ILS SONT NÉS À MAISONS-LAFFITTE Lorsque l’on voyage en France, la moindre petite ville traversée s’enorgueillit de sa « célébrité ». Bien souvent celle-ci n’a fait qu’y naître, parfois elle y est décédée, mais elle y a rarement passé sa vie. On ne compte plus à Maisons-Laffitte les célébrités qui y ont vécu (voir la chronique « Maisons-Laffitte, ville d’artistes » parue dans les magazines Vivre à Maisons-Laffitte n°101, 102 et 103 en février, mars et avril 2011). Selon le principe « Maisonnais un jour, Maisonnais toujours », nous allons vous faire découvrir des célébrités qui sont nées dans notre ville, mais n’y ont pas vécu au-delà des premières années de leur enfance. D’autres ont eu leur heure de gloire, avant de venir terminer leurs jours dans une maison de retraite ou un établissement hospitalier de notre ville. Par Jacques BARREAU Maire-adjoint délégué à la Communication, au Tourisme et au Patrimoine Charles Petitdemange, dit PRINCE RIGADIN, naît le 28 avril 1872 au domicile de ses parents, 3 route de Poissy à Maisons-Laffitte (aujourd’hui JULIEN LACAZE, naît le 11 août 1886 au domicile de ses parents, 46 rue de Paris. Il porte le même prénom que son père dessinateur. Peintre paysagiste, graveur et lithographe, il commence sa carrière en 1910 et devient l’un des affichistes les plus prolifiques de sa génération. Il crée son propre atelier de publicité, situé - clin avenue du Général de Gaulle). Après deux années à Londres pour apprendre l’anglais, il entre au Conservatoire de Paris. Il se choisit un pseudonyme, « Seigneur », bientôt remplacé par « Prince » qui sonne mieux. Après un 1er Prix de comédie en 1896, il signe un contrat de deux ans à l’Odéon, puis il est engagé en 1898 au théâtre des Variétés. Il débute au cinéma en 1908 avec Un monsieur qui suit les femmes. En 1909, la maison Pathé lance sur le marché une quinzaine de courts métrages interprétés par « l’ineffable Prince des Variétés », dont deux drames avec Mistinguett pour partenaire féminine. Le personnage de Rigadin est lancé en 1910. Le succès est immédiat, la série dure jusqu’en 1920 et comporte 87 films. Baptisé « Salustiano » en Espagne, « Moritz » en Allemagne, « Wiffles » en Angleterre et « Tartufini » en Italie, le personnage connaît une carrière internationale. Lorsque la série s’arrête, Prince Rigadin tombe progressivement dans l’oubli. Il redevient Charles Prince dans Madame et son filleul, Les femmes collantes (1919), Chouquette et son as, Prince embêté par Rigadin (1920), Embrassez-moi (1928). Il termine sa carrière par quelques films parlants : Le Tampon du capiston (1930), Son Altesse l’amour (1931), L’âne de Buridan (1932) et son dernier film, Le coq du régiment (1933). Prince Rigadin s’éteint le 17 juillet 1933 dans sa villa de La Varenne. Il est enterré au cimetière de Maisons-Laffitte mais sa tombe a été malheureusement reprise il y a quelques années. d’œil de l’Histoire - 52 rue de Paris à Asnières. Entre 1910 et 1935 il réalise de nombreuses affiches touristiques pour les Compagnies de chemin de fer. Leurs couleurs chaudes magnifient les paysages et exploitent toutes les ressources de la lithographie en couleurs. Julien Lacaze s’éteint le 13 novembre 1971 à Bry-sur-Marne. A LOUER BUREAUX toutes surfaces CENTRE D’AFFAIRES “LE GAMBETTA” LOCAUX D’ARCHIVES & STOCKAGE VYI+EQFIXXE0)1)72-00)63- NOUS CONTACTER : Gérance VIELMON IMMOBILIER TOUS NOS SERVICES : • Services d’accueil et standard • Réception courrier • Gestion départ courrier par la Poste • Photocopieuse N/B - Couleur • Réception des livraisons 22 • • • • • 2 parkings sous vidéo surveillance Quai de déchargement (entrepôts) Service entretien Assistance technique et maintenance Chauffage central • • • • • Immeuble sécurisé 2 salles de réunions 3 salles d’attente Coin cafétéria Rencontre inter-entreprises 22 rue du Vieil Abreuvoir 78100 ST GERMAIN-EN-LAYE 01 30 61 23 23 [email protected] www.immobert.fr [email protected] 01 39 12 00 14 Vivre à MAISONS-LAFFITTE n° 164 - Novembre 2016 23 PIERRE BOYER DE LATOUR DU MOULIN, voit le jour le 18 juin 1896 à Maisons-Laffitte au domicile de ses parents, 12 avenue Béranger. Engagé à 18 ans en août 1914, il sert dans les dragons jusqu’en 1916 où, à sa demande, il est muté au 1er régiment de tirailleurs marocains. Il termine la Grande Guerre avec le grade de lieutenant à titre temporaire. Après la guerre, il devient officier d’active en passant par l’école de Saint-Maixent. Il est affecté sur sa demande aux affaires indigènes du Maroc où il demeure durant 25 ans. Fin 1942 il participe à la campagne de Tunisie, puis à la libération de la Corse et en 1944, au débarquement de Provence. Pendant tout l’hiver 1944, il combat dans les Vosges et en Alsace. Colonel en 1944, général de brigade en 1946, il part pour l’Indochine où de 1947 à 1949, il assure des commandements militaires mais aussi civils en tant que commissaire de la République en Cochinchine. Il retourne au Maroc pour seconder le maréchal Juin, alors résident général à Rabat. En 1954, il est nommé commandant supérieur des troupes en Tunisie puis résident général en Tunisie. Il occupe brièvement, de novembre 1955 à janvier 1956, les fonctions de résident général de France au Maroc. Grand Croix de la Légion d’honneur, il est titulaire de 14 médailles et de 24 citations dont 18 à l’ordre de l’armée. Devenu général d’armée en 1956, il est mis en disponibilité après avoir publié Vérités sur l’Afrique du Nord. Il décède à Paris le 31 janvier 1976. Fille de Henri Cerneau, marchand boucher, et de Mathide Cogneau, son épouse, domiciliés à Carrières-Saint-Denis, YVONNE RUDELLAT naît le 11 janvier 1897 à Maisons-Laffitte, 22 rue de Paris, au domicile de sa grand-mère maternelle. À la mort de son père, elle part chercher du travail à Londres et en 1920 elle y épouse Alex Rudellat, de neuf ans son aîné. Le ménage connaît des difficultés et Yvonne Rudellat se sépare de son époux en 1929. Elle travaille comme secrétaire à l'Hôtel Club d'Ebury Court lorsqu'elle est recrutée par un responsable du Special Operations Executive le 1er juin 1942. Les agents du SOE sont infiltrés dans les pays occupés par les Allemands pour organiser la résistance et former les partisans. Le 30 juillet, venant de Gilbraltar, un bateau la dépose en pleine nuit près de Cannes sous le nom de Jacqueline Gauthier. Elle forme, avec deux collègues du SOE arrivés à Tours quelques semaines plus tôt, un réseau d'agents répondant au nom de code « Monkeypuzzle », qui sera bientôt intégré à un réseau beaucoup plus important couvrant tout le Nord de la France et répondant au nom de « Prosper ». La mission de « Monkeypuzzle » consiste à accueillir les nouveaux arrivants et à intercepter les livraisons d'armes parachutées de nuit au-dessus de la France. Le 21 juin 1943, la Citroën dans laquelle elle a pris place avec trois autres agents est prise en chasse près de Blois par les Allemands qui ouvrent le feu. Yvonne Rudellat est grièvement touchée à la tête Après un tonneau, la voiture termine sa course dans un champ. Yvonne Rudellat est transportée à l'hôpital de Blois, puis transférée à Paris pour être interrogée. Profondément amnésique suite à sa blessure, elle est incarcérée pendant plusieurs mois dans une cellule de l'hôpital de Fresnes avant d'être déportée au camp de Ravensbrück puis à celui de Bergen-Belsen. Le camp est libéré le 15 avril 1945 par les Britanniques mais, atteinte du typhus, Yvonne Rudellat meurt le 23 avril. Mécanique - Carrosserie Vente de Véhicules Neufs et d’Occasion CARROSSERIE FRANCHISE OFFERTE* GARAGE du HAVRE À 100 % 40, avenue de Saint-Germain Profitez-en ! 