State College, le 21 novembre 2013 Monsieur le Rédacteur, Je vous écris à propos d’une situation d’une certaine urgence. Le bien-être des les ours polaires sont en danger. L’article «Canada’s refusal to protect polar bears comes under scrutiny » qui sont publié le 21 november 2013 est inquiétant. Il est très triste que ne fasse pas assez pour les ours polaires que l’extinction augmente chaque année. Ce phénomère d’extinction est important à reconnaître, puisque si nous continuons à sur ce chemin destructeur les ours polaires pourront disparaître. Aujourd’hui, il y a de 20,000 à 25,000 ours polaires et ceci n’est pas beaucoup. Dans 10 ans, seulement deux tiers de cette population d'ours polaires resteront. Les ours polaires sont un sujet de grande importance, car leur disparition affecte beaucoup de les animaux dans la chaîne alimentaire. Ce sont de grands carnivores et ils sont au sommet de la chaîne alimentaire, donc, si ils disparaissent, l’ensemble de l’écosystème de l’Arctique s’effondrera. Plusieurs espèces, y compris le renard arctique et le goéland de Thayer, s’appuient sur le balayage des restes de phoques tués par les ours polaires comme une composante importante de leur alimentation. Si les ours polaires disparaissent, ces espèces pourront aussi les suivre dans l’extinction. Le source du problème est le réchauffement climatique. Pour que les ours polaires puissent survivre, ils ont besoin de la glace de mer. Le phoque annelé, principale proie des ours polaires, nécessite la glace de mer comme habitat principal pour se reposer, s'accoupler et donner naissance. Mais avec le réchauffement climatique, de moins en moins de glace reste sur la mer, et chaque année, les ours polaires meurent de faim, et dans certains cas, la noyade, à cause de longues distances entre les glaces de mer. La densité de la population d'ours polaires dans une population largement étudiée dans la baie d'Hudson, au Canada, est en baisse de 22 pour cent depuis la dernière décennie. Ceux de la baie d'Hudson qui restent en vie souffrent de nutrition inadéquate - les survivants ont été retrouvés 15 pour cent plus minces en moyenne que les ours dans cette population étaient il y a quelques décennies. Pourtant, nous pouvons et devons agir pour changer la situation actuelle. Il est urgent que nous agissions tout de suite pour arrêter le réchauffement climatique. Premièrement, il faut soutenir les efforts visant à freiner le réchauffement climatique. en réduisant, réutilisant et recyclant. Par exemple, nous pouvons utiliser moins de chaleur et climatisation. L'ajout d'isolant à nos murs et combles, et l'installation de coupe-bise ou le calfeutrage autour des portes et des fenêtres peut réduire nos coûts de chauffage de plus de 25 pour cent, en réduisant la quantité d'énergie dont nous avons besoin pour chauffer et climatiser notre maison. Baissez le feu alors que nous sommes à dormir la nuit ou à l'extérieur pendant la journée, et maintenir les températures modérées à tout moment. Réglage de notre thermostat à 2 degrés de moins en hiver et plus élevée en été pourrait sauver environ 2000 livres de dioxyde de carbone chaque année. Deuxièmement, pour les ours polaires en particulier, il nécessaire que nous leur donnions l’aide dont ils ont besoin. Cela signifie soutenir les efforts des ÉtatsUnis pour de fortes protections internationales contre le commerce international et la chasse aux trophées et en soutenant la protection de l'habitat des ours ici aux ÉtatsUnis. Il est certainement souhaitable que ces changements arrivent bientôt, si nous allons sauver les ours polaires. Veuillez agréer, Monsieur, l’assurance de ma considération distinguée. Fiona Chow