Mémoire en réponse à l`avis de l`Autorité Environnementale 2016

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Région Nouvelle Aquitaine
Département des Pyrénées Atlantiques (64)
Mémoire en réponse à l’avis de
l’Autorité Environnementale
2016 - 4271
Projet de centrale photovoltaïque d’Artix Pardies
Site de l’ancienne centrale thermique d’Artix
Maître d’Ouvrage :
SAS Centrale Photovoltaïque d’Artix Pardies
Adresse du Demandeur :
EDF EN France
Cœur Défense - Tour B
100 Esplanade du Général De Gaulle
92932 Paris La Défense Cedex
Adresse de Correspondance :
EDF EN France - Agence de Toulouse
48, route de Lavaur
CS 83104
3113 Balma cedex
mail : [email protected]
Mai 2017
Communes d’Artix, d’Os-Marsillon et de Pardies
Projet d’Artix Pardies(64) – Mémoire en réponse à l’avis de l’Autorité Environnementale
SOMMAIRE
1.
CONTEXTE ET OBJECTIFS................................................................................................................................ 2
2.
PRECISIONS SUR LA BANDE DE RETRAIT ..................................................................................................... 3
3.
PRECISIONS SUR LE NIVEAU D’INCERTITUDE ENGENDRE PAR LE PROTOCOLE D’INVENTAIRE
NATURALISTE ..................................................................................................................................................... 4
3.1.
METHODES ................................................................................................................................................... 4
3.1.1.
Périodes d’étude et pression d’inventaire ........................................................................................... 4
3.1.2.
Méthodes d’identification .................................................................................................................... 5
3.2.
RESULTATS .................................................................................................................................................. 6
3.2.1.
Habitats naturels et flore associées .................................................................................................... 6
3.2.2.
Faune ................................................................................................................................................ 11
3.2.3.
Synthèse des nouveaux enjeux associés au milieu naturel ............................................................. 13
3.3.
CONCLUSIONS ............................................................................................................................................ 13
1. CONTEXTE ET OBJECTIFS
Le projet de centrale photovoltaïque d’Artix a fait l’objet d’une étude d’impact pour laquelle l’autorité
environnementale a été saisie le 26 décembre 2016. Cette dernière a publié son avis le 24 février 2017
en formulant les observations suivantes sur la prise en compte du milieu naturel :
« I.3 – Milieu naturel
« Sur la base d’un état initial présentant des incertitudes potentiellement importantes, le MOA a choisi
d’éviter les secteurs « potentiellement intéressants » d’un point de vue écologique….., ainsi que de
maintenir une bande de 18 m environ entre le haut de talus de la berge du Gave de Pau et la limite du
projet afin de permettre le passage de la petite faune (p.139),…. La largeur de la bande estimée à 18 m
mériterait d’être précisée, les plans présentés dans le document PC2-plans de masse des
constructions, ne faisant pas référence à ce retrait »
« Même si le projet correspond à un ancien site industriel fortement anthropisé, compte tenu de la
situation du projet dans l’emprise de sites identifiés pour leur intérêt écologique (Natura 2000 et ZICO),
l’Autorité environnementale considère que les méthodes adéquates permettant de s’assurer de
l’absence d’enjeux n’ont pas toutes été mises en œuvre et qu’il subsiste donc des incertitudes. Par
exemple, la caractérisation des habitats naturels et l’identification de la flore « non tardive » restent
soumises à interprétation.
Ainsi, compte tenu des incertitudes engendrées par la méthode d’évaluation retenue par le maitre
d’ouvrage, l’Autorité environnementale considère que la séquence « éviter, réduire, compenser » n’est
pas complètement aboutie et que, par voie de conséquence, l’estimation des impacts résiduels du
projet parait incomplète. A minima, il s’agirait d’évaluer l’impact des incertitudes identifiées sur la
caractérisation des enjeux, et par voie de conséquence notamment sur l’identification des zones
humides et sur l’évaluation des incidences Natura 2000. Idéalement il s’agirait d’apporter quelques
compléments d’information permettant de lever, au moins en partie, ces incertitudes. »
Source : Avis de l’AE du 24/02/17
Le présent document constitue le mémoire en réponse aux 2 observations formulées et est à joindre au
dossier d’enquête publique.
