Regards 7 - Centre Hospitalier Sarreguemines

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egards
N7
°
Mars 2014
JOURNAL D’INFORMATION INTERNE
CENTRE HOSPITALIER DE SARREGUEMINES
CENTRE HOSPITALIER SPÉCIALISÉ DE SARREGUEMINES
Editorial
J’ai le plaisir de vous faire découvrir le numéro 7
de « Regards », avec toute la richesse et
la diversité des sujets qui y sont traités. Nos
hôpitaux vivent et se développent à bon rythme.
Le dénominateur commun de tout ce qui est
entrepris est la recherche de la satisfaction de
l’intérêt général et c’est là notre force collective.
Un hôpital qui fonctionne et évolue bien reçoit
la reconnaissance des patients qu’il soigne
et permet à ses personnels d’entretenir leur
motivation et leur sentiment d’utilité sociale. Avec
une activité médicale en constante augmentation,
nous ne devons pas perdre de vue que notre
principale obligation est de délivrer des soins et
des prestations de la meilleure qualité possible.
Les résultats de la certification par la Haute
Autorité de Santé sont là pour le rappeler. Nos
progrès sont réels et nous encouragent à encore
nous améliorer. Aujourd’hui, la qualité n’est plus
perçue comme un gadget ou une contrainte mais
comme l’aspiration de chaque professionnel à
valoriser son travail au bénéfice des patients
et de l’hôpital. Un hôpital qui va de l’avant
doit s’adapter en permanence et proposer
des nouvelles organisations et des nouveaux
modes de prise en charge. Il en est ainsi de
l’ouverture, depuis quelques semaines, du service
d’hospitalisation à domicile qui est l’un des grands
enjeux de notre offre de soins, avec la chirurgie
ambulatoire et l’hospitalisation de jour. Bien que
tous les articles méritent une lecture attentive,
celui consacré à la « Structure de Coordination
des Soins » du CHS explique de manière très
détaillée le fonctionnement et le rôle de cette
« tour de contrôle » : je vous invite à en prendre
connaissance.
Je vous remercie pour votre intérêt fidèle à la
lecture de « Regards » et vous donne rendez-vous
pour le prochain numéro qui paraîtra en juillet.
Jean-Claude KNEIB,
Directeur des Hôpitaux de Sarreguemines
A la une
Le service d’hospitalisation à domicile
est sur les rails
L’équipe soignante de l’Hospitalisation à Domicile
Suite à l’autorisation d’activité
accordée par l’Agence Régionale
de Santé, le service d’Hospitalisation
à Domicile du Centre Hospitalier
Général a débuté son activité le 4
Novembre 2013.
Les patients pris en charge dans
le cadre de cette nouvelle activité
du Pôle de Médecine Polyvalente
bénéficient d’une hospitalisation à
part entière, tout en restant à leur
domicile ou dans leur EHPAD. En effet,
en l’absence d’un tel service, ces
mêmes patients seraient hospitalisés
en établissement de santé.
L’orientation du patient en HAD
peut être à l’initiative d’un médecin
hospitalier ou du médecin traitant.
L’accord de ce dernier, étant
obligatoire, il est donc toujours
sollicité ainsi que celui du patient.
Le médecin traitant, pendant le
séjour de son patient en HAD,
prend la responsabilité médicale
des prescriptions médicamenteuses
et des soins, conjointement, le cas
A LA RENCONTRE DE
A LA UNE
▶ Ouverture du service
d’HAD
PAGE 1
ÇA SE PASSE ICI
▶ Fêtes de fin d’année
▶ Sécurité des patients
échéant, avec des médecins d’autres
spécialités. Cette formule de soins
nécessite un important travail de
coopération entre tous les intervenants
(dont les professionnels de santé
libéraux) permettant de garantir
une continuité de la prise en charge
par une équipe pluridisciplinaire,
coordonnée et médicalisée, dans
le respect de tous les impératifs de
qualité et de sécurité auxquels sont
soumis les établissements de santé.
Le rôle du médecin coordonnateur est
donc fondamental; il est assuré par
le Dr Ali PEZESHKNIA, avec l’aide de
l’infirmier coordonnateur, Christian
DOURSON, et l’ensemble de
l’équipe présente à ce jour : Michael
FREYERMUTH, Natacha WSZOLEK,
Julie WENDLING et Aline MAYEUR.
Le Dr Vincent SANCHEZ, Chef de
Pôle, Mesdames Laurence BOLARDI,
Cadre Supérieur de Santé et
Dorothée CZARNECKI, Directeur
des Soins à l’hôpital de Bitche, en
assurent la supervision. 
▶ La Structure de
Coordination des Soins
REPERE
PAGE 2
QUALITE - SECURITE
PAGE 4-5
▶ La certification
▶ L’informatisation du
dossier patient
PAGE 3
ACTUALITES DU PERSONNEL
PAGES 6-7
▶ Le DPC
PAGE 7
A la rencontre de
La Structure de Coordination des Soins du centre hospitalier spécialisé
LA SCS est une structure transversale qui assure, 24h/24, de
multiples missions et coordonne un certain nombre d’activités.
