Nouvelle clinique de Montredon Ouverture prévue er 1 trimestre 2019 Le groupe MédiPôle Partenaires a reçu le feu vert pour le permis de construire en février dernier. L a future polyclinique prendra place dans le Pôle santé qui regroupera des activités médicales et paramédicales au sein de la ZAC Pôle Santé de Montredon (41 ha), dans la future zone de Montredon-Névian. En plus de l’établissement de soins, le Pôle Santé accueillera également des cabinets médicaux, un laboratoire d’analyses et un centre d’imagerie. Pour Claudie Julien, directrice de la Polyclinique Le Languedoc : « Notre nouvelle clinique sera un établissement de santé tourné vers l’avenir. Il sera d’ailleurs certifié HQE (Haute Qualité Environnementale) et va privilégier le confort du patient et centraliser sur une même zone un important pôle médical polyvalent. Notre nouvel établissement va nous permettre d’attirer de nouveaux professionnels de santé, d’offrir à la population une plus grande offre de soins et de renforcer une synergie entre les professionnels de santé, ville et établissements de soins. Enfin, nous pourrons faciliter les conditions de travail du personnel avec notamment la création d’une crèche sur le site. » Pour la direction du groupe MédiPôle Partenaires « Une étape de plus franchie ! Enfin nous touchons au but d’un beau projet conçu et accompagné par toutes nos équipes, médecins et salariés, avec obstination et enthousiasme. Nous avons un devoir de participer à la qualité de vie d’un territoire par un pôle de santé attractif qui naîtra ici au cœur d’une région à la démographie forte. Cette construction moderne dont les travaux débuteront au premier semestre 2017, bénéficiera d’une capacité d’accueil de plus de 300 lits et de l’installation de matériels de pointe qui participeront à la meilleure prise en charge possible des patients. Et c’est avant tout un projet d’entreprise, médical et social. La prochaine étape du projet sera la signature de l’achat du terrain le 10 novembre 2016, accompagnée d’une présentation officielle de la maquette et du nom du futur établissement. » Aude Polyclinique Montréal, Carcassonne Prise en charge des diverticulites Comme dans beaucoup d’autres champs de la pathologie digestive, les données et la prise en charge de la maladie diverticulaire évoluent vite. P our rappel, la diverticulose, dont la prévalence est très élevée dans nos pays occidentaux, reste asymptomatique dans 80 % des cas. Parmi les 20 % de patients symptomatiques, il y a deux complications : l’hémorragie diverticulaire, spontanément résolutive dans 75 % des cas et la diverticulite. Cette diverticulite n’est à l’origine de complications que chez les 25 % de patients alors que les 75 % restants ont des formes frustres avec des symptomes proches de ceux du syndrome de l’intestin irritable (SII) sous forme de douleurs, ballonnements et troubles du transit. Parmi les facteurs pathogéniques de la diverticulite revient une nouvelle fois le rôle primordial du microbiote intestinal, ce « quatrième organe » du tractus digestif. La modificiation du microbiote intestinal, du fait de facteurs alimentaires, de la prise d’AINS ou de certains antibiotiques, induit une inflammation diverticulaire de faible intensité entraînant des symptomes de type SII. À ceci, peut s’ajouter un facteur mécanique avec obstruction des diverticules entraînant une translocation bactérienne vers la graisse viscérale. Nouveau traitement De nombreuses études semblent souligner que la graisse viscérale péritonéale pourrait être un site d’inflammation chronique diver- ticulaire qui survient sur un terrain génétique prédisposé et est aggravé par le diabète et surtout l’obésité. De ce fait, la prise en charge de la maladie diverticulaire doit changer et les nouveaux traitements doivent agir sur cette inflammation adipocytaire viscérale : – le score de Hinchey décrit en 1978, qui repose sur l’imagerie par TDM, doit être revu et actualisé. Il ne répond qu’aux formes compliquées des diverticulites ; – seuls les patients ayant une diverticulite compliquée de sepsis doivent bénéficier d’une antibiothérapie précoce (NFS – CRP et TDM indispensables) ; – pour les nombreux patients ayant une diverticule aiguë non compliquée (absence de signes infectieux ou d’anomalies TDM), il est recommandé de ne pas donner d’antibiotiques classiques ; – la place de nouveaux traitements semble prometteuse mais doit être précisée chez des patients sélectionnés, parmi