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Sortie jeunes seniors de Saverne
le 15 mars 2016
Le Palatinat
Histoire
Remarque importante : Il ne faut pas confondre l'État historique du Palatinat du Rhin ou Palatinat Électoral,
qui avait son centre sur la rive droite du Rhin et avait pour villes principales Heidelberg et Mannheim, avec
l'entité administrative du Palatinat rhénan , créée en 1816, tout entière située sur la rive gauche, et incluant
des territoires n'ayant jamais fait partie du Palatinat historique, tels que la principauté épiscopale de Spire ou
Kirchheimbolanden, qui appartenait aux Nassau-Weilbourg. Pour ne pas confondre le « nouveau » Palatinat
de l'ancien, ainsi que du Haut-Palatinat, le nom de « Palatinat rhénan » est utilisé non-officiellement. On
trouve également quelquefois sur les anciennes cartes la mention de « Bavière rhénane » ( Rheinbayern) .
Jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, le Palatinat fut divisé en plusieurs États de tailles diverses, dont les plus importants étaient le Palatinat Électoral ou Palatinat du Rhin (Kurpfalz , dont le souverain était également Électeur de Bavière depuis 1777), le duché de Palatinat-Deux-Ponts (dont le souverain était l'héritier de l'Électeur de Palatinat et de Bavière), le comté de Hanau-Lichtenberg et la principauté épiscopale de Spire.
Après l'occupation française pendant les guerres de la Révolution, toute la partie du Palatinat du Rhin situé sur la rive gauche du Rhin (la plus grande partie du Palatinat) fut annexée par le royaume de Bavière en 1816, comme un des districts bavarois, bien que séparé géographiquement du reste de la Bavière.
À partir de 1808, les régions administratives de la Bavière prirent le nom des rivières qui y coulaient : cette région fut alors nommée « arrondissement du Rhin » (Rheinkreis ). En 1835, le roi Louis Ier de Bavière, inspiré par les idées romantiques de l'époque, ordonna le retour aux désignations historiques, et la région fut renommée « Palatinat » (Pfalz ).
Les Bavarois ayant conservé le Code Napoléon, introduit par les Français dans le Palatinat, cette région se distingua alors par son statut particulier au sein du royaume de Bavière. Les Wittelsbach tentèrent d'affirmer l'unité de la Bavière en construisant un château royal à Edenkoben et en restaurant la cathédrale de Spire sous la supervision directe de Louis Ier. C'est ainsi que Ludwigshafen (fondé en 1843) prit le nom de ce roi. De l'autre côté, les représentants du Palatinat furent toujours fiers d'être issus d'un pays plus progressiste, et tentèrent d'étendre au reste du royaume le libéralisme que les Français avaient introduit dans le Palatinat (Fête de Hambach).
Pendant la révolution de 1848, un mouvement séparatiste tenta d'établir une « République palatine », tentative anéantie par une violente intervention prussienne.
L'union perdura après que la Bavière intégra l'Empire allemand en 1871, et même après la destitution des Wittelsbach et la proclamation de l'État libre de Bavière en 1918.
Après la fin de la Première Guerre mondiale, et conformément aux termes du traité de Versailles, les troupes françaises occupèrent le Palatinat rhénan. Les arrondissements de Hombourg et de Saint-Ingbert furent séparés du Palatinat pour être rattachés au territoire du Bassin de la Sarre nouvellement créé, gouverné par la Société des Nations. Ces deux arrondissements furent fusionnés en 1974 pour former l'arrondissement de Sarre-Palatinat.
En 1923, des troubles séparatistes, dont il est généralement admis qu'ils furent soutenu par la France, éclatèrent dans le reste du Palatinat rhénan et en Rhénanie prussienne dans le but de créer une République palatine (de même qu'une République rhénane fut proclamée à Aix-la-Chapelle), entraînant une violente réaction bavaroise : le chef de la sécession Franz Josef Heinz (en) fut assassiné à Spire en janvier 1924, tandis que le reste des opposants furent tués à Pirmasens en février 1924 : un traité entre la Bavière et la commission interalliée de la Rhénanie (le conseil suprême des forces d'occupation alliées) confirma l'appartenance du Palatinat à la Bavière en février 1924.
