer des plateformes
polyvalentes
d’éducation du patient en associant, au niveau de
chaque communauté hospitalière de territoire, les
services de réadaptation et les services de
soins de suite, à partir d’une révision du Schéma
Régional d’Organisation Sanitaire Soins de Suite et
Réadaptation (SROS
SSR)
• Développer et aider au financement des projets
sport-santé des associations par une dynamique
fédérale spécifique, une déclinaison en région du projet, en
particulier par la formation des dirigeants et par le
26
développement des offres sport-santé
01/03/11
Recommandations prioritaires
prévention tertiaire
-Des programmes d’APA dans les établissements de
soins et dans les établissement pour personnes en situation de
handicap, des cycles d’éducation reposant sur des
séances d’APA, des projets « sport-santé »
-Un statut pour les professionnels de
le soutien à la création d’emplois aidés
l’APA et
-Un structure faisant, dans chaque région, le pont entre le
sanitaire, le médico-social et le social : le réseau
transversal sport-santé
-Un dispositif permettant sur l’ensemble du territoire national,
l’accessibilité des patients précaires aux
offres « sport-santé »
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01/03/11
Réseau sport santé bien
être en région
Champagne-Ardenne
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01/03/11
Objectif général
Rendre possible la réalisation, pour toute
personne insuffisamment active présentant ou
non des facteurs de risque cardio-vasculaires, des
pathologies avérées, une situation de handicap ou
de rupture du lien social, d’une Activité
Physique Régulière, Adaptée, Sécurisante et
Progressive (APS RASP), dans le cadre d’un
programme Personnalisé, amenant du Plaisir pour
une pratique Pérenne (règle des 3 P29)
01/03/11
Objectifs opérationnels
• Fédérer et coordonner les acteurs du projet
• Elaborer et expérimenter des outils
• Proposer un parcours
collaboratifs
de soins coordonné
• Mettre en place des formations complémentaires
pour les professionnels de la Santé et du Sport.
• Favoriser l’accessibilité aux offres d’activités
physiques adaptées pour les publics qui en sont les plus
30
éloignés (précarité, handicap,…)
01/03/11
La structure opérationnelle du
réseau
Les professionnels
de santé
Les usagers
Le milieu sportif
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