Effets micro-physiques pour la micro-manipulation " 09/09/11 1/73 Echelle" 09/09/11 2/73 Réduction d échelle" 09/09/11 3/73 Impact sur la micro-manipulation" 09/09/11 4/73 Objectifs" Ø Modélisation de l échelle microscopique 09/09/11 5/73 Problématique" Interface Préhenseur-Objet Forces à distance ü Forces de Van der Waals ü Forces électrostatiques ü Forces capillaires Interface Substrat-Objet Actions de Contact : • Actions des déformations (effort de pull-off) • Friction 09/09/11 6/73 Mécanique du contact" La théorie de Hertz sans les mains /I" " " " " " " •Massif semi-infini élastique isotrope Module d Young E " •Indenteursphérique rigide Rayon de courbure R" " Equations d équilibre sous une charge, P, un enfoncement, δ, et un rayon de contact, a" " Raisonnement énergétique" 09/09/11 7/73 Mécanique du contact" 09/09/11 8/73 Le contact de Hertz" Hypothèses : •Massifs homogènes isotropes et semi-infinis (module E, coefficient de Poisson ν) •Contact non adhésif purement élastique •Frottement nul (pas de cisaillement à l interface) •Surfaces décrites localement par leurs rayons de courbure respectifs •a << R (petites déformations et contact non conforme) 09/09/11 9/73 Le contact de Hertz (2)" 09/09/11 10/73 09/09/11 11/73 09/09/11 12/73 09/09/11 13/73 09/09/11 14/73 09/09/11 15/73 09/09/11 16/73 09/09/11 17/73 09/09/11 18/73 09/09/11 19/73 09/09/11 20/73 09/09/11 21/73 Energie d interface" Ø Travail d adhésion et de cohésion Energie nécessaire pour séparer deux surfaces unitaires du contact jusqu à l infini Deux milieux différents Deux milieux identiques W12 : travail d adhésion W11 : travail de cohésion Ø Energie de surface Energie nécessaire pour augmenter la surface libre du milieu d une surface unité γ 1= 1W11 2 Pour des solides, elle est notée de surface mJm-2 γs et elle considérée comme une énergie par unité Pour des liquides, elle est notée de longueur mNm-1 γl et elle considérée comme une tension par unité 09/09/11 22/73 Energie d interface" Energie interfaciale : lorsque deux milieux sont en contact, l énergie à leur interface par surface unitaire est notée énergie interfaciale γ12=γ1+γ 2−W12 Equation de Dupré γ12=γ1+γ 2−W12=γ1+γ 2−2 γ1γ 2 Travail d adhésion dans un troisième milieu Energie nécessaire pour séparer deux corps 1 et 2 immergés dans un milieu 3 W132=W12+W33−W13−W23=γ13+γ 23−γ12 09/09/11 23/73 Tableau des valeurs" 09/09/11 Matériau Energie de surface 20°C (mJ.m-2) Matériau Energie de surface 20°C (mJ.m-2) Téflon 18 Plexiglas 40.6 Polystyrène 33-43 Verre 170 Aluminium 1100 Silicium 1400 Argent 1500 Cuivre 2000 24/73 Déformations" 3 paramètres " δ déformation" a aire de contact" Force de Pull-off" 09/09/11 25/73 Modèles de contact" Modèles Hypothèses Cas applicables Hertz Contact élastique sans adhésion Pas utilisable JKR λ>1 Déformation due à l adhésion Forte énergie d adhésion et matériau souple DMT λ < 0.1 Déformation Hertzienne du contact + adhésion Faible énergie d adhésion et matériau rigide Dugdale Force d adhésion est une force attractive en dehors de la zone de contact Transition entre les modèles DMT et JKR 09/09/11 26/73 Simulation numérique" Force (N) Rayon de l objet (m) Bille en silicium sur un substrat en polystyrène" 09/09/11 27/73 09/09/11 28/73 Force de friction et adhésion" Lois d Amonton (1699) • Le rapport entre la force de frottement et effort normal est constant • La force de frottement est indépendante de l aire de contact Coulomb (1785) • Le coefficient de frottement est indépendant de la vitesse Force de Coulomb : Ff=µR § µ est le coefficient de friction, R la force normale et Ff la force maximale exercée par friction Friction statique : deux objets ne bougent pas l un par rapport à l autre. On note µs le coefficient de friction statique. Roulement appartient à cette catégorie Cas le plus classique Friction dynamique : deux objets bougent l un par rapport à l autre. On note µd le coefficient de friction statique et il est plus petit que le coefficient statique. Comment l adhésion modifie ces modèles et les modèles rafinés? 