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Projet d’Artix Pardies(64) – Mémoire en réponse à l’avis de l’Autorité Environnementale
2. PRECISIONS SUR LA BANDE DE RETRAIT
La coupe présentée en p.139 de l’étude d’impact est une coupe de principe qui illustre la transparence
écologique préservée de la ripisylve du Gave de Pau.
Il convient de se référer aux plans PC dont un extrait est proposé ci-après pour la définition de la
largeur de la bande de retrait depuis le haut du talus jusqu’à la clôture du projet. L’extrait de plan
géomètre présentée également ci-après permet d’appréhender la largeur de la bande de retrait depuis
le lit mineur du Gave de Pau.
Lit mineur du
gave : Lévé
géomètre de
décembre 2016
Bande de retrait de 6 m minimum du haut du talus
Bande de retrait de 15 m minimum du lit mineur du Gave
Extrait des plans de la demande de permis de construire (PC2)
Extrait des plans de la demande de permis de construire (PC2)
avec relévé géomètre (décembre 2016) du lit mineur du Gave
Les bandes de retrait définies sont conformes aux prescriptions du PPRI et permettent la
transparence écologique de la ripisylve du Gave de Pau.
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Projet d’Artix Pardies(64) – Mémoire en réponse à l’avis de l’Autorité Environnementale
3. PRECISIONS SUR LE NIVEAU D’INCERTITUDE ENGENDRE PAR LE
PROTOCOLE D’INVENTAIRE NATURALISTE
Les observations faites par l’Autorité Environnementale ne remettent pas en question l’ensemble de
l’analyse mais indiquent qu’en l’absence de donnée sur un cycle biologique complet et en particulier sur
des observations faites au printemps, l’état initial contient des incertitudes. Cela conduit à une
impossibilité d’apprécier la pertinence de l’analyse qui en découle (enjeux, impacts, mesures ERC).
En réponse à cet avis, EDF Energies Nouvelles a choisi de faire réaliser deux campagnes d’inventaires
complémentaires de printemps permettant en particulier de combler les carences sur les thématiques
suivantes :
•
Flore « non tardive » (= flore printanière)
•
Habitats naturels
•
Zones humides
•
Amphibiens
•
Oiseaux nicheurs
Calendrier de réalisation des campagnes de relevés de terrain au regard des stades phénologiques des taxons intéressants
sur l’aire d’étude immédiate
3.1. METHODES
3.1.1. PERIODES D’ETUDE ET PRESSION D’INVENTAIRE
Deux campagnes de terrain complémentaires ont été réalisées en 2017 dans le but de conforter les
observations réalisées sur le site. Ces 2 campagnes de terrain ont été réalisées par des Ingénieurs
Ecologues d’IDE Environnement. Ainsi, on peut considérer que le cycle biologique du vivant est couvert
et que tous les taxons ont été correctement pris en compte dans le cadre de l’étude.
La pression d’inventaire retenue dans le cadre de cette étude globale est donc la suivante :
Date de la campagne
Conditions météorologiques
22 Septembre 2016
Soleil, Peu de vent
16 Novembre 2016
Nuageux avec des éclaircies
28 mars 2017
Diurne : Soleil, vent faible
Nocturne : Dégagé, vent faible
26 avril 2017
Eclaircies, peu de vent
Dans le cadre de l’étude du milieu naturel pour ce projet, les protocoles mis en place sont jugés
représentatifs grâce aux campagnes complémentaires réalisées en 2017.
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3.1.2. METHODES D’IDENTIFICATION
a) Identification de la flore et des habitats
L’identification des biotopes a été réalisée par nos soins au cours de nos études de terrain à partir des
espèces végétales rencontrées, et sur la base de la nomenclature CORINE biotope.
L’acquisition des données s’est faite à pied sur l’ensemble de l’emprise concernée, en parcourant le site
par type d’habitat. L’identification de la flore s’est faite par type de formation végétale, de façon à
obtenir une liste d’espèces aussi exhaustive que possible par station.
