Un nouveau traitement est maintenant offert aux Canadiens atteints

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Communiqué de presse
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE
Un nouveau traitement est maintenant offert aux Canadiens atteints
d’un cancer du poumon non à petites cellules métastatique
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En moyenne, chaque jour, 73 Canadiens recevront un diagnostic de cancer du poumon 1.
Le type le plus courant de cancer du poumon est le cancer du poumon
non à petites cellules (CPNPC). De 85 à 90 % de tous les cancers du poumon sont des
cancers du poumon non à petites cellules2.
Kirkland, Québec, le 20 avril 2016 – Merck (NYSE : MRK), connue sous le nom de MSD à
l’extérieur du Canada et des États-Unis, a annoncé aujourd’hui l’approbation avec conditions de
KEYTRUDA® (pembrolizumab) pour le traitement des Canadiens atteints d’un cancer du
poumon non à petites cellules (CPNPC) métastatique avec une tumeur exprimant le PD-L1 (tel
que déterminé par un test validé), qui a progressé durant ou après une chimiothérapie à base
de platine. Chez les patients présentant des aberrations génomiques tumorales du gène EGFR
ou ALK, une progression de leur maladie doit être constatée au cours d ’un traitement autorisé
pour ces aberrations avant que KEYTRUDA® leur soit administré. KEYTRUDA® bénéficie d’une
autorisation de commercialisation avec conditions, en attendant les résultats d ’études
permettant d’attester son bénéfice clinique.
Un test validé permettra aux médecins de déterminer le pourcentage de cellules
tumorales exprimant le PD-L1 de leurs patients. Un pourcentage de cellules tumorales
exprimant le marqueur PD-L1 d’au moins 50 % était associé à un taux de réponse plus élevé et
à de meilleurs résultats thérapeutiques 4, 5.
Le cancer du poumon non à petites cellules est une maladie mortelle
Le cancer du poumon, qui se développe dans les tissus des poumons 6, habituellement
dans les cellules tapissant les conduits aériens 6, est la principale cause de décès lié au cancer
dans le monde 7. Il y a deux types de cancer du poumon : celui que l’on appelle « non à petites
cellules » et celui dit « à petites cellules »6. Le CPNPC est le type de cancer du poumon le plus
répandu et compte pour 85 à 90 % de tous les cas2.
On estime à 1 % le taux de survie relative après 5 ans pour les cas de CPNPC à un
stade très avancé ou métastatique (stade IV)8. En moyenne, chaque jour, 57 Canadiens
mourront d’un cancer du poumon 1.
« Au cours des dernières années, nous avons obtenu beaucoup de résultats
encourageants en matière de traitement du cancer du poumon. L’émergence de
l’immunothérapie constitue une amélioration majeure dans le traitement du cancer du poumon,
offrant aux personnes atteintes de cette maladie la promesse de vivre plus longtemps et de
bénéficier d’une meilleure qualité de vie », explique le Dr Normand Blais, oncologue au Centre
hospitalier de l’Université de Montréal.
« Au Québec, environ 8 000 cas de cancer du poumon sont diagnostiqués chaque
année. Cette maladie est malheureusement connue pour son faible taux de survie, explique
Dominique Massie, directrice générale de l’Association pulmonaire du Québec, et c’est pourquoi
il est si important que les patients appropriés puissent accéder rapidement aux nouveaux
traitements disponibles. L’approbation d’un nouveau médicament est une très bonne nouvelle
pour un grand nombre de patients et apporte un vent d’espoir. »
KEYTRUDA® réactive le système immunitaire pour combattre le cancer
Le système immunitaire a besoin des lymphocytes T pour lui permettre de déceler et de
détruire les cellules cancéreuses. En revanche, les cellules cancéreuses ont redoublé d’astuces
pour échapper aux lymphocytes T en envoyant des signaux qui nuisent aux fonctions normales
de ces derniers au moyen d’une protéine appelée PD-13. En inhibant la liaison du récepteur PD-1
à ses deux ligands, KEYTRUDA® bloque les signaux que les cellules cancéreuses peuvent
envoyer, réactivant les lymphocytes T cytotoxiques spécifiques à la tumeur ce qui réactive
l’immunité anti-tumorale3.
Notre engagement envers les patients
Au Canada, l’approbation de cette deuxième indication de KEYTRUDA® est une étape
clé pour Merck et sa gamme de produits en voie de commercialisation dans le domaine de
l’immuno-oncologie.
