Classe de 1ère S1 Corrigé du devoir du 3 avril avril 2014. Tp2 page 136. Déjà un peu plus loin1… voici l'algorithme écrit en langage naturel ... Déclaration de variables. n est un nombre entier naturel non nul. i est un nombre entier naturel //pour représenter les nombres impairs successifs k est un nombre // pour compter le nombre d'entiers impairs soustraits Initialisation. Demander n. i reçoit 1. k reçoit 0 Traitement. Tant que n⩾0 faire : afficher n. k prend la valeur k +1 // k augmente de 1, il compte le nombre de passages dans la boucle n reçoit n−i // n diminue du nombre impair i i reçoit i+2 // nombre impair suivant finTantQue. k reçoit le calcul k −1 // la dernière soustraction pour laquelle n−i est négatif ne doit pas être comptée Sortie. Afficher « le nombre d'impairs soustraits est : », k. Sous AlgoBox : Je vous invite à transcrire vous-même cet algorithme. Vous pouvez ouvrir le fichier corrigé en suivant ce lien « fichier AlgoBox » 1. Appliqué aux nombres 9, 16, 25, 36, 49 et 100 l'algorithme renvoie respectivement pour k la suite : 3, 4, 5, 6, 7 et 10 qui sont les racines entières de la liste de carrés parfaits. Deux extraits : ***Algorithme lancé*** Entrer n : 25 25, 24, 21, 16, 9, 0, Le nombre d'entiers impairs soustraits pour n = 25 est k = 5 ***Algorithme terminé*** ***Algorithme lancé*** Entrer n : 49 49, 48, 45, 40, 33, 24, 13, 0, Le nombre d'entiers impairs soustraits pour n = 49 est k = 7 ***Algorithme terminé*** Conjecture... Si n est un carré parfait n= p 2 alors le nombre d'entiers impairs soustraits est exactement p. 2. Appliqué aux nombres 10, 18, 27, 39, 50 et 104 l'algorithme renvoie respectivement pour k la suite : 3, 4, 5, 6, 7 et 10 qui sont les parties entières de la racine carrée des nombres initiaux. Autrement dit le plus grand entier dont le carré est inférieur au nombre entier n choisi. C'est ma conjecture … Pour un nombre n donné alors le nombre d'entiers impairs soustraits est exactement le plus grand entier dont le carré (entier) est inférieur au nombre n. Exemple si n = 96 le plus grand carré entier inférieur à 96 est 81, carré de 9 ainsi pour n=96 le nombre d'entiers impairs soustraits est 9 (je vérifie avec AlgoBox) 3. a. les calculs de sommes donnent respectivement 4, 9, 16, 25 … 1 ...et un peu plus technique : voir l'algorithme de Kenny en fin de devoir(page 4) S. Baudet page 1 sur 4. corrigé dm 2 avril Classe de 1ère S1 Corrigé du devoir du 3 avril avril 2014. b . Je reconnais la suite des carrés des entiers naturels. La somme des p premiers entiers naturels impairs est égale au carré de p . 1+3+5+ …+ ( 2 p−1 ) = p ⏟ 2 p_premiers_impairs_consécutifs c. la suite des nombres impairs est une suite arithmétique de premier terme 1 et de raison 2. Alors je sais que la somme de p termes consécutifs d'une suite arihmétique (cf leçon) est égale au produit du nombre de termes (ici p) par la demi somme des extrêmes . Le premier terme est 1, le dernier est u p soit u p=u1 + ( p−1 ) ×r soit u p=1+ ( p−1 ) ×2 c'est à dire u p=2 p−1 . Je peux donc écrire : 1+3+5+ …+ ( 2 p−1 ) = p× 1+ ( 2 p−1 ) 2p = p× = p× p= p2 2 2 d. Soit n un entier naturel et p=E ( √ n ) (partie entière de n). alors par définition p est entier et p⩽√ n< p+ 1 et puisque la fonction carrée est 2 2 strictement croissante sur ℝ+ on a : p ⩽n< ( p+1 ) ainsi la différence