Bion®3 : Le microbiote intestinal

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la force intérieure
Le Microbiote
Le microbiote intestinal est l’un des systèmes
les plus étonnants et les plus utiles de notre
organisme.
Une flore aussi complexe qu’essentielle
La flore se compose de 10 fois plus de cellules que n’en comprend notre propre corps, soit 100 000
milliards. 500 à 1000 espèces microbiennes vivent ainsi, assurant un équilibre entre les bénéfices
des espèces saprophytes et le risque constitué par les espèces potentiellement pathogènes.
Le microbiote est partie prenante dans des fonctions essentielles à la vie : digestion des nutriments,
veille immunitaire, régulation de l’axe nerveux et maintien de la fonctionnalité intestinale.
Les méfaits de la dysbiose
Notre rythme de vie, notre alimentation souvent mal équilibrée, l’âge entraînent des
perturbations de cet équilibre. Or, tout déséquilibre d’un acteur aussi important de notre
organisme – la dysbiose - ne peut rester sans conséquence. Les nutriments sont moins
absorbés. Le système immunitaire n’est plus aussi efficace. Des manifestations du stress
peuvent apparaitre. Un vieillissement prématuré de la paroi intestinale peut être observé :
sensibilité à la fatigue, aux infections, aux troubles du transit1…
Un équilibre à entretenir à l’aide des probiotiques
Heureusement, il est possible d’entretenir son microbiote. Les probiotiques sont, selon l’OMS,
des micro-organismes vivants qui, lorsqu’ils sont administrés en quantités adéquates, produisent
un bénéfice pour la santé de l’hôte2.
Supplémentation en probiotiques, des bénéfices démontrés lors des troubles
hivernaux…
Une étude clinique, menée sur 475 personnes âgées de 18 à 67 ans, a montré le bénéfice
d’une supplémentation quotidienne pendant 3 mois par un complexe de probiotiques/
vitamines/minéraux par rapport à une complexe classique vitamines/minéraux(3).
Les résultats montrent que l’adjonction de probiotiques a eu un effet sur la durée et la
symptomatologie des épisodes hivernaux et secondairement sur certains paramètres de
l’immunité, à savoir un taux plus élevé de lymphocytes T suppresseurs (CD8+) et de lymphocytes
T helpers (CD4+) dans le groupe traité en plus par probiotiques.
… comme sur la fatigue et le stress
Une étude observationnelle très récente a été menée auprès de 242 sujets (38,6 ans en moyenne,
79,8 % de femmes) présentant des signes de stress et de fatigue, à savoir un score supérieur
à 21 au PSS10 (Perceived Stress Scale 10)(4). Là encore, la prise quotidienne d’un complexe
probiotiques/vitamines/minéraux pendant 1 mois a entrainé une diminution significative, de
l’ordre de 23 %, du score PSS10 (p<0,0001). L’effet est d’autant plus marqué sur le sous score
de fatigue (diminution de 45 %, p< 0,0001). Mieux encore, une évaluation 1 mois après l’arrêt de
la supplémentation montre que le score PSS10 reste similaire à celui observé à la fin du premier
mois, laissant supposer un maintien dans le temps de son bénéfice.
Cette information scientifique est réservée exclusivement aux professionnels de la santé. L’objectif de cette communication est de fournir un accès aux
informations scientifiques, aux études et recherches dans le domaine de la santé.
1) Konturek PC. et al. Stress and the gut: pathophysiology, clinical consequences, diagnostic approach and treatment options. J Physiol Pharmacol. 2011; 62(6): 591-9.
2) FAO, WHO. Probiotics in food. Health and nutritional properties and guidelines for evaluation. 2006.
3) de Vrese M et al. 2005 Effect of Lactobacillus gasseri PA 16/8, Bifidobacterium longum SP07/3, B. bifidum MF 20/5 on common cold episodes: a double blind,
randomized, controlled trial. Clin Nutr. 2005 Aug;24(4):481-91.
4) Allaert FA, et al. Effect of magnesium, probiotic, and vitamin food supplementation in healthy subjects with psychological stress and evaluation of a persistant effect after
discontinuing intake. Pan Minerva Med Jun 2016. Under press
Compétition pour les récepteurs gastriques
ES
SYSTÈME
MÉTABOLISME
IMMUNITAIRE
AMINES
VIT
PROBIOTIQ
U
Survivre dans l’estomac
ÉNERGÉTIQUE
MÉTABOLISME
DU SYSTÈME
Compétition pour Antagonisme
les nutriments
direct
Stimulation
immunitaire
Blocage des
pathogènes
• Des probiotiques
et des bactéries
pathogènes cohabitent
dans l’intestin
• Les probiotiques
entrent en compétition
avec les pathogènes
pour les nutriments et
les sites récepteurs (3)
DIGESTIF
M
IN
• Environ 100 000
milliards de bactéries
vivent dans l’intestin (2)
ÉRAUX
Un probiotique doit :
• être disponible dans des quantités suffisantes
• être capable de survivre aux sucs gastriques
• rester “vivant” le temps de vie de la spécialité
• Les probiotiques
produisent des
composés volatils tels
que des acides gras et
des anti-microbiens
• apporter un bénéfice de santé à celui qui
l’héberge
• ne pas présenter de risque pour la santé
Amélioration de la
barrière intestinale
Dysfonction
de la barrière
intestinale
Réduction
du pH
Microbe
intestinal
Organisme
pathogène
Ferment
Cellule
immunitaire
Activation de la réponse immunitaire
Immunomodulation
• L’intestin contient environ 70 % des
cellules immunitaires dans le tissu
lymphoïde associé à l’intestin
• Le tissu lymphoïde présente des agrégats
de follicules appelés plaques de Peyers
• Les plaques de Peyers hébergent des
cellules T et B, des macrophages et des
cellules denritiques
• Les plaques de Peyers sont les
« détecteurs immunitaires » de l’intestin
Inhibition de l’adhésion
bactérienne
Probiotics
Sécrétion de
peptides antimicrobiens
Couche de
mucus
Macrophage
Épithelium intestinal
PROBIOTIQUES
Action antimicrobienne
• Les probiotiques contribuent à prévenir l’adhésion
des bactéries pathogènes sur la paroi de l’intestin
• La production de bactériocine contribue à inhiber
les pathogènes
• La paroi intestinale – ou la muqueuse intestinale –
contribue à la protection de l’organisme contre les
bactéries pathogènes
• Les jonctions serrées empêchent le passage des pathogènes
Cellules de Paneth
de la lumière intestinale vers l’organisme
• Les cellules de Paneth contribuent à l’intégrité de l’épithelium intestinal
en sécrétant des antimicrobiens lorsqu’elles sont en contact avec un pathogène
Bactéries
Cellule B
Peptides
antimicrobiens
Cette information scientifique est réservée exclusivement aux professionnels de la santé.
L’objectif de cette communication est de fournir un accès aux informations scientifiques,
aux études et recherches dans le domaine de la santé.
Cellule T
Plaque de Peyers
1. TNO report, 2012
2. Wallace TC et al. 2011 Human gut microbiota and its relationship
to health and disease. Nutr Rev. 2011 Jul;69(7):392-403
3. Ashraf R et al. 2014 Immune system stimulation by probiotic
microorganisms.”Critical reviews in food science and nutrition.” Crit
Rev Food Sci Nutr. 2014;54(7):938-56
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