lesquels la Mesalazine, certains probiotiques et la Rifaximine, nouvel antibiotique oral non absorbable, en attente de commercialisation en France et déjà disponible dans de nombreux pays. Dr Jean-Michel Rouillon, gastro-entérologue, Polyclinique Montréal Polyclinique Le Languedoc, Narbonne Une maternité à taille humaine Partenaire du réseau périnatal « Naître et Grandir en Languedoc-Roussillon », la maternité de la Polyclinique Le Languedoc accueille 650 naissances par an dans un contexte de sécurité médicale optimale. Pendant la grossesse, les gynécologues-obstétriciens, sages-femmes et professionnels libéraux proposent une prise en charge globale des couples avec l’entretien prénatal au 4e mois, différentes méthodes de préparation à la naissance et si nécessaire, un accompagnement au sevrage tabagique, une orientation pour un suivi diététique, psychologique ou social. Les gynécologues-obstétriciens assurent par ailleurs les consultations spécialisées, les échographies (fœtales et gynécologiques), les accouchements par voie basse ou césarienne, mais aussi la chirurgie gynécologique (sein, utérus et ovaires). L’équipe pluri-disciplinaire de la maternité, dans le cadre de son programme d’optimisation du lien mère-enfant, accompagne les couples à l’allaitement maternel et propose des séances d’information et d’échanges pendant et après la grossesse. MédiPôle Partenaires un groupe pluri-régional Polyclinique Le Languedoc Polyclinique Montréal Clinique du Sud •Urgences •Chirurgie : chirurgie ambulatoire, générale, digestive et viscérale, thoracique et cardiovasculaire, orthopédique et traumatologique, chirurgie de la main et du rachis, ORL, urologie et néphrologie, chirurgie plastique et reconstructrice, faciale, maxillo-faciale et stomatologie, neuro-chirurgie, chirurgie vertébrale •Obstétrique : gynécologie, maternité, orthogénie, PMA et du nerf périphérique, gynécologique et obstétricale, ophtalmologique. •Dialyse •Médecine : anesthésie-réanimation, lutte contre •Hospitalisation à domicile (HAD) la douleur, cardiologie médicale, diabétoendocrinologie, gastro-entérologie, rhumatologie, •Soins de suite : rééducation fonctionnelle polyvalente en hospitalisation complète, pneumologie, oncologie, allergologie, rééducation cardio-vasculaire, pulmonaire. rééducation fonctionnelle, stomatologie, pédiatrie, unité mobile de soins palliatifs. édiscope L’actualité médicale du groupe à destination des professionnels de santé N°1 – décembre 2016 Clinique du Sud Le parcours de santé de la clinique du sud fait peau neuve De vastes travaux de réfection de notre parcours de santé viennent d’être achevés il y a quelques semaines. L e parcours est maintenant accessible à l’ensemble de nos patients puisque la surface au sol est recouverte de bitume ; elle permet donc la parfaite circulation des patients à mobilité réduite qui se déplacent en fauteuils roulants, cannes anglaises, déambulateurs... La piste est suffisamment large pour permettre à deux fauteuils de se croiser en tout point du parcours. Nous avons choisi de conserver un secteur non goudronné afin de proposer un travail en terrain accidenté pour les patients en fin de rééducation. Le nouveau tracé a été rallongé d’un tiers et conçu afin de protéger les patients des vents dominants (détail non négligeable dans notre belle région du carcassonnais). La sécurité des patients n’a pas été oubliée : un accès direct à la partie hospitalisation a été créé afin de faciliter en cas d’urgence le rapatriement d’un patient en brancard (chute, malaise). Le confort des patients a été également soigné : en effet, le parcours est maintenant équipé d’un abri de verre qui permet un point de rencontre confortable et parfaitement sécuritaire où les kinésithérapeutes peuvent surveiller les constantes médicales des patients et prodiguer des conseils de rééducation en toute sérénité tout en conservant une vue sur l’ensemble du parcours. Il ne nous a fallu guère attendre pour entendre la satisfaction unanime de l’ensemble des résidents ; nous ne pouvons que nous en réjouir en attendant de faire encore mieux. Nous espérons diversifier les possibilités rééducatives en introduisant des secteurs de marche à différents niveaux de pente, ou de l’installation d’obstacles. Le confort et la sécurité du patient demeurent au centre des préoccupations de notre projet d’établissement. Georges Louvet, cadre de santé à la Clinique du Sud ÉDITO MédiPôle Partenaires