Corrigé QCM Optique

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QCM Optique géométrique et ondulatoire
-
L’indice de l’eau est d’environ 4/3 donc l’angle incident de réflexion totale vérifie sin ( i ) = nair ≈ 3 correspondant à
RT
neau
4
environ 49 ° au delà duquel il y a réflexion totale conformément à la loi de Descartes de la réfraction. Toute la
puissance passe dans le rayon réfléchi dans ce cas.
- La loi de la réfraction peut en effet être retrouvée de la façon suivante : on dessine deux rayons (équivalents) vérifiant
la loi de Descartes de la réfraction et interceptant le dioptre plan séparateur des milieux en deux points distants d’une
valeur d quelconque. Ces rayons étant parallèles avant et après l’interaction avec le dioptre ils correspondent à deux
infinis conjugués : leur « longueur » infinie est exactement la même. On utilise alors Malus et traçant des plans d’onde
perpendiculaires à ces rayons, on revient au dioptre. Un plan côté incident est équiphase : pas de différence de
marche pour arriver à ces points. Le plan de l’autre côté (réfraction) n’est pas équiphase mais à partir de lui il n’y aura
plus de différence de marche pour aller à l’infini. Ainsi on fait apparaitre un supplément de marche avant pour un
rayon et supplément de marche après pour l’autre rayon. Les points de départ et d’arrivée étant conjugués, ces deux
marches sont égales or l’une s’écrit
n1 .d.sin (θ1 ) et l’autre n2 .d.sin (θ 2 ) : on retrouve bien la loi de Descartes de la
réfraction.
(J’ai ici volontairement évité de faire le schéma à votre place pour que vous le fassiez !)
- Les raies parfaitement monochromatiques n’existent pas. Il s’agirait de trains d’ondes infiniment longs;
- Il ne peut y avoir d’interférences entre deux ondes de fréquences différentes (non isochrones)
- Une telle longueur de cohérence n’est obtenue qu’avec des bons LASERS « monochromatiques » : dans le cas d’un
-
modèle bichromatique idéal, la longueur de cohérence a pour ordre de grandeur l’inverse du ∆sigma du doublet
(sigma nombre d’onde étant l’inverse de la longueur d’onde). Ainsi pour le doublet équivalent du sodium on obtiendrait
environ 0.6mm
Oui, toutes les sources spectrales donnant des spectres de raies fonctionnent sur ce principe. Plus la pression
augmente, plus un fond de spectre continu s’ajoute au spectre de raies.
- Première affirmation évidente par définition et seconde affirmation à vérifier par un tracé de rayons
- Le caractère « mince » du système optique signifie seulement que l’on peut le modéliser par un trait mince le
-
positionnant et deux foyers symétriques relativement à cette position. Dans le cas de systèmes épais on figurera la
zone épaisse dans laquelle on ignore le trajet des rayons et le système nécessitera plus d’éléments cardinaux : plans
principaux et antiprincipaux, points nodaux etc. (aucun rapport avec les bords plus épais ou non que le centre)
Pour constituer un système afocal avec deux lentilles, il suffit que le foyer image de la première lentille coïncide avec
le foyer objet de la seconde. On peut donc le réaliser avec des lentilles de vergences quelconques a priori. Le cas
d’opposition des vergences est le cas le plus stupide qui soit puisque les lentilles sont accolées et leur association
correspond alors à l’absence de système optique !