La plupart des espèces ont été identifiées in situ. D’autres ont été identifiées au bureau ou à l’aide de
photos prises sur le terrain.
b) Identification de la faune
Pour l’inventaire faunistique, la méthode de prospection est la suivante :
-
Invertébrés : prospection systématique des habitats d’intérêt au sein du site de l’aire d'étude
immédiate (zone ouverte, recherche de vieux arbres pouvant accueillir des coléoptères
saproxiliques, zones en eau, ruisseau...) ; pour les Odonates, le relevé des imagos s’est fait soit
par capture au filet à papillons, soit par l'identification lointaine avec les jumelles ; pour les
Rhopalocères, la capture s’est également faite à l'aide du filet à papillons si besoin, mais
l'identification d'un bon nombre d'espèces présentes dans la zone d’étude ne nécessite pas
forcément l'utilisation du filet, leur identification pouvant être faite directement de visu ; tous les
individus capturés au filet ont bien évidemment été relâchés sur place ;
-
Amphibiens : observations préalables via la recherche et l’inspection diurne de toutes les « zones
humides » de l’aire d’étude : stagnations d’eau, mare, fossé ou ruisseau, en recherchant les adultes,
les juvéniles, les larves et les pontes ; suivi de prospections nocturnes sur les secteurs ayant été
identifiés de jours comme étant favorables à la reproduction des amphibiens, en recherchant des
individus (tous les stades de développement), ainsi qu’en réalisant des écoutes de chants pour les
anoures ;
-
Reptiles : inspection diurne en marchant très lentement selon un transect aléatoire, dans les zones
ensoleillées ou parfois humides (pour certaines espèces) propices à la présence des reptiles ;
prospection visuelle des pierres, souches d’arbres, lisières… ;
-
Oiseaux : l’inventaire des oiseaux a été effectué à l’aide de contacts visuels et auditifs ; toutes les
journées de terrain ont donné lieu à un inventaire complet de l’avifaune observée et entendue
pendant toute la durée de présence sur site. Par ailleurs, nous avons systématiquement recherché
des zones de nidification ou de repos potentielles : prospection à la jumelle des haies et arbres,
ruines, falaises et recherche de nids au sol.
-
Micromammifères : méthode du transect aléatoire compte tenu de la difficulté à observer les
micromammifères (rongeurs et insectivores). Aucune capture d’individu n’a été réalisée ;
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-
Chiroptères : l'analyse des populations de chauve-souris se fait de jour, une recherche
systématique des gîtes potentiels est effectuée. Elle se concentre spécifiquement sur les arbres
matures présentant des cavités et les bâtisses anciennes présentes dans l’aire d’étude immédiate.
Des indices de présence tels que les guanos ou les restes de repas sont également recherchés
dans ces endroits stratégiques. L'analyse des structures paysagères et des habitats naturels est
également utilisée pour présupposer des itinéraires de chasse nocturne des chauves-souris ;
Autres mammifères : investigations multi-paramètres basées sur des contacts visuels et l’identification
d’indices de présence (traces, excréments, terriers, pelote de réjection, épreintes, empreintes, restes
alimentaires, poils, abris et passages, etc.).
c) Zones humides
Le Conseil d’Etat a, dans une décision en date du 22 février 2017, précisé que les critères législatifs
d’identification d’une zone humide, lorsque de la végétation y existe, sont cumulatifs et non alternatifs
(CE, 22 février 2017, n° 386325) ce qui va à l’encontre de ce qui était écrit dans le texte jusqu’alors
(arrêté du 24 juin 2008 et son arrêté modificatif du 1er octobre 2009 précisent les critères de définition
et de délimitation des zones humides en application des articles L. 214-7-1 et R. 211-108 du Code de
l'environnement). Ainsi, pour qu’une zone soit diagnostiquée humide, elle doit présenter les deux
critères (végétation et pédologie) et non l’un ou l’autre.
L’approche végétation a donc été réalisée au cours des 2 campagnes printanières.
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3.2. RESULTATS
3.2.1. HABITATS NATURELS ET FLORE ASSOCIEES
La campagne printanière n’a pas conduit à une modification de la carte des habitats naturels. En effet,
les habitats sont artificiels et avaient été correctement diagnostiqués à l’occasion de la campagne de
septembre 2016.
La campagne réalisées en avril 2017 a en revanche permis d’alimenter l’inventaire botanique en étant
réalisé a une période propice à l’observation de ce taxon.
Il n’a cependant été détecté aucune espèce végétale rare, protégée, ou représentant un enjeu local.