est un Groupe de cliniques expérimenté et reconnu dans les domaines de la Médecine Chirurgie Obstétrique (MCO), des Soins de Suite et de Réadaptation (SSR), de l‘Hospitalisation à Domicile (HAD), et de services à la personne. Notre groupe multi-régional bénéficie d’un maillage territorial dense et d’un large éventail d’expertises au service des patients et de leurs préoccupations. Nos établissements ont tous en commun un projet médical fort. Ce qui nous anime, c’est cette volonté de faire de nos cliniques des lieux d’excellence médicale, où la compétence de nos équipes médicales et paramédicales et l’innovation n’ont qu’un seul but : offrir à nos patients la meilleure prise en charge possible. Cette Lettre Médiscope répond à notre volonté de vous diffuser des informations ayant trait aux activités médicales des cliniques tant sur le plan de la technicité, de la sécurité que de la recherche. Ce rendez-vous médical a donc pour objectif de créer ou de consolider un partenariat naturel et durable avec l’ensemble des professionnels de santé que vous représentez. n notre actu e Pour suivre s sur : trouvez nou temps réel re Cette lettre concerne l’actualité des établissements de santé : Polyclinique Le Languedoc (Narbonne), Polyclinique Montréal (Carcassone), Clinique du Sud (Carcassone). Elle est éditée par par le groupe MédiPôle Partenaires, 87-89, rue de la boétie 75008 Paris. [email protected] - www.medipole-partenaires.fr • imprimé sur du papier issu du procédé PEFC Vous préférez recevoir Médiscope par mail ? Inscrivez-vous : www.medipole-partenaires.fr/inscription-mediscope ipole ires Méd @MPartena s Partenaire Polyclinique Montréal, Carcassonne Innovation dans le traitement du cancer de la prostate La polyclinique Montréal vient de faire l’acquisition d’un nouvel équipement de pointe pour le traitement focal du cancer localisé de la prostate. Ce dispositif « Focal one » traite uniquement la zone de la prostate atteinte par le cancer, préservant ainsi la qualité de vie du patient. A vec 71 000 cas diagnostiqués chaque PSA inférieur à 15) selon leur âge et leur état année, le cancer de la prostate est le général ; en traitement de rattrapage pour les plus fréquent chez l’homme, devant le patients présentant une récidive locale d’un cancer du poumon et du côlon. Pour traiter cancer de prostate initialement traité par race cancer, on avait tendance à traiter toute diothérapie. la prostate (chirurgie ou prostatectomie ra- Outre le fait d’être une révolution technolodicale, radiothérapie externe, curiethérapie gique, le principal avantage de ce traitement et ultrasons focalisés). « Quand le cancer s’adresse aux patients en préservant leur est localisé, il est mainqualité de vie. Non invatenant possible d’agir sive, la technique évite Outre le fait d’être sur la zone atteinte au toute incision et limite une révolution millimètre près. Plus beles complications inhétechnologique, le soin de traiter toute la rentes au traitement du prostate », explique un cancer de la prostate. principal avantage des urologues. Montréal « L’érection est préservée de ce traitement est actuellement le seul et l’incontinence est éviétablissement de santé s’adresse aux patients tée dans 98 % des cas » dans le département à ajoute l’urologue. Le traien préservant leur utiliser cette technique tement dure entre 30 miqualité de vie. de pointe. nutes et 2 heures et peut être réalisé sous anesUltrasons thésie loco-régionale (raPiloté par ordinateur, le dispositif médical chianesthésie). « Focal one » permet ainsi un délivre les ultrasons de haute intensité par traitement local précis en une session mais il l’intermédiaire d’une sonde endorectale. La est également répétable si nécessaire. chaleur intense, provoquée par la focalisation des ultrasons diffusés à travers la paroi rectale, détruit le tissu à l’intérieur de la zone ciblée. Ce dispositif est le premier au monde dédié à la thérapie focale (destruction Ce dispositif « Focal One » va être de la zone tumorale uniquement). Il associe également pratiqué à la Polyclinique Le l’imagerie par IRM pour localiser les tumeurs, Languedoc à Narbonne, qui bénéficiera les ultrasons focalisés à haute intensité et elle aussi comme à Carcassonne de cet l’échographie de contraste pour valider le appareil mobile. Les premiers patients traitement. traités avec ce nouveau procédé seront « Focal one » peut être indiqué en première accueillis les 25 et 28 novembre 