Cette union fut finalement dissoute lors de la réorganisation du territoire allemand après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Alors que la Bavière proprement dite fit partie de la zone d'occupation américaine, le Palatinat rhénan fut occupé par les Forces françaises. Celles-ci réorganisèrent leur zone d'occupation en créant de nouveaux Länder. Ainsi par l'ordonnance n o 57 en date du 30 août 1946 du général Koenig, le Palatinat fut réuni à la Hesse rhénane et à la Rhénanie prussienne pour former le land de Rhénanie-Palatinat.
En 1956, un plébiscite sur le retour du district du Palatinat à la Bavière échoua. De nos jours, la Fondation Bavière-Palatinat (Bayern-Pfalz-Stiftung) préserve la mémoire de cette histoire commune.
Louis Charles Auguste de Wittelsbach, roi de Bavière sous le nom de Louis
Ier (en allemand : Ludwig Karl August von Wittelsbach, König von Bayern ; né le 25 août 1786 à Strasbourg – décédé le 29 février 1868 à Nice) fut de 1825 à 1848 le second roi de Bavière. Il est le fils aîné de Maximilien Ier de Bavière et de son épouse Wilhelmine de Hesse-Darmstadt.
Fils de Maximilien de Palatinat-Deux-Ponts, alors officier au service de la France, et de Wilhelmine de HesseDarmstadt, Louis est le neveu de Charles II Auguste, duc de Deux-Ponts qui a été chassé de ses États par la France révolutionnaire. Le duc Charles-Auguste est lui-même l'héritier de l'électeur Charles-Théodore de Bavière.
Louis naît à Strasbourg le 25 août 1786, jour de la Saint Louis. Il a pour parrain le roi Louis XVI de France dont il porte le prénom. Il acquiert très jeune un goût pour les arts et effectue de nombreux voyages en Italie. En 1796, il perd sa mère et son père se remarie avec la princesse Caroline de Bade, jeune femme de grande beauté et d'une grande dignité.
Le prince royal de Bavière (1807)
Peu auparavant, la mort de son oncle, Charles II Auguste de Palatinat-Deux-Ponts avait fait de son père l'héritier de l'Electeur de Bavière Charles-Théodore auquel il succède en 1799. Le nouvel électeur comprend que ses intérêts sont de s'allier à la France révolutionnaire puis impériale. Il reçoit des mains de Napoléon la couronne royale en 1805. Le mariage de la princesse Augusta, sœur cadette de Louis, avec le prince impérial Eugène, fils adoptif de l'empereur des Français, est le gage de cette alliance.
Le prince Louis prend part aux guerres de l'Empire, d'abord dans les troupes de Napoléon, avant de se ranger en 1813 du côté de la coalition anti-française, à la suite du changement de politique de son père.
Conformément aux accords passés avec les alliés, le Congrès de Vienne conserve au souverain bavarois son titre royal mais celui-ci doit rendre à l'Autriche le Tyrol et le Vorarlberg. En outre, afin de réconcilier les deux monarchies, il est convenu que l'archiduc François-Charles, héritier putatif de l'empire d'Autriche épouse la duchesse Sophie de Bavière, sœur cadette de Louis. La Bavière intègre la nouvelle Confédération germanique.
Dans les années suivant le congrès, les princesses Bavaroises épousent les princes souverains allemands ou étrangers et accèdent au trône d'Autriche, de Prusse, de Saxe, de Hesse-Darmstadt, de HohenzollernHechingen, de Suède, du Portugal et du Brésil.
Le prince royal Louis et la princesse royale Thérèse (1818)
Le prince Louis épouse en 1810 Thérèse de Saxe-Hildburghausen, son père ne désirant pas le mésallier avec une « napoléonide » comme l'avait fait le grand-duc hériter de Bade. Les festivités à l'occasion de ses noces sont à l'origine de la première Oktoberfest à Munich.