Globalement, elle est en charge de gérer et d’anticiper des
situations d’urgence, afin d’assurer la sécurité de tous et d’apporter
une réponse rapide aux différentes problématiques ponctuelles.
Elle a été créee en juin 2006 et trouve son origine dans la fusion
du Bureau du Service Infirmier (qui date des années 1990 pour
la gestion des unités de secteur et PHA) et des Loges UMD où
se trouvait, en permanence, un cadre de santé dédié. Aujourd’hui,
placée sous la responsabilité directe d’un Cadre Supérieur de
Santé, elle fonctionne avec 2 cadres de santé par poste. Elle est
localisée entre les 2 enceintes UMD, ce qui facilite sa mission de
contrôle des autorisations d’entrée et de sortie des unités de soins
pour malades difficiles (admissions, sorties, visites aux patients,
clients pour l’ergothérapie, interventions d’équipes techniques …)
Les objectifs de ce service sont :
•  Contribuer à des soins de qualité
•  Participer au management et à la gestion des ressources humaines
•  Veiller à la sécurité des patients et des personnels
•  Apporter son expérience et participer à la démarche qualité au CHS
LES MISSIONS DE LA SCS
Gestion du personnel
En l’absence du cadre de l’unité, afin de garantir un effectif
minimum de soins et de sécurité, la SCS est chargée d’organiser le
remplacement du personnel manquant. Par ailleurs, elle organise,
avec les cadres des unités (et notamment en UMD), le tableau de
surveillance des patients placés sous la responsabilité du CHS et
transférés vers des établissements de soins généraux.
Elle est également en charge de l’élaboration des plannings des
agents de sécurité et des agents d’accueil des loges UMD.
Enfin, elle gère les autorisations d’absence anticipée du personnel.
Concernant les stagiaires, elle participe à la planification des
lieux de stages des étudiants en soins infirmiers et aide-soignants.
Gestion des soins
Lors des admissions, la SCS oriente les patients en fonction des
critères de sectorisation et des disponibilités en lits sur le CHS.
A la demande des médecins, elle assure de manière sécuritaire,
la mutation d’un patient en crise, vers une unité disposant d’une
chambre de soins intensifs.
En l’absence du cadre de l’unité, elle organise les consultations
extérieures et les hospitalisations (particulièrement en UMD).
La coordination participe à l’organisation des transferts de
détenus de la maison d’arrêt de Sarreguemines vers l’hôpital,
notamment vers l’USIP.
Les week-ends et les jours fériés, elle met à disposition des PH
de garde, la liste des patients en isolement strict, ainsi que celle
des patients nécessitant la rédaction d’un certificat médical dans
le cadre des soins sous contrainte. Si nécessaire, elle contacte le
médecin de garde au CH Pax pour l’examen somatique.
En cas de fugue ou de réintégration, elle coordonne les actions
nécessaires à la recherche, au signalement et, éventuellement, à
la réintégration du patient.
Sur le terrain, la SCS intervient en cas de situations de détresse
vitale avec, si nécessaire, la mise en œuvre du DSA (défibrillateur
semi-automatique) en complément d’une RCP déjà démarrée
par les soignants du service. La nuit, elle peut être amenée à
participer aux soins, en l’absence d’infirmiers dans un lieu de vie.
De manière générale, en dehors des heures d’ouverture de la
pharmacie du CHS, elle participe au management du circuit des
médicaments, selon un protocole établi, et s’occupe de la mise à
disposition sur prescription, de produits de substitution.
2 Regards N°07
Gestion administrative
En collaboration avec la garde administrative, elle vérifie la validité
et la régularité des documents d’admission pour les personnes en
soins sous contrainte, admises en dehors des heures d’ouverture des
bureaux. En lien avec le bureau des admissions, elle programme
et organise le passage des patients hospitalisés, devant le juge
des libertés et de la détention, en tenant compte des contraintes
sécuritaires, notamment pour les patients hospitalisés en UMD.
A l’issue des audiences, les cadres de la coordination réceptionnent
les ordonnances du juge et se chargent de les transmettre au bureau
des admissions. En cas de mainlevée d’hospitalisation, après 17h,
elle en informe les gardes administrative et médicale et faxe le
document à l’astreinte ARS, ainsi qu’au procureur de la république.
Le week-end ou après 17h, en cas d’événement particulièrement
grave, la SCS contacte les personnels médicaux et administratifs
pour application des procédures respectives. Il en est de même
pour un événement sanitaire particulier.
Gestion du matériel et des systèmes de sécurité
La SCS gère un stock de matériel, en assure le suivi et le bon
fonctionnement (matelas anti-escarres, aspirateurs à mucosités,
oxymètres de pouls…). Elle tient ce matériel à la disposition des
équipes qui en formulent la demande.
Avec l’hygiéniste, elle est relais de la matério vigilance au CHS et
traite les messages de l’ANSM et de l’ARS dont elle est destinataire.
