LYCEE GIRAUX-SANNIER – SAINT-MARTIN BOULOGNE Nom : Synthèse n°1 Classe : DSCG UE7 - Management Prénom : Durée : 2 heures Date :16/10/2015 - Aucun document personnel ni aucun matériel ne sont autorisés. - En conséquence, l’usage d’une calculatrice est strictement INTERDIT - Aucune trousse sur la table - Les téléphones (à éteindre) sont à déposer dans vos sacs ou dans vos cartables et que ces derniers doivent être déposés à l’avant de la salle - Toute communication sera aussitôt sanctionnée par un 0/20 PLAN DE CLASSE SYNTHESE 1 - MANAGEMENT BUREAU MORLET Marine PODEVIN Pierre LECLERCQ Steven BERTHE Antonio SEILLIER Guillaume BARROIS Emeline CALLON Marie DESCHAMPS Gaelle TOURRET Angélique GOLLIOT Christopher CHOQUET Lucie LEBRIEZ Anaïs NEMICHE Samy TOURRET Angélique MALBAUT Laetitia CHOCHOIS Solange DHIER Manon HAGNERE Anthony DEWALLE Céline DEVYNCK Quentin GADEBLED Léa PAMART Quentin CAREMELLE Alison FIALDES Ophélie BATTILLIOT Morgan 1 Gérard Lécrivain DCG3 Synthèse n°1 Management Le 16/10/2015 1ERE PARTIE : QUESTION DE COURS (12 POINTS) 1- Quelle est selon Max WEBER l’organisation idéale et pourquoi ? (1.5 points) Pour Max Weber, l’organisation idéale (« l’idéal type ») est la bureaucratie car - Organisation très structurée et formalisée - Coordonnées par des procédures, des normes - Avec une autorité de type rationnelle légale - Organisation qui ne laisse aucune place à l’incertitude - Organisation adaptée à des environnements stables 2- Quel est l’apport de la théorie bi-factorielle d’Herzberg (1.5 points) HERZBERG distingue : les sources et facteurs d’insatisfaction au travail qui correspondent aux différents contextes propres au travail (salaire, statuts, sécurité de l’emploi, ….). Il les dénommera facteurs d’hygiène. La satisfaction de ces besoins ne contribue pas par ailleurs à la motivation au travail; les facteurs de motivation et de satisfaction réelle relèvent du contenu du travail (responsabilisation, prise de décision, autonomie, reconnaissance, progression de carrière , …..) 3- A quoi correspond l’approche sociologique de CROZIER telle qu’il l’a définie dans l’acteur et le système (3 points) Tout membre d’une organisation est un acteur et non pas un être passif qui subit et applique les règles organisationnelles. L’organisation est un construit social. Par ailleurs, ces membres ont des besoins et des objectifs qui peuvent être différents de ceux de l’organisation. Il va alors développer des stratégies pour parvenir à ses fins. Il pourra le faire avec d’autant plus de facilité que la règle ne peut tout prévoir et tout réguler dans l’organisation : ils existent des espaces d’incertitude qui sont sources de pouvoir. 4- L’entreprise moderne est soumise à de multiples facteurs de contingence. - Après avoir défini et expliqué la notion de contingence, vous présenterez de manière structurée ces différents facteurs de contingence (4 points) Une contingence organisationnelle est une force qui influence une organisation et qui est source de menaces ou d’opportunités On peut distinguer deux grandes catégories de facteurs de contingence : - Les facteurs de contingence micro-environnementaux ou environnements directs au sein desquels évoluent une entreprise (fournisseurs, clients, concurrents, …) 2 Gérard Lécrivain DCG3 Synthèse n°1 Management Le 16/10/2015 Les facteurs de contingence macro-environnementaux grands systèmes environnementaux qui influencent toutes les entreprises (PESTEL : Politique, Economique, Socio-culturel, Technologique, Ecologique et Légal ) - - Cette dimension contingente oblige les entreprises à gérer ce que LORSCH et LAWRENCE ont dénommé « couple différenciation/intégration ». Expliquez cette assertion. (2 points) L’organisation est système ouvert sur un ensemble d’environnements Plus l’environnement est instable, plus les entreprises vont se structurer autour de services, de fonctions différentes : différenciation (constitution de filiales, d’unités indépendantes, …) Plus l’entreprise différencie ses structures, plus elle doit prévoir des processus d’intégration pour permettre la cohérence globale. 