La présence d’espèces exotiques envahissantes en grand nombre au sein de l’aire d’étude a été
confirmée suite à cette étude printanière.
L’aire d'étude immédiate est occupée par une mosaïque d’habitats d’origine anthropique. L’impact
humain peut être toujours existant et permanent (petits parcs, site industriel) ou bien passé (zones
rudérales).
Les habitats sont les suivants :
-
Milieu forestier : Boisement caducifolié (code Corine : 41.H) ;
-
Milieux anthropisés : Petits parcs (code Corine : 85.2), site industriel (code Corine : 86.3),
Zones rudérales (code Corine : 87.2) et Petits canaux (code Corine : 89.22).
Les relevés printaniers n’ont pas mis en évidence de zones humides. Pour rappel, l’examen
pédologique n’a pu être mené en 2016 en raison de la nature du sol qui ne permettait pas de creuser à
la tarière manuelle. L’examen de la végétation réalisé en 2017 montre une faible présence d’espèces
hygrophiles avec uniquement le Jonc glauque, dont la présence sporadique (recouvrement inférieur à
1%) ne permet pas de conclure à une présence de zone humide.
En l’absence de verdicts positifs pour l’approche pédologique et pour l’approche végétation, et
conformément à l’arrêté du conseil d’état du 22 février 2017, il n’y a aucune zone humide au sein de
l’aire d’étude immédiate.
Synthèse :
En dehors du boisement caducifolié, les habitats présents au sein de l’aire d’étude immédiate
ont une origine anthropique. Ce sont des habitats banals, caractéristiques des secteurs
industriels. Deux cas de figure se présentent : soit les activités humaines sont toujours
présentes et la végétation est inexistante ou choisie (plantes ornementales) ; soit les activités
humaines sont passées et la végétation colonise le milieu de manière subspontannée. Le
caractère pionnier de cette colonisation favorise alors le développement des espèces exotiques
à caractère envahissant qui sont omniprésentes dans ce secteur avec 10 espèces différentes.
Cette prolifération a un impact sur les milieux naturels attenant puisque le boisement caducifolié
voit également quelques espèces de ce type se développer.
Il n’y a pas de zones humides au sein de l’aire d’étude immédiate.
Aucune espèce végétale protégée n’a été rencontrée au cours des campagnes de terrain.
Le tableau ci-dessous reprend en détail l’ensemble des habitats identifiés au droit de l’aire d'étude
immédiate, avec leur dénomination selon la nomenclature en vigueur « CORINE Biotopes » et leur
statut de protection selon la directive européenne « Habitat » 97/62/CE. La figure en page suivante
présente la cartographie de ces habitats dans l’aire d’étude.
Type
d’habitat
Corine Biotope
(code)
Habitat
d’intérêt
communautaire
(Nautra 2000)
Habitats
forestiers
Boisement caducifolié
(41.H)
Non
Petits parcs (85.2)
Non
Anciens sites
industriels (86.4)
Non
Zones rudérales (87.2)
Petits canaux (89.22)
Habitats
anthropiques
ou
anthropisés
Surface au sein de
l’aire d’étude
immédiate (ha)
Proportion au sein de
l’aire d’étude immédiate
(%)
1,28
19,5
1,20
18,2
1,03
15,7
Non
2,98
45,5
Non
0,07
1,1
Tableau 1 : Habitats naturels au sein de l’aire d’étude immédiate
Mai 2017
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Habitats naturels au sein de l’aire d’étude immédiate
Source : IDE Environnement
Mai 2017
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Milieu
Petits parcs
85.2
Zones rudérales
87.2
Statut
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
X
x
x
x
x
x
x
x
Exotique
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Exotique
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Exotique
Exotique
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Espèce
Strate
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Arborée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Mai 2017
Nom vernaculaire
Nom scientifique
Ailante
Ajonc d'Europe
Arbousier
Aubépine monogyne
Buddleia de David
Charme
Chêne d'Amérique
Chêne pédonculé
Cornouiller sanguin
Eglantier sauvage
Frêne
Fusain d’Europe
Genêt à balais
Noisetier
Noyer
Orme champêtre
Peuplier
Pin
Platane
Pyracantha
Robinier faux acacia
Saule
Sureau noir
Achillée millefeuille
Arum d’Italie
Bec de grue commun
Blackstonie perfoliée
Bouton d’or
Bryone dioïque
Bugle rampant
Calament glanduleux
Callune
Cardère sauvage
Carotte sauvage
Céraiste aggloméré
Clématite des haies
Coquelicot
Crépide
Euphorbe des bois
Euphorbe petit cyprès
Flouve odorante
Folle avoine
Fraisier des bois
GaIllet gratteron
Géranium à feuilles molles
Géranium découpé
Ailanthus altissima
Ulex europaeus
Arbutus unedo
Crataegus monogyna
Buddleja davidii
Carpinus betulus
Quercus rubra
Quercus robur
Cornus sanguinea
Rosa canina
Fraxinus excelsior
Euonymus europaeus
Cytisus scoparius
Corylus avellana
Juglans regia
Ulmus campestris
Populus sp.
