La lettre de - Institut Supérieur de Réassurance

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LA LETTRE DE …
Numéro 11 – 2ème trimestre 2001
Cher(e)s ami(e)s,
A quelques jours des vacances que nous attendons tous avec impatience, nous
sommes heureux de vous présenter le nouveau numéro de la lettre Sup de Ré.
Vous allez recevoir le tout nouvel annuaire et nous souhaitons attirer votre attention
sur la lettre du Président rappelant que de votre intérêt et de votre participation
active dépendent la continuité et la raison de notre association. Sans vous, sans
nous tous, Sup de Ré ne peut pas exister.
 La conférence – Thème :’Internet’
Comme vous en avez été informés par voie d’e-mail, la traditionnelle conférence
de l’association se déroulera en septembre à l’Auditorium de l’Enass
(vraisemblablement, au cours de la semaine du 17 septembre, après Monte-Carlo).
Vous recevrez début septembre une invitation. N’hésitez pas donc à convier une ou
deux personnes de votre société (la capacité de l’Auditorium étant limitée).
 Soirée
La soirée organisée annuellement par l’Association, du fait de la conférence en
Septembre, est programmée pour courant octobre. Nous souhaiterions favoriser le
mélange des promotions et trouver, pourquoi pas, un thème ludique. Toutes vos
suggestions seront les bienvenues….
 L’annuaire
Si vous souhaitez recevoir plusieurs exemplaires afin de pouvoir en mettre à
disposition dans votre société, n’hésitez pas à contacter Agnès Bauer – GE Frankona
Re (téléphone : 01 55 07 14 19)
 SupDeRe.com :
Un appel d’offre a été lancé auprès de plusieurs prestataires informatiques en vue
de faire « évoluer » votre site Internet. Les postulants devront nous remettre un devis
en répondant à différents points, l’hébergement, les outils de mise à jour de nos
bases de données, le référencement, la gestion des accès, l’ergonomie du site.
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Nous vous ferons vivre « on line » l’état d’avancement de ce projet.
 Manifestations programmées :
 Entretiens de l'assurance : lundi 10 et mardi 11 décembre 2001- Palais des
Congrès - Paris. A l'occasion de cette manifestation, notre profession
instaure un large débat qui porte sur les grandes questions auxquelles sont
confrontés nos contemporains, et où sont associés de nombreuses
personnalités du monde économique et social, des représentants des pouvoirs
publics et des universitaires.
Manifestation gratuite - Ouverte au public - Déjeuner payant.
 Congrès de l'Association internationale des Assureurs contre la Grêle
(AIAG) - Paris du 21 au 24 octobre 2001.
Il s'agit du congrès annuel de l'AIAG, ouvert aux professionnels qui ont en
charge les problèmes d'assurance grêle et qui cotisent à l'AIAG.
Manifestation non ouverte au grand public.
 Divers
Si vous souhaitez être abonné gratuitement à la newsletter publiée par Assurnews
(lettre envoyée par e-mail de façon hebdomadaire – rubriques : Panorama Presse /
Offres d’emploi / les rendez-vous des professionnels de l’assurance…..), il vous suffit
d’envoyer votre adresse e-mail à [email protected] en mentionnant
‘abonnement newsletters » ou vous inscrire directement sur le site :
http://www.assurnews.com/abonnement.php3.
 Ils bougent
 Eric Lafage (promotion 1997) occupe depuis le 15 mai 2001 le poste de
responsable technique réassurance non traditionnelle au sein de la direction du
Développement Groupe à la Scor. Auparavant, Eric était souscripteur
Crédit/Caution.
 Isabelle COQUEMONT (promotion 1999) a quitté SCOR pour intégrer un cabinet
de conseil en Organisation.
 Depuis le 5 juin 2001, Nikita Axenov (promotion 1997) a rejoint Gras Savoye Ré
pour s'occuper de la modélisation catastrophe et financière au sein de l'équipe
Conseil et Modélisation. Nouveau numéro de tél. direct : 01 41 43 51 42.