Dans le domaine de la sécurité, son rôle est multiple : il va de
la gestion des trousseaux de clefs qui lui sont confiés à celle du
tableau de réservation et d’entretien des minibus (prévus pour
les sorties thérapeutiques) en passant par la gestion des alarmes
reliées à la SCS. Ces alarmes internes (intrusion pharmacie
centrale, cafétéria…) ou externes (intrusion CAST, CMP...) sont
traitées selon les procédures en vigueur. L’alarme incendie qui est
également reliée à la SCS renvoie à des consignes très précises.
Gestion des alarmes et des urgences
La notion de sécurité est fondamentale pour les cadres de la
SCS ; ils se déplacent avec l’équipe de sécurité dans les unités
dès le déclenchement d’une alarme PTI (ou prise Jack en
UMD). De manière plus générale, ils se déplacent dès qu’ils ont
connaissance d’une situation délicate où la sécurité des patients
ou du personnel pourrait être menacée.
Collaboration avec les équipes soignantes de l’hôpital R-PAX
Dans le cadre de cette collaboration, la SCS est amenée à
intervenir régulièrement, avec l’équipe de sécurité, au service des
urgences en présence d’usagers agressifs ou menaçants. Cette
intervention est prévue en première intention, en attendant l’arrivée
des forces de l’ordre. Ces interventions concernent principalement
le service des urgences mais peuvent également intéresser d’autres
services. Cette collaboration s’étend également aux fugues de
personnes vulnérables hospitalisées au PAX.
Au fil du temps, un réel partenariat s’est instauré entre l’équipe des
infirmiers psychiatriques des urgences, la SCS et l’équipe de sécurité.
De fait, la prise en charge du patient en est souvent facilitée.
Lieu de convergence de demandes diverses et variées, la SCS
s’efforce au quotidien d’y répondre de manière rapide et
efficace, son objectif premier étant de participer à une prise en
charge de qualité 24h/24. Elle travaille en collaboration avec
tous les services de l’hôpital (soignants, administratifs, techniques,
logistiques…) et a de nombreux contacts avec l’extérieur (autres
hôpitaux, centre 15, forces de l’ordre, JLD, IFSI…) sans perdre
de vue que ce travail en partenariat repose sur des relations
professionnelles cordiales et respectueuses. 
Repère
Vers la dématérialisation
totale des flux comptables
Le comité de pilotage des conventions de services comptables et
financiers des hôpitaux de Sarreguemines, signées le 3 février
2011 s’est réuni le 18 décembre dernier, sous la co-présidence de
Jean-Claude KNEIB, directeur des hôpitaux, et Bernard RICHTER,
responsable du pôle gestion publique à la Direction Régionale
des Finances Publiques de Lorraine.
Outre le bilan 2013 des 2 conventions, cette rencontre a été
l’occasion de signer une convention de contrôle allégé en
partenariat, sur la chaîne des dépenses de pharmacie, après
celle des frais de déplacement mise en place à l’automne 2013.
Le défi de 2014 sera le passage à la dématérialisation de
l’ensemble des documents comptables, domaine dans lequel le
secteur hospitalier est aujourd’hui encore sous-représenté. 
Le dossier patient informatisé au Centre Hospitalier de Sarreguemines
Le projet du Dossier Patient Informatisé, déployé au Centre
Hospitalier de Sarreguemines, est conduit, sous la responsabilité
du Directeur, par le groupe projet appelé GP-DMI (Groupe
projet Dossier Médical Informatisé). Ce groupe est composé
du Docteur Vincent SANCHEZ, Madame Yvette WEISS cadre
de santé, Madame Isabelle RAYNAUD infirmière, Madame
Ludivine GRUN et Monsieur Sélim HAOUCHINE informaticiens.
Le GP-DMI exécute les directives du Copil informatique où
siègent la Direction, la présidente de CME, le médecin du
DIM, les ingénieurs informatiques, l’ingénieur biomédical et
des médecins représentants les services d’hospitalisation
et médico-techniques. Le COPIL informatique définit les
orientations de tous les projets informatiques relatifs au
dossier du patient (dossier d’hospitalisation, de consultation,
d’imagerie, de biologie, …) et contrôle leur mise en œuvre.
Une autre instance intervient dans le cadre de ce projet : le
Copil D2i pour ce qui concerne le Dossier Infirmier. Celuici est composé des 2 directeurs de soins (Sarreguemines et
Bitche), du directeur des systèmes d’information et de cadres
de santé. Sa mission est de définir les orientations du dossier
infirmier informatisé et de prendre des décisions relatives
aux impacts organisationnels liés à cette l’informatisation.
La conduite du projet Dossier Patient Informatisé est donc bien
structurée et en lien avec la politique Qualité de l’établissement.
Le dossier patient informatisé représente aujourd’hui pour
tous les services de médecine, des prescriptions de traitements
sécurisées avec validation du pharmacien, des prescriptions de
soins et de demandes de biologie, la consultation directe des
images radiologiques et de ses comptes rendus, la consultation
directe des résultats de biologie, la consultation des feuilles
de surveillances du patient et l’édition d’ordonnances et de
courriers provisoires de sortie.
Au niveau des services d’urgence adultes et pédiatriques du CH
Robert-PAX et des Consultations de Soins Non Programmés du
CH Saint-Joseph, le dossier du patient est totalement informatisé.