Pinus sp.
Platanus sp.
Pyracantha sp.
Robinia pseudoacacia
Salix sp.
Sambucus nigra
Achillea millefolium
Arum italicum
Erodium cicutarium
Blackstonia perfoliata
Ranunculus acris
Bryonia dioica
Ajuga reptans
Clinopodium nepeta
Calluna vulgaris
Dipsacus fullonum
Daucus carota
Cerastium glomeratum
Clematis vitalba
Papaver rhoeas
Crepis sp.
Euphorbia amygdaloides
Euphorbia cyparissias
Anthoxantum odoratum
Avena fatua
Fragaria vesca
Galium aparine
Geranium molle
Geranium dissectum
Bois de feuillus
41.H
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
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Espèce
Strate
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Mai 2017
Nom vernaculaire
Nom scientifique
Germandrée scorodoine
Grande oseille
Herbe à Robert
Herbe de la pampa
Houlque laineuse
Jonc glauque
Laiche pâle
Lierre commun
Lierre terrestre
Lin cultivé
Lotier corniculé
Luzerne d’Arabie
Luzule champêtre
Mache doucette
Marguerite
Mélitot blanc
Menthe
Millepertuis perfolié
Molène
Morelle noire
Mouron rouge
Myosotis des champs
Onagre bisannuelle
Onagre rosée
Origan
Paquerette
Petite brunelle
Petite oseille
Piloselle
Pimprenelle
Pissenlit
Plantain lancéolé
Polygala commun
Pulicaire dysentérique
Raisin d'Amérique
Renouée du Japon
Ronces
Rubéole des champs
Saponaire officinale
Séneçon commun
Séneçon du Cap
Sérapias à languette
Tamier commun
Trèfle blanc
Trèfle des près
Trèfle douteux
Vergerette
Teucrium scorodonia
Rumex acetosa
Geranium robertianum
Cortaderia selloana
Holcus lanatus
Juncus inflexus
Carex pallescens
Hedera helix
Glechoma hederacea
Linum usitatissimum
Lotus corniculatus
Medicago arabica
Luzula campestris
Valerianella locusta
Leucanthemum vulgare
Melilotus albus
Mentha sp.
Hypericum perforatum
Verbascum sp.
Solanum nigrum
Lysimachia arvensis
Myosotis arvensis
Oenothera biennis
Oenothera rosea
Origanum vulgare
Bellis perennis
Prunella vulgaris
Rumex acetosella
Hieracium pilosella
Sanguisorba minor
Taraxacum sp.
Plantago lanceolata
Polygala vulgaris
Pulicaria dysenterica
Phytolacca americana
Reynoutria japonica
Rubus sp.
Sherardia arvensis
Saponaria officinalis
Senecio vulgaris
Senecio inaequidens
Serapias lingua
Dioscorea communis
Trifolium repens
Trifolium pratense
Trifolium dubium
Erigeron sp.
