Je suis d`Elles - Association ALDERAN

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CONFÉRENCE PHILOSOPHIQUE
“Plus l’être humain sera éclairé, plus il sera libre.”
Voltaire
JE SUIS D’ELLES
De la pluralité des cellules à l’unité du sujet
CONFÉRENCE PAR ÉRIC LOWEN
Association ALDÉRAN Toulouse
pour la promotion de la Philosophie
MAISON DE LA PHILOSOPHIE
29 rue de la digue, 31300 Toulouse
Tél : 05.61.42.14.40
Email : [email protected]
Site : www.alderan-philo.org
conférence N°1600-053
JE SUIS D’ELLES
De la pluralité des cellules à l’unité du sujet
Conférence d’Éric Lowen donnée le 29/1/2015
Etrange paradoxe : j’ai l’impression d’être un, un sujet, or, cette unité n’est qu’apparente. Notre
vie dépend de la vie de milliards de cellules, qui chacune vivent leur vie, échangent,
collaborent, parfois s’opposent, et génèrent mon existence. Je suis vivant, mais je ne suis pas
vivant par moi-même, je bénéficie de leur vie et de leur travail : je suis d’elles.
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JE SUIS D’ELLES
De la pluralité des cellules à l’unité du sujet
PLAN DE LA CONFÉRENCE PAR ÉRIC LOWEN
La cellule est aussi nombreuse dans le corps de l’être humain que l’astre au firmament.
Charles Darwin (1809-1882)
La cellule vivante est un univers aussi complexe
et aussi beau que le royaume des étoiles et des galaxies.
Carl Sagan (1934-1996)
Cosmos
I
PRÉSENTATION
1 - Nous vivons habituellement dans l’idée d’être soi, d’être un être un
2 - Mais il s’agit d’une perception superficielle et intuitive, comme la platitude de la Terre
3 - Notre réalité corporelle est radicalement autre que cette perception primaire de soi
4 - Nous ne sommes pas un mais d’abord une pluralité innombrables de cellules
5 - Une réalité de l’homme invisible à l’homme, dont nous n’avons naturellement aucune conscience
6 - La difficile prise de conscience de la cellularité du corps, savoir ne suffit pas
II
ANCIENS REGARDS SUR LE CORPS
1 - Un principe qui prend un sens tout particulier au regard des conceptions anciennes sur le corps
2 - Une remise en cause de toutes les conceptions anciennes
3 - Aussi bien traditionnelles, religieuses que philosophiques et matérialistes
4 - Le corps était pensé comme substance, comme une substance
5 - Comme les conceptions chrétiennes de la chair fait à partir de la terre à l’hylémorphisme
aristotélicien
6 - Mêmes les conceptions composites, atomistes ou homéoméristes anaxagoriennes
III
LE CORPS, UNE COMMUNAUTÉ DE CELLULES
1 - La découverte de la cellularité biologique, une des conséquences de la révolution biologique
- 1675 - Anton Van Leeuwenhoeck
- 1665, Robert Hooke et l’invention du terme de «cellula» dans Micrographia
- 1671, Nehemia Grew et Marcello Malpighi observent eux-aussi des cellules
- 1809, Charles François Brisseau de Mirbel décrivit la paroi entourant les cellules végétales
- 1824, René Joachim Henri du Trochet affirme que la croissance des tissus est le résultat
de la multiplication des cellules
- Robert Brown et la découverte du noyau dans les cellules végétales en 1831
- 1838, Mathias Jakob Schleiden, que les tissus se forment par division des cellules qui les
composent et que le noyau joue un rôle dans la division.
- 1839, Theodor Schwann montre que la cellule est l’unité structurelle et fonctionnelle de
base de tous les êtres vivants
- 1839, Jan Evangelista von Purkinje met en lumière le rôle du protoplasme
- 1858, Rudolf Virchow démontre la reproduction cellulaire par division
2 - Une «anatomie» en deçà de l’anatomie
3 - Un principe commun à tous les êtres, y compris l’être humain - une unification naturaliste
4 - La cellule est l’unité de vie de base de notre être biologique
5 - La cellule n’est pas une sous-unité du corps, c’est le corps qui est une méta-structure cellulaire
6 - Le «miracle de la vie» est dans les cellules, c’est là qu’il commence
7 - Le corps est une organisation cellulaire, il naît de la complexification cellulaires
8 - Elles forment une extraordinaire communauté cellulaire
9 - Le résultat de milliards d’années d’évolution, de milliards de milliards de générations
10 - Chaque cellule vit une vie cellulaire autonome, naît, se développe, vieillit et meurt
11 - Elles vivent une vie totalement différente de la mienne, autant que la mienne l’est pour elles
12 - Quelle étrange chose que ce qui est «moi» sans être moi !