09/09/11 29/73 09/09/11 30/73 Modèle de Bowden et Tabor" 09/09/11 31/73 Force d adhésion de friction" Cisaillement des jonctions adhésives entre micro(nano) aspérités. Contrainte de scission interfaciale avec τ contrainte de cisaillement A aire réelle de contact Contact rugueux, plastique Quelle échelle ? Quelle transition ? Contact monoaspérité Modulation de force latérale par AFM 09/09/11 32/73 Force d adhésion de friction" Echelle microscopique Modèle d Ando Force de pull-off est une force extérieure pour la théorie de Coulomb Beaucoup de paramètres 09/09/11 33/73 Forces à distances" Forces à distance ü Forces de Van der Waals ü Forces électrostatiques ü Forces capillaires 09/09/11 34/73 Particularités de l échelle microscopique A l échelle microscopique, les forces de surfaces sont prépondérantes vis-à-vis des forces de volumes. Par exemple, une sphère de diamètre 40 micromètres en polystyrène posée sur un substrat en Silicium a une force de Van der Waals évaluée a 4,5.10−15 N alors que le poids de la sphère est de 2,6.10−19 N, soit un rapport de 1,7.104 en faveur de Van der Waals. Polystyrène Poids Silicium Force de Van der Waals Silicium/Sphère 09/09/11 35/73 Particularités de l échelle microscopique A cette échelle, trois forces sont majoritaires: 1) Les forces de Van der Waals, qui sont toujours présentes, quelques soit les conditions expérimentales. Polystyrène Silicium Force de Van der Waals Silicium/Sphère 09/09/11 36/73 Particularités de l échelle microscopique A cette échelle, trois forces sont majoritaires: 1) Les forces de Van der Waals, qui sont toujours présentes, quelques soit les conditions expérimentales. 2) Les forces de capillarité qui existe dés lors qu il y a de l humidité Polystyrène Ménisque d'eau Silicium Force de capilarités Silicium/Sphère 09/09/11 37/73 Particularités de l échelle microscopique A cette échelle, trois forces sont majoritaires: 1) Les forces de Van der Waals, qui sont toujours présentes, quelques soit les conditions expérimentales. 2) Les forces de capillarité qui existe dés lors qu il y a de l humidité 3) Les forces électrostatiques liées au phénomène de triboélectrification (échange de charges) + +Polystyrène + + + + + + + + Silicium -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ -­‐ Force éléctrostatiques variable au cours du temps car les charges ont tendance a s'équilibrer 09/09/11 38/73 Cas des forces de Van der Waals La force de Van der Waals est à l origine de la fluctuation du champ électromagnétique lors d interactions entre plusieurs particules. Il s agit d une force attractive qui est toujours présente. Dans un premier temps, elle fût expliquée par le modèle de London-Debye-Keesom, cette force est en fait la somme de trois forces interparticulaire, qui s expliquent par trois types d interactions dipolaires : 09/09/11 39/73 Cas des forces de Van der Waals " 1) Interaction de Keesom (dipôle/dipôle) Tout système physique a tendance à minimiser son énergie libre et donc tend à aligner deux dipôles en interaction. Cependant, l agitation thermique empêche cet alignement et l énergie moyenne d interaction requière l utilisation de la statistique de Boltzmann. Attraction 09/09/11 40/73 Cas des forces de Van der Waals " 2) Interaction de Debye (dipôle-induit/dipôle) Le dipôle en rotation perturbe le champ électromagnétique et polarise la particule voisine même si elle est a symétrie sphérique car le nuage d électronique de celle-ci se trouve déformé, c est un dipôle « induit ». Attraction 09/09/11 41/73 Cas des forces de Van der Waals " 3) Interaction de London (dipôle-instantané/dipôle-induit) Toute molécule, même sphérique, possède un moment dipôlaire instantané, car le nuage électronique de la molécule n est pas homogène dans un temps infinitésimal. Cela aura pour effet de créer un champ électromagnétique qui créera un moment induit sur ses voisins y compris s ils sont a symétrie sphérique. Cette force est particulièrement importante puisque qu elle existe toujours quelque soit la polarité des matériaux en interactions Attraction 09/09/11 42/73 Cas des forces de Van der Waals " Le champ magnétique et le champ électrique étant tout deux conservatifs, en dérivant la somme des potentiels, on trouve alors la force qui en résulte : La force de Van der Waals. −C Les potentiels sont tous «en r 6 », la force de Van der Waals est donc en − C . 7 r L expression de cette force par le modèle de LondonDebye-Keesom donne de remarquables résultats pour les gaz, mais connaît de grave défauts pour ce qui est de la matière condensée. 09/09/11 43/73 Cas des forces de Van der Waals " Il existe heureusement une théorie beaucoup plus exacte pour calculer les énergies d interaction. Avec le développement de la physique quantique, l étude précise des ondes électromagnétiques fût possible. S inspirant de l effet « Casimir » qui relie la pression électrostatique aux énergies de surfaces entre deux matériaux, Lifshitz le généralisa pour trois diélectriques. Effet Casimir entre deux diélectriques 09/09/11 44/73 La constante de Hamaker Bien que les interactions pour un systèmes de particules soient non-additives, Hamaker eu l idée de considérer qu elles l étaient afin de les intégrer, « paire par paire » et d obtenir une approximation de l interaction totale entre des objets de géométries diverses. 09/09/11 45/73 La constante de Hamaker Bien que les interactions pour un systèmes de particules soient non-additives, Hamaker eu l idée de considérer qu elles l étaient afin de les intégrer, « paire par paire » et d obtenir une approximation de l interaction totale entre des objets de géométries diverses. Par exemple l interaction molécule/surface se calcule en intégrant comme ci-dessus. 09/09/11 46/73 La constante de Hamaker Par d autres méthodes d intégrations, un ensemble de formules à été calculé, permettant pour des géométries simples de connaître approximativement la valeur de leurs interactions. Dans certaines de ces formules, en isolant les paramètres propres aux matériaux, Hamaker se rendit compte qu il pouvait les factoriser. Ce terme commun (mais dependant des matériaux en interaction), s appelle la constante de Hamaker, noté A. 09/09/11 47/73 Forces de Van der Waals" Interaction entre particules w(r ) Interaction de VdW = potentiel d induction (Debye) + potentiel d orientation (Keesom) + potentiel de dispersion (London) ⇒ wVdW (r ) = − [Cind + Corient + Cdisp ] r6 C =− 6 r Ø Intégration analytique : formulation simplifiée Ø Intégration numérique : méthode volumique ou surfacique 09/09/11 48/73 Forces de Van der Waals inter surfaciques " W =− A R1 R2 W =− 6 D ( R1 + R2 ) L A W =− 12πD 2 W =− AL 12 2 D 3 2 ⎛ R1 R2 ⎞ ⎜⎜ ⎟⎟ ⎝ ( R1 + R2 ) ⎠ 3 AR 6D F = ∂W ∂D 2 A constante de Hamaker 09/09/11 49/73 Constante de Hamaker" Théorie de Hamaker (1937) A12 = π 2Cρ1 ρ 2 Interaction d un objet 1 avec un objet 2 dans un média 3 · Relations de combinaisons (Maclachlan 1963) A132 ≈ ( A11 − A33 )( A22 − A33 ) Théorie de Lifshitz (1956) 3 ⎛ ε − ε ⎞⎛ ε − ε ⎞ 3hν e A132 ≈ kT ⎜⎜ 1 3 ⎟⎟⎜⎜ 2 3 ⎟⎟ + 4 ⎝ ε1 + ε 3 ⎠⎝ ε 2 + ε 3 ⎠ 8 2 09/09/11 (n12 − n32 )(n22 − n32 ) (n12 + n32 ) (n22 + n32 )[ (n12 + n32 ) + (n22 + n32 ) ] 50/73 Géométrie et rugosité" Géométrie du contact AR F= 6D 2 plan-sphère → plan-plan F= AS 6πD 3 Rugosité Différents modèles 2 FVdW ( b ) 09/09/11 ⎛ D ⎞ ⎟ F = ⎜ ⎜ D + b ⎟ VdW 2 ⎠ ⎝ 51/73 Forces électrostatiques " • Interaction