2EME PARTIE : ANALYSE DE DOCUMENTS (8 POINTS) 5- Définissez les termes suivants tirés de l’annexe 1 : - Autorité rationnelle légale (1 point) - Style de direction (1 point) - Ajustement mutuel (1 point) Autorité rationnelle légale (1 point) L’autorité rationnelle légale autorité de l’organisation bureaucratique, légitimée car obéissant à des règles écrites et précises. Autorité à promouvoir pour Weber Style de direction (1 point) forme d’expression du pouvoir hiérarchique traduite par des comportements et qui s’appuie sur différentes formes possibles d’autorité Ajustement mutuel (1 point) Mode de coordination préconisée par Mintzberg : la coordination est informelle et repose sur le relationnel par contacts directs 3 Gérard Lécrivain DCG3 Synthèse n°1 Management Le 16/10/2015 6- Présentez les approches des fonctions d’un manager pour FAYOL et pour MINTZBERG (2 pts) FAYOL Prévoir, Organiser, Commander, Coordonner, Contrôler (1 point) MINTZBERG (1 point) Activités de contact Activités d’information (Activité clé) Représentant Leader Agent de liaison Guide Propagateur d’informations Porte parole Activités de décisions Entrepreneur Régulateur Répartiteur Négociateur 7- . En quoi, Steeve JOBS a t’il été à la fois un entrepreneur schumpéterien et un entrepreneur manager ? (3 points) Entrepreneur schumpéterien car créateur d’entreprise et prise de risque et innovation (tablette tactile) – 1,5 point Entrepreneur manager : S. JOBS a su développer son entreprise pour en faire le leader mondial du secteur en quelques années – stratège en matière de marketing, par exemple – A externalisé l’ensemble de l’activité production et n’a gardé que les maillons d’activités les plus créateurs de valeur. 1,5 point 4 Gérard Lécrivain DCG3 Synthèse n°1 Management Le 16/10/2015 Annexe 1 - Les cahiers français n°321–Le métier de manager aujourd’hui - M.Barabel et O. Meier Annexe 2 Steve JOBS, un visionnaire atypique Dominique Nora - Le Nouvel Observateur jeudi 1er septembre 2011 Différemment, tu penseras "Think different !" Rien n’incarne mieux "l’esprit Jobs" que sa campagne de publicité d’octobre 1997. Steve Jobs vient de reprendre les rênes d’un Apple en perdition. Il commande à l’agence TBWA/Chiat/Day une affiche et des clips télévisés où défilent les photos en noir et blanc de géants de la science, de la politique ou des arts. Aucun produit Apple n’apparaît dans ces pubs, seulement le logo d’alors : une pomme multicolore. D’Albert Einstein à Martin Luther King, du Mahatma Gandhi à Pablo Picasso, Jobs choisit lui-même ses "héros", et ce texte qui sonne comme un autoportrait : "En hommage aux fous. Aux rebelles. Aux fauteurs de troubles… Ceux qui voient les choses différemment. Alors que certains les voient fous, nous voyons des génies. Parce que les gens qui sont assez fous pour penser qu’ils peuvent changer le monde sont ceux qui le font." Esthétique minimaliste, anticonformisme viscéral, ambition folle : né en 1955 d’un professeur de sciences politiques syrien et d’une mère célibataire qui a décidé de ne pas l’élever, la vie de Jobs, adopté à sa naissance par un couple de Californiens modestes, a été marquée par ces valeurs. C’est aussi cette (contre)culture qu’il a installée chez Apple. Ta spécificité, tu cultiveras La décision la plus iconoclaste et la plus identitaire de la firme de Cupertino est d’avoir toujours refusé de séparer le logiciel Mac OS de l’ordinateur lui-même. Sous l’impulsion de son grand rival Bill Gates, le fondateur de Microsoft, la micro-informatique mondiale s’est structurée à la fin des années 1980 autour d’un autre standard – Windows – servant de cœur à une multitude d’appareils fabriqués par des constructeurs concurrents : hier IBM et Hewlett Packard, aujourd’hui Dell ou Samsung… Convaincu de l’immense supériorité de ses produits, Steve Jobs, lui, a toujours refusé de vendre à autrui son Mac OS, le premier à utiliser des icônes conviviales, ensuite copiées par Windows. "J’ai toujours voulu posséder et contrôler la technologie primaire dans tout ce que nous faisons", confiera-til à "BusinessWeek". Une attitude qu’il prolonge à l’ère internet. La religion du produit, tu auras Le rêve de Bill Gates était de mettre un ordinateur personnel dans chaque foyer, celui de Steve Jobs de construire des produits "démentiellement géniaux". Sans se soucier des attentes du marché : "La plupart du temps, les gens ne savent pas ce qu’ils veulent avant que vous le leur montriez !" Il fallait qu’Apple conçoive le produit capable de le bluffer lui-même. Jobs n’aime cependant pas la technologie pour la technologie. Dans le couple des cofondateurs d’Apple, en avril 1976, l’inventeur fou, c’était "l’autre Steve": Wozniak. Jobs, lui, a eu l’art de 5 Gérard Lécrivain DCG3 Synthèse n°1 Management Le 16/10/2015 transformer les trouvailles de son ami en produits utiles. "Il faut une culture très orientée produit, même dans une société de technologie", a-t-il toujours affirmé. La beauté, tu honoreras Dans sa première maison, à Palo Alto, le jeune Steve n’avait presque pas de mobilier, il couchait sur un matelas par terre, mais il accrochait aux murs des photos en noir et blanc signées Ansel Adams. Son sens de l’esthétique s’exprime aussi bien dans la manière dont il se nourrit (il est végétarien), dont il s’habille, avec ses sempiternels polos noirs, dans le dessin de ses produits ou l’escalier de verre de ses Apple Stores. A ses débuts, Steve apportait ce souci de pureté jusque dans le design des circuits intégrés de ses Apple II, ou l’agencement de ses chaînes de montage ! A cette époque, l’idée même qu’un ordinateur doive être beau était saugrenue. Depuis 1998 et la ligne des iMac oblongs aux couleurs acidulées, c’est le designer britannique Jonathan Ive qui règne sur le look Apple. Mais, attention, pas question de faire joli pour faire joli ! La beauté des formes et des matériaux doit aussi être un gage de facilité d’utilisation. Elégance, sobriété, convivialité : capable de s’enthousiasmer pour le design d’une machine à laver Miele, Jobs a toujours gardé le point de vue de l’usager. L’innovation, tu chériras Comme beaucoup d’entrepreneurs de la Silicon Valley, Jobs vénère l’innovation. Il a toujours été le premier à se débarrasser des technologies qu’il estimait dépassées : les disquettes remplacées par des clés USB, ou la souris transformée en Trackpad… Question d’état d’esprit : "L’innovation n’a rien à voir avec la quantité de dollars que vous consacrez à la R&D […]. Ce n’est pas une question d’argent. Cela dépend des hommes, du leadership et de ce que vous avez pigé." Apple est le seul acteur de l’informatique traditionnelle à avoir réussi son virage internet. Il a compris, avant tout le monde, que l’ère du PC appartenait au passé. Et il a su imaginer à la fois les outils internet et leur modèle économique : de la musique en ligne sur iPod à la multitude d’applications pour iPhone et iPad, sur lesquelles Apple touche une commission de 30%. Ton sillon, tu creuseras Le manque de compatibilité du Macintosh avec le monde des PC sous Windows a condamné Apple à une part de marché confidentielle, hier 3%, aujourd’hui environ 8%. Professant qu’il fabriquait des BMW… pas des Volkswagen, Jobs a toujours affecté de s’en moquer. Encore fallait-il, pour que cela ne tue pas Apple, faire de grosses marges sur chaque produit. Ce qui est devenu vrai à partir de l’iMac. Ensuite, grâce au coup de génie de l’iPod-iTunes, Steve Jobs s’est octroyé 80% du marché du téléchargement légal de musique. Succès réédité avec l’iPhone, puis l’iPad. L’"App Store" est une véritable vache à lait. Avec un bénéfice net de 7,7 milliards de dollars pour des ventes de 28,5 milliards sur le seul trimestre clos en juin 2011, Apple est une des entreprises les plus profitables au monde. Et son trésor de guerre s’élève à 76 milliards de dollars ! L’échec, tu sublimeras Steve Jobs ressemble à ces héros hollywoodiens secoués par les épreuves, mais qui ne s’avouent jamais vaincus. En 1985, il est viré d’Apple par John Sculley, le président qu’il avait lui-même recruté chez Coca-Cola. Il confessera plus tard aux étudiants de Stanford : "J’avais perdu ce