Chapitre 1 : Le monde microbien, immunologie Thème 3 Le prof ne fait pas cours, il est à votre disposition pour répondre à vos questions (notamment sur le cours) et pour vous aider dans les activités. L’élève apprend son cours tout seul à la maison avec un fichier cours (celui là même que tu es en train de lire) et il fait toutes les activités proposées en classe plus ou moins en autonomie. Prévoir d’apporter des oreillettes pour écouter les vidéos et une clé USB en classe pour récupérer des vidéos, documents… Productions à rendre : un écrit avec une trace (réponses, dessins etc.) de TOUTES les activités. Remarque : il n’y a pas d’ordre pour les activités, il suffit d’écrire leur titre avant de les traiter. Vocabulaire à connaitre / définitions micro-organisme – immunologie – système immunitaire - pathogène - ubiquité - muqueuse - bactérie - virus infection – contamination – asepsie – antisepsie - réaction immunitaire - phagocyte phagocytose - antibiotique – antibiogramme - leucocyte – lymphocyte B - lymphocyte T - antigène – anticorps – séropositivité - vaccination – VIH – SIDA – immunodéficience – maladies opportunistes. PARTIE 1 : Le monde microbien et le risque infectieux micro-organisme (« microbes ») : être vivant invisible à l’œil nu. Certains sont pathogènes, ils provoquent des maladies, d’autres sont non-pathogènes. immunologie : étude du système immunitaire, c'est-à-dire de notre système de défense contre les microorganismes pathogènes. I - La contamination par les micro-organismes 1°) Les micro-organismes qui nous entourent Lien avec l’activité observation microscopique Lien avec l’activité calcul de tailles des micro-organismes Ubiquité des micro-organismes. On estime à 100 000 milliards le nombre de bactéries hébergées par le corps humain, soit près de 10 fois plus que le nombre de cellules d’un individu. Cela représente une masse comprise entre 1 et 2 kg pour un individu de 70 kg. En plus des bactéries vivant sur notre peau ou dans notre nez, la plupart vivent dans notre tube digestif, notamment dans l’intestin grêle. 1 La plupart des micro-organismes qui nous entourent sont des bactéries, des champignons, des virus, des levures…Ils sont très nombreux dans notre environnement, plus particulièrement dans la terre et l’eau (doc 1) mais aussi sur et dans notre organisme (doc 2), c’est l’ubiquité des micro-organismes : extrême abondance. Certains micro-organismes sont bénéfiques pour l’organisme humain. L’ensemble de ces bactéries forment le microbiote, et l’ensemble bactéries-endroit où elles sont hébergées forme le microbiome (une sorte d’écosystème). Lien avec l’activité microbiote intestinal. 2°) L’entrée des micro-organismes dans l’organisme : la contamination. Doc 2 : La peau et les muqueuses (= parois très fine qui tapissent l’intérieur d’un organisme) sont des barrières naturelles. Lorsque les micro-organismes les franchissent, c’est la contamination. muqueuses : couche de cellules qui tapissent les cavités internes du corps en contact avec l’extérieur (tube digestif, bronches, vagin etc). Doc 3: modes de contamination. Les micro-organismes se transmettent de différentes façons (doc 3): directement d’un individu à l’autre (rapport sexuel non protégé et SIDA, gouttelettes quand on éternue…) ou indirectement par l’eau ou des aliments contaminés, une blessure… Vidéo sur la listéria : http://www.bonjour-docteur.com/actualite-sante-listeria-mefiez-vous-du-fromage--70.asp?1=1&IdBloc=Tout Il y est dit que la listéria, comme la plupart des bactéries, préfère des températures entre 20 et 37 °C. II- L’infection par les micro-organismes L’infection est la phase de multiplication des micro-organismes pathogènes dans l’organisme, après la contamination. Elle déclenche l’apparition des symptômes (signes visibles) de la maladie. 