Microscope éléctronique à transmission Afin d'avoir une image très grande de microscope électronique à transmission. Il consiste à porter dela chaleur sur des éléctrons qui sont concentrés sur une source. On prend une lentille pour régler la taille de l'image de représentation qui va apparaître à l'écran . Le faisceau traverse l'échantillon sur 200 nanomètre environs , pour éviter les problèmes de difraction. Le faisceau lumineux réfléchi selon l'angle, choisi l'image a observé. Celleci est uniforme si aucun défaut n'est visible sur le cristal (dans le cas contraire l'image est noire). notre matière on peut utiliser le AFM, Microscope à Force Atomique Le microscope à force atomique (ou AFM pour atomic force microscope) est un dérivé du microscope à effet tunnel (ou Scanning Tunneling Microscope, STM), qui peut servir à visualiser la surface d'un échantillon ne conduisant pas l'électricité. Le principe se base sur les interactions entre l'échantillon et une pointe montée sur un microlevier. La pointe balaie (scanne) la surface à représenter, et l'on agit sur sa hauteur selon un paramètre de rétroaction. Un ordinateur enregistre cette hauteur et peut ainsi reconstituer une image de la surface. La différence entre l'AFM et le STM réside dans la mesure prise en compte pour la rétroaction utilisée : le STM utilise le courant tunnel, l'AFM utilise la déviation du levier, c’està-dire indirectement les forces d'interactions entre la pointe et la surface. Le premier microscope à force atomique du monde, au musée de la Science de Londres. Il existe plusieurs façons de mesurer la déviation du levier. La plus courante, et de loin, est la mesure via réflexion d'un laser. La pointe est alors montée sur un levier réfléchissant. Un rayon laser se réfléchit sur le levier. Si le rayon laser dévie, c'est que le levier s'est infléchi (dans un sens ou dans l'autre), et donc est révélateur des forces d'interactions entre la pointe et la surface. La mesure de la déviation de la pointe passe donc par celle de la position du faisceau laser réfléchi, ce qui s'effectue au moyen d'un quadrant de photodiodes - c’est-à-dire une photodiode circulaire divisée en quatre parts égales, selon deux diamètres. Quand le faisceau n'est pas dévié, il frappe au centre du quadrant, et donc illumine également les 4 photodiodes. Si le faisceau laser vient à être dévié vers le haut, les deux photodiodes du haut recevront plus de lumière que celles du bas, et il apparait donc une différence de tension. C'est cette différence de tension que l'on utilise pour la rétroaction.