L'angle d'incidence limite correspondant à une réflexion totale vérifie sin(iRT)?3/4
de vergence
-4 dioptries
-3 Une
Silentille
i>iRT, toute
la puissance
lumineuse incidente passe dans le faisceau réfléchi
esti<i
divergente
Si
RT, une partie de la puissance lumineuse est transmise à l'air
donne
image la
virtuelle
droite (non-inversée)
objet immédiatement
réel placé à longue
distance (supérieure
à la focale)
On
peutune
retrouver
loi de Snell-Descartes
de la d'un
réfraction
en raisonnant
sur les différences
de marche
entre
rayons
du faisceau
parallèle
ne
peut pas
être assimilée
à un système mince puisque ses bords sont "épais"
doit être associée avec une lentille de vergence +4 dioptries pour constituer une système épais afocal
2 Une lampe à gaz servant de source lumineuse bichromatique :
-4 Dans
présente
un spectre
deux raies parfaitement monochromatiques
le modèle
de l'oeilcontenant
emmetrope
permet
de réaliser
des interférences
entre ses deux raies
Le punctum
proximum
est rejeté à l'infini
possède
une
longueur
de
cohérence
(longueur
L'oeil est au repos lorsqu'il "fait le point
à l'infini"des trains d'ondes) de l'ordre de la dizaine de mètres
QCMàIddes
8261
15/11/2016
- Evalbox
fonctionne
sur
un
principe
de
désexcitation
d'atomes suite
décharges électriques dans le gaz sous faible pression
La pupille joue un rôle d'obturateur
La résolution angulaire est de l'ordre de la minute d'angle
3 Une lentille de vergence -4 dioptries
-5 Une
estlunette
divergente
deSélectionner
visée à l'infini
: les bonne(s) réponse(s)
Informations:
la ou
-donne
-- - ne
une
image
virtuelle
droite
d'un
objet
réel (après
placé àl'oculaire)
longue distance
(supérieure
à laàfocale)
vous
fiez
pas
pluriels
dans(non-inversée)
l’énoncé
C’est
le PUNCTUM
REMOTUM
qui est renvoyé
à une
l’infini
correspond
à unaux
système
afocal
auquel
on! ajoute
lentille
permettant
un réglage
la vue de
-neLapeut
- Téléphone
interdit.
-l'utilisateur
pas
être
assimilée
un « normal »
système mince
puisque
ses bords sont
"épais"
situation
de repos
d’unàoeil
correspond
effectivement
à une
« mise au point » à l’infini. Légende
On cherche donc
interdits.
- - Documents
doit
être
associée
avec
une
de
vergence
+4l’oculaire
dioptries
pour
une système
épaisàafocal
systématiquement
à réaliser
cetteobjet
situation
après
de
tous
les instruments
d’observation
optique
(ce qui
peut
contenir
un réticule
(aulentille
foyer
de l'oculaire)
permettant
àconstituer
l'oeil
de maintenir
sa visée
l'infini Correct
implique
la formation
de l’image
l’objectif
fasseconvergente
dans le plansupplémentaire
focal objet de l’oculaire)
devient
uneque
lunette
à frontale
fixe parpar
ajout
d'une se
lentille
devant l'objectif (appelée "bonnette")
Rubrique:
Autre de
/ Non
classable.
-neNon
4
le
modèle
l'oeil
emmetrope
l’iris
autour
de la
pupille
jouelorsqu'elle
le rôle de diaphragme
et lunette
non d’obturateur
obturateur
occulte oufinie)
laisse au
- Dans
peut
viser
qu'une
image
réelle
est réglée en
de visée à: un
frontale
fixe (distance
Lecontraire
punctumpasser
proximum
est rejeté
à l'infini
tout rayon
pendant
une durée spécifique correspondant au temps de pause d’un appareil photo.
-4 à 5.10
-4 radians
-L'oeil
-61Soient
est
au
repos
lorsqu'il
"fait leincidents
point
àrésolution
l'infini"
Réflexion
faisceau
deconjugués
rayons
parallèles
entre eux
sur un rigoureusement
dioptre
dans 3.10
le sens
de l'eau
vers l'air
Ouideux
ond'un
considère
généralement
que
standard
est
d’environ
soit :environ
points
B et
B'
parlaun
systèmeangulaire
optique
supposé
stigmatique
--- La
pupille
joue
un
rôle
d'obturateur
L'angle
limite
correspondant
à une
vérifieàsin(i
la minute
« d’arc »
(1/60ème
de degré)
RT)?3/4 entier de longueurs d'onde dans le vide
Tous
lesd'incidence
chemins
optiques
reliant
B à B' par
le réflexion
système totale
sont égaux
un nombre
-près
est de
l'ordre deincidente
la minutepasse
d'angle
- La
Si résolution
i>iRT, touteangulaire