2 L’infection bactérienne (doc 4) : les bactéries se multiplient rapidement par divisions cellulaires (mitoses) dans les liquides du corps puis peuvent envahir les organes par le sang, il y a alors une maladie infectieuse. Remarque: les bactéries infectent elle même le sang (septicémie) ou elles fabriquent des toxines qui envahissent le sang (toxémie). L’infection virale (doc 5) : les virus se multiplient à l’intérieur de cellules vivantes avant d’être libérés et de parasiter d’autres cellules. Ils tuent les cellules infectées. Les virus sont des parasites de nos cellules car ils ne peuvent vivre seuls, ils ont besoin de pénétrer dans une cellule pour se dupliquer (se reproduire). Les virus ne sont pas des cellules car ils ne sont pas autonomes pour se multiplier (d’ailleurs ils sont beaucoup plus petits que les cellules). III- Limiter les risques de contamination et d’infection Asepsie: méthode préventive visant à éviter l’entrée des microbes (la contamination). Lien avec l’activité expérience d’asepsie Parmi les règles d’asepsie, nous pouvons citer l’hygiène corporelle dont le lavage des mains fréquent (impératif avant de manger et après les toilettes), mais aussi l’utilisation de préservatifs pour lutter contre les IST (Infections Sexuellement Transmissibles). En milieu hospitalier, les salles d’opération sont décontaminées, port de gants, de masques... Antisepsie: méthode curative visant à combattre une infection microbienne grâce à des produits antiseptiques (destruction des micro-organismes au niveau de la plaie). Utilisation de produits antiseptiques (eau oxygénée, alcool à 70°, bétadine...). Quand l’infection est bactérienne et avancée, on peut avoir recourt à l’utilisation d’antibiotiques. Lien avec l’activité découverte historique (Fleming et la découverte de la pénicilline). Les antibiotiques, c’est pas automatique !! Les antibiotiques détruisent les bactéries, pas les virus (doc 6). Leur utilisation massive et souvent inappropriée entraîne des problèmes de santé publique, notamment les maladies nosocomiales. Lien avec l’activité les antibiotiques Les bactéries devenues résistantes aux antibiotiques ont suivi la théorie de la sélection naturelle !! Voir animation « mutations bactéries ». Voir extrait c’est pas sorcier « test antibiotique ». Schéma bilan : la menace microbienne asepsie pathogènes et non pathogènes contamination antisepsie antibiotiques infection par les virus par les bactéries 3 PARTIE 2: Les défenses immunitaires de l’organisme Comment l’organisme détecte-t-il la présence de micro-organismes et comment se défend-t-il ? Au préalable : la composition du sang : - de plasma, liquide dans lequel baigne des cellules suivantes : - les hématies (= globules rouges) - les plaquettes (rôle dans la coagulation du sang) - les leucocytes (= globules blancs), qui sont de plusieurs types : Les lymphocytes en rouge : à connaitre. Les phagocytes (ou peut trouver également mastocyte). Remarque: sérum = sang dont on a éliminé les cellules (globules rouges et globules blancs). Se reporter régulièrement au schéma bilan page 8 pour la compréhension. I – Une réaction immunitaire rapide à une infection : la phagocytose La défense d’un organisme face à l’infection par un micro-organisme pathogène est la défense immunitaire, ou réaction immunitaire. Vidéos de phagocytose (très bien pour la compréhension). http://www.biologieenflash.net/animation.php?ref=bio-0064-2 https://www.youtube.com/watch?v=7PQU8IoQZ5k Doc 1 : les phagocytes sortent des vaisseaux sanguins et se dirigent vers les micro-organismes pathogènes. Il y a ensuite phagocytose. Phagocyte : leucocyte spécialisé dans l’absorbation et la digestion d’éléments étrangers (bactéries…) Phagocytose : ingestion et digestion d’éléments étrangers (micro-organismes) par un phagocyte. Doc 2 : les étapes de la phagocytose. 