particule chargée / surface chargée q1q2 Felec= 1 2 4πεε0 D • Interaction particule chargée / surface non chargée 2 1 Felec = 16πεε 0 • Interaction surface/surface q D 2 Pelec = 1 2εε0 Triboélectrification ⇒ 09/09/11 transfert de charges dû au contact non négligeable 52/73 Triboélectrification" Contact conducteur-conducteur (φ1 − φ 2 ) Vc = e Q = Vc 09/09/11 ε0S z0 53/73 Action de l hygrométrie sur A" Troisième média à l interface modification de A A12 A132 ⇒ Eau fortement polaire Théorie de Lifshitz A12(vide) (x10-20J) A132(eau) (x10-20J) Polystyrène 7 1,3 Mica 10 2 Alumine 14 5,3 Métaux (Ag,Cu, Au) 50 40 Matériau Module des Forces de VdW 09/09/11 54/73 Ménisque aqueux" 09/09/11 55/73 La force capillaire Pourquoi la statique des fluides ne prévoit pas la montée (ou la descente) d un liquide dans tube capillaire? D ou viennent les ménisques? 09/09/11 56/73 La force capillaire Tout cela s explique encore par Van der Waals! Au sein d un liquide, les forces s exerçant sur une molécules sont globalement neutres car les molécules environnante annulent les forces sur celle-ci. 09/09/11 57/73 La force capillaire Tout cela s explique encore par Van der Waals! Par contre, à l interface, les molécules n interagissent qu avec celles situées « au dessus », la résultante des forces n est donc pas nul et est dirigé vers le « centre ». Cette force a pour effet de modifier la pression du liquide a l interface. 09/09/11 58/73 La force capillaire Pour créer de la surface de liquide, il faut donc fournir de l énergie. Mais en augmentant cette surface, l énergie libre croît aussi. Or la tendance naturelle est à minimiser la surface. Il en est de même lorsque l on veux séparer deux surfaces baignant dans un liquide tel qu une sphère sur un plan dans un environnement humide. 09/09/11 59/73 Les Forces Capillaires" ⎧ θ angle de contact ⎪ ⎨ d hauteur d' immersion ⎪D distance d' interaction ⎩ The image cannot be displayed. Your computer may not have enough memory to open the image, or the image may have been corrupted. Restart your computer, and then open the file again. If the red x still appears, you may have to delete the image and then insert it again. Fcap (plan - sphère) = 4πRγ l cosθ (1 + D ) d Hypothèses : cos θ =1 avec rmenisc ≈ 2γ lVm d=2rmenisc (équation de Kelvin) RT ln( p pour 3 interactions classiques 09/09/11 et ps ) ⎧ ⎪ ⇒ ⎨ ⎪ ⎩ 8πRγ l rmenisc (2rmenisc + D) 4πRmγ l rmenisc Fcap (sphère - sphère) = (2rmenisc + D) 2γ l S Fcap (plan - plan) = D + 2rmenisc Fcap (plan - sphère) = 60/73 Conclusion pour le milieu athmosphérique" 09/09/11 61/73 Quelques mots de vocabulaires " Solution colloïdale : liquide contenant en suspension des particules de taille entre 1 nm et 10 µm. Théorie des colloïdes Physique/chimie des interfaces 09/09/11 62/73 Le milieu liquide " Les interactions électrostatiques sont dues à la présence de charges induites à la surface des particules En milieu polaire, les principaux mécanismes de chargement électrique sont la dissociation de groupe surfacique, l adsoption d ions,.. Les charges de surface attirent les ions de charge opposée et forment une région d électroneutralité sur une longueur caractéristique, longueur d écran Une double couche électrique (EDL) se forme alors et elle est constituée par la charge de surface et sa contrecharge associée. 