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IV
JE SUIS D’ELLES
1 - Leur vie est indépendante de ma vie, elles peuvent exister sans moi
2 - C’est de leur vie que pourra naitre mon être et mon existence
3 - Mon existence n’est pas leur vie mais dépend de leur vie et travail
4 - Le sujet est une propriété émergente des cellules du corps et plus spécifiquement des neurones
5 - Le sujet pensant, le «Je» n’est pas dans les cellules, il est une de leurs productions
6 - Je ne suis pas les cellules et elles ne sont pas moi, elles n’ont pas de moi d’ailleurs
7 - Mais je suis bien d’Elles
8 - Elles créent ce «Je» que je suis et qu’elles ne peuvent comprendre
9 - J’existe pour Elles, j’ai été créé pour leur utilité, pour assurer des fonctions vis-à-vis de cette
communauté
10 - Le sujet pensant a pour fonction d’arbitrer les systèmes cognitifs internes et de gérer les
relations avec l’extérieur
11 - Que de choses j’ai l’impression de faire pour moi alors que je le fais pour elles
12 - Nos vies mutuelles interagissent
13 - Un «Je» qui souvent va jouer contre elles sans le savoir
14 - Notre autonomisation par rapport à Elles, l’autonomisation de notre existence
15 - La sujétalité semble si différente de la corporalité que nous en sommes souvent venu à penser
qu’elle lui était étrangère
V
CONCLUSION
1 - La corporalité est donc d’abord cellularité, base de notre vie et de notre existence
2 - La sujétalité est seulement le troisième niveau de complexification de notre être
3 - Un nouveau décentrage copernicien, le «je» n’est pas le centre ou la finalité de
4 - La distinction cellules/sujet, élément fondateur des corporéités modernes
ORA ET LABORA
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Document 1 : Avec un microscope rudimentaire, Robert Hooke (1635-1703), est le premier à découvrir la
cellule, en 1665. Il observe dans du liège des cavités délimitées par des parois. Dans son ouvrage intitulé
Micrographia, il nomme "cellules" de petites unités structurelles qu’il découvrit dans des végétaux et en
donne près de 30 illustrations détaillées, dont celle, célèbre, du liège. Hooke utilisa le terme « cellula » (du
latin « petite chambre », « alvéole ») pour désigner de petites chambres carrées ou hexagonales, qu’il avait
remarqué dans des coupes d’écorce d’épiderme d’orchidées ou d’écorce de liége. A la lumière des
connaissances de l’époque, il ne pouvait imaginer qu’il voyait sous son microscope la trace laissée par la
disparition de cellules vivantes. En comparant ses observations sur divers végétaux (fougère, carotte,
fenouil, moelle de sureau), il remarqua que les cavités étaient tantôt vides, tantôt pleines de liquide ; il leur
attribua le rôle de conducteurs des «fluides vitaux» (noble juices) nécessaires à la croissance des végétaux.
C’était le premier pas vers la théorie cellulaire, selon laquelle tous les êtres vivants sont formés de cellules.
Dessin des premières cellules observées dans des coupes d'écorce
d'arbre par Robert Hooke en 1665. Ci-dessous, reproduction d’un microscope de Hooke.
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Document 2 : En 1674, grâce au microscope qu'il a inventé, le hollandais Antoine Van Leeuwenhoek
(1632-1723) démontre l'existence des globules rouges dans le sang et ouvre la voie aux observations les
plus précises en matière d'hématologie. Les découvertes de Leeuwenhoek ont permit de donner une bonne
approximation du diamètre moyen des globules rouges (1/3000 d'inch). Leeuwenhoek étant drapier, il
commença à utiliser le microscope pour vérifier la pureté des étoffes. Puis rapidement, il se mit à l’utiliser
sur tout une série de liquide et d’organisme. On lui doit entre autre la découverte des protozoaires, des
spermatozoïdes...
(Echelle : x 1000)
A gauche : Portrait d’Anthoine van Leeuwenhoek (1632-1723) par Jan Verkolje (1650-1693), vers 1680.