2016. intention pour les patients porteurs d’un cancer localisé stade T1-T2 (Gleason 6 ou 7, Un quatrième urologue s’installe à la Polyclinique Montréal de Carcassonne L’activité d’urologie se développe à Montréal avec certes l’utilisation de « Focal one » mais surtout l’arrivée d’un quatrième urologue. L’activité se retrouve concentrée avec la création de nouveaux cabinets au troisième étage de l’établissement. Aujourd’hui seuls trois appareils « Focal one » fixes sont installés en France à Lyon, Paris et Nantes. Le groupe MédiPôle Partenaires, auquel appartient la Polyclinique Montréal, a fait l’acquisition d’un appareil mobile déployé sur une dizaine d’établissements du groupe, dont Carcassonne. Polyclinique Montréal, Carcassonne Un service d’urgence rénové pour accueillir 20 000 passages par an Les travaux de rénovation du service d’urgence sont achevés. Les patients accueillis en urgence disposent d’un espace d’accueil flambant neuf et doté d’un sas de sécurité, devenu par ailleurs obligatoire par le Plan blanc. « Nous souhaitions améliorer la séparation de la zone administrative de la zone des soins. Outre le confort évident, il est nécessaire de préserver la confidentialité des échanges et l’intimité de chacun », déclare Jean-Pierre Perrigaud, directeur de la polyclinique. De plus, et pour faire face à une progression du nombre de passages aux urgences, un septième box de soins est ajouté. Les 20 000 passages par an peuvent être pris en charge de façon plus performante. Polyclinique Montréal, Carcassonne Certification HAS réussie pour Montréal C’est en mars dernier que la Polyclinique Montréal a reçu les experts visiteurs de la Haute autorité de santé pour passer l’épreuve de la version 2014 de la certification des établissements de santé. « Nous sommes fiers d’obtenir une nouvelle fois un résultat d’excellence (certification classée A) qui traduit le haut niveau de qualité de notre établissement. La certification est l’affaire de tous, médecins et personnels. Même le patient est au cœur du processus ! Notre 4e certification sans aucune réserve ni recommandation, s’inscrit dans la lignée des trois dernières et atteste du travail au long cours de notre établissement dans le domaine de la qualité et la gestion des risques pour le bénéfice des patients du territoire de santé Ouest Audois. » Polyclinique Le Languedoc, Narbonne Projet « MédiFil d’Ariane » Le projet de coordination du parcours patient en cancérologie de la Polyclinique Le Languedoc voit le jour sous l’intitulé « MédiFil d’Ariane » Ce projet est né au croisement de deux éléments : •les recommandations des différents plans cancer insistent de plus en plus sur la nécessité « d’accompagner la personne malade pour ne pas la laisser planifier seule son parcours de soins (…) et ce, grâce à une coordination et des échanges d’information accrus entre professionnels ». •la Polyclinique, qui propose une offre de soins large et pluridisciplinaire pour les patients atteints d’une pathologie cancéreuse, manque quelquefois de moyens de coordination entre les différents acteurs de la prise en charge. C’est pourquoi il a été décidé de créer un poste d’infirmière de coordination en can- Polyclinique Le Languedoc, Narbonne La chirurgie arthroplastique de hanche en mode RAAC à la Polyclinique Le Languedoc La Réhabilitation accélérée après chirurgie (RAAC), associée aux techniques chirurgicales peu invasives, permet des suites opératoires plus simples, plus confortables et plus courtes. Polyclinique Montréal, Carcassonne 24 enfants intoxiqués pris en charge simultanément Fin 2015, c’est un bus entier qui amenait 24 enfants touchés par une intoxication par inhalation. Il ne s’agissait pas d’un test de gestion de crise du Plan blanc mais d’une réalité à laquelle les équipes du service des urgences dans un premier temps et ceux des services de soins ad hoc ont su répondre. Une réassurance des compétences et performance de l’établissement en situation extraordinaire ! La Réhabilitation accélérée après chirurgie (RAAC) est un ensemble de mesures destinées à optimiser la prise en charge des patients afin de leur permettre une récupération rapide après la chirurgie. La RAAC est originaire des pays scandinaves et fut initialement utilisée dans la chirurgie digestive dans les années 90. La RAAC s’est rapidement étendue à la chirurgie orthopédique et a démontré son efficacité en termes de réduction de morbidité et de satisfaction des patients. Tous