Neuf enfants sont issus de cette union :
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Maximilien (1811-1864), qui lui succède, marié en 1842 à Marie de Prusse et père des rois Louis II et Othon I
Mathilde de Bavière (1813-1862) mariée en 1833 à Louis III grand-duc de Hesse et du Rhin (1808-1877)
Othon (1815-1867), roi de Grèce de 1832 à 1862, marié en 1836 à Amélie d'Oldenbourg
Charlotte (7 octobre 1816 - 12 avril 1817)
Léopold (1821-1912), marié en 1844 à Augusta de Toscane et père du roi Louis III de Bavière
Aldegonde (1823-1914), mariée en 1842 à François V, duc de Modène
Hildegarde (1825-1864), mariée en 1844 à l'archiduc Albert d'Autriche
Alexandra (1826-1875), morte célibataire et sans enfants
Adalbert (1828-1875), prince héritier de Grèce, marié en 1856 à Amélie d'Espagne
Le règne
Le Royaume de Bavière au sein de la Confédération germanique.
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Louis I accède au pouvoir à la mort de son père en 1825 et poursuit la politique de mécénat commencée alors qu'il n'était que prince héritier. Admirateur de Goethe, il acquiert les œuvres que celui-ci a particulièrement appréciées au palais Bevilacqua de Vérone, ainsi que la Tête de Méduse du marquis Rondanini, décrite avec enthousiasme par Goethe dans Voyage en Italie . Il achète aussi les sculptures du temple d'Aphaïa à Égine, découvertes peu de temps auparavant. Il réussit également à acheter le Faune Barberini lors de la dispersion des collections Barberini.
Il constitue la Galerie des Beautés demandant au peintre de cour Joseph Karl Stieler de portraiturer les plus jolies de ses contemporaines présentes ou de passage à Munich sans distinction de classe sociale ou de rang : les portraits de sa sœur l'archiduchesse Sophie, mère de l'empereur et de sa fille la duchesse Alexandra de Bavière côtoient ceux de Charlotte von Hagn, comédienne, d'Hélène Sedlmayer, fille de cordonnier et de Lola Montez, danseuse et aventurière.
Pour abriter ses collections, il fait bâtir à Munich la Glyptothèque, le Staatliche Antikensammlungen ainsi que l'Alte et la Neue Pinakothek. Il transfère également à Munich l'université de Bavière, alors située à Landshut.
Munich devient ainsi le plus brillant et le plus important centre artistique et universitaire allemand.
Au niveau politique, il se sépare du francophile comte Maximilian de Montgelas, favori de son père hellénophile passionné, il a confié l'éducation de ses enfants au professeur Friedrich Thiersch et soutient l'indépendance de la Grèce. Son second fils, Othon, devient roi des Hellènes en 1832. Pour le soutenir un conseil de Régence, composé essentiellement de Bavarois, est constitué. Cependant, le jeune roi refusera d'abandonner le catholicisme pour l'orthodoxie. Il épousera en 1836 une princesse allemande mais son mariage restera stérile.
À la suite de la Révolution de Juillet en France, il prend des mesures répressives.
Il a été un soutien enthousiaste du développement du chemin de fer1. En 1834 le chemin de fer bavarois Ludwig relie pour la première fois Nuremberg à Fürth. En 1844 est créée la Première Société Royale des chemins de fer royaux bavarois.
Époux inconstant et souverain impopulaire
La reine Thérèse de Bavière (1832)
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Louis I est un époux étrange, accordant toute sa confiance à la reine Thérèse sur le plan politique mais la maintenant dans une étroite dépendance financière. La reine, bien qu'elle ait conservé la religion protestante, est appréciée pour sa charité et la dignité dont elle fait preuve face à ses déboires conjugaux.
En effet, le roi est un époux volage qui affiche ses maîtresses comme en 1831, la comtesse Marianna Bacinetti ou en 1847, vieillissant, la danseuse hispano-irlandaise Lola Montez qu'il anoblit en "comtesse de Landsfeld", provoquant un scandale retentissant.
Son impopularité s'accroît avec cette dernière et tapageuse liaison et il est contraint d'abdiquer le 20 mars 1848 en faveur de son fils aîné, Maximilien.