la puissance
lumineuse
dans le faisceau réfléchi
Si i<iRT
partieoptiques
de la puissance
transmise
l'air
-- Tous
les, une
chemins
reliant Blumineuse
à B' par leest
système
sontàégaux
5
lunette
delongueurs
visée àlal'infini
On
peutles
retrouver
loi
de: Snell-Descartes
de la réfraction
immédiatement en raisonnant sur les différences de marche
-- Une
Toutes
géométriques
des chemins
sont égales
--entrecorrespond
àfaisceau
un système
afocal
auquel
ajoute
lentille
(après
un le
réglage
rayons
parallèle
Tous
les du
chemins
optiques
reliant
B à B'on
valent
unune
nombre
entier
del'oculaire)
longueurspermettant
d'onde dans
vide à la vue de
l'utilisateur
-72Soit
peut
contenir
un
réticule
(au
foyer
objet
de l'oculaire)
permettant
à l'oeilde
deAmaintenir
sad'un
visée
à l'infinioptique 2 différent :
Une
à gaz
servant
de
source
bichromatique
Alampe
de
A au travers
d'unlumineuse
système
optique
1
et A2: conjugué
au travers
système
1 conjugué
--- devient
une
lunette
frontale fixe
par
ajout entre
d'une(AA
lentille
convergente supplémentaire devant l'objectif (appelée "bonnette")
un
spectre
contenant
deux
raies
parfaitement
monochromatiques
Ilprésente
ne peut
y avoir
deàdifférence
de
marche
1) et (AA2)
de réaliser
interférences
entre ses
raies
--- ne
peut viser
qu'unedes
image
réelle lorsqu'elle
estdeux
réglée
en lunette de visée à frontale fixe (distance finie)
Apermet
1 et A2 peuvent être considérées comme des sources secondaires en phase
possède
une
longueur
de
cohérence
(longueur
des
trains
d'ondes) de l'ordre de la dizaine de mètres
A1
6
deux être
points
B et
B' conjugués
par
système
optique
rigoureusement
stigmatique
- Soient
surconsidérées
un
principe
de désexcitation
d'atomes
suitesupposé
à des
décharges
électriques
le différence
gaz sous faible
pression
et
A2 fonctionne
peuvent
comme
desun
sources
secondaires
à déphasage
constant
tantdans
que la
de marche
reste
-Tous
Uneà
lunette
de visée
à l’infini
est de
un
système
(c'est
à dire
queàleun
foyer
image
de l'objectif
et le foyer
objet
de le vide
-inférieure
les
optiques
reliant
B àla
B' par leafocal
système
sont
égaux
nombre
entier
de longueurs
d'onde
dans
lachemins
longueur
de cohérence
Les rayons lumineux sont tous parallèles à leur arrivée dans l'objectif. L’image sera donc
près
3 Unel’oculaire
lentille
desont
vergence
dioptries
source
(longueur
desconfondus.
trains-4d'onde)
dans
le chemins
plan focalE
image
de
l'objectif,
quipar
esttout
le plan
focal
objet(tant
de l'oculaire.
Donc
rayons
ressortent
--- Tous
les
optiques
B à B'
leaussi
système
égaux
est
divergente
Les
éclairements
et
E
s'additionnent
en
point
dusont
détecteur
que celui-ci
seles
trouve
dans
la zone de
de
1
2 reliant
l’oculaire
àimage
l’infini.
L'ajout
d'une
après
vaàdonc
permettre
un(supérieure
réglage adapté
à la vue de
-superposition
les
géométriques
desconvergente
chemins
sont
égales
- Toutes
donne
une
droite
(non-inversée)
d'un
objet
réel placé
longue
distance
à la focale)
etlongueurs
que
la virtuelle
différence
de lentille
marche
n'excède
pas
la l’oculaire
l’utilisateur
(myope
-longueur
lescohérence
chemins
optiques
reliant
B à B' valent
un
nombre
entier
desont
longueurs
- Tous
ne
peut
pas
être assimilée
à un (longueur
système
mince
puisque
ses
bords
"épais"d'onde dans le vide
de
deoulahypermétrope)
source
des trains
d'onde))
L’oeil
peut
faire leavec
pointune
danslentille
tout plan
de front différent
de l’infini
son une
punctum
proximum.
Pour l’obliger à
- - doit
être
associée
de vergence
+4 dioptries
pourjusqu’à
constituer
système
épais afocal
rester
enrelatives
configuration
de mise
au
point
à l’infini,
l’observateur
disposede
(avec
réticule
placé
dans le
plan focal
objet :
7
A
de Aau
auThéorème
travers
d'un
optique
1 et A2 conjugué
A auun
travers
d'un
système
optique
2 différent
8 Soit
Affirmations
desystème
MALUS
1 conjugué
delepeut
l’oculaire)
d’un
objet
à « viser »
pour maintenir
cette
d’observation.
