Neurofeedback, anxiété et problèmes en relation au Stress

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Anxiété
Neurofeedback, anxiété et problèmes en relation au Stress
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Notre clinique a d’excellents résultats pour le traitement des troubles anxieux comme :
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L'anxiété généralisée
Les attaques de panique
Les troubles obsessionnels compulsifs
Les troubles du sommeil
Les phobies sociales
Nous enseignons à nos patients à mieux gérer leur stress ainsi qu’à réduire leur réactivité au
stress et à diminuer leur niveau de d’excitabilité général. Les patients anxieux montrent un
niveau d’excitabilité élevé, et le neurofeedback peut aider à diminuer ces niveaux à travers un
contrôle de l’activité cérébrale, de la respiration, du rythme cardiaque et de la transpiration. Ce
contrôle aide les patients à devenir plus résilients face au stress et aux situations anxiogènes
sans avoir recours à la médication.
Les causes du stress et de l’anxiété semblent complexes et impliquent des facteurs de
prédisposition héréditaire, des éléments du vécu (passé et présent) et des dérèglements
hormonaux. Ces troubles impliquent souvent une suractivation du système nerveux
sympathique et du moment où ils activent le mode de réponse de survie le plus basique,
souvent appelé « fight or flight », il sera toujours difficile de l’éliminer. Le biofeedback aide à
diminuer la réactivité psychophysiologique et à améliorer la récupération en enseignant aux
patients à activer le système opposant (parasympathique).
Dans les 30 dernières années, l’utilisation commune du biofeedback traditionnel
(EMGbiofeedback) ciblait la relaxation et la gestion du stress. Malgré le succès de ces
techniques de nos jours, le neurofeedback est de plus en plus combiné au biofeedback pour le
traitement de ces troubles. Le neurobiofeedback est probablement la technique la plus efficace,
non invasive, sans douleur et sans pharmacothérapie qui existe pour traiter l’anxiété et les
attaques de panique. En fait, lorsqu’une personne est poussée à performer d’une certaine
manière, le cerveau réagit par une vigilance très élevée qui paradoxalement diminue son
fonctionnement. Ce problème peut être exacerbé par le fait que la personne devient anxieuse,
s’observe devenir anxieuse et devient encore plus anxieuse. Si la même situation se
représente, la personne atteint un niveau d’anxiété encore plus élevé puisque la réponse
anxieuse liée à l’évènement anxiogène précédent est gardée en mémoire. Ceci rend compte
des attaques de panique et/ou de l’anxiété. Quand l’anxiété devient chose familière, il est
difficile de la contrôler. Toutefois, cette condition répond bien à l’entrainement des ondes
cérébrales. En poussant le cerveau à s’auto-réguler, celui-ci finira par mieux fonctionner face
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aux difficultés de la vie et devient moins vulnérable à l’anxiété.
Durant l’entraînement au neurofeedback dans l’anxiété, le patient est évalué à l’aide de l’EEG
quantitatif qui permet au clinicien de voir des patterns spécifiques d’ondes cérébrales consistant
avec l’anxiété, et qui sont par la suite montrés au patient durant l’enregistrement. Ceci constitue
la partie feedback du processus qui permettent aux patients de comprendre et de faire les
changements appropriés pour arriver au succès. Avec le temps, les processus vont
s’automatiser, tout comme dans l’apprentissage du vélo que l’on n’oublie jamais après l’avoir
appris. L’entraînement suit par ailleurs une progression allant d’exercices faciles à d’autres plus
difficiles.
Tout comme d’autres types d’apprentissage, ce processus se base largement sur le
subconscient, mais l’inconscient pourrait également y être impliqué, à travers le système
nerveux autonome qui régule par exemple le clignement des yeux, la respiration, ou encore la
digestion. Ceci étant dit, nous pouvons modifier le contrôle de ce système en clignant des yeux
plus rapidement ou en respirant plus lentement. Dans ce sens, nous pouvons donc apprendre à
réguler ou même modifier les ondes cérébrales à l’aide du feedback.
La majorité des patients pris en charge au Centre de Neurofeedback de Montréal améliorent
leur habileté à contrôler leur anxiété et la panique, à tel point que ces états n’interviennent plus
dans leur vie de tous les jours. Après la fin de la thérapie (20 à 40 séances au moins), les
patients n’ont plus besoin de faire des efforts pour contrôler leur anxiété et leur panique, et ils
se trouvent dans un état plus relaxé et plus approprié à un état de haute performance pouvant
être bénéfique dans d’autres domaines. Ce type de thérapie ne nécessite aucun suivi
post-thérapie. Lire des publications sur le sujet — (en anglais)
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