Tandis que l'aventureuse comtesse fuit aux États-Unis, le roi survivra vingt ans à sa déchéance.
Le survivant
En 1854, la reine Thérèse meurt à Munich, pleurée par l'ex-roi qui ne tarit pas d'éloges sur la défunte, la décrivant comme l'exemple des épouses. La nièce des ex-souverains, Elisabeth dite "Sissi", épouse l'empereur d'Autriche (qui est aussi un de leurs neveux).
Cette union brillante est suivie par le mariage de la sœur de l'impératrice, Marie de Bavière, avec le roi François II des Deux-Siciles. Confrontée à l'invasion des Chemises rouges de Garibaldi, la souveraine de dixneuf ans fera preuve d'une mâle énergie avant de trouver refuge dans les États du pape Pie IX.
En 1862, le roi Othon Ier de Grèce, moins hellénophile que son père, est déchu et remplacé par un prince danois qui a le soutien de l'empire Britannique et de la Russie. Il se réfugie en Bavière. En 1864, Le roi déchu perd son fils aîné et successeur, Maximilien II. Son petit-fils, le célèbre et tourmenté Louis II de Bavière, devient roi à dix-neuf ans et son neveu Maximilien d'Autriche est élu empereur de Mexique.
En 1866, Louis II prend le parti de l'Autriche contre la Prusse mais est vaincu. La Confédération germanique est dissoute. La Prusse prend la tête d'une Confédération d'Allemagne du Nord mais signe des traités de défense mutuelle avec les états du sud dont la Bavière. L'Autriche est exclue du monde germanique.
1867 est une année maudite pour les Maison de Wittelsbach et de Habsbourg-Lorraine au regard de laquelle la mort avant son père de l'ex-roi des Hellènes apparait comme un simple fait divers : Commencée sous d'heureux auspices par les fiançailles du roi Louis II avec sa cousine Sophie-Charlotte en Bavière, l'année se terminera lamentablement par la rupture de cette idylle de conte de fée, le jeune souverain ayant montré les premiers signes originaux d'une personnalité complexe dont la fin sera tragique. Entre-temps, les épreuves frapperont durement les deux Maisons souveraines catholiques : l'empereur du Mexique, vaincu par ses opposants, est exécuté sommairement. L'impératrice Charlotte devient folle. Le prince héritier de Tours et Taxis, neveu par alliance de l'ex-roi, meurt de maladie à trente-six ans laissant la gestion de son immense fortune à la princesse née Hélène en Bavière, sa veuve éplorée qui vient de donner le jour à leur quatrième enfant. La princesse Sophie de Saxe, jeune épouse du duc Charles-Théodore en Bavière, meurt de maladie à vingt-deux ans. Le jeune veuf renonce à sa carrière dans l'armée Bavaroise et, au grand dam de sa famille, entame des études de médecine.
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L'ex-roi Louis I mourut en France à quatre-vingt-deux ans au début de l'année 1868 dans une villa de Nice sur la côte d'Azur. Il fut inhumé dans l'abbaye Saint-Boniface à Munich. Son cœur est prélevé du corps pour être inhumé dans un monument situé dans la Chapelle de la Grâce à Altötting.
Quelques recettes autour de l'amande
Mandeltorte
Rezept: Frau Nattermüller aus Neustadt-Gimmeldingen
Einkaufsliste:
375 g Butter
300 g Zucker
6 Eier
1 EL Rum
375 g Mehl (405er), gesiebt
2 Teelöffel Backpulver.
gefettete Backform
Für Füllung und Deckel
250 ml Sahne
1 Esslöffel Vanillezucker
20 g Zucker
1 Päckchen Sahnesteif
200 g Mandeln
Zubereitung:
375 Gramm zimmerwarme Butter mit 300 Gramm Zucker schaumig rühren, sechs Eier verquirlen, einen Esslöffel Rum dazugeben. 375 g Mehl (405er) gesiebt hinzufügen, vermischt mit zwei Teelöffeln Backpulver. Das Ganze in eine gefettete Backform geben und bei 175 Grad ca. 60 Minuten backen. Für die Füllung und den Deckel 250 ml Sahne mit einem Esslöffel Vanillezucker, 20 Gramm Zucker und ein Päckchen Sahnesteif steif schlagen, 200 Gramm Mandeln unterheben.