Il s’agit
deux filsoptiques
fins
modèle
de
l'oeil
emmetrope
-4 Dans
IlAprès
ne
y avoir
de
différence
marche
entre
(AA
(AA2)les rayons
1) etconfiguration
un nombre
quelconque
de réflexions
et de
réfractions,
ayant traversé
lessouvent
mêmesde
systèmes
- ALe
punctum
proximum
estsont
rejeté
àcomme
l'infini
formant
une
croix
mais il des
peutsources
aussi
s’agir
d’une
échelle
graduée au dixième ou cinquantième de mm
-depuis
et
A2source
peuvent
être
considérées
secondaires
en phase
une
ponctuelle
perpendiculaires
aux surfaces
d'onde
1perpendiculaires
- A1
L'oeil
estdans
au repos
lorsqu'il
"fait le point
à l'infini" transversales.
placée
ce plan
qui permettra
des mesures
-(équiphase)
-- A-2Les
surfaces
d'onde
émises
une
source
ponctuelle
sont à
des
sphères
à
condition
que
le la
milieu
de propagation
et
peuvent
être
considérées
comme
des
sources
secondaires
déphasage
constant
tant
que
différence
deentrant
marchesoit
reste
Sipupille
on place
une
enpar
amont
de
la lunette,
les rayons
ayant
le cheminement
précédent
(parallèles
en
La
joue
unbonnette
rôle
d'obturateur
inférieure
à la
longueur
de cohérence
de lade la minute
dans
l’objectif)
sortent
de
et proviennent
La
résolution
angulaire
estladelunette-bonnette
l'ordre
d'angle nécessairement de points lumineux situés dans le plan
sourcefocal
(longueur
deslatrains
d'onde)
objet de
bonnette
soit à une distance finie égale sa focale devant la bonnette. On a alors transformé une
-©Evalbox
Les
éclairements
et
E2 en
s'additionnent
en visée
tout point
du détecteur
trouve
la zone
de à
page
1l’infini
5 Une
lunette
devisée
viséeE
l'infini
: une lunette de
lunette
de
àà
à frontale
fixe : elle(tant
vise que
toutecelui-ci
image se
(réelle
ou dans
virtuelle)
présente
f’ 1/2
superposition
et
que
la
différence
de
marche
n'excède
pas
la
correspond
système
auquel
on ajoute unen’a
lentille
(après
l'oculaire)
permettant
un réglage
à la vuedans
de
cm devant à
laun
bonnette.
(laafocal
distance
bonnette-objectif
aucune
importance
puisque
les rayons
sont parallèles
longueur
cohérence
la source
(longueur la
des
trains d'onde))
l'utilisateur
cetde
intervalle
: on de
« colle »
généralement
bonnette
à l’objectif)
- - peut
un réticule
(audefoyer
de l'oculaire)
permettant
à l'oeil
de maintenir
sa visée à l'infini
Noncontenir
une lunette
à l’intérêt
viserobjet
tout type
d’image ou
objet (réelle
ou virtuelle)
contrairement
un détecteur plan
8- Affirmations
relatives
depar
MALUS
devient
lunetteauà Théorème
frontale fixe
ajout d'une lentille convergente supplémentaire devant l'objectif (appelée "bonnette")
commeune
un écran.
-- Après
unviser
nombre
quelconque
de réflexions
de réglée
réfractions,
les rayons
ayant
traverséfixe
les(distance
mêmes systèmes
optiques
ne peut
qu'une
image réelle
lorsqu'elleetest
en lunette
de visée
à frontale
finie)
depuis une source ponctuelle sont perpendiculaires aux surfaces d'onde
(équiphase)
6 Soient deux points B et B' conjugués par un système optique supposé rigoureusement stigmatique
-- Les
surfaces
d'onde
émises reliant
par une
sphères
condition
quede
le longueurs
milieu de propagation
Tous
les chemins
optiques
B source
à B' parponctuelle
le systèmesont
sontdes
égaux
à un ànombre
entier
d'onde danssoit
le vide
près
Tous les chemins optiques reliant B à B' par le système sont égaux
©Evalbox
page 1/2
Toutes les longueurs géométriques des chemins sont égales
Tous les chemins optiques reliant B à B' valent un nombre entier de longueurs d'onde dans le vide
7 Soit A1 conjugué de A au travers d'un système optique 1 et A2 conjugué de A au travers d'un système optique 2 différent :
points
sont rigoureusement
conjugués
un système
optique, cela signifie que toute la lumière partant
- - Il Lorsque
ne peut deux
y avoir
de différence
de marche entre
(AA1)par
et (AA
2)
des
points passera
par l’autrecomme
après traversée
du système
et queenles
amplitudes vibrationnelles y arriveront
Ad’un
être considérées
des sources
secondaires
phase
1 et A
2 peuvent
toujours en phase : le chemin optique est donc le même par l’infinité de trajets infiniment voisins (il ne peuvent pas
A1
et A2 peuvent
êtreseulement
considérées
comme
sources
secondaires
à déphasage
constant
tant que
la différence
de marche reste
être égaux
modulo
une des
longueur
d’onde
dans le vide
puisqu’ils sont
infiniment
voisins).
