Cales

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Регион Нор-Па-де-Кале.
Средние века.
Мурнина Анастасия
Учитель Риттер В.Я.
L'histoire le Nord-de-Pas-de-Calais.
Moyen Âge
Toponymie
• Calesium en latin médiéval, ou Kaleis en vieux français était un village de
pêcheurs et de marins, attesté dès le VIIIe siècle, et Kaleeis vers 1180.
Le premier document officiel mentionnant l'existence de cette
communauté est la charte de commune octroyée par Mathieu d'Alsace au
XIIe siècle, charte connue par la confirmation qu'en fait, en 1181, Gérard de
Gueldre, comte de Boulogne.
D'autres auteurs citent des titres mentionnant Calesium à partir du
IXe siècle mais sans les détailler.
• Albert Dauzat et Charles Rostaing émettent des réserves sur l'explication du
nom par un pré-celtique kal, pierre, rocher, donnée par Gröhler, suivi du
suffixe pré-celtique -es(um). Xavier Delamarre propose le gaulois caleto-,
dur, que l'on trouve dans Caleti, Caletes, peuple de Gaule belgique qui a
laissé son nom au pays de Caux.
• Calais remonterait en fait à Caletes (d'où la forme ancienne Kaleeis donnée
par Dauzat) « la dure » (cf.vieil irlandais calad, gallois caled, breton kaled,
dur) effectivement basée sur kal, thème indo-européen désignant la dureté
et que l'on retrouve dans le latin callum, cal, durillon. Le sens toponymique
de Caletes reste cependant obscur.
• Le nom de la commune en néerlandais est Kales, et Cales en flamand
occidental.
Région Nord-Pas-deCalais
• Le Nord-Pas-deCalais est une
région située dans
le nord de la
France. Elle est
bordée au sud par
la région Picardie,
à l'est par la
Belgique et à
l'ouest et au nord
par la Manche et
la mer du Nord.
Elle est composée
de deux
départements, le
Nord et le Pas-deCalais.
Nature
Le nom
•
Le nom latin de Galli a été associé à la
Renaissance à son homophone gallus
« coq », devenu ainsi l'animal
emblématique de la France. Quant aux
Grecs, ils nommaient dès le VIIe siècle
av. J.-C. (période de la colonisation
européenne de Grecs de l'époque
archaïque) les Gaulois Κελτοι
(orthographe d'Hécatée de Milet ou
d'Hérodote, transcrite en Celtæ
comme l'écrit Jules César pour faire
référence aux habitants de la Gaule
centrale) ou encore Κέλται
(orthographe d'Aristote ou de
Plutarque) puis au IIIe siècle av. J.-C.
(période de l'invasion par le chef celte
Leonnorius (en) de la Thrace)
l'ethnonyme Γαλάται, pluriel de
Γαλάτης, Galátai / Galátēs, que l'on
peut rendre en français par Galates,
désignant aussi bien chez les Grecs et
Romains les Celtes d’Orient puis
l'ensemble des Celtes. La simplification
de Galátai en Galli, pluriel de Gallus,
habitants de la Gallia « Gaule », a
longtemps été donnée pour expliquer
l'étymologie du nom Gaulois4
Les invasions barbares
• Au début du IVe siècle, avec l'aide des Francs déjà installés,
la tranquillité est restaurée dans la région pour une
cinquantaine d'années. Les villes qui sont des places fortes
stratégiques et administratives, ne peuvent se développer
vraiment tandis que les grands établissements ruraux se
transforment en agglomérations dynamiques. Mais les
invasions constituent encore un frein au développement.
Les Huns d'Attila, par exemple, assiègent Bavay en 358. Au
début du Ve siècle, de très nombreux envahisseurs balaient
l'armée romaine et le christianisme ; ils sont Anglo-saxons,
Vandales, Hasdingues, Suèves, Alains ou encore Francs (les
peuples peuvent être divisés en clans). L'un d'eux, Clovis en
chef ambitieux, s'élance de Tournai pour conquérir la Gaule
en sa quasi totalité, tandis que l'Empire romain d'Occident
s'effondre en 476.