 Odile Maryns (promotion 1997) a changé de zone géographique au sein d'Axa
Cessions. Auparavant sur l'Asie, elle est depuis février 2001 account manager
pour l'Espagne et le Portugal.
 Pascal BONHOURE (promotion 1998) GE FRANKONA RE rejoint TRANSATLANTIC à
compter du 01/08/2001 (en tant que souscripteur facultative dommages).
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 Arrivée chez Aon de Brigitte Le Maner (promotion 2000) au sein du département
Production Grands Comptes.
 Les événements familiaux
 Lydie Lestage (promotion 1994) a eu la joie de donner naissance le 6 juin 2001
à Diane.
 Daniel Benlolo (promotion 2001) est depuis le 28 avril 2001 l’heureux papa de
Vladimir.
 L’Agora : le retour !
Peu d’entre vous, et ce malgré le beau travail des agitateurs des promotions,
avaient pu répondre favorablement à la précédente proposition au Latina Café.
Peut-être était-ce l’endroit….
Aussi, nous sommes ravis de vous proposer de nous rencontrer, dans un esprit
décontracté,
au Bowler Pub, 18 rue d’Artois, Paris 8ème
le mercredi 11 juillet
à partir de 18 heures (venez à votre rythme)
La formule a déjà été testée par les promotions 94 & 95 avec succès ! Si cette
formule
vous
intéresse,
contactez
nous
([email protected] /
[email protected])
 Offres d’emploi
N’oubliez pas d’aller les consulter directement sur le site avec bien sûr les mots de
passe que vous avez tous en tête …
 Expériences vécues par nos membres
Franck Le Moine (promotion 1994), directeur à la Caisse Centrale de
Réassurance, nous fait découvrir les Risques de Guerre.
De plus, en annexe, vous pouvez découvrir le texte très enrichissant de
François Lefévre (Promotion 1995), travaillant chez Axa Corporate Solutions, qui
nous fait part de son actuelle expérience d’étudiant d’un M.B.A. en Asie.
Dépaysement assuré !
Si vous aussi, vous souhaitez publier un article pour ouvrir et élargir les
connaissances de nos lecteurs, n’hésitez pas à nous contacter.
Présentation des risques de guerre
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Qu’est ce que le risque de guerre ? Dans notre domaine de l’assurance et de la
réassurance, c’est certainement un terme que nous avons déjà entendu si ce n’est
dans le cadre des cours que nous avons assidûment suivis à l’ISR !
Plus que de parler d’une garantie, je serai tenté de parler d’une exclusion ! En effet,
celui de nous qui a eu l’occasion de lire les conditions générales de ses propres
polices d’assurance (cordonnier …) que ce soit les polices multi-risques habitation,
tous risques automobile voire d’assurance vie, aura lu ce terme, et qui plus est, dans
la rubrique des exclusions absolues (non-rachetables).
Or, s’il y a un domaine où le risque de guerre est souscrit communément : c’est celui
des branches transports.
L’explication est historique ! Excusez-moi d’enfourcher à nouveau l’un de mes
« dadas » préférés … Mais imaginez nos ancêtres « assureurs » qui « assuraient » qui,
dans l’antiquité une caravane partant de Mésopotamie pour l’Egypte ; qui, à la
sortie du Moyen-Age une nef quittant le port de Gênes ou la lagune de Venise pour
les antipodes … Les chances étaient nombreuses de ne jamais voir le retour de ces
expéditions et les sommes investies dans ce « commerce international » étaient
perdues ! L’origine de cette perte, (si l’on se fiait ni aux augures ni aux devins), était
loin d’être connue. Parfois même, il arrivait que l’on ne sache jamais ce qui était
advenu des gens et des biens !