« Merck mène un programme de développement clinique d’envergure et à croissance
rapide pour le pembrolizumab qui s’est vite élargi pour inclure plusieurs types de tumeurs dans
plus de 250 études cliniques dans le monde, précise Chirfi Guindo, président et directeur
général de Merck Canada inc. Merck a depuis longtemps la réputation de permettre aux
patients atteints de cancer d’avoir accès à des traitements novateurs. Aujourd’hui, c’est avec
une grande fierté que nous ajoutons KEYTRUDA ® à cette liste d’importantes découvertes
salutaires aux patients atteints d’un cancer du poumon. »
L’efficacité du pembrolizumab est actuellement évaluée chez des patients présentant
plus de 30 types de tumeurs. Cet agent a également été approuvé au Canada pour le
traitement du mélanome métastatique.
À propos de KEYTRUDA
KEYTRUDA® (pembrolizumab) est indiqué pour le traitement des patients atteints d’un
cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) métastatique avec une tumeur exprimant le
PD-L1 (tel que déterminé par un test validé), qui a progressé durant ou après une
chimiothérapie à base de platine 3. Chez les patients présentant des aberrations génomiques
tumorales du gène EGFR ou ALK, une progression de leur maladie doit être constatée au cours
d’un traitement autorisé pour ces aberrations avant que KEYTRUDA ® leur soit administré.
KEYTRUDA® bénéficie d’une autorisation de commercialisation avec conditions, en attendant
les résultats d’études permettant d’attester son bénéfice clinique3. Chaque dose de
KEYTRUDA® doit être administrée par voie intraveineuse durant 30 minutes, toutes les
3 semaines3.
Dans le cadre de l’étude KEYNOTE-001, 61 patients atteints d’un CPNPC dont les
cellules tumorales expriment le PD-L1 ont été traités avec KEYTRUDA® toutes les 2 ou
3 semaines4. Une réponse tumorale a été observée chez 41 % des patients dont la majorité a
présenté une réponse soutenue au médicament (84 %). La durée médiane de la réponse au
traitement n’a pas encore été atteinte 4. Aucune amélioration du taux de survie ou des
symptômes associés à la maladie n’a encore été mise en évidence 4.
Au Canada, KEYTRUDA® a aussi été approuvé pour le traitement des patients atteints
d’un mélanome non résécable ou métastatique avec progression de la maladie à la suite d ’un
traitement avec l’ipilimumab et, en présence d’une mutation V600 du gène BRAF, à la suite d’un
traitement avec un inhibiteur du gène BRAF ou de la protéine MEK 3. Aucune amélioration du
taux de survie ou des symptômes associés à la maladie n’a encore été mise en évidence 3.
Merck mène un programme de développement clinique d’envergure et à croissance
rapide qui s’est rapidement élargi pour inclure plus de 30 types de tumeurs dans plus de
250 études cliniques, dont plus de 100 portent sur l’association du pembrolizumab à d’autres
traitements contre le cancer. On procède actuellement au recrutement de patien ts présentant
un mélanome, un CPNPC, un cancer de la tête et du cou, un cancer de la vessie, un cancer de
l’estomac, un cancer colorectal, un cancer de l’œsophage, un cancer du sein, un lymphome de
Hodgkin, un myélome multiple et d’autres tumeurs pour des études menées en vue de
l’homologation du pembrolizumab. D’autres études sur d’autres types de cancers sont à venir.
L’innocuité et l’efficacité de KEYTRUDA® pour ces types de cancer n’ont pas été établies. Pour
obtenir un complément d’information sur nos essais cliniques en oncologie, visitez le site à
l’adresse www.merck.com/clinicaltrials.
Pour de plus amples renseignements sur KEYTRUDA ®, veuillez consulter la
monographie de produit disponible à l’adresse suivante :
http://www.merck.ca/assets/fr/pdf/products/KEYTRUDA-PM_F.pdf
À propos de Merck
Depuis 125 ans, la société Merck est un chef de file mondial dans le domaine des soins
de santé qui vise à aider le monde à vivre mieux. Merck est connue sous le nom de MSD à
l’extérieur des États-Unis et du Canada. Grâce à nos médicaments, vaccins, traitements
biologiques et produits de santé animale, nous collaborons avec nos clients et œuvrons à
procurer des solutions de santé novatrices dans plus de 140 pays. Nous démontrons également
notre détermination à améliorer l’accès aux soins de santé grâce à des politiques, programmes
et partenariats d’envergure. Pour de plus amples renseignements à propos de nos activités au
Canada, visitez le site www.merck.ca ou suivez-nous sur YouTube.
