INSTITUT DE RENNES Coordonnées de l’inscrit Références du devoir Matière ARTS : CULTURE ARTISTIQUE Code AP 21 ............................................. N° du devoir 04 ..................................... Indicatif 2294003331 Nom NOEL .............................................. Prénom Sophie ........................................ Par adresse électronique Adresse 145 Chemin de Camaras .......... [email protected] ................. 12400 SAINT AFFRIQUE ......................... ................................................................. ........................ Pays ................................ Pour la rédaction de votre devoir respectez bien le modèle présenté ci-après Retour copie corrigée - Nom de la professeure correctrice : Mme poirier Observations de la professeure :De bonnes observations, et une vue Note 12/20 correcte d’ensemble. Par contre, vous ne développez pas plus loin, et c’est pourtant ce qu’on vous demande plutôt, au delà de la simple description de l’œuvre. Vous ne cernez pas vraiment sa spécificité (par rapport à quoi ?) et pas ses enjeux non plus. Une analyse comparative exige de bien comprendre les deux œuvres, ou ,du moins, de les mettre en rapport plus clairement que vous le faites. L’ensemble reste encore trop vague. NOEL Sophie 145 chemin de Camaras 12400 Saint Affrique 229 40 0333 1 Analyse de la singularité de l’œuvre « Marilyn Monroe », 1962 de James Rosenquist par rapport aux « Marilyns » d’Andy Warhol. Afin de cerner sa spécificité, nous présenterons tout d’abord l’œuvre et les enjeux du devoir, ainsi que nous dégagerons en même temps sa singularité par rapport aux « Marilyns » d’Andy Warhol. Enfin, notre conclusion d’écoulera de toute l’argumentation présentée tout au long de cette analyse qui présentera un nouveau thème de réflexion. Pratique Arts Plastiques AP 20 Devoir N°3 Je préfèrerais que vous cerniez les enjeux de l’œuvre ! On peut alors l’appeler œuvre monumentale ? § Qu’est ce qui fait la singularité de l’œuvre de James Rosenquist par rapport aux œuvres d’Andy Warhol ? L’œuvre « Marilyn Monroe » de 1962 par James Rosenquist se trouve aujourd’hui au musée d’art moderne à NewYork. Son format rectangulaire est de 36,2cm de large et 183,3cm de hauteur. Cette œuvre immense semble avoir été produite sur un grand panneau dans le but de pouvoir être remarquée par tous les passants d’un lieu public. Cette œuvre est une publicité, appartenant au mouvement du Pop’art d’après-guerre apparu en 1955 aux Etats-Unis. Durant ce mouvement, les artistes américains tels que James Rosenquist ou Andy Warhol utilisent diverses techniques telles que la photographie, le photomontage, la peinture et autres dans le but de Mal dit : « Les artistes de ce mouvement » ou bien, « J Rosenquist et A. Warhol, qui en font partie,… donner un nouveau sens à cet art qui est le constat de cette nouvelle société de consommation. L’artiste multimédia introduit dans son œuvre une illustration de publicité tout comme Andy Warhol dans « Marilyn » représentant l’analogie de Marilyn Monroe et des parties de lettres de son prénom qui n’y sont pas dans celle de Warhol. Celui-ci a utilisé dans son œuvre, des techniques telles que la peinture à l’huile et de l’émail pulvérisée. Cette œuvre bidimensionnelle conserve son ambiguïté et l’image affirme sa planéité. On note aussi une disproportion des images géométriques (tantôt carrées, tantôt rectangulaires) juxtaposées sans rapport apparent qui recouvrent toute la surface gigantesque de l’œuvre, ce qui est spécifique à cette œuvre puisque Warhol ne le faisait pas dans ces « Marilyns ». Les traits du visage sont souvent épais, les caractères d’imprimerie en italique partiellement visibles, sont d’un même format : large, haut et en italique. Une autre écriture blanche plus estompée traverse les autres caractères. Les lettres sont toutes parallèles lorsqu’elles viennent d’une même écriture mais les différentes formes d’écriture s’entrecroisent et se superposent. Elles crées ainsi un effet de masse au milieu de l’œuvre grâce à des lignes de forces qui les délimitent des images. Ces lignes de forces découpent l’œuvre en 4 parties disproportionnées mais géométriques. Seules les parties du visage circonscrites à celles-ci, dessinent des formes arrondies et des