1- le phagocyte (qui est un leucocyte) s’accole aux bactéries et les englobe avec ses prolongements cytoplasmiques 2- le phagocyte « digère » les bactéries dans des poches cytoplasmiques remplies d’enzymes digestives 3- le phagocyte rejette les déchets de cette digestion hors de la cellule. Comment se manifeste une infection par blessure? Douleur, sensation de chaleur au niveau d’une plaie, gonflement, rougeur, pus. Ces signes d’infection disparaissent en quelques jours. Ils sont le signe de l’enclenchement de phagocytoses (réactions rapides). Les vaisseaux sanguins se rompent et laissent échapper des hématies qui donnent la couleur rouge. Le pus est en fait constitué de déchets : les micro-organismes digérés. La chaleur est caractéristique d’une réaction immunitaire engagée. BILAN : La réaction de phagocytose est non spécifique (détruit tous micro-organismes), rapide (quelques jours) et locale (au niveau de la plaie). II – Lutte contre une infection bactérienne ou virale : la défense par les lymphocytes B Elles interviennent quand la réaction rapide de phagocytose ne suffit pas à stopper l’infection. Le patient souffre alors d’une maladie infectieuse. 4 Lors d’une maladie infectieuse, les ganglions lymphatiques grossissent car ils produisent en masse des lymphocytes. Ces ganglions sont situés dans certaines zones de l’organisme (aisselles, cou, aines etc). Anticorps = molécule en forme de Y se fixant sur les antigènes. Antigène = molécule étrangère à l’organisme, à la surface du micro-organisme pathogène à éliminer. C’est la molécule qui déclenche la réaction immunitaire. Lymphocyte B = type de leucocyte (globule blanc) qui fabriquent des anticorps qui vont aller dans le sang. Mode d’action des lymphocytes B (LB) : les LB fabriquent des molécules, les anticorps, qui sont sécrétés. Ces anticorps vont se lier aux antigènes du micro-organisme, et cet amas de complexes antigènes-anticorps va être reconnu puis détruit par un phagocyte. Doc 4 : un amas de complexes antigènes-anticorps qui sera détruit par phagocytose. Spécificité de la liaison antigène-anticorps : Chaque micro-organismes a un antigène spécifique, auquel il correspond un antigène unique, car la liaison antigène-anticorps présente une complémentarité de forme. Doc 5 : complémentarité de forme entre antigène et anticorps explique la spécificité des complexes. Lien avec l’activité complexe antigènes-anticorps. Il existe donc un très grand nombre d’anticorps « pré disponibles » dans notre corps. Doc 6 : expérience historique d’Emil Von Behring (1890) montrant la spécificité anticorps. Le rat A a naturellement développé des anticorps antidiphtérie. La présence d’anticorps anti-diphtérie (rat B) permet de neutraliser la toxine diphtérique (antigène) mais elle ne permet pas de neutraliser la toxine anti-tétanique (rat C). Doc 7 : injection à un rat de bactéries salmonelles. 5 Doc 7 : la multiplication des micro-organismes (salmonelles) dans l’organisme induit une augmentation rapide de la quantité d’antigènes de salmonelles (une semaine après l’infection). Environ 6 jours après l’infection, on observe l’apparition de molécules jusque là absentes dans le sang du rat : les anticorps. Leur nombre est maximal à partir de la 2ème semaine et reste constant les semaines suivantes. C’est bien les anticorps qui permettent la destruction des antigènes car ces derniers diminuent à mesure que les anticorps augmentent. la réaction impliquant les lymphocytes B est plus lente que la simple phagocytose. Une personne est dite séropositive pour un anticorps déterminé lorsqu’elle présente cet anticorps dans son sang. Ainsi, elle peut être séropositive au virus du SIDA, ou à la listéria… Doc 8 : les anticorps fixés aux lymphocytes B et les anticorps « circulant » c'est-à-dire dans le sang. Les LB ont des anticorps à leur surface, puis dès le premier contact avec un antigène, ils sécrètent en grand nombre des anticorps