Test AmpliChip P450

AMPLICHIPS
Test AmpliChip
P450 :
la première plate-forme
en France est à l’HEGP*
(*) Hôpital européen Georges Pompidou
R
oche Diagnostics
a inauguré
le 16 juin dernier
à l’hôpital Georges
Pompidou à Paris,
la première plate-forme
française de puces
à ADN, la plate-forme
Affymetrix/Roche
CYP450. Une quinzaine
de journalistes de
la presse professionnelle,
généraliste et économique
ont assisté à cet
événement dont
ils se sont fait l’écho.
INNOVATION
Tous les patients ne répondent pas de la
même façon à un traitement médicamenteux (en termes d’efficacité et d’effets
secondaires), et les facteurs héréditaires
(séquences d’ADN de notre patrimoine
génétique) représentent une des raisons
majeures de cette variabilité individuelle.
Aujourd’hui, c’est une posologie standard
- qui convient à la plupart des patients
- qui est le plus souvent administrée.
En revanche, et schématiquement, des
patients qui métabolisent trop lentement
un médicament sont exposés à un risque
d’effets secondaires indésirables, alors
que des patients qui métabolisent trop
rapidement un médicament sont à risque
d’échec thérapeutique.
Optimisation du choix
de la posologie
d’un traitement
En définissant le profil génétique de deux
gènes-clés du métabolisme des médicaments, le test AmpliChip P450, mis au
point par Roche Diagnostics, permet aux
cliniciens de choisir, pour chaque patient,
la classe thérapeutique et la posologie
adaptées pour une efficacité thérapeutique d’emblée plus sûre.
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Le premier test ADN
homologué au sein
de l’Union Européenne
L’intérêt majeur permis par la technologie des puces à ADN est d’analyser, en
un seul test, un nombre extraordinaire
de données génétiques, tant qualitatives
que quantitatives, et la ligne de produits
AmpliChip qui élargit le portfolio Roche
Diagnostics fondé sur des analyses de
biologie moléculaire est né, en janvier
2003, de l’accord de partenariat signé
avec la société Affymetrix
Le test AmpliChip P450 qui analyse le profil génétique des deux gènes dénommés
CYP 2D6 et CYP 2C19 impliqués de façon
majeure dans le métabolisme de 25% des
médicaments est le premier test ADN
homologué au sein de l’Union Européenne
et destiné à une utilisation diagnostique de
routine. En plus de son expertise en tests
moléculaires, Roche Diagnostics a bénéficié d’une alliance stratégique, conclue il
y a une dizaine d’années avec la société
américaine Affymetrix sur la technologie
des puces à ADN idéalement adaptée à
la pharmacogénomique.
La plate-forme
Affymetrix/
Roche CYP450
mise en place
à l’hôpital Georges
Pompidou
Pour la mise en place de la première
plate-forme Affymetrix/ Roche, visant à
être utilisée dans un contexte de pharmacologie de routine en France, Roche
Diagnostics France a choisi d’équiper, en
mars 2006, le Laboratoire de Biochimie
de l’Hôpital Européen Georges Pompidou
dirigé par le Professeur Philippe Beaune,
l’un des touts meilleurs spécialistes français de pharmacogénétique.
Le Professeur Philipe Beaune, qui
dirige également une équipe de
chercheurs à l’INSERM – UMRS 775
« Bases moléculaires de la réponse
aux xénobiotiques » – , est secondé
dans son activité par le Docteur
Marie-Anne Loriot, expert en pharmacogénétique.
Une posologie mieux
adaptée et des effets
secondaires diminués
Ce test, qui détecte de nombreuses mutations de gênes, permet ainsi de mieux
Des journalistes attentifs aux explications théoriques
et pratiques du Dr M.A. Loriot et du Pr P. Beaune.
classifier les patients sur leur capacité
à métaboliser plus ou moins « normalement » les médicaments : patients métaboliseurs lents, intermédiaires, rapides, et
ultra-rapides. Les médicaments concernés sont tout particulièrement certains
psychotropes (antidépresseurs et antipsychotiques), mais également des antiarythmiques, analgésiques, antiémétiques et
bêtabloquants, ainsi que des benzodiazépines, antiépileptiques, et antiulcéreux.
Le test AmpliChip CYP450 va aider les
médecins à adopter une approche thérapeutique beaucoup plus personnalisée,
avec le double objectif d’une augmentation de la probabilité de succès du
traitement et d’une diminution de la
fréquence d’apparitions des effets indésirables. C’est aussi l’espoir de parvenir
à réduire certains des surcoûts de santé
liés à la iatrogénécité.
Contact Roche Diagnostics :
[email protected]
Des retours presses importants pour cette première française.
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INNOVATION
La technologie
des puces à ADN
AmpliChip