Den Rührteig auskühlen lassen und dann in der Mitte einmal quer durchschneiden. Die untere Hälfte mit Aprikosenmarmelade und dann mit einem Teil Mandelsahne gleichmäßig bestreichen. Den Deckel auflegen und dann mit der restlichen Mandelsahne bestreichen. Nun kann man den Kuchen beispielsweise mit dem Gimmeldinger Mandelblütengebäck verzieren. Fertig! Guten Appetit!
Geröstete Mandeln mit frischem Rosmarin
Rezept: Claudia Schupp aus Neustadt-Gimmeldingen
Einkaufsliste:
200 g ganze ungeschälte Mandeln
1 Ei
grobes Meersalz
getrocknete Kräuterblüten aus der Mühle
gehackter Rosmarin
Zubereitung:
200 g ganze ungeschälte Mandeln auf einem Backblech mit Backpapier ausbreiten. Ein Eiweiß kurz verquirlen und die Mandeln damit bestreichen. Frische Rosmarinzweige (nur die Blätter) abzupfen und fein hacken. Die Mandeln mit grobem Meersalz und – wenn gewünscht – getrockneten Kräuterblüten aus der Mühle würzen, dazu gehackten Rosmarin. Nochmals mit dem Pinsel etwas nacharbeiten und die Mandeln mit Meersalz und Rosmarin abpinseln. Bei 220 Grad ca. 15 bis 20 Minuten auf der oberen Schiene rösten, dabei alle fünf Minuten wenden.
Die Mandeln sollten nach dem Abkühlen frisch verzehrt werden. Hierzu passt ein Glas “Gimmeldinger Riesling, trocken”, aber auch eine Rotwein-Cuvée oder ein kräftiger Weißwein sind denkbar. Guten Appetit und Prost.
Buttermandel-Kuchen
Rezept: Familie Hahn
Alles was gebraucht wird, wird mit dem leeren Sahnebecher abgemessen!
4 Eier, dazu 1 Päckchen Vanillinzucker, ¾ Becher Zucker, 1 Becher süße Sahne – alles miteinander verrühren.
Dann 2 Becher Mehl und ein Päckchen Backpulver hinzugeben.
Eier und Vanillinzucker schaumig rühren, dann die Sahne zum Schluss hinzufügen.
Die 2 Becher Mehl und das Backpulver beirühren.
Diesen Teig auf ein vorher eingefettetes Backblech gleichmäßig ausstreichen.
Ca. 12-15 Minuten bei 200 Grad hellbraun backen.
Das Leckere obendrauf – der Belag:
125 gr. Rama oder Butter
3/4 Becher Zucker
200 gr. gehobelte Mandeln
8 Esslöffel Milch
Diese Zutaten in einer Pfanne vermischen und erhitzen bis es leicht braun ist, dabei immer leicht rühren, bis es nur noch flüssig ist.
Dieses dann gleichmäßig auf den gebackenen Teig verstreichen und das gesamte nochmals 10 Minuten backen.
Wenn möglich mit Ober- und Unterhitze .
In der kinderfreien Variante kann man auch etwas Rum oder Amaretto hinzufügen. Je nach Geschmacksrichtung kann man auch Aroma oder Vanillingeschmack aus den kleinen Fläschchen hinzufügen.
Mandeln botanisch gesehen
Botanisch gesehen gehören die Mandeln zum Steinobst und nicht zum Schalenobst, obwohl der Aufbau beispielsweise mit der Walnuss vergleichbar ist. Essbar ist der Samen (Kern), der von einer steinharten Samenschale umgeben ist (Stein). Die aussenliegende grün-graue, lederartige Fruchtschale reißt bei der Reife teilweise auf und muss entfernt werden. Die meisten Mandelsorten sind selbststeril und benötigen einen Befruchter, hierzu eignen sich auch Pfirsichsorten mit bestem Erfolg. Man unterscheidet innerhalb der Art Prunus dulcis (dulcis, lat. = süß) verschiedene Unterarten, von denen allerdings nicht alle essbar sind.