Enfin, toutes les unités de soins bénéficient d’un accès direct
aux antériorités médicales du patient pris en charge, pour
ce qui est des comptes rendus d’examen et d’interventions
chirurgicales, des courriers de sortie d’hospitalisation et de
consultation, des certificats et attestations établis depuis 7
années.
Les logiciels qui alimentent le dossier du patient sont PASTEL
pour la gestion de l’identité et la création du dossier, CORPUS
pour la gestion du contenu médical et paramédical, TELEMIS
pour l’accès aux images et comptes rendus radiologiques, et
le SRI pour l’accès aux résultats biologiques.
Les codes d’accès sont gérés par le service informatique.
Les guides d’utilisation peuvent être consultés sur APTA, la
bibliothèque en ligne.
Les projets définis pour 2014 sont en premier, l’abandon de
la version 4D de Corpus aux urgences adultes PAX et Bitche,
pour migrer vers la version Web. Ainsi, il ne sera utilisé au
niveau des unités de soins, plus que la version Corpus Web.
Les secrétaires médicales continueront à utiliser la version 4D.
Viendra ensuite la poursuite du déploiement des prescriptions
médicales (Pédiatrie, Hôpital de jour, Chirurgies, …) et
des pancartes (feuilles de surveillances) ainsi que des
prescriptions infirmières de soins.
En parallèle, il sera mis en œuvre les demandes connectées
d’imagerie et d’examens biologiques, via le logiciel Corpus Web.
Enfin, une réflexion sera enclenchée relative aux observations
des professionnels de santé. Pour certains professionnels
(diététiciennes, psychologues), cela est déjà le cas mais il
reste encore les transmissions ciblées infirmières, l’examen
clinique d’entrée, la gestion des antécédents médicaux …
L’aboutissement de ce projet d’informatisation du Dossier
Patient permettra de répondre aux exigences des directives
« Hôpital numérique » et, par là, participera à la sécurisation
de la prise en charge des usagers.
Yvette Weiss
Regards N°07 3
ça se passe ici
Des conférences-débat au centre social
Le Comité de Lutte contre la Douleur et les Symptômes
(CLUD-S) du Centre Hospitalier de Sarreguemines, sous la
Présidence du Dr Gérard TORLOTING et la Co-présidence
de Madame Nadine ALBERTUS, cadre supérieur de santé, a
organisé le 2 octobre 2013 une Conférence-Débat sur le thème
« Loi Léonetti, euthanasie et douleur » avec l’intervention du
Dr Jean-François VILLARD responsable de l’Unité de Soins
Palliatifs de l’Hôpital de Hayange et de M. Denis LEDOGAR,
aumônier de l’Hôpital de Hautepierre du CHU de Strasbourg.
A cette occasion, le Dr Alexandra JUNG, Présidente de CME
et du CLUD-S de l’Hôpital Saint-Joseph de Sarralbe, le Dr
Sylvane LYASSE, présidente du CLUD-S du CHS et Mme
Nadine ALBERTUS, ont présenté les activités des CLUD-S. M.
Didier FABING, président du Comité d’Ethique du CHS et Mme
Sabine MEYER, cadre de santé, ont exposé les activités des
Comités d’Ethique.
Au cours du débat très riche qui s’en est suivi, le public venu
nombreux au Centre Social du CHS, a été très marqué par
l’expérience du Dr VILLARD et par la générosité et la sensibilité
de M. LEDOGAR, auteur de nombreux ouvrages et articles sur
le sujet traité.
Une Conférence-Débat « Prescription Médicamenteuse chez
le Sujet Agé » s’est tenue le 24 octobre 2013 au Centre
Social du CHS de Sarreguemines à l’initiative des chefs de
projet, qui ont travaillé sur ce thème : Dr Samuel PEZZOLO, Dr
Valentina MATEI et Dr Sylvane LYASSE, Praticiens Hospitaliers,
psychiatres.
Les interventions, coordonnées par le Dr Vincent SANCHEZ,
Praticien Hospitalier, Gériatre, chef du pôle Médecine
Polyvalente à Orientation Gériatrique du Centre Hospitalier
de Sarreguemines et médecin responsable des unités USLD et
EHPAD du CHS, avaient pour thème « Qu’est-ce que la personne
âgée ? » (Dr Valentina MATEI, Dr SANCHEZ), « Particularités de
la prescription médicamenteuse chez le sujet âgé » (Dr Agnès
FISCHER Praticien Hospitalier, pharmacienne, Dr SANCHEZ,
Dr MATEI) « Rôle infirmier et prescription médicamenteuse »
(Mme Myriam FREYERMUTH Cadre de Santé).
Véritable enjeu de santé publique chez la personne âgée, ce
thème a passionné les médecins et les soignants des Hôpitaux
de Sarreguemines, mais aussi ceux des établissements de santé
voisins qui se sont mobilisés nombreux, soucieux d’approfondir
leurs connaissances. 
Un esprit sain dans un corps sain ou…. Comment entretenir sa forme
au travail !