Bois de feuillus
41.H
Milieu
Petits parcs
85.2
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
Zones rudérales
87.2
Statut
x
x
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Exotique
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Exotique
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Exotique
Exotique
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Exotique
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Exotique
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
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x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
x
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x
x
x
x
x
x
x
x
x
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Espèce
Strate
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Herbacée
Nom vernaculaire
Nom scientifique
Véronique de Perse
Véronique des champs
Vesce cultivée
Vesce hérissée
Veronica persica
Veronica arvensis
Vicia sativa
Vicia hirsuta
Bois de feuillus
41.H
x
Milieu
Petits parcs
85.2
Zones rudérales
87.2
x
x
x
x
x
x
x
Statut
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Non protégée
Espèces végétales observées au sein de l’aire d’étude immédiate
Mai 2017
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Projet d’Artix Pardies(64) – Mémoire en réponse à l’avis de l’Autorité Environnementale
3.2.2. FAUNE
Synthèse :
Aucun gite à chiroptère n’est présent au sein de l’aire d’étude. Les terrains du projet constituent
une zone de chasse pour les espèces de chauves-souris qui gitent dans les boisements à
proximité de l’aire d’étude immédiate.
a) Avifaune
Les campagnes réalisées en 2017 n’apportent pas de nouveaux éléments sur cette thématique. Des
espèces de passereaux sont potentiellement nicheuses au sein de l’aire d’étude immédiate mais bien
que protégées celles-ci sont très communes et ne présentent pas d’enjeux de conservation particulier
(Mésanges, Pinson des arbres, Bruant zizi, Rougegorge familier…).
En ce qui concerne les espèces d’oiseaux qui fréquentent la ZPS située en amont du barrage, aucune
n’a été identifiée au cours des différentes campagnes de terrain sur les terrains du projet que ce soit
pour le repos, le nourrissage ou la reproduction.
Nom latin
Ixobrychus minutus
Nycticorax nycticorax
Ardeola ralloides
Egretta garzetta
Egretta alba
Ardea purpurea
Ciconia ciconia
Platalea leucorodia
Aythya nyroca
Mergus albellus
Milvus migrans
Milvus milvus
Nom vernaculaire
Blongios nain
Bihoreau gris
Crabier chevelu
Aigrette garzette
Grande aigrette
Héron pourpré
Cigogne blanche
Spatule blanche
Fuligule nyroca
Harle piette
Milan noir
Milan royal
Nom latin
Hieraaetus pennatus
Pandion haliaetus
Porzana porzana
Grus grus
Himantopus himantopus
Recurvirostra avosetta
Philomachus pugnax
Limosa lapponica
Tringa glareola
Sterna hirundo
Chlidonias hybridus
Chlidonias niger
Nom vernaculaire
Aigle botté
Balbuzard pêcheur
Marouette ponctuée
Grue cendrée
Échasse blanche
Avocette élégante
Chevalier combattant
Barge rousse
Chevalier sylvain
Sterne pierregarin
Guifette moustac
Guifette noire
c) Mammifères (hors chiroptères)
Les campagnes de 2017 n’apportent aucune nouvelle information sur ce groupe taxonomique.
Synthèse :
Seule la présence du Renard roux a été mise en évidence par l’étude de terrain. Cette espèce
n’est pas protégée et n’a pas de valeur patrimoniale.
d) Reptiles
Les campagnes de 2017 n’apportent aucune nouvelle information sur ce groupe taxonomique.
Espèces d’oiseaux sur la ZPS « Barrage d’Artix et saligues du Gave de Pau »
Synthèse :
Synthèse :
Au sein de l’aire d’étude, plusieurs espèces d’oiseaux protégés sont potentiellement nicheuses.
Ces espèces sont toutes communes, ont toutes un statut de conservation favorable au niveau
national et la plupart sont adaptées à la présence de l’homme. Les espèces d’oiseaux à enjeux
qui fréquentent la ZPS n’utilisent pas les terrains du projet au cours de leur cycle biologique.
b) Chiroptères
La campagne nocturne de 2017 a permis de confirmer que la lisière du boisement à l’Ouest de l’aire
d’étude est une zone de chasse prisée par les chiroptères. Dans le cadre de la conception du projet, la
démarche itérative a conduit à une préservation intégrale du boisement. La zone rudérale en elle-même
est moins fréquentée par les chiroptères.
Mai 2017
Deux espèces ont été observés : une espèce protégée mais très commune (Lézard des
murailles) et une espèce exotique envahissante (Tortue de Floride).
e) Amphibiens
De par l’absence de zones humide, les terrains du projet ne sont pas favorables à ce groupe d’espèces.
Les canaux qui traversent le projet sont toutefois fréquentés par la Grenouille verte (protection
nationale). Cette grenouille s’adapte à toutes les pièces d’eau y compris comme dans le cas présent
dans des zones très artificialisées, chenalisées, sans aucune berge, avec une qualité de l’eau
relativement mauvaise.