Les assureurs « maritimistes », et à leur suite, les assureurs d’aéronefs, ont donc
toujours assuré les risques de guerre. Ces risques faisaient partie d’une longue liste
d’événements, comme les tempêtes et autres risques « ordinaires ». Les « facultés »
(ce que l’on a la faculté de charger sur un navire, c’est à dire généralement les
matériels et marchandises) ont, elles aussi, bénéficié de cette couverture
d’assurance.
Outre les destructions dues aux guerres et guerres civiles, sont garantis les
dommages résultant :
- d’engins de guerre (mines et torpilles ; demander avis aux havrais et à tous
les
pêcheurs de la Manche),
- les actes de sabotage (demander avis aux pêcheurs français attaqués
par leurs confrères espagnols) et de terrorisme,
- les destructions pendant les grèves [voir nos agriculteurs : producteurs de
fraises et de tomates du Lot-et-Garonne devant des camions espagnols,
producteurs bretons de viandes devant les camions venant du RoyaumeUni, viticulteurs de l’Hérault devant des camions citernes de vins italiens et,
en fin d’année, producteurs de foie gras du Périgord devant des camions
roumains ou hongrois), dockers (voir particulièrement ceux de Fort-deFrance et Pointe-à-Pitre, mais ceux de Bordeaux et de Marseille ne sont
pas mal non plus), routiers et autrefois douaniers], émeutes, mouvements
populaires ou lock-out (grèves des patrons ! jamais vu),
- les actes de piraterie (et oui toujours d’actualité),
- les conséquences de saisies (« fait du prince ») mais là nous touchons au
« risque politique » …
et nous trouvons même parfois dans les polices anglaises : l’acte de
malveillance (normal que les résultats s’en ressentent) !
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Bien entendu, dès le XIX° siècle, les assureurs et réassureurs maritimes se trouvaient
concentrés dans la capitale de la première puissance mondiale, celle dont les
colonies couvraient l’ensemble du globe : la Grande Bretagne.
Lors de la guerre civile d’Espagne (1936), Londres pris peur devant l’accumulation
des marchandises dans les ports du pays. Les Lloyd’s firent signer aux assureurs du
monde entier le « waterborne agreement » qui limite la garantie des risques de
guerre pour les facultés aux seules phases maritimes des voyages (par la suite, on
ajouta les phases aériennes des voyages). Seules les grèves restèrent assurables à
terre !
L’organisation de l’assurance – réassurance en France, à la sortie de la deuxième
guerre mondiale, a été dominée par une vague de nationalisation et aussi un
soutien des compagnies d’assurance françaises qui passaient par un système de
réassurance étatique [(comme par exemple pour les risques de guerre (façon cat’
nat’ actuelle)]. Les traités proposaient, et proposent toujours, aux compagnies
françaises d’assurance transports [corps (navires) et/ou facultés] ,une quote-part
assortie d’un stop-loss illimité sur rétention.
Cette réassurance « RG » (risques de guerre ou risques exceptionnels) a été confiée
à la CCR par la loi du 23 décembre 1972, en même temps que la gestion de polices
risques de guerre dites de « bout-en-bout » qui assurent des souscripteurs français
pour l’ensemble de leurs opérations de transport (stockages compris) [vous pouvez
l’appeler aussi « door to door », « porte à porte », « entrepôt à entrepôt »,
« warehouse to warehouse » suivant vos capacités de diction ou bien encore pour
les expositions « clou à clou »].