Tous les mardis et jeudis, depuis plus d’un an, un petit groupe
de professionnels passionnés du CHS et de l’Hôpital RobertPAX se retrouve au gymnase du CHS pour participer à des
séances de renforcement musculaire : fessiers - abdominaux
- cuisses (FAC pour les initiés !), épaules - bras - taille…..
Ces séances se déroulent sur une demi-heure pendant la
pause déjeuner et sont encadrées bénévolement par Christine
Rubeck qui tient compte, consciencieusement et patiemment, du
niveau de chacun.
Pendant la période estivale, les « sportifs » quittent la salle
pour une marche le long du canal.
Chacun reprend ensuite son travail, fier de l’effort fourni et
d’attaque pour l’après-midi au travail.
Nous avons de la chance : l’établissement met à notre
disposition pour cette activité, un grand gymnase !
Venez nombreux, vous êtes tous les bienvenu(e)s ! 
4 Regards N°07
ça se passe ici
Journée sécurité des patients
En novembre 2013, la troisième édition de la semaine de la
sécurité des soins apportée aux patients, était lancée par le
ministère de la santé.
Comme l’année précédente, la Cellule Qualité et Gestion
des Risques s’est inscrite dans ce projet en organisant, le
26 novembre 2013, une journée d’information et d’échanges
dans ses locaux.
3 thèmes étaient à l’honneur :
•
Bien utiliser le médicament : avec l’intervention du
Docteur BURES, pharmacien.
•
Communiquer et apprendre de ses erreurs : thème qui
a donné l’occasion de présenter les « CREX » (Comité
de Retour d’EXpérience), les IPAQSS (Indicateurs Pour
•
l’Amélioration de la Qualité et de la Sécurité des Soins),
l’identito vigilance ainsi que d’autres sujets d’actualité
touchant la sécurité des soins (Sophie WEINSTEIN et
Sabine MEYER)
Préparer la sortie des patients : thème pour lequel
sont intervenues : Mme A. DALMAS, Infirmière au CMP
(missions et rôle de l’équipe mobile de psychiatrie dans
la sortie du patient hospitalisé en situation de précarité),
Mme A. STOCKY, infirmière et Mme P. SCHAER LALLIER,
Cadre de santé aux Glycines (Dynamique de l’autonomie
sociale à la sortie du patient).
Merci à tous les participants ! 
Une fin d’année riche en animation !
Près de 1200 personnes, dont plus de 610 enfants, ont assisté
cette année au traditionnel spectacle de l’Arbre de Noël. Le
magicien Allan Hart s’est chargé d’amuser enfants et parents,
lors des trois représentations à l’Hôtel de Ville, grâce à son
spectacle d’illusion avec ses oiseaux. A l’issue du spectacle, les
petits ont pu rencontrer le Père Noël et lui confier leur liste de
cadeaux.
Les fêtes de fin d’année ont également été l’occasion de divertir
patients et personnel des établissements lors de nombreuses
manifestations organisés dans les unités de soins.
Les festivités ont débuté fin novembre au CHS avec le traditionnel
marché de Noël organisé par le Club Psychothérapique et le
Pôle de Réadaptation Psychosociale. Ce marché, qui expose
et propose à la vente les créations des patients, a acquis
au fil des années une solide réputation et attire désormais
de nombreux et fidèles visiteurs. Cette notoriété a d’ailleurs
permis de proposer, pour la première fois, un mini-marché de
Noël dans le hall de l’hôpital Robert-PAX, pendant deux jours.
personnes présentes et chanter avec elles.
Saint-Nicolas et le Père-Noël ont rendu visite, comme chaque
année, aux enfants hospitalisés en pédiatrie pour leur remettre
quelques friandises.
Enfin, les festivités se sont achevées par la traditionnelle
Crèche vivante, mise en scène par le personnel des Espaces
Verts, à la ferme du CHS. Les pensionnaires de la maison
de retraite du Blauberg sont venus chanter à cette occasion,
puis patients et personnel de l’Hôpital se sont relayés afin
d’admirer le tableau vivant et de partager une boisson et une
collation. Depuis une dizaine d’années, les visiteurs peuvent
rencontrer, pendant 3 jours, les personnages de la Crèche et
leurs animaux ; un événement devenu incontournable. 
A l’Hôpital Saint-Joseph de Bitche, c’est le marché de
Noël organisé par l’association “ Visite des Malades en
Etablissements Hospitaliers”qui s’est tenu durant 4 après-midis
au mois de décembre.
De nombreux concerts ont également été donnés, notamment
celui de la Chorale du Parc aux pavillons des Myosotis et des
Genêts, puis celui des élèves du conservatoire de musique pour
les services de Polyhandicapés adultes et, le 19 décembre, le
concert de Noël à la Chapelle du CHS où patients et bénévoles
ont mis leurs talents à contribution pour enchanter toutes les
▶ Le marché de Noël du CHS
▶Le marché de Noël à l’Hôpital Robert-PAX
▶ La crèche vivante au CHS
▶L’Arbre de Noël
Regards N°07 5
Qualité - Sécurité des Soins
Résultats de la Certification V 2010
Centre Hospitalier de Sarreguemines et Bitche
Centre Hospitalier Spécialisé
Le rapport de la certification V2010 a été transmis par la
Haute Autorité de Santé (HAS), fin octobre 2013.