courbes. Le respect des proportions de l’image d’origine telle qu’elle a été introduite est bien présent mais aucun système de perspectives n’est utilisé. C’est une œuvre très dynamique par son contenu et ses couleurs dans l’ensemble. L’œuvre de Rosenquist donne de l’importance aux points de vue et au modèle qui y est introduit ainsi que les caractères qui apportent une indication : le nom du readymade représenté. On notera que dans « Marilyn » et dans « vingtcinq Marilyns » de Warhol, les lignes de forces ne sont pas présentes pour donner tous ces points de vue qui rendent attractifs l’œuvre de Rosenquist. D’autant mieux que l’introduction de lettres dans l’œuvre de Rosenquist lui donne une singularité propre. C’est une œuvre homogène car le but de Rosenquist est de donner de l’importance aux formes géométriques qui envahissent l’œuvre. Puisque que les formes géométriques sont inexistantes dans l’œuvre « Marilyn » de Warhol, l’artiste n’a pas d’autres choix que de mettre en avant son produit de consommation avec des couleurs saillantes. Rosenquist utilise des images aux coloris tapageurs qui sont caractéristiques des images de publicité pour attirer l’attention. Les contrastes sont également très marquées ainsi que le volume donné aux formes. Les couleurs sont chaudes et occupent tout le format. Il n’y a pas de source lumineuse précise. De ombres suggèrent une légère différence des plans et contredisent partiellement la planéité voulue de l’ensemble. Ainsi contrairement aux deux œuvres précédemment évoquées de Warhol, celui-ci choisit de mettre en avant les contrastes surtout et le volume dans son œuvre afin d’attirer davantage le regard du spectateur, alors que Warhol ne fait intervenir que ses couleurs. Nous avons tout d’abord présentés l’œuvre et les enjeux du devoir, puis nous en avons dégagé la singularité de l’œuvre de Rosenquist par rapport à celles de Warhol. Enfin nous en concluons que les deux artistes (Rosenquist et Warhol) ont choisis d’introduire une image de publicité d’une star de leur époque (Marilyn Monroe) qui sert de ready-made pour mettre en avant la société de consommation. Leurs œuvres sont immenses et interrogent. Se sont des images de masses dont les deux auteurs veulent avant tout garder l’ambiguïté. Elles sont à la fois très proches par leur Pas très clair : dans QUEL but, exactement ? … Vous ne dites pas pourquoi ils utilisent CES techniques, et pas d’autres, comme la gravure sur bois ou la sculpture de pomme de terre. Et alors ?…. Comment/pourquoi ce constat ? (et en quoi c’est utile ici de le savoir ? à quoi peut-on dire que cette œuvre est du pop art ? Pourquoi ??? C’est à dire ??? pourquoi utiliser un système de perspective ? Ou bien :pourquoi diable voulez-vous qu’on s’attende à ce qu’un système de perspective soit utilisé ?Précisez votre pensée, et ce que vous avez derrière la tête. C’est à dire ? ??? s’il s’agit d’une citation de l’artiste, ou d’une référence à un critique d’art qui l’aurait dit : précisezle clairement. Sinon, pensez à expliciter ou justifier une telle affirmation(gratuite ?) Voir début de votre devoir : il aurait été judicieux de mettre ces éléments en relation, non ? Voulue ? Précisez ce qui vous le donne à penser. Quels enjeux ? C’est quoi : « les enjeux du devoir » ? et où les présentez-vous ??? Parlez-vous de leurs dimensions ??? Auquel cas, c’est faux. représentation et leurs couleurs mais l’œuvre de Rosenquist reste toute fois bien singulière par rapport aux œuvres de Warhol. On pourrait penser que c’est par l’utilisation de personnages de cette époque que l’artiste répondait aux besoins de consommation dans les années 60. Et grâce à ce système, nous comprenons ainsi le choix des artistes qui indiquaient volontairement la source de leur produit. On se demandera toutefois jusqu’où pouvaient aller les artistes dans la représentation de leur société et de l’utilisation de leurs modèles ? On ne comprend pas l’utilisation de ce conditionnel… ou subjonctif ( ?) Suggérez-vous que c’est une fausse piste ? Et qu’est-ce qui vous le fait penser ? Je ne comprend pas le rapport entre le début et la fin de la phrase ici. Pourquoi se le demander ? La phrase étant au passé, je pense qu’il suffit alors de se documenter un peu pour le savoir, non ? Et… quel est l’intérêt ?