Lors de la campagne de fin d’hiver réalisée en mars 2017, deux spécimens de Crapaud commun ont
également été observés au sein des canaux. Ces individus semblaient en lutte pour leur survie plus
qu’en recherche de partenaire pour la reproduction. Au cours de la campagne nocturne, aucun
amphibien n’a été observé ou entendu au sein de l’aire d’étude immédiate à aucun stade de
développement.
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Projet d’Artix Pardies(64) – Mémoire en réponse à l’avis de l’Autorité Environnementale
Synthèse :
Dans les canaux qui parcourent l’aire d’étude, la Grenouille verte et le Crapaud commun ont été
observés. La conception du projet prévoit la préservation intégrale de ces canaux.
f)
Espèce
Groupe
Aucune nouvelle donnée n’a été générée à l’occasion de ces campagnes sur les coléoptères ou sur les
odonates.
Synthèse :
Les terrains du projet sont propices à une certaine diversité entomologique qui est susceptible
de fréquenter l’aire d’étude en particulier pour le nourrissage (Lépidoptères et Odonates). Il n’est
toutefois pas redouté que des espèces rares ou protégées se reproduisent au sein de l’aire
d’étude immédiate.
Nom scientifique
Amphibiens
Amphibiens
Crapaud commun
Grenouille verte
Lépidoptères
Lépidoptères
Lépidoptères
Lépidoptères
Lépidoptères
Lépidoptères
Lépidoptères
Lépidoptères
Aurore
Azuré commun
Azuré de la faucille
Azuré des nerpruns
Azuré du trèfle
Citron
Collier de corail
Cuivré fuligineux
Lépidoptères
Lépidoptères
Lépidoptères
Lépidoptères
Lépidoptères
Lépidoptères
Moro-sphinx
Myrtil
Paon du jour
Petit mars changeant
Petite tortue
Piéride de la moutarde
Lépidoptères
Lépidoptères
Lépidoptères
Lépidoptères
Lépidoptères
Mammifères
Odonates
Odonates
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Piéride de la rave
Pieris rapae
Robert le diable
Polygonia c-album
Souci
Colias crocea
Tircis
Pararge aegeria
Vulcain
Vanessa atalanta
Renard
Vulpes vulpes
Anax empereur
Anax imperator
Sympetrum strié
Sympetrum striolatum
Accenteur mouchet
Prunella modularis
Aigrette garzette
Egretta garzetta
Bergeronnette des ruisseaux
Motacilla cinerea
Bergeronnette grise
Motacilla alba
Bouscarle de cetti
Cettia cetti
Bruant zizi
Emberiza cirlus
Buse variable
Buteo buteo
Canard colvert
Anas platyrhynchos
Chardonneret élégant
Carduelis carduelis
Phalacrocorax
Cormoran huppé
aristotelis
Corneille noire
Corvus corone
Cygne tuberculé
Cygnus olor
Etourneau sansonnet
Sturnus vulgaris
Faucon crécerelle
Falco tinnunculus
Fauvette à tête noire
Sylvia atricapilla
Fauvette des jardins
Sylvia borin
Geai des chênes
Garrulus glandarius
Grande aigrette
Egretta alba
Entomofaune
Les campagnes de 2017 ont permis d’observer plusieurs espèces de Lépidoptères qui n’avaient pas été
détectées en 2016. Ces espèces sont toutefois toutes communes et aucune d’entre elle n’est protégée.