les protocoles RAAC mettent le patient au centre de sa prise en charge, il devient un acteur de son parcours de soins. La mise en place de ce protocole sur le site de la Polyclinique Le Languedoc a nécessité plusieurs mois pour sa réalisation avec une formation des équipes médicales et paramédicales générant une rediscussion des pratiques de chacun pour les standardiser en mode RAAC. La réussite de la RAAC dépend avant tout du patient : sa participation est obligatoire. En pré-opératoire, il est informé des détails de la prise en charge (modalités de la chirurgie, de l’anesthésie, de l’hospitalisation à venir et son rôle dans les soins). L’information est orale, écrite et de nombreuses fois répétée, en faisant intervenir de multiples acteurs du programme (chirurgiens, anesthésistes, secrétaires, infirmiers, kinésithérapeutes). Le patient est admis le jour de son intervention. L’anesthésie et la chirurgie de hanche sont classiques cependant, l’acte opératoire est complété par l’injection d’un cocktail anesthésique local in situ. Au décours de l’intervention, aucun drainage de la plaie opératoire n’est mis en place. Le patient est mobilisé précocement dès son retour en service traditionnel. Les premiers pas sont effectués le jour de l’intervention, les cathéters sont retirés rapidement, afin qu’il puisse déambuler en tenue civile : l’objectif étant de « démédicaliser » le patient. Il pourra sortir de la clinique le surlendemain (J+2). Les premières expériences RAAC à la Polyclinique Le Languedoc ont été très positives et nous incitent à poursuivre ce protocole qui, par mesure de sécurité, reste limité au sujet ASA 1 et 2 de moins de 75 ans. Au vu de ces débuts prometteurs, nous prévoyons de l’appliquer prochainement aux arthroplasties de genou. cérologie (IDEC) au sein de la Polyclinique. Christelle occupe ce poste depuis le mois d’août 2016. Ses missions principales sont d’accompagner le patient et sa famille tout au long de son parcours thérapeutique et d’améliorer la coordination de sa prise en charge en insistant sur les liens entre la ville et la Polyclinique. Intervenant juste après l’annonce médicale de la pathologie cancéreuse, Christelle est l’agent coordonateur dédié aux différentes étapes du parcours des patients en cancérologie. Elle assure le lien entre les différents séjours hospitaliers et les séjours à domicile, ainsi que la coordination des soins de support (psychologue, assistante sociale, association de patient, etc.). Polyclinique Le Languedoc, Narbonne La qualité d’une prise en charge hospitalière, le confort du domicile Narbonne HAD intervient sur le narbonnais depuis 5 ans maintenant. Cette structure permet aux patients atteints de pathologies diverses (soins post chirurgicaux spécifiques, grande dépendance, prise en charge de la douleur, de pansements complexes, soins palliatifs et accompagnement de fin de vie, etc.) un retour précoce au domicile en garantissant un suivi médical et paramédical identique à celui d’une structure d’hospitalisation. L’HAD intervient également au sein des EHPAD et des établissements médico-sociaux. Les prises en charge sont initiées par un médecin traitant ou par un spécialiste. L’équipe de coordination évalue la faisabilité de la prise en charge en se rendant au domicile du patient. L’équipe médicale de Narbonne HAD assure la coordination entre les praticiens hospitaliers et les médecins traitants afin d’assurer la continuité des soins. Elle est composée d’un médecin angiologue spécialisé en plaies et cicatrisation et d’un médecin spécialisé en soins palliatifs et prise en charge de la douleur. Christelle IDEC Responsable du projet « MédiFil d’Ariane » ide.coordinatrice@ polyclinique-lelanguedoc.fr Tél. : 04 68 65 33 54 N’hésitez pas à la contacter pour plus d’informations. 24h/24 - 7j/7 L’équipe pluridisciplinaire Narbonne HAD, composée d›un médecin coordinateur, d’infirmières et d’aidessoignants, assure une astreinte 24h/24. Elle est également assistée d’une psychologue, d’une assistante sociale, et peut être amenée à travailler en partenariat avec l’infirmière et le kinésithérapeute libéral du patient. Inscrite dans une démarche d’amélioration de la qualité, Narbonne HAD participe à la dynamique de développement des prises en charge à domicile souhaitée par le ministère de la Santé. 7 rue Michel-Ange, 11100 Narbonne Tél. : 04 68 32 82 43 secretariat.had@ polyclinique-lelanguedoc.fr www.polycliniquelelanguedoc.fr