Le Centre Hospitalier de Sarreguemines est certifié V 2010,
avec réserves sur :
• la sécurité du système d’information (critère 5b)
• le bon usage des antibiotiques (critère 8h)
Le CHS de Sarreguemines a fait l’objet d’une visite de suivi
dans le cadre de la certification V2010 du 20 au 22 janvier
2014. Les résultats, qui seront visibles sur le site « scope
santé », sont en cours de réactualisation.
Les experts de la HAS ont rendu leur décision lors d’une
restitution au personnel du CHS, en fin de visite. Cette dernière
est positive dans la mesure où la réserve majeure, les réserves
et les 6 recommandations pour lesquelles nous nous étions
engagés, sont levées.
Ces conclusions seront confirmées 5 semaines après la visite,
dans le rapport de la HAS.
Dans un délai de 12 mois, au plus tard en novembre 2014,
l’établissement devra produire un rapport de suivi sur ces
deux réserves et un plan d’actions, avec échéancier, sur les
cinq recommandations émises par la HAS.
Un nouveau site de présentation des établissements de
santé : www.scopesante.fr .
Ce nouveau site offre une place privilégiée à la certification.
Pour la première fois, les résultats détaillés par critère jusqu’ici
accessibles dans les rapports de certification sont restitués de
façon lisible.
Ce sont 35 critères parmi les 88 du manuel de certification,
sélectionnés par les représentants des usagers comme répondant
aux préoccupations des patients, qui sont présentés sur le site,
avec une échelle de couleur, allant du vert à l’orange foncé.
Scope Santé offre également d’autres fonctionnalités à
l’internaute qui peut:
• se géolocaliser et voir les établissements de santé
environnants, grâce à une carte interactive, ou visualiser
les établissements d’une zone définie.
• et obtenir des informations générales sur l’établissement
en accédant à une fiche synthétique qui reprend pour
chaque établissement ses secteurs d’activité et les
équipements dont il dispose.
Pour le niveau de certification de l’établissement, une lettre (de
A à E) est associée à la couleur.
Certification de Lutte contre les Courrier de fin Tenue du dossier
infections
d’hospitalisation
patient
l’établissement
nosocomiales
B
C
C
C
Ainsi, le CHS enregistre une belle progression quant à la qualité
de la prise en charge et de la sécurité des soins. Ces résultats
ont été obtenus grâce à la participation et l’implication de tous
les professionnels.
Notre engagement collectif et notre travail ont
incontestablement porté leurs fruits.
Ce point d’étape est très satisfaisant et encourageant pour
la suite.
La prochaine certification, appelée V2014 (4ème itération),
se prépare déjà. Si le manuel de certification reste le même,
la procédure évolue : la démarche recentre l’évaluation sur
l’identification des risques, la qualité réelle de la prise en
charge et le travail en équipe.
Pour ce faire, une nouvelle méthode d’investigation est
développée : la méthode du « patient traceur ». Cette
dernière consiste à évaluer le parcours du patient à toutes
les étapes de sa prise en charge.
Une autre innovation de la V2014 est le « compte qualité »,
qui rend la procédure de certification plus continue. Le
compte qualité va constituer un outil d’échange entre la
Haute Autorité de Santé et l’établissement de santé sur le
suivi des actions et les résultats. Il se substitue, de ce fait,
à la phase d’autoévaluation conduite lors des précédentes
certifications. 
Le développement durable, what’s this ??
Le terme « développement durable » a été introduit
par la commission mondiale sur l’environnement et le
développement en 1987 (Rapport Brundtland). Il signifie que
« les besoins des générations actuelles doivent être satisfaits
sans compromettre la capacité des générations futures à
répondre aux leurs ».
6 Regards N°07
Le développement durable repose sur
trois piliers : social, environnemental et
économique.
•
Pilier social : gestion des ressources
humaines, éthique professionnelle,
qualité de vie au travail, risques professionnels, démarche
qualité et gestion des risques…
Ainsi, le développement durable représente un véritable défi
pour les établissements de santé.
•
Pilier environnemental : gestion optimisée des énergies
des bâtiments, gestion optimisée des flux d’eau et d’air,
gestion des déchets…
•
Pilier économique : Consommation et achats écoresponsables…
Forts de ce constat, les hôpitaux de Sarreguemines se sont
dotés d’un Comité de pilotage (COPIL) en ce domaine pour
conduire cette vision stratégique et la décliner par des actions
concrètes dans les pratiques hospitalières. 
Actualités du personnel
Le Développement Professionnel Continu
Le Développement Professionnel Continu (DPC) a pour objectif l’évaluation des pratiques
professionnelles, le perfectionnement des connaissances, l’amélioration de la qualité et de la
sécurité des soins ainsi que la prise en compte des priorités de santé publique et de la maîtrise
médicalisée des dépenses de santé. Ce dispositif s’impose, annuellement, à l’ensemble des
professionnels de santé.