qui était le centre de toute ma vie d’adulte et j’étais anéanti." Pas pour longtemps : il créé NeXT Computer quelques mois plus tard, et rachète Pixar à George Lucas l’année suivante ! Même combativité, dix ans plus tard, quand il reprend les commandes d’un Apple moribond. Ou quand il apprend en 2004 qu’il est atteint par une forme rare de cancer du pancréas. Secret, tu resteras Peu de patrons ont fait autant de unes de magazines. Pourtant, Apple est la seule entreprise au monde à ne jamais communiquer en dehors de ses annonces millimétrées pour ses produits et de grand-messes rituelles, où Steve Jobs fait son show devant une foule de fans triés sur le volet. Sinon, motus. Parler à la presse est un motif de licenciement. En revenant chez Apple, Jobs avait affiché dans son bureau un poster de la Seconde Guerre mondiale : "Loose lips might sink ship" ("Le bavardage peut couler le navire"). Jobs lui-même ne s’est réellement livré qu’une fois, devant les étudiants du campus de Stanford. Son conseil : "Votre temps est limité, alors ne le perdez pas à vivre la vie de quelqu’un d’autre. Ne vous laissez pas piéger par le dogme." Et surtout : "Restez affamés, restez fous !" L’Apple d’après-Steve saura-t-il le rester ? Le jour de sa nomination, son successeur désigné, Tim Cook, a promis à ses troupes : " Steve a bâti une entreprise et une culture qui ne ressemblent à aucune autre dans le monde, et nous allons rester fidèles à cela – c’est notre ADN." Good luck ! 6 Gérard Lécrivain DCG3 Synthèse n°1 Management Le 16/10/2015 QUESTION DE COURS (13 POINTS) 1. Présentez les 5 principes de l’organisation scientifique du travail de Taylor. (2.5 points) ( 0.5 points par item) - La division du travail (la parcellisation des tâches) . Division horizontale du travail : Le travail est décomposé en tâches élémentaires et les mouvements inutiles sont supprimés. . Division verticale du travail : Le concepteur conçoit et planifie / Le contremaître contrôle/ L’ouvrier exécute - La standardisation du travail et sa formalisation 7 Gérard Lécrivain DCG3 Synthèse n°1 Management Le 16/10/2015 o par des procédures (standardisation des procédures, au sens de Mintzberg) - Contrôle permanent de l’exécution des tâches o Décomposer le travail en tâches successives suppose de coordonner les tâches entre elles. Le contremaître est là pour vérifier la bonne cadence dans l’exécution des tâches. - Adoption d’un système de rémunération à la pièce (salaire au rendement) o Ce système de rémunération permet de motiver le salarié dans son travail, voire même de l’inciter à trouver lui-même des moyens d’améliorer sa productivité. 2. Quelle est selon Max WEBER l’organisation idéale et pourquoi ? (2.5 points) Pour Max Weber, l’organisation idéale (« l’idéal type ») est la bureaucratie car Organisation très structurée et formalisée Coordonnées par des procédures, des normes Avec une autorité de type rationnelle légale Organisation qui ne laisse aucune place à l’incertitude Organisation adaptée à des environnements stables 3. Quels sont les trois types d’autorité selon Max WEBER ? Expliquez-les et donnez pour chacune un exemple. (3 points) 0.5 points par forme d’autorité et 0.5 point par description) - L’autorité charismatique Le leader est reconnu comme chef légitime du fait de sa personnalité rayonnante, de ses qualités intrinsèques. L’autorité traditionnelle L’autorité est définie par les usages, les coutumes transmises L’autorité rationnelle légale autorité de l’organisation bureaucratique, à dire légitimée car obéissant à des règles écrites et précises 4. Présentez les apports organisations (3 points) et les limites de l’école classique des (0.5 point par item) Apports : - - Premières approches organisationnelles qui ont permis de proposer des modèles adaptés au nouveau contexte économique (L’OST de Taylor adapté aux stratégies de volume du Fordisme et l’organisation bureaucratique de Weber adapté à des organisations peu ou pas ouvertes sur des environnements peu ou pas turbulents) Première approche fonctionnelle de l’entreprise et des fonctions du