Moyen Âge. Une région bilingue
• Au IIIe siècle, les
Francs et les Alamans
envahissent et pillent
le territoire. Les
dévastations sont si
importantes qu'il faut
recoloniser la région ;
l'armée romaine,
dépassée par
l'ampleur des
frontières de l'empire
qu'elle doit défendre,
laisse les Francs
s'installer et essaye de
s'en faire des alliés
L'expansion des francs
Le baptême de Clovis
25 dec, 496
• Le baptême de Clovis marque
le début du lien entre le clergé
et la monarchie franque. Pour
les monarchistes français, cette
continuité se fait française et
dure jusqu'au début du XIXe
siècle. Dorénavant, le souverain
doit régner au nom de Dieu. Ce
baptême permet également à
Clovis d'asseoir durablement
son autorité sur les populations,
essentiellement gallo-romaines
et chrétiennes, qu'il domine :
avec ce baptême, il peut
compter sur l'appui du clergé, et
vice-versa.
La légende du vase de Soissons
• C'est après cette bataille, qu'a lieu – selon Grégoire
de Tours – l'épisode du vase de Soissons, où, contre
la loi militaire du partage, le roi demande de
soustraire du butin un vase liturgique précieux pour
le rendre à l'église de Reims, à la demande de Remi,
évêque de cette dernière cité.
• Une fois sur place, après avoir réuni le butin, il
demande à ses guerriers d'ajouter le vase à sa part
du butin. Mais un guerrier s'y oppose en frappant le
vase de sa hache. Clovis ne laisse pas transparaître
ses émotions et en garde ressentiment. Il réussit
malgré tout à rendre l'urne à l'envoyé de Remi.
• L'épilogue de l'histoire se produit le
1er mars 487. Clovis ordonne à son
armée de se réunir au Champ-deMars pour, selon une pratique
romaine, examiner si les armes sont
propres et en bon état. Inspectant
les soldats, il s'approche du guerrier
qui avait frappé l'urne et sous
prétexte que ses armes sont mal
entretenues, il jette alors la hache
du soldat à terre. Au moment où
celui-ci se baisse pour la ramasser,
Clovis abat sa hache sur la tête du
malheureux. Le soldat tombe sans
vie, et sur ordre de Clovis, l'armée
doit se retirer en silence, laissant le
corps exposé au public.
• Le testament de saint Remi fait
mention d'un vase d'argent que lui
aurait donné Clovis. Mais ce serait
Remi qui l'aurait fondu pour
fabriquer un encensoir et un calice
La légende du
vase de Soissons
La société de l'époque du Moyen âge
Charlemagne
•
Charles Ier, dit le Grand, (en allemand Karl der Große,
en latin Carolus Magnus d'où Charlemagne) né en 742,
747 ou 748, mort le 28 janvier 814 à Aix-la-Chapelle,
est le membre le plus éminent de la dynastie franque à
laquelle il a donné son nom alors qu'il n'en est pas le
fondateur : les Carolingiens.
• Fils de Pépin le Bref, il est roi des Francs à partir de
768, devient par conquête roi des Lombards en 774 et
est couronné empereur à Rome par le pape Léon III le
25 décembre 800, relevant une dignité disparue depuis
l'an 476 en Occident.
• Monarque guerrier, il agrandit notablement son
royaume par une série de campagnes militaires, en
particulier contre les Saxons païens dont la soumission
a été très difficile et très violente (772-804), mais aussi
contre les Lombards en Italie et les Musulmans
d'Espagne.
Souverain réformateur, soucieux d'orthodoxie religieuse et
de culture, il protège les arts et les lettres et est à
l'origine de la « renaissance carolingienne ».