A droite : reproduction de son microscope.
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Document 3 : Vers 1830, les biologistes réalisent de nombreuses observations microscopiques : ils
parviennent à l’idée que tous les organes des êtres vivants sont constitués de cellules.
Document 4 : Coupe de cellules dont on voit pour chacune le noyau en rose.
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Document 5 : Cellule buccale vue au microscope (la coloration est due à la préparation de bleu de
méthylène ou d’eau iodée pour la rendre plus visible).
Document 6 : Sous l’angle du microscope, nous ne sommes qu’un assemblage de cellules, «le» corps
n’existe plus et encore moins «le» moi.
Les premières cellules ont été formées à une époque très ancienne de l'histoire de la vie. On ne
sait pas très bien si elles ont été précédées d'une ère pendant laquelle la vie consistait en
simples molécules d'acide nucléique accompagnées de protéines ; dans ce cas, l'apparition de
la cellule a représenté un grand bond en avant dans l'histoire de la vie.
La cellule est apparue comme un élément microscopique isolé de l'océan, entouré et protégé
par une membrane semi-perméable (à travers laquelle seules certaines molécules peuvent
pénétrer). La nourriture - les molécules utilisées par ces formes de vie comme matériaux de
construction et source d'énergie - pouvait être introduite et préservée à l'intérieur, de même que
les déchets évacués à l'extérieur. Dans la cellule se trouvaient donc concentrés les matériaux
nécessaires à la vie, rassemblés pour faciliter les manipulations et les réactions chimiques, en
sécurité, protégés contre l'environnement.
La cellule eut infiniment plus de succès - par nécessité - que les molécules vivantes nues
auraient pu en avoir; en effet, ces dernières auraient eu à collecter leurs produits nécessaires
une molécule à la fois, sans possibilités de les rassembler et de les concentrer. En
conséquence, une fois les cellules apparues, la vie pré-cellulaire fut surclassée et disparut.
Aujourd'hui toute vie est de nature cellulaire à une exception près. Cette exception est le virus,
qui ne peut se reproduire qu'en parasitant une cellule. Du reste, les virus ne sont probablement
pas des reliquats de l'ancienne vie pré-cellulaire, mais il est possible qu'ils aient évolué à partir
de cellules en dégénérescence.
Une grande cellule, comme celle de la paramécie, est plus évoluée qu'une petite cellule,
comme celle de la bactérie. Une grande cellule peut diviser sa substance en différentes régions
spécialisées ; elle peut développer des organites, petites subdivisions cellulaires qui digèrent la
nourriture, produisent de l'énergie, construisent des protéines ou protègent les acides
nucléiques de base qui orchestrent toutes ces activités.
Cependant il y a une limite supérieure à la taille d'une cellule. Celle-ci travaille en son volume,
mais ne peut absorber de la nourriture et évacuer des déchets qu'a travers la surface de sa
membrane. Or, le volume d'une cellule varie comme le cube de ses dimensions linéaires et la
surface, comme le carré. Quand on double une cellule dans toutes ses dimensions, son
contenu de matière s'accroît d'un facteur huit, mais sa surface n'est multipliée que par quatre ;
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le travail de la membrane doit donc devenir deux fois plus efficient. Globalement, la membrane
ne peut pas assurer une telle efficacité : la cellule doit nécessairement soit rester très petite soit
devenir très longue et très plate pour accroître sa surface (et ce faisant, devient plus fragile).
Comment donc les grands organismes peuvent-ils se former ? la solution adoptée est de
conserver la petite taille des cellules tout en les rassemblant, pour développer des
spécialisations non plus à l'intérieur mais parmi les cellules ou les groupes de cellules. C'est
ainsi que sont apparus les organismes multicellulaires il y a 600 millions d'années environ.
Aujourd'hui, il existe des baleines de plus de 30 tonnes composées de 100 000 000 000 000
000 000 cellules, chacune d'entre elles irriguée par un réseau complexe de flux sanguin,
substitut efficace à l'océan primitif.
D'une façon ou d'une autre, on en revient toujours aux cellules. Nous savons instinctivement
que les cellules sont fondamentales à la vie; que nous-mêmes, malgré notre complexité, nous
ne sommes en fait qu'un assemblage de cellules. C'est un sujet qui n'a pas échappé aux
écrivains de science-fiction, comme en témoigne la nouvelle de Verrill L'Exterminateur.