Evidemment,
inférieure
à laoptique
longueur
cohérence
de la géométrique. Par ailleurs ces chemins n’ont pas une longueur valant
chemin
nede
signifie
pas longueur
sourcespécifiquement
(longueur des un
trains
d'onde)
nombre
entier de longueurs d’onde : ce n’est pas un déphasage nul relativement à la source qui
Les
éclairements
E
et
E2 s'additionnent
en de
touttous
point
détecteur
(tant que différents.
celui-ci seTout
trouve
zone de dans
1
nous importe mais un déphase
égal le long
cesdutrajets
apparemment
cecidans
est àlarelativiser
superposition
et où
queil est
la différence
deun
marche
n'excède
pas la et le principe de stationnarité de FERMAT ne dit pas qu’ils
la mesure
rare d’avoir
stigmatisme
rigoureux
longueur de cohérence de la source (longueur des trains d'onde))
sont exactement égaux mais qu’ils le sont « au deuxième ordre près ».
8 Affirmations relatives au Théorème de MALUS
Après un nombre quelconque de réflexions et de réfractions, les rayons ayant traversé les mêmes systèmes optiques
depuis une source ponctuelle sont perpendiculaires aux surfaces d'onde
(équiphase)
Les surfaces d'onde émises par une source ponctuelle sont des sphères à condition que le milieu de propagation soit
©Evalbox
page 1/2
La pupille joue un rôle d'obturateur
Tous les chemins optiques reliant B à B' par le système sont égaux à un nombre entier de longueurs d'onde dans le vide
La résolution angulaire est de l'ordre de la minute d'angle
près
Tous les chemins optiques reliant B à B' par le système sont égaux
lunette
visée à l'infini
:
-5 Une
Toutes
lesde
longueurs
géométriques
des chemins sont égales
correspond à un système afocal auquel on ajoute une lentille (après l'oculaire) permettant un réglage à la vue de
Tous les chemins optiques reliant B à B' valent un nombre entier de longueurs d'onde dans le vide
l'utilisateur
peut contenir un réticule (au foyer objet de l'oculaire) permettant à l'oeil de maintenir sa visée à l'infini
7 Soit A1 conjugué de A au travers d'un système optique 1 et A2 conjugué de A au travers d'un système optique 2 différent :
devient une lunette à frontale fixe par ajout d'une lentille convergente supplémentaire devant l'objectif (appelée "bonnette")
Il ne peut y avoir de différence de marche entre (AA1) et (AA2)
ne peut viser qu'une image réelle lorsqu'elle est réglée en lunette de visée à frontale fixe (distance finie)
A1 et A2 peuvent être considérées comme des sources secondaires en phase
A1
6 Soient deux points B et B' conjugués par un système optique supposé rigoureusement stigmatique
et A2 peuvent être considérées comme des sources secondaires à déphasage constant tant que la différence de marche reste
Tousàles
chemins optiques
reliantde
B la
à B' par le système sont égaux à un nombre entier de longueurs d'onde dans le vide
inférieure
la longueur
de cohérence
près
source (longueur des trains d'onde)
Tous
les cheminsEoptiques
reliant B à B' par le système sont égaux
-Les
éclairements
1 et E2 s'additionnent en tout point du détecteur (tant que celui-ci se trouve dans la zone de
Toutes
les
longueurs
géométriques
des n'excède
chemins sont
égales
superposition et que la différence de marche
pas la
Tous
les
chemins
optiques
reliant
B
à
B'
valent
un
nombre
entier de longueurs d'onde dans le vide
longueur de cohérence de la source (longueur des trains d'onde))
Soit A1 conjugué
de AauauThéorème
travers d'un
87 Affirmations
relatives
de système
MALUS optique 1 et A2 conjugué de A au travers d'un système optique 2 différent :
Il
ne
peut
y
avoir
de
différence
de
marche
entre
) rayons ayant traversé les mêmes systèmes optiques
1) et (AA2les
