Partie 1 du plan : L'histoire de la Radiothérapie : En médecine, le fait de soigner à l'usage de rayon est appelle la radiothérapie (italique). Les rayons X ont été découverts en 1895 par le physicien allemand Wilhelm Röntgen. Grâce à cette découverte, il a reçu le 1er prix Nobel de la physique. Il les intitula rayons « X » car leur matière été inconnue. En médecine, les rayons X sont utilisés pour accéder à des parties du corps sans mettre en danger le patient. Les applications médicales consistent à observer le squelette du patient. Les rayons X ont pour avantage de rendre visible l'os et son articulation. Par exemple, la radiographie pulmonaire est la visualisation de la circulation sanguine. Le principe de la radiothérapie : Le principe de la radiothérapie a été décrit peu de temps après la découverte des rayons X par Röntgen et celle de la radioactivité par Pierre et Marie Curie. La radiothérapie consiste a exposer des cellules cancéreuses d'un organisme (celui du patient) a une ionisation (émission de radiations qui va provoquer un changement de la composition de l'information génétique des cellules cancéreuses) l'ADN subit alors des transformations rendant les cellules incapables de se reproduire (stérilisation) qui réduit la reproduction des cellules responsables de la maladie. L’application principale est le traitement des cancers. Cependant les cellules non cancéreuses peuvent également être affectées par les radiations provoquant des effets secondaires plus ou moins graves dépendant du taux de radiation. Soit la radiothérapie exercée par un radiothérapeute est utilisée sur un patient atteint d'un cancer pour tuer les cellules cancéreuses grâce à des radiations qui modifient leur Information génétique, tout en préservant les cellules saines. Etre guérit du cancer est le bénéfice de la radiothérapie. Mais il y a des risques à prendre afin d'être soigné, car des effets secondaires peuvent survenir tout au long du processus de guérison. En effet, si la radiothérapie consiste à éradiquer la tumeur en l’irradiant elle peut entraîner sur de long des complications pour le patient. Il existe différents effets indésirables issus de la radiothérapie comme la modifications des cellules saines et donc de tissus (regroupement de cellules), un dysfonctionnement de certains organes étant touches par les rayons (par exemple : l'intestin ne pouvant plus digérer -> nausées diarrhées), un exemple beaucoup plus grave : la destruction du système immunitaire qui est très dangereux car l'homme est expose a de nombreuses maladies auxquelles il ne peut se défendre et aussi des symptômes divers stochastiques qui sont totalement aléatoires et ne dépendent pas de la dose reçu par le patient. Ils sont souvent des cancers ou des malformations dans la descendance génétique. Dans l'histoire de la radiothérapie, en France, quelques accidents graves et d'autres moins important ont eu lieu : Accident de Grenoble en 2003 Un problème de transmission des données entre le logiciel de planification de traitement (TPS) et l’accélérateur linéaire s’est produit. Dès lors, des filtres « en coin » n’ont pas été mis en place contrairement à ce qu’il aurait fallu. Ceci a conduit à la surexposition d’un patient en 2003. L’accident n’a été mis en évidence que fin 2004. Accident de Lyon en 2004 Une patiente doit être traitée par radiothérapie afin de circonscrire une malformation artérioveineuse au niveau du cerveau. Suite à un problème de communication au sein du service, un mauvais réglage du champ d’irradiation conduit à surexposer une zone plus importante que celle prévue par le traitement. Après de nombreuses complications obligeant à intervenir par chirurgie, la patiente décède début 2006 sans que le lien de causalité entre l’accident et l’apparition d’une fistule oeso-trachéale et d’une fibrose puisse être établi. Accident de Tours en 2004 Entre septembre et octobre 2004, un patient a été surexposé lors d’un traitement par radiothérapie externe en raison de la superposition anormale de deux champs d’irradiation qui auraient dus être jointifs. Des signes cliniques anormaux ont été diagnostiqués en novembre 2006, et la vérification des données du traitement par l’établissement ont mis en évidence que le patient a reçu une dose totale supérieure à celle initialement prévue. Accident de Toulouse en 2006 et 2007 Entre avril 2006 et avril 2007, des erreurs d'étalonnage de l'appareil de radio chirurgie du CHU de Toulouse ont entraîné la surexposition de 145 patients. Mais celui qui a marque le plus l'histoire est l'accident d'Epinal entre 2001 et 2006. On parle du "procès d'Epinal" Lundi 24 septembre à Paris pour juger sept prévenus dont deux médecins, un radio physicien et des cadres de santé publique. Plusieurs dizaines de victimes de ce drame, qui a causé la mort de sept personnes des suites de surdoses de radiations, seront présentes à l'ouverture de l'audience, au tribunal correctionnel de Paris, à 13 h 30. Une retransmission vidéo sera exceptionnellement organisée au tribunal de grande instance d'Epinal pour les parties civiles et leurs proches qui ne peuvent se déplacer. Six ans après les premières plaintes en 2006 et une instruction menée au pôle santé de la capitale, les anciens patients de l'hôpital Jean-Monnet d'Epinal souhaitent comprendre comment une telle accumulation d'erreurs a pu se produire dans cet établissement départemental de référence et pourquoi l'information des victimes fut si défaillante. Les doses utilisées : L’efficacité de la radiothérapie concerne chaque année 180 000 personnes en France. Son efficacité est reconnue car elle participe à environ 50 % des guérisons. Le développement de techniques plus pointues suscite des espoirs pour guérir mieux, et plus de malade. Il est donc important de maîtriser la quantité de radiations qui leur est fournie. Bernard Aubert, un expert en radioprotection médicale à l’IRSN à dit : « Délivrer une dose suffisante pour éradiquer la tumeur tout en épargnant au maximum les tissus sains : toute la problématique de la radiothérapie tient là ». Améliorer la radioprotection du patient en radiothérapie requiert de connaître avec précision la dose reçue, au niveau de la tumeur et des organes à risque. La dose délivrée au patient lors d’une séance de radiothérapie et sa répartition dans les tissus tumoraux et sains sont évaluées grâce à des logiciels de calcul. Il faut savoir que dans 5 à 10 % des cas, les patients traités par cette méthode souffrent de complications parfois graves. Conclusion de la partie 1 du plan avec phrase de transition pour passer à la partie 2 : Grâce à l’apparition des hautes énergies, les cancers dits autrefois incurables sont désormais bien guéris grâce à la radiothérapie. Toujours est-ils qu’aujourd’hui, la radiothérapie contribue au traitement de près de 60% des cancers et en France près de 70 000 malades sont traités chaque années par cette technique