qui circuleront dans le sang. Attention : les échelles ne sont pas respectées lorsque l’on représente les anticorps : ce sont des molécules, donc beaucoup plus petites que les cellules (LB et bactéries). Les molécules ne se voient pas avec les microscopes du collège alors que les cellules se voient (sauf les très petites cellules). Voir activité « taille… ». Animation sur la spécificité des anticorps. http://www.edumedia-sciences.com/fr/a84-anticorps BILAN : Etapes de la réaction immunitaire avec les lymphocytes B (voir doc 8). - reconnaissance de l’élément étranger par les anticorps de surface du lymphocyte B spécifique - multiplication de ce lymphocyte B - sécrétion des anticorps circulants spécifiques par le lymphocyte B dans le sang - fixation sur les antigènes et neutralisation (complexe antigène-anticorps) - phagocytose des complexes. III – Lutte contre une infection virale: la défense par les lymphocytes T Lymphocyte T = type de leucocyte (globule blanc) qui élimine les cellules infectées par des virus. Mode d’action des lymphocytes T (LT) Contrairement aux bactéries, les virus après avoir circulé dans le sang, se développent à l’intérieur des cellules. Une cellule infectée par un virus présente à sa surface des antigènes viraux. Les lymphocytes T reconnaissent spécifiquement ces antigènes viraux, se complexent avec et tuent la cellule infectée par le virus. Les déchets (débris de la cellule infectée) sont ensuite éliminés par phagocytose. Dès la première relation LT-cellule infectée, les LT se multiplient. Remarque : quelque soit le type de réaction immunitaire engagée, il y a toujours une phagocytose. Doc 9 : action d’un lymphocyte T. Photo 1 : contact entre un lymphocyte T et une cellule infectée par un virus (le LT reconnait les antigènes). Photo 2 : après contact avec la cellule infectée, Le LT libère une substance qui perfore la cellule et la détruit. 6 Doc 10 : évolution du nombre de virus et de lymphocytes T présents dans le sang en fonction du temps chez un individu infecté par le virus de la grippe. On remarque que le nombre de virus diminue quand les LT augmentent et agissent. Les LT ne sont plus produits et meurent quand il n’y a plus de virus. Quand le système immunitaire n’est pas défaillant, il n’y a plus d’infection par le virus de la grippe 10 jours après l’infection. la réaction impliquant les lymphocytes T est plus lente que la simple phagocytose. IV – Des défenses renforcées : la vaccination et ses enjeux Lien avec l’activité expériences historiques (sur la vaccination). Doc 11 : la mémoire immunitaire. Mode d’action des lymphocytes B mémoire Au 1er contact avec l’antigène, certains lymphocytes ne se transforment pas en LB sécréteurs d’anticorps, mais en LB mémoire. Ils se multiplient et restent dans le sang. Au deuxième contact avec le même antigène, tout se passe comme si ces LB avaient « gardé en mémoire » la forme de cet antigène. Ainsi ils peuvent le reconnaitre et se transforment rapidement en LB sécréteurs d’anticorps spécifiques. Cette 2ème réaction est très rapide et très efficace. Le micro-organisme est alors éliminé avant que l’individu ne soit malade. La vaccination utilise cette propriété de mémoire immunitaire : on présente à l’organisme des microbes atténués, c’est à dire sans pouvoir pathogènes. En cas de contamination ultérieure, le système immunitaire est prêt à répondre très vite et très fort. Doc 12 : vaccination et éradication des maladies (d’après Science et Santé, 2015). Doc 13 : intérêt de la couverture vaccinale en termes de santé publique. 