Aujourd’hui, nous trouvons des souscriptions qui prennent en compte quelques
couvertures des risques de guerre :
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certaines couvertures grèves-émeutes ont toujours pu être ajoutées dans
les polices transport et de nos jours IARD . Particulièrement lorsque ces
grèves sont liées à un conflit de travail ;
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les assureurs-vie (et notamment avec la seconde guerre du golfe 19901991) ont délivré des contrats concernant les risques de guerre en cas de
mort ou d’invalidité (pour les marins civils et les appelés du contingent) ;
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l’attentat et le terrorisme sont devenus obligatoires (loi du 9 septembre
1996) dans les polices dommages pour les risques situés sur le territoire
français (vous me donnerez la définition du territoire français – j’en ris
d’avance) ;
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depuis 1997, les assureurs risques politiques (risques financiers à l’export)
n’excluent plus les risques de guerre de leurs polices … Cela veut dire que
les réassureurs de Londres acceptent ce risque (nous parlons ici de risques
de guerre « à terre » ou « war on land »), ce qui ne semble pas être encore
le cas pour les réassureurs Allemands ou Suisses (à suivre) …
Franck Le Moine (CCR) le 27 juin 2001.
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Quelques impressions sur la Thaïlande par François Lefevre – promotion 1995 :
Je travaillais à la Branche Marine d'AXA Global Risks comme Chargé d'études
en Réassurance depuis mon passage à l'ISR en 1995.
Alors que se préparait la mise en place d'AXA Corporate Solutions (qui a pour
vocation de servir des grands clients et des marchés caractérisés par des
besoins complexes, internationaux et spécifiques, et de leur offrir un point
d'entrée unique au sein du Groupe AXA pour tous leurs besoins en assurance,
réassurance et services associés) s'est présentée l'opportunité de passer un
MBA - Commerce International, à l'Asian Institute of Technology (AIT) dans les
environs de Bangkok ( site : http://www.ait.ac.th )
Cela m'a paru intéressant d'ajouter une dimension commerciale à une
fonction plutôt technique et un peu plus de 4 mois après, je me retrouve sur le
Campus de l'AIT, régulièrement noyé dans des pluies tropicales orageuses
(température moyenne de 28 degrés et 70% d'humidité, mais l'hiver
s'annonce avec moins de précipitations et une température de 23 degrés).
Tout le monde se déplace en vélos et les bâtiments sont reliés entre eux par
des passages couverts au milieu d'un parc avec des bassins, des cours de
tennis, une piscine, un golf… ( photos disponibles à l'adresse
http://www.ait.ac.th/AIT/photo/show.html )
Dés 8 heures, le frottement des balais de paille dans les allées pour ramasser
les feuilles. Et toute la journée, une escouade de jardiniers et d'employés de
maintenance entretiennent le campus.
Les repas sont servis dans un vaste self-service avec des comptoirs pour
chaque cuisine : thaï, indienne, chinoise, musulmane... et un plat complet
coûte 30 baht ~ 6 Fr avec parfois le risque d'en choisir un particulièrement
relevé !
Accessoirement, les cours ont commencé le 6 Septembre avec "Managerial
Economics", "International Business"... et "Organisation et Management"
professé en français car l'AIT est pour partie financé par le Ministère des
Affaires Étrangères à l'usage des asiatiques francophones (Vietnamiens
principalement). En tout 5 U.V. pour un premier terme de 4 mois, qui laissent
un emploi du temps assez lâche (et pas mal de travail à la maison !).
Le cursus de 20 mois est donc divisé en 5 termes durant lesquels nous devons
valider un certain nombre d'U.V.
Pour ce terme ci, les partiels ont déjà eu lieu avec d'assez mauvais résultats :
diversité des niveaux (notamment en anglais : prés de la moitié des étudiants
doivent suivre des cours de mise à niveau), manque de préparation.
Examen final fin Novembre, soit un mois de congés pour visiter la Thaïlande
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avant le terme suivant !
Lorsque j’ai quartier libre, j'en profite pour aller à 10mn au "Future Park" de
Rangsit, un vaste centre commercial où j'ai acheté de quoi naviguer sur
Internet et imprimer ! Mais Bangkok n'est pas si loin : à 1h de bus climatisé, on
rejoint le "Sky train", le métro aérien et on accède aussi bien au Show room de
Louis Vuitton qu'à la guinguette sur pilotis et tôle ondulée où la vaisselle se fait
dans le fleuve Chao Praya.