78600 Maisons-Laffitte Tél. : 01 39 62 10 29 - Fax : 01 34 93 49 79 [email protected] * Offre soumise à conditions 24 C’est au domicile de ses parents 18 avenue Lavoisier que JACQUES FATH voit le jour le 6 septembre 1912. Durant la Grande Guerre, son père étant mobilisé, il vit avec sa mère et sa sœur au domicile de ses grandsparents paternels, 49 rue du Mesnil. En 1926 ses parents divorcent. Sa mère se remarie avec Maurice Robert, fils d’un entraîneur de MaisonsLaffitte, et s’installe à Paris avec ses enfants. En association avec la couturière Blumé Irjawski, épouse Gulbenkian, Jacques Fath crée en 1937 une maison de couture rue de la Boétie. Il épouse en 1939 son mannequin vedette Geneviève Boucher, dont il aura un fils unique. En 1940 Madame Gulbenkian lui revend ses parts dans la société. En 1941 la maison de couture est transférée 48 rue François 1er. Le nombre de salariés passe de 176 à 240. En 1944 elle déménage une dernière fois dans un hôtel particulier au 39 avenue Pierre 1er de Serbie. Jacques Fath réalise en 1946 les costumes du film de HenriGeorges Clouzot Quai des Orfèvres. En 1948 il joue son rôle de créateur de mode dans le film de Roger Blanc, Scandale aux Champs-Elysées. Lors du mariage de Rita Hayworth et d’Ali Khan à Vallauris en 1949, il réalise le trousseau de la mariée. Dans les années 50, la maison de couture emploie jusqu’à 620 salariés. Jacques Fath décède d’une leucémie le 13 novembre 1954 à l’âge de 42 ans. La ravissante ANDRÉE CARMEN DEBAR naît le 5 mai 1920 à Maisons-Laffitte au 43 rue des Canus. Elle passe son adolescence au Grand-Duché de Luxembourg où elle fréquente le conservatoire. Après la seconde guerre mondiale elle suit à Paris les cours de Marcelle Géniat. Elle fait ses débuts au cinéma en 1946 dans Le bataillon du ciel, aux côtés de Pierre Blanchar, un film en deux parties écrit par Joseph Kessel. Dans les années 50, elle tourne plusieurs films en Italie dont le sketch de Roberto Rosselini L’envie pour le film Les sept péchés capitaux. Elle termine sa carrière de comédienne par La garçonne (1957) avec Fernand Gravey et Le chevalier d’Eon (1958) avec Bernard Blier. Elle se lance ensuite dans la production et obtient quelques beaux succès avec Crésus (1960) de Jean Giono, avec Fernandel, Le gentleman de Cocody (1964) avec Jean Marais, L’étoile du sud (1968) avec Orson Welles et Monsieur Papa (1977) avec Claude Brasseur. Elle s’éloigne définitivement du cinéma en 1977. Atteinte de la maladie d’Alzheimer depuis plusieurs années, Andrée Debar décède des suites de cette maladie le 24 janvier 1999. Besoin de temps pour vous ? Club Services Plus est là pour vous servir ! Le spécialiste à votre domicile ménage, repassage, vitres 01 39 12 10 02 [email protected] www.clubservicesplus.com 3VF+FBO.FSNP[ • 78600 Maisons--BGGJUUF Franck Vérité Architecte d'Intérieur CFAI Tél : 09 65 16 39 69 - Mail : [email protected] 34 av. François Mansart - 78600 Maisons-Laffitte Vivre à MAISONS-LAFFITTE n° 164 - Novembre 2016 25 ILS ONT PASSÉ LEURS DERNIERS JOURS À MAISONS-LAFFITTE Célestine Cardi, qui