Isaac Asimov (1920-1992)
Invariant, Biologie & Science-Fiction, Collectif, 1985
Document 7 : Le paradoxe de l’individualité, de notre unicité, est de provenir d’une pluralité de cellules.
Durant toute notre existence, nous portons en nous le sentiment de notre unicité, de notre
irréductible individualité. Pourtant, comme l'ensemble des êtres vivants qui nous entourent, des
bactéries aux papillons et des fleurs aux oiseaux, nous sommes, chacun, composés de cellules,
les plus petites entités autonomes du vivant, capables de puiser leurs ressources dans
l'environnement, de se pérenniser et de se reproduire. Depuis son origine, c'est sous la forme
de cellules que le vivant s'est propagé à travers le temps. Et nous ne représentons que l'une
des innombrables variations éphémères que les cellules ont réalisées sur le thème de la
complexité. Nous naissons, chacun, d'une cellule unique - la cellule oeuf -, elle-même née de la
fusion de deux cellules, et nous nous transformons, chacun, progressivement, en une
nébuleuse vivante, constituée de plusieurs dizaines de milliers de milliards de cellules, dont les
interactions engendrent notre corps et notre esprit. Pour cette raison, toute interrogation sur la
vie et la mort - sur notre vie et notre mort - nous renvoie à une interrogation sur la vie et la mort
des cellules qui nous composent.
Jean-Claude Ameisen
Dialogues entre la vie et la mort, in Qu'est-ce que mourir ?
Document 8 : La distinction de la cellularité et de la sujétalité prolonge le «décentrage sujétale» que déjà la
psychanalyse avait effectué avec la découverte de l’inconscient, montrant que le moi n’était pas maitre de sa
propre maison. Retour sur cette autre révolution sujétale :
Le moi n’est pas maître chez lui le psychique en toi ne coïncide pas avec ce dont tu es
conscient ; ce sont deux choses différentes, que quelque chose se passe dans ton âme, et que
tu en sois par ailleurs informé. Je veux bien concéder qu’à l’ordinaire, le service de
renseignements qui dessert ta conscience suffit à tes besoins. Tu peux te bercer de l’illusion
que tu apprends tout ce qui revêt une certaine importance. Mais dans bien des cas, par
exemple dans celui d’un conflit pulsionnel de ce genre, il est en panne, et alors, ta volonté ne va
pas plus loin que ton savoir. Mais dans tous les cas, ces renseignements de ta conscience sont
incomplets et souvent peu sûrs ; par ailleurs, il arrive assez souvent que tu ne sois informé des
événements que quand ils se sont déjà accomplis et que tu ne peux plus rien y changer. Qui
saurait évaluer, même si tu n’es pas malade, tout ce qui s’agite dans ton âme et dont tu
n’apprends rien, ou dont tu es mal informé ? Tu te comportes comme un souverain absolu, qui
se contente des renseignements que lui apportent les hauts fonctionnaires de sa cour, et qui ne
descend pas dans la rue pour écouter la voix du peuple. Entre en toi-même, dans tes
profondeurs, et apprends d’abord à te connaître, alors tu comprendras pourquoi tu dois devenir
malade, et tu éviteras peut-être de le devenir. C’est ainsi que la psychanalyse a voulu instruire
le moi. Mais ces deux élucidations, à savoir que la vie pulsionnelle de la sexualité en nous ne
peut être domptée entièrement, et que les processus psychiques sont en eux-mêmes
inconscients, ne sont accessibles au moi et ne sont soumis à celui-ci que par le biais d’une
perception incomplète et peu sûre,reviennent à affirmer que le moi n’est pas maître dans sa
propre maison.
Sigmund Freud (1856-1939)
«Une Difficulté de la psychanalyse» in L’inquiétante Étrangeté et autres essais
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- La psychologie évolutionniste, une introduction, Lance Workman et Will Reader, De boeck, 2007
- La vie expliquée par la chimie, Jean C. Baudet, Vuibert, 2006
- L’homme de vérité, Jean-Pierre changeux, Odile Jacob, 2002
- La biologie, des origines à nos jours - Une histoire des idées et des hommes, par Pierre Vignais, collection
Grenoble-Sciences, Editions EDP Sciences, 2001
- Comment fonctionne l’esprit, Steven Pinker, Odile Jacob, 2000
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