Son œuvre politique immédiate, l'empire, ne lui survit
cependant pas longtemps. Se conformant à la coutume
successorale germanique, Charlemagne prévoit dès
806 le partage de l'Empire entre ses trois fils. Après de
nombreuses péripéties, l'empire ne sera finalement
partagé qu'en 843 entre trois de ses petits-fils (traité
de Verdun).
Buste de Charlemagne dans la chambre
des trésors de la cathédrale d'Aix-laChapelle
Du VIIe au XIIe siècle
• Le transport des marchandises emprunte
dans la région le plus souvent les cours
d’eau. Les plus petites dénivellations sont
des obstacles qui nécessite l'emploi des la
force humaine ou animale avec des ecluses
• Ces lieux deviennent par la suite des
agglomérations, qu’il faut défendre par des
remparts. C’est le cas de Lille, ancienne
limite sud du vieux comté de Flandre, dont
le nom officiel apparaît en 1066 mais aussi
de Valenciennes, Saint-Omer ou encore
d'Arras. L’augmentation de la population
implique d’immenses travaux
d’aménagement destinés à augmenter la
terre cultivable comme le marais de SaintOmer qui était auparavant 4 000 ha de «
mer boueuse », la forêt d’Arrouaise (dans
le sud Artois) qui a été totalement
déboisée mais aussi certaines zones
côtières et vallées marécageuses.
Le commerce
Calais était une très
importante ville commerciale
• Calais était une très importante ville
commerciale. La signification spéciale
était ici par le commerce du plomb,
l'étain, la laine et les tissus. Ce port ont
commencé à appeler comme "la perle
de la couronne anglaise». Uns seulement
les droits de douane donnaient parfois
un tiers de tous revenus du royaume. De
12 mille habitants 5400 étaient pris par
le commerce de la laine. La fonction du
gouverneur de ville était un des plus
lucratif dans tout le royaume
Britannique, et Richard Vittington non
par hasard connu figurait simultanément
en 1407 «comme le maire de Londres et
Calais».
La Tour du Guet
Calais
• La Tour du Guet, datant du
XIIIe siècle, est l'un des plus
vieux monument de Calais.
Elle a une hauteur de
38 mètres.
• Fut classée monument
historique par arrêté du 6
novembre 1931. La place
d'Armes est l'une des plus
grandes places de la ville de
Calais, elle jouxte La tour du
Guet. Elle est connue pour son
marché qui se déroule chaque
semaine, et ses deux foires
annuelle (Eté & Hiver).
La guerre de Cent Ans
1337-1453
La guerre de Cent Ans
Les Bourgeois de Calais
• En septembre 1346, Edouard met le siège devant la ville de
Calais dont la garnison commandée par le chevalier Jean de
Vienne résiste héroïquement à l'armée du roi d’Angleterre.
Après onze mois de siège, la cité affamée négocie sa
reddition. Edouard III, fatigué et énervé par la longue
résistance calaisienne, accepte que six bourgeois lui soient
livrés afin d'être exécutés. C'est à ce prix qu'il laissera la vie
aux habitants toutefois contraints de déserter leur ville une
fois les Anglais arrivés. Son épouse Philippa de Hainaut
parvient cependant à le persuader d'épargner la vie de ces six
malheureux, désespérés, venus devant le souverain en
chemise, la corde au cou, les clefs de la ville et du château en
mains. Par ce geste d’amour chrétien, Edouard épargne la vie
d’Eustache de Saint Pierre et de ses cinq compagnons
d'infortune devant une reine en pleurs. Calais devient
anglaise le 3 août 1347 et le demeure jusqu’au 6 janvier 1558
lorsque Henri II de France reprend la ville à Marie Tudor.