Méthodes validées en tant qu’APP :
Revue de mortalité et
de morbidité (RMM)
Réunions de concertations
pluridisciplinaires (RCP)
Groupe d’analyse des
pratiques professionnelles
L’hôpital comme organisme de DPC
Comité de retour
d’expérience (CREX)
Revue de
pertinence
Chemin clinique
Audit clinique
Staff
Les professionnels de santé du CH et du CHS s’investissent
dans diverses démarches/travaux/études internes qui
peuvent répondre, en intégralité ou en partie, au DPC
(formation interne, EPP, Staff, RCP, ...). Pour faire valoir
l’existant, le CH et le CHS doivent être enregistrés comme
organisme de DPC. Les 2 établissements ont déposé
auprès de l’organisme gestionnaire du DPC un dossier
d’enregistrement. Nous en sommes à la phase d’inscription
et attendons l’accord des commissions scientifiques.
Construire des programmes de DPC en interne
Le travail de formalisation des EPP en tant que programme
DPC reste le gros challenge à relever dans les mois à venir.
Un groupe de travail pluridisciplinaire se réunira pour
engager ces travaux.
Comment valider votre obligation de DPC ?
L’ANFH : un nouveau partenariat pour le DPC Médical
Vous êtes un professionnel de santé paramédical :
En suivant une formation professionnelle continue : en effet,
de nombreuses thématiques de formation permettent de
satisfaire à l’obligation de DPC.
Le CH et le CHS ont adhéré à l’ANFH pour la gestion du
DPC Médical. Tous deux consacrent au financement du
DPC un pourcentage de 0.75 % de la masse salariale des
médecins.
Concernant les professionnels paramédicaux, le DPC est
financé sur le budget de la formation professionnelle tout
au long de la vie.
Vous êtres un médecin :
En suivant un programme de DPC complet (APP intégrée à
la formation), mis en œuvre par un organisme de DPC.
Ou en complétant une formation (congrès, séminaire,…), par
une APP réalisée en interne et en lien avec la thématique
de formation, ou inversement (à condition que l’hôpital soit
enregistré comme organisme de DPC).
La simple participation en tant que formateur à un
programme de DPC permet également de valider
l’obligation de DPC.
Procédure interne de prise en charge
La procédure est identique à celle pour la prise en charge
des formations. Tous les justificatifs des frais engagés ainsi
que l’attestation de DPC doivent être adressés à la cellule
Formation Continue. 
Solène Lanter
Regards N°07
7
Mouvements du personnel
Au Centre Hospitalier Général
Virginie, GORDIEN Elisabeth, EEH ISEL Marjolaine, EYERMANN Lara, Silviu, RadiologieuLABAKI Fadi,
Bienvenue à
Adjoint Administratif Hos- uSAARBACH Elisabeth, Accueil et CHRIST Jessica, Pool de remplace- Cardiologie
pitalier: DURCHON Laetitia, StandarduGUEDON Geoffrey, mentuMEYER Ingrid, SSR Bitcheu Préparateur en pharmacie:
UrologieuWALTER Anne Sophie,
CardiologieuMETZINGER Celine,
ArchivesuJANDOUZI Latifa, RadiologieuKLOPP Laetitia, LaboratoireuLIND Caroline, Réanimation
Aide Soignant: ZINS Mathilda,
Stérilisationu KLEIN Sandro, SSR
PELLEGRINO Coralie,
Bitcheu
MaternitéuJITTEN Laetitia, Gastro EntérologieuHEMMERT Julie,
NIRRENGARTEN Sophie, HOCQUEL Sophie, SAMUEL Frédérique,
HEIM Aurore, Pool de remplacementuKERN Marianne, Urologie u
ZWING Martine, MAYER Lauriane,
Pédiatrie
Convoyage
Cadre de Santé: RAIMONDI Sandrine, Bloc Chirurgical
Interne: DROUOT Florian, LEY
Suzanne, MASONE Ghislain, ARU
SgmsuPIERRET Marion, Chirurgie
DigestiveuBABEL Julie, Gastro
EntérologieuGARCIA Anne, KLEIN
Christophe,
GynecologieuHEIN
Julien, LE GOVIC Diane, RIFF Elodie, MPOGuDI NATALI Julien, PEREZ SANCHEZ Anais, PédiatrieuO
DOWD Marvin, SORNAY Thibaut,
PneumologieuYESILOZ
Muhammed, RadiologieuPISTRE Pauline,
Pharmacie
Agent des Services Hospita- Infirmier: RENOU Marc, SCHEIlier: GRASSO Julie, WUILLEMET DECKER Virginie, FUSARO Michel,
DOURSON Christian, WENDLING
Julie, HADuDROSS Barbara, USLD
BitcheuKNAPP Pierre André, ARU
Sgms
IBODE: FREYERMUTH Hubert, Bloc
Chirurgical
BABEL Fiona, Pharmacie PAX
Sage Femme: GERARD Anaïs,
Bloc Obstétrical
général