manager (l’administration de Fayol) ¨Première approche de l’autorité et du leadership (Weber) Limites : - - Ignorance du facteur humain Ignorance des contingences externes qui peuvent influencer l’organisation Ignorance des contingences internes (savoir-faire et compétences, taille, activité, …) qui peuvent influencer l’organisation L’ignorance des contingences amène à une perception mécaniste de l’entreprise en tant que cellule fermée (illustration : standardisation Fordiste qui ignore les aspirations et les attentes des consommateurs / Différenciation introduite par Sloan (néoclassiques) Vision scientiste avec universalité des approches (« one best way » n’existe pas) 8 Gérard Lécrivain DCG3 Synthèse n°1 Management Le 16/10/2015 5. Citez 2 auteurs du courant néo-classique et précisez leurs apports (2 points) - SLOAN : la décentralisation – la structure U/M DRUCKER Père du management moderne – DPO- Précurseur organisation qualifiante GELINIER : DPPO ANALYSE DE DOCUMENTS (12 POINTS) Annexe 1 6. Définissez les termes suivants tirés de l’annexe 1 : Autorité rationnelle légale (1 point) L’autorité rationnelle légale autorité de l’organisation bureaucratique, légitimée car obéissant à des règles écrites et précises. Autorité à promouvoir pour Weber Style de direction (1 point) forme d’expression du pouvoir hiérarchique traduite par des comportements et qui s’appuie sur différentes formes possibles d’autorité Ajustement mutuel (1 point) Mode de coordination préconisée par Mintzberg : la coordination est informelle et repose sur le relationnel par contacts directs - 7. Commentez « le manager devient un agent d’interface entre l’organisation et l’environnement» (3 points) (3 points – un point par item) Des auteurs tels que Fayol, Thiethart et Mintzberg ont défini les fonctions traditionnelles du manager. Ils insistaient déjà sur la nécessaire prise en compte de l’environnement externe. Le manager moderne est un agent de liaison entre l’organisation et ses environnements car : - 8. L’organisation et plus précisément l’entreprise moderne voit les différents maillons de son activité et de sa chaîne de valeur de plus en plus éclatée et partagée avec des partenaires et sous-traitants extérieurs (fournisseurs, sous-traitant) L’organisation, en tant que système ouvert intègre différentes parties prenantes (actionnaires, clients, Etat, …) L’organisation moderne évolue au sein d’environnements de plus en plus turbulents. Le manager doit installer les conditions de changements organisationnels pour rendre l’entreprise organique Présentez les approches des fonctions d’un manager pour FAYOL et pour MINTZBERG (3 points) FAYOL Prévoir, Organiser, Commander, Coordonner, Contrôler (1 point) MINTZBERG (2 points) Activités de contact Représentant Leader Agent de liaison 9 Gérard Lécrivain DCG3 Synthèse n°1 Management Le 16/10/2015 Activités d’information (Activité clé) Guide Propagateur d’informations Porte parole Activités de décisions Entrepreneur Régulateur Répartiteur Négociateur Annexe 2 9. En quoi, Steve JOBS a t’il été à la fois un entrepreneur schumpéterien et un entrepreneur manager ? (3 points) Entrepreneur schumpéterien car créateur d’entreprise et prise de risque et innovation (tablette tactile) – 1,5 point Entrepreneur manager : S. JOBS a su développer son entreprise pour en faire le leader mondial du secteur en quelques années – stratège en matière de marketing, par exemple – A externalisé l’ensemble de l’activité production et n’a gardé que les maillons d’activités les plus créateurs de valeur. 1,5 point DEVELOPPEMENT STRUCTURE (15 POINTS) - Organisation et valeur Introduction 10 Gérard Lécrivain DCG3 Synthèse n°1 Management Le 16/10/2015 Accroche et intérêt du sujet /2,5 points Définitions /2 points Eléments de réflexion et délimitation /2 points du traitement du sujet amenant la problématique Cohérence du plan (parties et sous-parties) Auteurs justifiés (1/2 point par auteur justifié) /4 points /2,5 POINTS Conclusion Synthèse /0,5 point Ouverture /1 point 11 Gérard Lécrivain DCG3 Synthèse n°1 Management Le 16/10/2015