J'ai pu mettre à profit quelques week-ends pour me rendre à :
- la plage de Jomtien, à côté de Pattaya - 1h et quelque au sud-est de
Bangkok (transats avec parasol, bières, déjeuner de poisson grillé en
papillotes servi sur de petites tables…) Il ne manquait que le ciel bleu car
l’eau était à bonne température.
- Ayuthaya, 1/2 heure au nord de Bangkok (une ancienne capitale dont il
reste de beaux vestiges que les touristes peuvent visiter à dos d’éléphant)
- Chatuchak Market à Mo Chit (un terminus du métro aérien de Bangkok) une sorte de Bercy d’antan avec ses pavillons qui abritent un souk à faire pâlir
le Moyen-Orient : des poissons d’aquarium aux bijoux fantaisie en passant par
les grillades en plein air…
- Vimanmek, palais d’été transformé en musée à la mémoire de Rama V (le
fils de Yul Brynner dans "le Roi et moi" !)
- au travers du centre historique de Bangkok en coche d’eau sur le Chao
Praya
- Nakhon Pathon, 1h à l'ouest de Bangkok où se trouve le Chédi, le plus haut
(?) monument boudhique du monde (127 m)
Ainsi, premières impressions : une cohue où le dénuement côtoie la
débauche - tout court (avec racoleurs démonstratifs dans le quartier de Pat
Pong à la nuit tombée) ou de nourriture (partout sur les trottoirs, dans les
échoppes) et de services, produits... (les 3/4 de ce que j'avais précieusement
mis dans ma valise se trouvent dans les grandes surfaces) et tout cela sans
heurt, avec des sourires (mais peut-être s'adressent-ils au "farang" - l'étranger
européen qui garde une "certaine cote").
Les quelques thaïlandais de Bangkok avec lesquels j'ai discuté m'ont dit la
même chose : depuis une dizaine d'année, la ville a changé : she's too big !
et ils ne s'y sentent plus chez eux. Ils mettent aussi en avant la corruption qui
resterait une pratique courante.
Par contre, la monarchie demeure une valeur sacrée et il suffit que j'aborde
le sujet pour que le regard de mon interlocuteur vérifie de droite et de
gauche que rien ne sera mal interprété et au cinéma, tout le monde se lève
d'un bloc pour la séquence de l'hymne royal.
Un rude épreuve pour moi que de parler anglais (je le pratiquais surtout par
écrit avec les réassureurs) mais pour la plupart des asiatiques de l'AIT ce n'est
pas non plus leur langue maternelle, aussi est-il plus difficile de comprendre
l'anglais d'un chinois ou d'un vietnamien que de s'en faire comprendre !
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Pour les études de cas, des équipes plurinationales sont constituées et je
travaille en différentes matières avec des thaïs, vietnamiens, cambodgiens,
un chinois, un français et un finnois : c’est un des objectifs de l'AIT que de
favoriser les échanges entre les étudiants d'horizons différents et cela traduit
notamment par des échanges d'étudiants avec l'ESCP/EAP à Paris.
La Student Union (qui gère cafétéria, cinéma, soirées…) lance une journée
des Nationalités : chaque pays est invité à monter un stand de ses produits. Je
ne sais pas encore de quoi sera constitué celui des français, mais on y
trouvera certainement du vin ! Les français de la School of Management (25)
sont "trop nombreux" disent les finnois qui sont le second groupe européen le
plus étoffé (7) avant les danois (6). Mais nous sommes loin des 103 Thaïlandais
et 62 Vietnamiens !
Voilà donc quelques aperçus de mes nouvelles activités jusqu'en Mai 2002,
date à laquelle je devrais réintégrer AXA Corporate Solutions. D'ici là, vous
pouvez me contacter à l'adresse suivante : [email protected].
A bientôt
François
…/…
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