prendra le nom de MARCELLE PRAINCE, voit le jour le 9 juin 1882 à Vigeois, en Corrèze. Elle débute au théâtre en 1906 puis au cinéma en 1912 où elle tourne cinq courts métrages muets avec Prince Rigadin. Au cours de sa carrière, elle apparaît dans près de 70 films dont Sous le ciel de Paris de Julien Duvivier et Les Sept Péchés capitaux de Claude Autant-Lara. Elle monte également sur scène et joue dans une vingtaine de pièces de théâtre dont la plus célèbre, Harvey de Mary Chase, mise en scène par Marcel Achard, tient trois saisons. Marcelle Praince quitte la scène et l’écran en 1959. Après avoir vécu à la maison de retraite de la Légion d’honneur au château du Val, elle finit ses jours au « Castel Saint-Yves », 27 rue Etienne Péroux à Maisons-Laffitte, où elle s’éteint le 26 octobre 1969. Enfant de la balle, née le 22 avril 1885 à Paris, JEANNE FUSIER suit son père, acteur, dans ses représentations. Elle complète sa formation en suivant les cours d’art dramatique de Firmin Gémier avant de débuter au théâtre en 1912 sous l’égide de Sacha Guitry. Son physique particulier la spécialise dans les rôles de concierge, de servante et de petits métiers, dans près de 180 films qu’elle tourne avec les plus grands metteurs en scène : Sacha Guitry, Julien Duvivier, HenriGeorges Clouzot, Marcel Carné, Jacques Becker, Henri Verneuil… Jeanne Fusier décède le 24 avril 1973 à la maison de retraite « Le Belvédère » 1 avenue Corneille. GEORGES SPEICHER participe à son premier Tour de France en 1932. L’année suivante il est à nouveau membre de l’équipe de France. Il gagne une première étape à Gap, puis s’impose le lendemain à Digne-les-Bains. Lors de la 12e étape, il franchit de nouveau en vainqueur la ligne d’arrivée à Marseille et prend le maillot jaune qu’il conserve jusqu’à son entrée à Paris au Parc des Princes. Deux mois après ce succès, il dispute le championnat du monde sur route au circuit de Montlhéry. Initialement non sélectionné, il est appelé en remplacement de Paul Chocque, déclaré malade. Il attaque seul à 125 km de l’arrivée et remporte le championnat. Il devient le premier Français champion du Monde sur route professionnel et le premier coureur à réaliser la même année le doublé Tour de France et championnat du Monde. En 1935, Georges Speicher obtient le premier de ses trois titres de champion de France sur route au circuit de Montlhéry, les deux autres suivront en 1937 et 1939. Il met fin à sa carrière en 1943. Il décède le 25 janvier 1978 à la maison de retraite « Le Castel Saint-Yves » 27 rue Etienne Péroux. PAUL CAMBO, de son vrai nom Paul Mignonat, naît le 2 juillet 1908 à Bort-lesOrgues dans le département de la Corrèze. Après le bac, il opte pour des études de chimie à l’école supérieure de Cambo au pays basque. Lorsqu’il abandonne la chimie pour les planches, il choisit le nom de cette petite ville comme pseudonyme. Il intègre la troupe de Louis Jouvet et campe avec conviction Pâris dans La guerre de Troie n’aura pas lieu de Jean Giroudoux en 1935. Parallèlement à une carrière cinématographique, il poursuivra une carrière théâtrale qui prendra fin en 1973 avec L’homme en question de Félicien Marceau. Durant la guerre il embarque avec la troupe de Louis Jouvet pour une tournée en Amérique du Sud. Au retour, il s’arrête au Mexique et joue dans plusieurs films restés inédits en France. Après la guerre il tournera dans une douzaine de films dont en 1959, Le Bossu et en 1962, Les Mystères de Paris d’André Hunebelle. Paul Cambo décède des suites d’un cancer le 21 février 1978 à « l’Hôtel Royal » 1 avenue Henry Marcel. Gilbert Moreau dit GILBERT GIL voit le jour le 7 septembre 1913. Il débute au cinéma en 1936 dans Pépé Le Moko auprès de Jean Gabin. Il tourne une quarantaine de films sous la direction des plus grands cinéastes de l’époque : Julien Duvivier, Raymond Bernard, Henri Decoin, Abel Gance, Marc Allégret, Max Ophuls, Marcel L’Herbier, Christian-Jaque, Jean Delannoy, André Cayatte… En 1947, il passe pour la seule fois de sa carrière derrière la caméra avec Brigade criminelle. Dans les années 50, Sacha Guitry lui confie dans ses films historiques les rôles de Jean-Jacques Rousseau, Molière et Bonaparte. Gilbert Gil décède d’un emphysème le 25 août 1988 au Centre Talma, 1 avenue Molière. GÉRARD SETY, de son vrai nom Gérard Plouviez, naît le 13 décembre 1922 à Paris. Au sortir de la deuxième guerre mondiale, il fait ses classes dans les cabarets parisiens comme la Tête de l’art, la Villa D’este, le Don Camillo ou le Caveau de la République où il imite les vedettes de l’époque : Louis Jouvet, Sacha Guitry, Jules Berry ou Saturnin Fabre. Puis à partir de ses vêtements, il met au point un numéro de transformiste qui lui permet de multiplier les personnages et qui connaît un succès immédiat. Il assure la première partie à l’Olympia ou à Bobino des spectacles de Marlène Dietrich, Joséphine Baker, Georges Brassens, Juliette Gréco, Johnny Hallyday, Jacques Brel ou Jean Ferrat. Gérard Séty mène également une carrière de comédien au théâtre, au cinéma, où il apparaît dans une vingtaine de films, et à la télévision. Il meurt le 1er février 1998 à la clinique Sully des suites d’une longue maladie. JOËL LE TAC, alias Le Vigan, Overcloud, Grainville, Joël Coussen, est né le 15 février 1918 à Paris dans une famille d’instituteurs. Dès le 25 juin 1940, il rejoint le général de Gaulle à Londres. Sous l’égide du Special Operations Executive (SOE) britannique, il est parachuté le 15 mars 1941 en Bretagne, où il mène d’importantes opérations de sabotage et de renseignements. Arrêté en février 1942 à Rennes par la police allemande, il est déporté en juillet 1943 au camp de Struthof, en Alsace, puis connaît les camps de Dachau, Neuengamme, Gross-Rosen et Dora, où il arrive seul survivant de son wagon dans lequel se trouvait entassée une centaine de déportés. Libéré en avril 1945 à Bergen-Belsen, il est fait compagnon de la Libération. Après la guerre, Joël Le Tac rejoint le bataillon français en Corée en janvier 1952. Un an plus tard, il entame une carrière de journaliste à Paris-Presse puis à Paris Match. Elu député de Paris en 1958, puis réélu sans interruption jusqu’en 1981, il est vice-président de la Commission des Affaires culturelles et sociales de l’Assemblée nationale et se spécialise dans l’audiovisuel. En 1981, il est nommé par François Mitterrand, président de l’Institut national de l’audiovisuel, poste qu’il occupe durant quinze ans. Joël Le Tac passe les dernières années de sa vie dans la maison de retraite « Le Castel fleuri », 6 avenue du Z)GTVQRZOKUGGPICTFG2CIG général Leclerc, et décède le 8 octobre 2005 au Centre Hospitalier des Courses. GER POLYTE GERTOP POLYTECHNIQUE Ve Plomberie - Sanitaire - Vente de pièces détachées (en stock ou sous 48h) Carrelage - Couverture - Climatisation - Chauffage toutes énergies Entretien de chaudières - Energie renouvelable Ch 4, av. de Saint-Germain 78600 MAISONS-LAFFITTE 4, avenue de Saint-Ge Tél. 01.3 Tél. 01 39 62 08 50 Fax : 01 39 62 99 67 - E-mail : [email protected] Fax. 01.39.62.99.67 - E-m 26 Vivre à MAISONS-LAFFITTE n° 164 - Novembre 2016 27