dette, ARU SgmsuWEISS Jean-Luc,
BRANCARDAGEuKUHN Barthelemy,
Jacqueline,
ConvoyageuSEHMER
EEHuLAGRANGE Eliane, SCHEID
Yolande, GynecologieuKIRSCH Nicole, LOSTETTER Danièle, Maternitéu
GOUVERNEUR Murielle, STAUDT Monique, Pédiatrie u FABING Gérard,
Pneumologieu MONNET MarieJeanne, Reprographie
Technicien
de
Laboratoire:
WIRTH Estelle, Laboratoire
Ouvrier Professionnel Quali- Bonne retraite à
fié: SCHNEIDER Nicolas, Entretien HERRMANN Martine, KIRSCH BernaPraticien Contractuel: ZERGER
Michèle, Pharmacie BitcheuGRAMADA Adrian, RadiologieuLOSPA
Corneliu, MORLOVA Sorin, ARU
SgmsuSEIZOV Mario, Réanimation
Praticien Assistant Associé:
TINTILABogdan,
Urologieu
AMIRZA Camille, Gynécologieu
SEIZOVA Emilia, Pédiatrie uHINCU
Au Centre Hospitalier Spécialisé
Bienvenue à
Accueillant Familial: KREBS
Valéria, A.F.T. 4e secteur
Adjoint des cadres: NIEDERLENDER Pierre, Gestion du
personnel u MICHELS Julie,
Gestion économique
Adjoint Administratif Hospitalier: BORELLA Evelyne,
Formation continue u
URIE
PEDROCCHI Adeline, Gestion
des malades u PISCHEDDA
Cynthia, Gestion du personnel
Agent d’Entretien Qualifié:
LAMBERT Timothée, Gestion
économique u BEHR Patrick,
MOUSSART Sébastien, Garage-transport
Aide soignant: RUPPEL Pascal,
Lilas u HAQUE Nicolas, Lierres
C u MEZITI Melissa, D.I.M.
Assistant Socio Educative: AUDIA Sophie, Mimosas
Agent des Services Hospitalier: MOULAY Aurèlie, SCHMIT
Camille, STERN Margot, Promotion professionnelle
Étudiant en médecine: ALLIEVI
Claire, Antenne médicale enfants
Infirmier: DEWY Nathalie,
Urgences Sgms u SCHWARTZ
Marie, Genêts A u BOLLET
Juliette, Hdj enfants Hirondelle
u
SCHWALB Johanna, CMP
Freyming
Interne en médecine: GURTNER Géraldine, Roseraie u
KAMLI BERCIU Anca Maria,
Lilas u OUKHAI Jilani, Acacias
Ouvrier Professionnel Qualifié: JUNG Mathieu, LETT Nicolas, Cuisine
Praticien Hospitalier: LANG
Mihaela Loredana, Lilas
Psychologue : MARTIN Gaëlle,
Roseraie
Agent décédé
Bonne retraite à
WEISS Ernest, Jardins uROS Marianne, 4e service AFT u DEHLINZITT
GER Sylvette, Acaciasu
Marie-Thérèse, Tilleuls u BOVI
Martine, Tilleuls u HEINZE Chantal,
Lierres CuLETT Marie-Therese, HdJ
Eveil uANASTASIO Daniel, Pavillon
9 uMULLER Marie-Josée, Glycines
uRZEPECKI Brigitte, CMP Adulte
Bitche uMULLER Elisabeth, Pavillon 17 rdc uRUPPEL Vincent, CMP
FreyminguADERHOLD Claude, Cuisine uJANTZEN Chantal, HdJ Enft
Forbach uMULLER Sylvain, Cuisine
SCHWARTZ Benoit, Pavillon 6 étage
Portes ouvertes à l’IFSI
L’Institut de Formation en Soins Infirmiers a organisé sa journée
portes ouvertes, le samedi 8 février 2014, dans une ambiance
aussi conviviale que professionnelle. La matinée a été animée
par l’équipe pédagogique et des étudiants volontaires qui ont
permis au public venu nombreux (environs 250 visiteurs), de
découvrir le programme des études, les modalités d’admission,
les stages de formation, les travaux pratiques, ainsi que la
vie étudiante et associative. La réussite de cette manifestation
repose indéniablement sur l’authenticité des échanges entre
les étudiants et le public accueilli, ainsi que sur l’animation de
différents ateliers proposés. Tous les acteurs présents se sont
fortement mobilisés pour contribuer au succès de ce rendezvous annuel, désormais bien rôdé et attendu du public. 
Regard - Le journal d’information interne du Centre Hospitalier de Sarreguemines et du Centre Hospitalier Spécialisé de Sarreguemines - n° 7 Mars 2014. Édité par le Syndicat Interhospitalier de Sarreguemines - 1 rue Calmette - BP 80027 - 57212
SAREGUEMINES Cedex. Directeur de la Publication : Jean-Claude KNEIB - Rédacteur en Chef : Pascal SCHMIT - Secrétaire de Rédaction : ZAHM Perrine - Comité de Rédaction : LANTER Solène, HEITZMANN Nicole, LACOUR Martine, MEYER Sabine,
SANCHEZ Vincent, WIRIG Camille - Conception : Cellule Communication - Photos : Cellule Communication - Impression : Imprimerie Sarregueminoise à Sarreguemines - Tirage : 2 450 exemplaires - Dépôt légal : Mars 2014.
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