Les Bourgeois de Calais
L’époque bourguignonne
• En 1369, le roi de France Charles V marie son frère Philippe le
Hardi, duc de Bourgogne, à la fille de Louis de Mâle (comte de
Flandre). Par le jeu des successions, Philippe le Hardi hérite en
1384 de la Flandre et de l’Artois. L’alliance anglo-flamande est
alors rompue. Les territoires du Nord deviennent l’une des plus
importantes régions de la Maison de Bourgogne. La région
connaît, le temps de quatre règnes, l’âge de la puissance
bourguignonne, à défaut d'un véritable âge d’or. En effet, les
menaces militaires et désastres naturels sont toujours
menaçants tandis que la mutation économique se poursuit en
ruinant les uns et en enrichissant les autres. Pourtant, une crise
économique et démographique frappe l’ensemble de l’Europe
du Nord-Ouest pendant des décennies pour atteindre son
paroxysme dans les années 1420-1440.
L'époque bourguignonne
se finit en 1477 avec la
mort
de Charles le Téméraire
• L'époque bourguignonne se finit en 1477 avec la
mort de Charles le Téméraire, le roi de France Louis
XI s'empresse de conquérir la région qui est un
poumon économique. Mais l'héritière de la
Bourgogne, Marie, épouse un Habsbourg qui est le
futur empereur Maximilien Ier d'Autriche. Le roi de
France doit alors céder et la région se trouve exclue
du royaume français pour deux siècles, à part le
Boulonnais qui reste attaché à la couronne royale
et aussi quatre places fortes de l'Artois. La région,
ainsi devenue un territoire convoité des grands
européen, sera un champ de bataille forcé et
dévasté entre les armées européennes jusqu'en
1713.
L'empire des
Habsbourg
Calais est reprise aux Anglais par les
Français.
• En 1555, Charles Quint
abdique en faveur de
son fils Philippe II, qui
devient souverain des
Pays-Bas, de l'Espagne et
de la Franche-Comté
pour quarante ans et en
1558, Calais est reprise
aux Anglais par les
Français.
Philippe II
Francois-duc-de
Guise, 6 janvier 1558
• Après la prise de Calais
par les troupes
Francois-duc-de-Guise
accordait aux citadins
le droit deux fois par
an de passer sur Place
d'Armes les foires.
Cette tradition se
garde jusqu'ici
De gueules à l’écusson de azur chargé
d’une fleur de lis d’or soutenue d’un
croissant d’argent, l’écusson sommé
d’une couronne fermée de France d’or
et accosté de deux croix de Lorraine
d’argent, et accompagné en pointe d’un
besant d’argent chargé de la croix de
Jérusalem d’or.
• Les armoiries de Calais furent
accordées par le roi Henri II en 1558. La
croix de Jérusalem et le croissant
évoquent le passage, dans cette ville,
des croisés français et anglais. La fleur
de lys et la couronne marquent la
satisfaction du roi de France de
recouvrer Calais après plus de deux
siècles d'occupation anglaise. Les croix
de Lorraine font référence au libérateur
de la ville, le duc de Lorraine, François
de Guise. Elles furent confirmées par
lettres patentes de Louis XVIII, le 19
avril 1817.
Blasonnement
Notre-Dame de Calais
L'Église Notre-Dame
• L'Église Notre-Dame (des XIIIe, XIVe et XVe), au style Tudor si
particulier.
Le 18 mars 1915, ses vitraux furent détruits lors du
bombardement par le Zeppelin Z XII. Le général de Gaulle
s'y maria le 6 avril 1921 avec Yvonne Vendroux.
L’édifice, ayant subi d'autres importants dégâts durant la
Seconde Guerre mondiale, n'est pour l'instant que
partiellement reconstruit. La partie correspondant au
chœur, le retable et la Chapelle de la Vierge, depuis près de
60 ans toujours en attente d'une rénovation, est interdite
au public. (Voir ci-dessous le lien externe proposant une
visite virtuelle de cette partie non restaurée !)
• Classement Monument historique par arrêté du 10
septembre 1913.
• L'église Notre dame de Calais est la seule église ancienne de la ville...