7 Conclusion: la vaccination repose sur le principe de la mémoire immunitaire grâce à la production de lymphocytes B mémoire. La vaccination permet de se protéger soi même, mais aussi de protéger les autres. Dans une population à forte couverture vaccinale, l’épidémie est maîtrisée. BILANS Phagocytose : réaction rapide, non spécifique. Lymphocytes B et T : lentes, spécifiques Lymphocytes B : détruisent les bactéries et les virus. Lymphocytes T : détruisent les cellules infectées par les virus. Et si le cœur vous en dit… Tous les C’est pas sorcier sont en libre consultation sur internet ! C’est pas sorcier « les grippes, virus sous surveillance » C’est pas sorcier « les antibiotiques, les bactéries font de la résistance » C’est pas sorcier « le SIDA, la lutte continue» (attention, tout n’est pas à jour dans cet épisode). 8 V – Des défenses affaiblies : le SIDA Lien avec l’activité SIDA Immunodéficience : incapacité de l’organisme à déclencher une réaction immunitaire. SIDA : Syndrome de l’ImmunoDéficience humaine Acquise (c’est le nom de la maladie). VIH : Virus responsable de l’Immunodéficience Humaine (c’est le nom du virus). Maladie opportuniste : maladie peu agressive habituellement, mais causant des complications si le système immunitaire est affaibli. Doc 15 : le mode d’action du virus VIH Certains lymphocytes, appelés lymphocytes T4 ont pout fonction de stimuler la multiplication et l’action des lymphocytes B et T. Or le VIH se multiplie et donc détruit ces cellules, les LT4. Doc 16 : les différentes phases de l’infection par le VIH en l’absence de traitement. La maladie du SIDA présente 3 phases (doc 16). 1ère phase : pendant les 8 semaines suivant l’infection, la quantité de VIH augmente, et par réaction immunitaire les anticorps correspondants augmentent également, l’individu est alors séropositif. Plus le VIH augmente, plus les Lymphocytes T4 (LT4) diminuent, car le VIH les détruits. 2ème phase (qui peut durer des années) : les anticorps agissent et maîtrisent le développement du virus. 3ème phase : SIDA déclaré : le virus « prend le dessus », se développe et détruit les LT4, les anticorps sont alors insuffisants pour enrayer la multiplication du VIH. Or les LT4 stimulent la production des lymphocytes B produisant les anticorps et des lymphocytes T détruisant les cellules infectées (doc 15). Les LT4 détruits, il y a immunodéficience : la protection de l’organisme n’est plus assurée, d’où la fragilité aux maladies opportunistes dont la personne séropositive meurt si elle n’est pas sous traitement (trithérapie). Sans traitement, l’individu meurt généralement 2 à 4 ans après le début de la phase SIDA déclaré d’une maladie opportuniste telle que pneumonie, diarrhée, mycose, problème hépatique, paralysie, troubles cérébraux… Avec la trithérapie médicamenteuse, on peut vivre des dizaines d’années en phase asymptomatique et repousser au maximum l’apparition de la phase SIDA déclaré. La contamination par le virus du SIDA (VIH) provoque une baisse de l’activité du système immunitaire, on parle d’une immunodéficience acquise. Le virus du SIDA pénètre dans certains lymphocytes où il se multiplie et entraîne leur destruction. Les défenses immunitaires sont alors peu à peu affaiblies et des maladies opportunistes se développent. Un test de séropositivité permet de déterminer si une personne a été contaminée par le VIH. Cette personne peut transmettre le virus sans pourtant présenter la maladie, et peut être sans le savoir. Seules les relations sexuelles protégées (préservatif) permettent d’éviter la contamination. Savoir : toutes les définitions citées en début de cours, et comprendre tous les mécanismes mis en jeu lors des réactions immunitaires… Savoir faire : savoir refaire toutes les activités. Savoir être : comprendre l’intérêt des agents infectieux sur la santé et l’intérêt des règles élémentaires d’hygiène, comprendre l’intérêt et les limites de l’utilisation des antibiotiques dans un souci de santé publique, comprendre l’intérêt individuel et collectif de la vaccination, connaître les risques de contamination par le VIH, les moyens de protection, les tests de détection. 9