Die Bittermandel gilt als Wildform und ist als Ausgangsform für die Kulturmandelsorten anzusehen. Wie der Name schon sagt schmecken die Früchte bitter, was auf ein cyanogenes Glycosid mit Namen Amygdalin zurückzuführen ist, davon kann während des Verdauungsprozesses die giftige Blausäure abgespalten werden. Typisch sind eine harte Schale und der bittere Samen (Kern).
Die Süß- oder Steinmandel hat nur geringe Gehalte an Amygdalin und ist deshalb für den Verzehr geeignet. Typisch sind eine harte Schale und ein süßer Samen. Beispiele: `Kleine vollkernige Süßmandel`, `Ferragnes` etc..
Die Krach- oder Knackmandel ist eine weitere Unterart der Süßmandel mit dünner Schale, die mit den Fingern zerdrückt werden kann. Die Namensgebung fragilis (lat.) = zerbrechlich gibt hier einen deutlichen Hinweis. Beispiele: `Große Prinzessmandel`, `Dürkheimer Krachmandel`, `Palatina' (Neuzüchtung!) etc..
Ebenfalls von Bedeutung sind die Hybriden (Kreuzungen) zwischen Mandel und Pfirsich mit dem Namen Mandelpfirsich. Beispiel: `Perle der Weinstrasse`, eine der schönsten Ziermandeln.
Mandelsorten
Die Farben der Blüten reichen von weiß bis rosa, manche Früchte kann man essen, andere nicht...
Diese Mandelsorten findet man unter anderem an der Deutschen Weinstraße:
Dürkheimer Krachmandel
- Süßmandel
- weiß blühend
- Blüte: mittelspät (vor der Perle der Weinstraße)
- Stein: breit mit abgerundeter Spitze, weiche Schale, glatte Oberfläche
- essbar
Prinzessmandel
- Süßmandel
- weiß blühend mit rosa Auge
- Blüte: früh
- Stein: Ei- bis halbmondförmig, mittelharte Schale, glatte Oberfläche
- essbar
Palatina
- Süßmandel
- weiß blühend mit rötlichem Auge
- Blüte: spät
- Stein: groß, 4-5 cm, süß und schmackhaft
- essbar
Perle der Weinstraße
- Bittermandel
- rosa blühend
- Blüte: spät
- Stein: oval mit kleiner Spitze, sehr harte Schale, raue Oberfläche
- nicht essbar
Warum sind Mandeln so gesund?
Mittlerweile weiß man viel über den Gesundheitswert von Nüssen und insbesondere der Mandeln. In Amerika besitzen Mandeln einen "qualified health claim" (qualifizierter Gesundheitsanspruch), sind in der Ernährungspyramide aufgeführt und gelten daher als empfehlenswertes Lebensmittel. Mehrere nationale und internationale Gesundheitsorganisationen empfehlen daher eine tägliche Aufnahme von 25 g Nüssen oder Mandeln. Neben dem hohen Vitamin E Gehalt als wertvolles Antioxidans und die Bedeutung für den Stoffwechsel steht die präventive Wirkung in Bezug auf Herz-Kreislauferkrankungen im Fokus.
Zusammenfassend lässt sich sagen, dass Vitamin E reiche Lebensmittel, wie Mandeln, durch ihre günstigen Inhaltsstoffe vor koronaren Herzerkrankungen schützen können und zu einer gesunden Ernährung beitragen. Daneben besitzen sie ein gutes Verhältnis von einfach und mehrfach ungesättigten Fettsäuren, Sekundäre Pflanzeninhaltsstoffe wie Phytostyrole, Flavonoide, Phenolsäuren, Vitamin E, Vitamin B-Komplex, Folsäure,
Biotin sowie die Mineralstoffe Magnesium, Kalium, Calcium und Spurenelemente.
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