• L'édifice actuel est construit sur l'emplacement d'une première église du
XIIIème siècle, il fut agrandi, embelli du XIVème au XVIIème siècle...
• On retrouve d'ailleurs, signe de l'occupation anglaise, quelques
caractéristiques architecturales des cathédrales britanniques de style Tudor
peu répandu en France.
• L'église eut néanmoins à subir les dommages de la guerre. Elle fut
malencontreusement bombardée par erreur par les alliés une semaine
avant la libération ! Le plus ennuyeux fut que l'église, dans le sauve-quipeut général de l'époque, fut pillée dans l'indifférence générale, car le
bombardement avait officiellement anéanti beaucoup des chefs d'oeuvre
que possédait l'église...
• C'est ainsi que récemment deux monumentales statues de chêne sculpté,
appartenant au buffet d'orgue, ont réintégré l'église Notre Dame après de
longues et minutieuses investigations européennes.
• Le plus étonnant est qu'une partie de l'édifice, précisément la chapelle
absidiale et son important retable baroque, sur lesquels le clocher s'est
effondré en 1944, soit restée dans en état de délabrement pendant 60
ans...
• Le général de Gaulle s'y maria le 6 avril 1921 avec Yvonne Vendroux.
Bibliographie
• I. C. Zeuss, GRAMMATICA CELTICA e monumentis vetustis tam Hibernicae
linguae quam Britannicarum dialectorum Cambriacae Cornicae Aremoricae
comparatis Gallicae priscae reliquis construxit I. C. Zeuss, Phil. Dr. Hist. Prof.,
editio altera curavit. H. Ebel, .Ph.Dr., Acad. Reg. Hib. Soc. Hon., Acad. Reg. Boruss.
Adi. Comm. Epist. Berolini, Apud Weidmannos MDCCCLXXI (1871).
• Franz Bopp, Grammaire comparée des langues indo-européennes traduction de
Michel Jules Alfred Bréal de l'École pratique des hautes études et du Collège de
France (de 1866 à 1905), membre de l'Académie des inscriptions et belles-lettres,
quatre tomes in-quarto, Paris, Imprimerie impériale et Imprimerie nationale, 18661874.
• R. Gray et Q. Atkinson, « Language-tree divergence times support the Anatolian
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• J. Markale, « La femme celte », Petite Bibliothèque Payot, Paris, 1989.
• Henriette Walter, « L'Aventure des mots français venus d'ailleurs », Livre de Poche,
Paris, 1999.
• Henriette Walter, « L'aventure des langues en Occident », Livre de Poche, Paris,
1996.
• Vandermeersch, B Étude préliminaire du crâne humain du gisement paléolithique de
Biache-Saint-Vaast (Pas-de-Calais). Bulletin de l'Association française pour l'étude
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Bibliographie
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françaises du Nord - De la préhistoire à l'An Mil, Tome 1, Arras,
Artois presses université, coll. Histoire, 285 p.
Jessenne J.-P. et Rosselle D., 2008, « L'Histoire rurale de la France
du Nord de la fin du Moyen Âge au XXe siècle », in Revue du
Nord, Villeneuve d'Ascq, Université Charles-de-Gaulle, Lille 3, T.
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Leuwers H., Crépin A. et Rosselle D. J. R., 2008, Histoire des
provinces françaises du Nord - Le Nord-Pas-de-Calais entre
révolution et contre-révolution, Tome 4, Arras, Artois presses
université, coll. Histoire, 262 p.
Lottin A., Guignet Ph., 2008, Histoire des provinces françaises du
Nord - De Charles Quint à la Révolution française, 1500-1789,
Tome 3, Arras, Artois presses université, coll. Histoire, 440 p.
Platelle H. et Clauzel D., 2008,Histoire des provinces françaises du
Nord - Des principautés à l'empire de Charles-Quint (900-1519),
Tome 2, Arras, Artois presses université, coll. Histoire, 283 p.
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