Article 1

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Article 1 : le GIEC alias le Grand Machin Onusien.
Depuis plusieurs dizaines d’années, le GIEC, satellite du Grand Machin Onusien (GMO), publie des
rapports sur le réchauffement climatique. Dans ses statuts, rédigés par l'UNEP (United Nations
Environment Program), autre satellite du GMO, il est demandé au GIEC de travailler sur le
"Réchauffement Climatique Anthropique" (RCA) : « Évaluer sans parti pris et de façon méthodique,
claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et socio-économique qui nous
sont nécessaires pour mieux comprendre les fondements scientifiques des risques liés au
changement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les conséquences possibles de
ce changement et envisager d’éventuelles stratégies d’adaptation et d’atténuation ». Donc, avant
même que le GIEC n'ait commencé ses travaux, on lui impose LA SOLUTION : il y a réchauffement ET
il est anthropique.
Donc, mécaniquement, les dirigeants du GIEC vont tout faire pour justifier cette solution, et ils ont
toujours soigneusement écarté ou minimisé les observations gênantes, et n’ont pas hésité à utiliser
de la science fausse, comme, par exemple :
 le modèle obsolète d'effet de serre d'Arrhénius, réfuté par les physiciens de son époque, et
que le GIEC a fort opportunément sorti de son chapeau,
 inventer un nouveau processus physique, le forçage radiatif avec rétroaction, qui a la
propriété étonnante de violer la seconde loi de la thermodynamique,
 ou encore de postuler que la durée de vie du CO2 « anthropique » est de plus de 100 ans,
alors qu’il est établi que, chaque année, un cinquième du CO2 de l'air est absorbé par la
biosphère (végétation et océans) et renouvelé par dégazage des océans et des sols.
L’hypothèse que le CO2 « anthropique » aurait la propriété de rester dans l’atmosphère plus
de 100 ans, car il serait « marqué » comme étant différent du CO2 d’origine naturelle, et
donc devrait avoir un comportement spécifique (« exception » du CO2…), est totalement
loufoque.
Le Groupe 1 (WG1), chargé de la partie scientifique, fait la synthèse des publications parues dans les
revues scientifiques à comité de lecture. Le Groupe 2 (WG2) s’attache à identifier les conséquences
du RCA, et le Groupe 3 (WG3) s’occupe des politiques d’adaptation et d’atténuation du terrible RCA.
Le GIEC n’est donc PAS un organisme scientifique, mais un Machin chargé de justifier une idéologie
onusienne radicale.
Une fois que le rapport scientifique est rédigé (compilation de nombre de publications
judicieusement sélectionnées), le résumé pour les décideurs (SPM) est préparé entre les dirigeants
du GIEC et les représentants des gouvernements. Il est négocié mot par mot, à la virgule près, selon
les bonnes habitudes du GMO. De ce fait, le SPM gomme toutes les nuances, toutes les
interrogations, tous les aveux de méconnaissance que l’on peut trouver dans le rapport scientifique.
Puis, il est publié et présenté en grande pompe aux Etats, aux institutions internationales, et aux
médias du monde entier pour qu’ils relayent la Sainte Parole « GIECquienne » aux peuples de toute la
planète.
Après ce faste clinquant et fort onéreux, les scientifiques sont priés de mettre le rapport scientifique
en conformité avec le SPM, qui a force de Loi Divine, et leur rapport ainsi remis dans la Ligne du Parti
est publié plusieurs mois après le SPM. Jamais la science n’avait été ainsi dévoyée (sauf avec le
lyssenkisme, cousin soviétique proche du dogme du RCA) et jamais son éthique la plus élémentaire
n’avait été ainsi foulée aux pieds.
C’est ainsi que la propagande en faveur des thèses du GIEC est omniprésente, particulièrement en
France, et que les médias, ayant perdu toute éthique professionnelle, font preuve d’un soutien
inconditionnel au dogme du RCA (Réchauffement Climatique Anthropique). Les thèses du GIEC
permettent ainsi de justifier les plans climat-énergie qui fleurissent comme pâquerettes au
printemps dans les pays de l’UE (et tout particulièrement au Pays des Lumières – il fut un temps-,
dans toutes les communes et collectivités territoriales, conséquence dramatique de notre absurde
Grenelle de l’Environnement…) et qui ont pour conséquence le développement inconsidéré des EnR,
qui sont la pire des transitions énergétiques. Et les toutes les politiques de l’UE (plans climat-énergie,
taxes carbone, règlementations contraignantes, agrocarburants …) nous mènent à la ruine, pour des
prunes.
En effet, supposons très très très hardiment que les thèses du GIEC soient exactes. L'UE prévoit de
réduire de 20% nos émissions de CO2 pour 2020, afin de sauver la Planète (on se demande bien de
quoi, mais sûrement pas de la bêtise ni du dogmatisme...). La part de CO2 anthropique mesurée dans
l'atmosphère, caractérisée par sa signature isotopique, est faible: 6% de 396 ppm, soit 23 ppm. La
fraction d'origine européenne est de 11%, soit 11% de 6%=0,66 %. La réduire de 20% la fera donc
passer de 0,66% à 0,53% en 2020. Et cela conduirait à un impact (selon le GIEC) de 0,1%, donc une
limitation du réchauffement de 0,001 à 0,006°C. Non mesurable. Source: "L'innocence carbone", de
François Gervais, physicien spécialiste en thermodynamique et thermographie infrarouge, et "expert
reviewer" du GIEC.
Dépenser des centaines de milliards d'euros (1000 milliards d’euros pour l’Allemagne) et plumer les
citoyens et les entreprises pour un si piètre résultat est complètement absurde, et tout ce délire
mènera l'UE à sa ruine...
Faire pire, ce n’est pas possible,
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