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Mai 2017
Nom commun
Bufo bufo
Rana kl. Esculentus
Anthocharis
cardamines
Polyommatus icarus
Everes alcetas
Celastrina argiolus
Cupido argiades
Gonepteryx rhamni
Aricia agestis
Lycaena tityrus
Macroglossum
stellatarum
Maniola jurtina
Aglais io
Apatura ilia
Aglais urticae
Leptidea sinapsis
Statut
LC ; Protection nationale
NT ; Protection nationale
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
NA ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
NA ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Non protégée
LC ; Protection nationale
LC ; Protection nationale Directive Oiseaux : Annexe I
LC ; Protection nationale
LC ; Protection nationale
NT ; Protection nationale
LC ; Protection nationale
LC ; Protection nationale
LC ; Non protégée
VU ; Protection nationale
LC ; Protection nationale
LC ; Directive Oiseaux : Annexe II
LC ; Protection nationale
LC ; Non protégée
NT ; Protection nationale
LC ; Protection nationale
NT ; Protection nationale
LC ; Non protégée ; Directive oiseaux : annexe II
NT ; Protection nationale Directive oiseaux : annexe I
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Projet d’Artix Pardies(64) – Mémoire en réponse à l’avis de l’Autorité Environnementale
3.3. CONCLUSIONS
Espèce
Groupe
Nom commun
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Oiseaux
Grimpereau des jardins
Grive musicienne
Héron cendré
Héron garde-bœufs
Hirondelle des fenêtres
Hirondelle rustique
Merle noir
Mésange à longue queue
Mésange bleue
Mésange charbonnière
Mésange nonnette
Milan noir
Pic épeiche
Pic vert
Pie bavarde
Pigeon biset
Pigeon ramier
Pinson des arbres
Pouillot véloce
Roitelet à triple bandeau
Roitelet huppé
Rougegorge familier
Rougequeue noir
Tourterelle turque
Oiseaux
Oiseaux
Reptiles
Troglodyte mignon
Verdier d'Europe
Lézard des murailles
Tortue de Floride
Reptiles
Nom scientifique
Statut
Certhia brachydactyla
LC ; Protection nationale
Turdus philomelos
LC ; Directive Oiseaux : Annexe II
Ardea cinerea
LC ; Protection nationale
Bubulcus ibis
LC ; Protection nationale
Delichon urbicum
NT ; Protection nationale
Hirundo rustica
NT ; Protection nationale
Turdus merula
LC ; Non protégée
Aegithalos caudatus
LC ; Protection nationale
Parus caeruleus
LC ; Protection nationale
Parus major
LC ; Protection nationale
Parus palustris
LC ; Protection nationale
Milvus migrans
LC ; Protection nationale ; Directive oiseaux : annexe I
Dendrocopos major
LC ; Protection nationale
Picus viridis
LC ; Protection nationale
Pica Pica
LC ; Non protégée
Columba livia
DD ; Directive Oiseaux : Annexe II
Columba palumbus
LC ; Non protégée
Fringilla coelebs
LC ; Protection nationale
Phylloscopus collybita
LC ; Protection nationale
Regulus ignicapilla
LC ; Protection nationale
Regulus regulus
NT ; Protection nationale
Erithacus rubecula
LC ; Protection nationale
Phoenicurus ochruros
LC ; Protection nationale
Streptopelia decaocto
LC ; Non protégée
Troglodytes
troglodytes
LC ; Protection nationale
Carduelis chloris
VU ; Protection nationale
Podarcis muralis
LC ; Protection nationale, Directive Habitats : annexe IV
Trachemys scripta
elegans
NA ; Non protégée
Conformément à ce qui a été suggéré par l’Autorité Environnementale dans son avis du 24 février 2017,
la société EDF Energies Nouvelles a mis en œuvre les moyens pour lever les incertitudes sur l’état
initial du milieu naturel.
Il a ainsi été réalisé deux campagnes de terrain complémentaires de printemps qui ont permis de
solidifier les connaissances sur les thématiques suivantes en s’appuyant sur des observations aux
périodes propices :
•
Flore « non tardive » (= flore printanière)
•
Habitats naturels
•
Zones humides
•
Amphibiens
•
Oiseaux nicheurs
Ces campagnes apportent des informations pour ces différentes thématiques sans toutefois
modifier les enjeux identifiés dans l’étude d’impact initial. Par conséquent, l’évaluation
environnementale du projet sur le milieu naturel qui a été présentée dans le dossier d’étude
d’impact déposé le 15 décembre 2016 n’est pas remise en question.
Espèces faunistiques observées au sein de l’aire d’étude immédiate
3.2.3. SYNTHESE DES NOUVEAUX ENJEUX ASSOCIES AU MILIEU NATUREL
Les observations complémentaires réalisées au printemps 2017 ne modifient pas la caractérisation et la
hiérarchisation des enjeux associés au milieu naturel identifiés au sein de l’aire d’étude en 2016.
Mai 2017
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