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Accueil Nos recherches Publications par thèmes Détection et diagnostic Introduction
Comprendre la détection des agents pathogènes et le diagnostic des maladies
infectieuses et découvrir nos travaux
Pourquoi et comment détecter les agents pathogènes et diagnostiquer les maladies infectieuses ? Découvrir nos
travaux.
Diagnostiquer une maladie infectieuse est crucial pour pouvoir en étudier tous les aspects, comprendre son épidémiologie,
envisager des traitements ou des vaccinations. La détection des agents pathogènes en cause et l’étude de leur variété
facilitent ce diagnostic, à condition de disposer de moyens rapides et efficaces.
Les techniques de laboratoire basées sur des caractères observables des agents infectieux, ou phénotypes, restent souvent
utilisées. Par exemple, le sérotypage est une technique immunologique pour mettre en évidence des molécules, ou
antigènes, propres à certains agents pathogènes. Mais parfois ces techniques se révèlent insuffisantes, ce qui oblige à en
développer de nouvelles. L’exploitation de la biologie moléculaire ou la recherche d’anticorps spécifiques d’agents
pathogènes dans le sérum d’animaux ou de personnes infectés le permettent. Encore expérimentales ou utilisées en
routine, les méthodes de diagnostic ont ensuite diverses applications.
Nos publications décrivent :

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

de nouveaux outils ou stratégies de diagnostic, souvent utilisés à un stade expérimental ;
l’identification de molécules qui pourraient servir de cibles pour la détection des agents pathogènes ;
des applications des stratégies de diagnostic pour :
o différencier des agents pathogènes entre eux ;
o étudier l’épidémiologie de certaines infections ;
des techniques utilisées en routine pour diagnostiquer :
o des maladies bactériennes et parasitaires ;
o résistances aux antibiotiques et aux anthelminthiques.
Rédaction : Marion Duchet-Suchaux
Date de création : 27 Février 2015
Mise à jour : 21 Décembre 2016
Accueil Nos recherches Publications par thèmes Détection et diagnostic Aspects étudiés
Nouveaux outils de diagnostic ou techniques de routine et leurs applications,
cibles potentielles
Accéder aux résumés de nos publications
Nous avons développé de nouveaux outils ou stratégies de diagnostic, encore souvent utilisés à un stade expérimental. Ils
peuvent être :
 moléculaires, c’est-à-dire basés sur la mise en évidence de gènes et de molécules spécifiques
des agents pathogènes comme les :
o bactéries Coxiella, Escherichia coli, Mycobacterium et Streptococcus ;
o parasites comme les strongles digestifs sensibles et résistants au lévamisole ;
o maladies à prions ;
o levures Candida par un test Filmarray® ;
 basés sur :
o la spectrométrie de masse (MALDI-TOF) pour détecter des Staphylococcus aureus CC398 et caractériser
des souches bactériennes ;
o la bioluminescence avec la production de virus de la maladie de Marek recombinants ;
o l'imagerie médicale pour un diagnostic précoce de la mucoviscidose dans un modèle porc ;
 liés à la réponse immunitaire avec :
o les anticorps spécifiques des agents pathogènes dans les sérums humains et animaux pour :
 le virus du carcinome des cellules de Merkel et celui de l’hépatite E ;
 les bactéries Brucella ;
o des fragments d’anticorps recombinants spécifiques du venin d’araignées Loxosceles ;
o la réponse cellulaire dans le sang de bovins infectés par les bactéries Mycobacterium.
Nous avons également identifié des molécules et des récepteurs qui pourraient servir de cibles pour la détection et le
diagnostic :
 des bactéries Brucella et Mycobacterium ;
 du parasite Babesia ;
 du carcinome des cellules de Merkel.
Nous avons aussi décrit certaines applications de méthodes de diagnostic aboutissant à :
 faire la différence entre :
o des Escherichia coli pathogènes aviaires et des E coli inoffensifs ;
o des souches de Brucella et d'Ochrobactrum ;
o des souches de Chlamydia isolées du terrain et présentes dans les vaccins ;
 des études épidémiologiques basées sur :
o la biologie moléculaire pour les bactéries Escherichia coli, Mycobacterium et Staphylococcus, et pour
le parasite Echinococcus ;
o la sérologie pour des polyomavirus humains, incluant celui du carcinome des cellules de Merkel et le
virus de l’hépatite E ;
o le sérotypage des bactéries Streptococcus avant et après vaccination ;
 faire un pronostic sur l’issue du carcinome à cellules de Merkel.
Enfin, nos publications rappellent des techniques utilisées en routine pour le diagnostic de :
 maladies :
o bactériennes comme la brucellose, la fièvre Q et la paratuberculose ;
o parasitaires dues à des :
 strongles gastro-intestinaux, mais en soulignant les limites des indicateurs
physiopathologiques classiquement utilisés, lors d'une infection par Haemonchus ;
 protozoaires et des helminthes chez des enfants étrangers en cours d’adoption ;
 résistances aux :
o antibiotiques chez :
 Salmonella selon les techniques référencées ;
 Staphylococcus en comparant deux tests différents .
o anthelminthiques.
Voir aussi
Nos publications sur les résistances aux médicaments.
Les sites décrivant les techniques de référence pour le diagnostic des résistances aux antibiotiques.
Rédaction : Marion Duchet-Suchaux
Date de création : 26 Février 2015
Mise à jour : 21 Décembre 2016
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