Pictogrammes 3. Incidents : Signaler, c’est prévenir Un incident peut être un événement indésirable, un dégât matériel, un incendie, un accident évité… Analyse des causes premières Un flexible de gaz semble avoir été en contact avec une partie chaude d’un réchaud en fonctionnement, sans surveillance. Le flexible aurait fondu, libérant du gaz qui s’est directement enflammé. Leçons à tirer de cet événement Tout incident permet de réfléchir aux dangers, aux risques présents sur le lieu de travail et de mettre en place des mesures de prévention techniques, organisationnelles ou individuelles pour éviter l’accident, bien au-delà de la recherche de responsabilités de l’incident. Dans ce cas-ci, une quinzaine de mesures ont été prises, dont la modification des installations de gaz, le rappel de certaines consignes de sécurité, l’adaptation du plan interne d’urgence. Plus d’info : formulaire d’analyse des incidents et accidents Le 13 janvier 2015, un incendie s’est déclaré dans un atelier de pâtisserie sur le site du CERIA. Heureusement, seuls des dégâts matériels sont à déplorer. Sauvetage ou secours SOMMAIRE 1. Arrêt cardiaque. Agissez !... 2. L’appel aux urgences en cas d’accident Signaler tout incident au SIPP Chaque incident, même minime, est un événement important à analyser. Pour cela, le SIPP a créé le formulaire SIPP 108 d’analyse des accidents et incidents (obtention via intranet ou sur demande). Remplir ce formulaire, l’envoyer au SIPP, c’est éviter de futurs accidents. Pensez-y ! SM 3. Incidents : Signaler, c’est prévenir Contact SIPP Secrétariat : 02.800.86.42 [email protected] Numéro 13 Février 2015 1. Arrêt cardiaque : Agissez !... Le pire est de ne rien faire Sur votre lieu de travail, des défibrillateurs sont installés aux endroits suivants : 1. A l’Administration centrale Rue des Palais 2. Sur le site du Ceria : à la porterie, au FreeFlow, à l'Auditorium, au Complexe sportif (2 dont 1 réservé aux maîtres-nageurs sauveteurs), au Hall omnisports et au bâtiment 4A. 3. A l'Institut Redouté-Peiffer 4. A l'Institut Charles Gheude 5. A l'Institut Alexandre Herlin Un arrêt cardiaque, c'est quoi ? Comment le reconnaître ? - La victime perd connaissance et tombe, - La victime ne réagit pas à la voix forte et au secouement, - La victime ne respire pas (la poitrine ne se soulève pas) ou de manière très irrégulière. Témoin d'un arrêt cardiaque 3 réflexes qui peuvent sauver une vie : 1. Appeler le 112 et donner l'adresse précise 1 minute gagnée, c'est 10 % de chance de survie en plus ! Vous serez peut-être seul à pouvoir intervenir : n'hésitez pas, votre rôle est essentiel. 2. Commencer immédiatement le massage cardiaque Effectuez 30 pressions thoraciques fortes (enfoncez le sternum de 4 à 5 cm) à un rythme régulier de 100 pressions par minutes (un peu moins de 2 par seconde). 3. Utiliser un défibrillateur (DAE) Plus d’info sur le site http://liguecardioliga.be/ L' arrêt cardiaque, appelé aussi mort subite de l'adulte, est dû à un trouble du rythme cardiaque ; il est mortel en quelques minutes en l'absence de prise en charge. Une intervention rapide peut faire repartir le cœur et éviter de lourdes séquelles. 2. L’appel aux urgences en cas d’accident Le message d’appel aux services d’urgence est primordial. Les informations communiquées sont cruciales voire vitales pour l’adéquation des moyens de secours déployés. Comment s’y prendre ? Appeler le (l’appel est gratuit avec téléphone fixe ou avec téléphone portable même sans crédit) Qui appelle les secours ? Toute personne. Il s'agit de défibrillateurs externes totalement automatisés. Très simple d'utilisation, cet appareil portatif vous guide étape par étape (instructions sonores et visuelles), et garantit une utilisation sans risque : 1. Il vous indique où placer les électrodes sur la poitrine de la victime. 2. Il analyse le rythme cardiaque. 3. Si nécessaire, un choc sera donné par l'appareil. Il ne se déclenche pas si ce n'est pas nécessaire, il est donc impossible d'utiliser le dispositif de façon incorrecte ou de l'utiliser inutilement. Nous avons tous le pouvoir de sauver des vies. 7 fois sur 10, l'arrêt cardiaque survient devant témoin. 4 victimes sur 5 qui survivent à un arrêt cardiaque ont bénéficié de ces gestes simples. CD Elle communique les informations nécessaires aux secours. La personne la plus compétente reste auprès de la victime pour surveiller son état de santé. Que communiquer ? - RESTER CALME - Indiquer : Identité de l’appelant, Type d’accident (roulage, explosion, incendie, noyade, maladie, etc.). Localisation précise de l’accident (commune, rue et numéro, bâtiment, étage, numéro de local…); si accident / incident sur la route, préciser sens de circulation et repères visuels( bornes, …) Nombre et description des victimes : âge (bébé, enfant, adulte, personne âgée), état de conscience, coincée,... Description de dangers imminents : produits toxiques, émanations, explosion, AA incendie,...