n− p2 qui peut aussi s'écrire n−( 1+3+5+ …+ ( 2 p−1 ) ) est encore positive alors que la différence 2 n−( p+1 ) égale à n−( 1+3+5+ …+ ( 2 p+ 1 ) ) est elle strictement négative. En conclusion si j’ôte successivement à n les p premiers nombres impairs consécutifs le résultat est encore positif (ou nul ) mais la différence avec le p+1 ième suivant rendra le résultat strictement négatif. La conjecture (2°) est démontrée. Exercice 90 page 96. D'après la leçon sur le second degré les coefficient des termes en x 2 des fonctions f , g et h sont respectivement positif, positif et négatif alors je sais que leurs tableaux sont : x −∞ − b =0 2a +∞ f 1 x −∞ − b =−1 2a +∞ g 0 x −∞ − b =2 2a 3 +∞ h S. Baudet page 2 sur 4. corrigé dm 2 avril Classe de 1ère S1 Corrigé du devoir du 3 avril avril 2014. a. Il est clair que f ( 1 )= g ( 1 )=h ( 1 ) =2 , le point A ( 1; 2 ) est commun aux trois courbes. b. Pour les trois courbes la tangente en A à pour équation : y=u' ( 1 ) ( x−1 ) +u ( 1 ) où u est l'une des fonctions f, g ou h. Comme u ( 1 )=2 dans les trois cas, pour que les trois tangentes soient confondues il suffit que leur coefficient directeur soient égaux Or f ' ( x ) =2 x , g' ( x ) =x +1 et h' ( x )=−2 x+ 4 et donc f ' ( 1 )= g' ( 1 )=h' ( 1 ) =2 . Les trois courbes admettent en A ( 1; 2 ) la même tangente T ( d'équation y=2 ( x−1 ) + 2=2 x ). Pour étudier la position d'une courbe représentative d'une fonction u par rapport à sa tangente je dois étudier le signe de la différence u ( x )− y ou y représente l'équation de la tangente. Dans les trois cas : 2 2 f (x )− y=x −2 x+1=( x−1 ) Ce polynôme est évidement toujours positif . La courbe de f est donc toujours au dessus de T. g ( x )− y= 1 2 1 x − x+ 2 2 j'observe : 1 2 1 2 g ( x )− y= ( x −2 x+1 ) = ( x−1 ) 2 2 2 h ( x )− y=−x +2x−1 ici h ( x )− y=−( x−1)2 est évidement toujours négatif donc Ch est sous la tangente. Le même raisonnement que cicontre à gauche permet d'affirmer que C g est au dessus de T. Représentation des courbes … (à faire avec le logiciel de votre choix). Une courbe admet une tangente parallèle à la droite ( y=x ) si les deux droites on le même coefficient directeur ici 1. Il me faut donc résoudre dans chaque cas l'équation u'(x)=1. 1 3 g' ( x )=1⇔ x +1=1⇔ x=0 et f ' ( x )=1 ⇔2 x=1⇔ x= h' ( x )=1⇔−2 x +4=1 ⇔ x= 2 2 1 5 3 11 1 f = h = g ( 0 )= 2 4 2 4 2 () ( ) Les trois courbes ont donc une tangente parallèle à ( y=x ) en les points respectifs : 1 5 1 3 11 Mf ; Mg 0 ; Mh ; 2 4 2 2 4 ( ) ( ) ( Les tangentes en ces points ont respectivement pour équation : 3 1 t f : y=x + t g : y=x + 4 2 t h : y=x + ) 5 4 Vérification à l'aide du fichier de Sylvain D. sous GeoGebra. (suivre le lien) vers le fichier. S. Baudet page 3 sur 4. corrigé dm 2 avril Classe de 1ère S1 Corrigé du devoir du 3 avril avril 2014. Algorithme proposé par Kenny pour le TP2. (beaucoup plus court mais aussi plus technique) Déclaration de variables. n est un nombre entier naturel non nul. p est un nombre entier naturel Initialisation. Saisir n. p reçoit 0 Traitement. Tant que n⩾( 2 p+1 ) faire : n prend la valeur n−( 2 p+1 ) p prend la valeur p +1 // p sert ici de compteur mais est aussi utilisé pour écrire les impairs successifs finTantQue. Sortie. Afficher « le nombre d'impairs soustraits est : », p. S. Baudet page 4 sur 4. corrigé dm 2 avril