09/09/11 63/73 Double couche électrique" – Première couche : couche de surface où sont adsorbés les ions déterminant le potentiel du solide (p. ex. H+ et OH− pour un oxyde métallique comme SiO). On associe à cette couche la charge σ0 et le potentiel ψ0; – Deuxième couche : couche compacte d ions déshydratés présentant une interaction forte avec la surface (ions spécifiquement adsorbés). Le centre de ces ions est localisé au niveau du Plan Interne de Helmholtz (PIH), auquel on associe la charge σβ et le potentiel ψβ – Troisième couche : couche diffuse de co-ions et de contre-ions hydratés et attirés faiblement. Le plan où commence la couche diffuse est appelé Plan Externe de Helmholtz(PEH), auquel on associe la charge σd et le potentiel ψd. Modèle de Stern (deuxième couche-couche diffuse) 09/09/11 64/73 Equation de Poisson Boltzmann" Nous cherchons la force exercée par la couche électrique entre deux surfaces. Le résultat dans le cas de deux plans ( approche thermodynamique théorie de Gibbs) est : où ΔP(x) est la pression osmotique, ΔΠ la force par unité de surface entre les plans, souvent appelée pression de disjonction et Ψ le potentiel électrique (≅ potentiel zêta mesuré par mesures électrocinétiques). L équation de Poisson (équation de Maxwell-Gauss en milieu linéaire ) relie le potentiel électrique et ρ la densité volumique de charge. Les équations combinées donnent l équation de Poisson-Boltzmann (PB) avec ni la concentration et zi le niveau de valence 09/09/11 65/73 Résolution de l équation" Deux approximations pour la résolution de l équation fortement non-linéaire : - Pour un électrolyte symétrique composé de deux types d ions, on obtient Potentiel réduit Longueur de Debye I Force Ionique Equation fortement non linéaire - Forme linéarisée de l équation ( approximation de Debye-Hückel ou PB linéaire) - Résolution analytique de la PB (Poisson-Boltzman) linéaire pour un problème planplan avec ΔΠ la force par unité de surface entre les plans et le signe qui dépend de la condition limite (charge ou potentiel constant ) 09/09/11 66/73 Résolution de l équation PB" Interaction sphère sphère et sphère plan Deux principales approches : • méthode de superposition linéaire restreinte aux grandes distances (kh>1) Hyp : la solution de l équation de PB pour un système de deux particules peut être construite comme la superposition linéaire des solutions pour les particules isolées Avec a rayon de la sphère, d distance sphère plan et Y potentiel effectif • approche de Derjaguin apportées aux petites distances (kh<1) Hyp : les interactions entre sphères peuvent être calculées comme la somme (intégrale) des interactions correspondantes de surfaces élémentaires (anneaux) ayant une géométrie plane. GD paramètre de forme ψ potentiel de surface Formule HFF 09/09/11 67/73 Simulations" Force d interaction sphère/sphère pour différents potentiels de Stern et forces ioniques 09/09/11 68/73 Simulations (2)" Energie d interaction réduite Ve/kT sphère/sphère (partie supérieure) et sphère/plan (partie inférieure) calculée pour ψs1 = 3, ψs2 = −1,5 et ka = 5 : −•−•− calculs numériques exacts dans le cas c.c. ; −±−±− idem dans le cas p.c. ; ······ modèle linéaire HHF dans le cas c.c. ; −·−·− idem dans le p.c. ; −−− modèle LSA 09/09/11 69/73 Théorie DLVO" La théorie DLVO suppose que l interaction totale entre deux surfaces est la somme de la répulsion de double-couche et de l attraction de van der Walls. Potentiel d interaction sphère sphère 09/09/11 70/73 Théorie XDLVO" forces de solvatation (ou d hydratation dans l eau) : elles sont aussi appelées interactions acide-base de Lewis. Dans l eau, ces forces seront attractives pour des surfaces hydrophobes et répulsives pour des surfaces hydrophiles. LW : Van der Waals interaction EL : double layer AB : Lewis Acid Base interaction h0 : distance de séparation minimum : 0.158nm λ : longueur de Decay 0.6 nm/eau 09/09/11 γ+ et γ- sont les énergies de surfaces (électron doneur et électron accepteur) 71/73 Théorie XDLVO et contact" 09/09/11 72/73 Conclusion" • Forces de surface : • Force de pull-off • Forces à distance : • Forces de VdW • Constante de Hamaker • Forces capillaires • Ménisque aqueux • Pression athmosphérique • Forces électrostatiques • Forces non prévisibles • Milieu liquide • Forces DLVO 09/09/11 73/73