Déclarations prospectives de Merck & Co., Inc., Kenilworth, N.J., États-Unis
Ce communiqué de Merck & Co., Inc., Kenilworth, N.J., États-Unis (la « Société »)
contient des « déclarations prospectives » (forward looking statements), au sens des
dispositions libératoires de la Private Securities Litigation Reform Act de 1995 des États-Unis.
Ces déclarations sont fondées sur les convictions et les prévisions actuelles de la direction de la
Société et sont soumises à de nombreux risques et incertitudes. Rien ne garantit que les
produits au stade expérimental reçoivent les approbations nécessaires des organismes de
réglementation ou qu’ils auront un succès commercial. Si les postulats comptables se révèlent
inexacts ou en cas de risques ou d’incertitudes, les résultats réels peuvent différer de façon
appréciable de ceux que décrivent les déclarations prospectives.
Les risques et les incertitudes comprennent, sans s’y limiter, les conditions générales du
secteur et la concurrence; les facteurs économiques généraux, y compris le taux d ’intérêt et les
fluctuations du taux de change; les effets de la réglementation de l’industrie pharmaceutique ou
des lois concernant les soins de la santé aux États-Unis et à l’échelle mondiale; les tendances
mondiales en matière de limitation des coûts de soins de santé; les percées technologiques et
les nouveaux produits des concurrents ainsi que les brevets obtenus par ces derniers; les défis
inhérents à la mise au point des nouveaux produits, y compris l’obtention de l’approbation
réglementaire; la capacité de la Société à prédire précisément les conditions de marché futures;
les difficultés ou les retards liés à la fabrication; l’instabilité financière des économies mondiales
et le risque pays; la dépendance à l’égard de l’efficacité des brevets de la Société et des autres
protections relatives aux produits innovants, ainsi que le risque de faire l ’objet d’actions
judiciaires, y compris les litiges sur les brevets, ou de mesures réglementaires.
La Société ne s’engage aucunement à publier des mises à jour de ses déclarations
prospectives à la suite de nouveaux renseignements, d’événements futurs ou de quelque fait
que ce soit. D’autres facteurs susceptibles d’entraîner une différence notable entre les résultats
réels et les résultats décrits dans les déclarations prospectives sont énoncés dans le rapport
annuel 2014 de la Société établi sur le formulaire 10-K et dans les autres documents déposés
par la Société auprès de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis et
accessibles sur le site Internet de cette dernière (www.sec.gov).
Relations avec les médias :
Relations avec les investisseurs :
Ani Armenian
Justin Holko
514 428-3395
908 740-1879
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Références :
1. Société canadienne du cancer, Statistiques sur le cancer du poumon, [En ligne],
http://www.cancer.ca/fr-ca/cancer-information/cancer-type/lung/statistics/?region=on, consulté le
21 mars 2016.
2. Société canadienne du cancer, Tumeurs malignes du poumon, [En ligne],
http://www.cancer.ca/fr-ca/cancer-information/cancer-type/lung/lung-cancer/non-small-cell-lungcancer/?region=on, consulté le 21 mars 2016.
3. Monographie de KEYTRUDA ®, Merck Canada inc., 15 avril 2016.
4. Garon, E.B., Rizvi, N.A., Hui, R. et coll., Pembrolizumab for the Treatment of Non–Small-Cell
Lung Cancer, N Engl J Med, 372, 2015, p. 2018-2028.
5. Herbst, R.S., Baas, P., Kim, D. et coll., Pembrolizumab versus docetaxel for previously treated,
PD-L1-positive, advanced non-small-cell lung cancer (KEYNOTE-010): a randomised controlled
trial. Lancet, 387, 2016, p. 1540-1550.
6. Société canadienne du cancer, Qu’est-ce que le cancer du poumon? [En ligne],
http://www.cancer.ca/fr-ca/cancer-information/cancer-type/lung/lung-cancer/?region=on, consulté
le 21 mars 2016.
7. Organisation mondiale de la Santé, Cancer – Principaux faits,
http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs297/fr/, consulté le 21 mars 2016.
8. Société canadienne du cancer, Statistiques de survie au cancer du poumon non à petites
cellules, [En ligne], http://www.cancer.ca/fr-ca/cancer-information/cancer-type/lung/prognosisand-survival/survival-statistics/?region=on, consulté le 21 mars 2016.
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