Après
un nombre
réflexions
etd’être
de(AA
réfractions,
Les marches
AA1quelconque
et AA2 n’ontde
aucune
raison
identiques
- - ADonc
et Asource
être
considérées
sources
secondaires
1une
2 peuvent
depuis
ponctuelle
sont perpendiculaires
aux
surfaces
d'onde en phase
les
sources
secondaires
n’ontcomme
aucunedes
raison
d’être
en phase
- - A1
(équiphase)
Par contre , deux « portions » d’un même train d’onde ont parcouru deux distances différentes fixes et se superposent
peuvent
considérées
des
sources
secondaires
à déphasage
tant
différence
de chemins
marche
-et A2Les
d'onde
émises
par
source
ponctuelle
sont des
sphères
à constant
condition
queque
le
de propagation
soitreste
au surfaces
point être
d’observation
aveccomme
uneune
déphasage
constant
directement
lié à la longueur
d’onde
et milieu
laladifférence
des
inférieure à la longueur de cohérence de la
optiques (pourvu que la différence de marche n’excède pas la longueur des trains d’ondes émis soit la longueur de
source (longueur des trains d'onde)
cohérence de la source primaire A)
- - Les éclairements E1 et E2 s'additionnent en tout point du détecteur (tant que celui-ci se trouve dans la zone de page 1/2
©Evalbox
Les éclairements
il n’y an'excède
pas d’interférences
! (et il y a interférence dans nos conditions !)
superposition
et que la s’ajoutent
différencequand
de marche
pas la
longueur de cohérence de la source (longueur des trains d'onde))
8 Affirmations relatives au Théorème de MALUS
Après un nombre quelconque de réflexions et de réfractions, les rayons ayant traversé les mêmes systèmes optiques
depuis une source ponctuelle sont perpendiculaires aux surfaces d'onde
Evalbox
QCM Id 8261
15/11/2016
(équiphase)
Les surfaces d'onde émises par une source ponctuelle sont des sphères à condition que le milieu de propagation soit
isotrope (uniformité de l'indice ici)
La différence de phase au point M entre deux ondes planes dans une zone de superposition s'écrit avec les deux vecteurs
©Evalbox
d'onde
et O un point où l'interférence est constructive
page 1/2
:
Dès que deux faisceaux de rayons sont parallèles entre eux, tout plan perpendiculaire est un plan équiphase pour tous les
trains d'onde présents
9 Trous d'Young T1 et T2 séparés de a et éclairés dans le vide par un faisceau LASER incliné sur l'axe optique de ß?0 (dans le
- défini
plan
parexact
le segment
reliantde
lesMALUS
trous et un rayon du faisceau). Une lentille convergente a été ajoutée en sortie et le
Enoncé
du théorème
Evalbox
Id 8261
15/11/2016
- Oui puisqu’une
détecteur
optique se vibration
trouve dans
focals’éloigne
image. àQCM
(un son
frontplan
d’onde)
la même vitesse dans toutes les directions depuis le point
Les
vibrations
sont
en
phase
à
la
traversée
des
trous
source S
isotrope
(uniformité
de
ici)aux
- - les
plans
perpendiculaires
deuxsirayons
parallèles
issus dedes
T1 amplitudes
et T2 sortant
inclinés de ??ß
sontplane
équiphases
Oui
(démontré
enl'indice
cours et
évident
l’on écrit
immédiatement
vibrationnelles
d’onde
et
!seul
! ! les
- - La
au point
Mla
entre
deuxserait
ondes
planes dans
une
de superposition
s'écrit avec
deux vecteurs
! concentrée
!zone
Endifférence
l'absencede
dephase
diffraction,
toute
lumière
en un
point
M!0 sur le détecteur
s
(
r,t)
=
a.cos
ω
t
−
k
.
r
et
s
(
r,t)
=
a.cos
ω
t
−
k
.
r
cohérentes
sous
la
forme
mathématique
:
)
d'onde
et
O
un
point
où
l'interférence
est
constructive
1
1
2
2
Le point O' intersection du plan détecteur avec l'axe optique de la lentille peut être le lieu d'interférences constructives
: - Non car ces rayons peuvent ne pas faire partie du même faisceau tout en étant parallèles (exemple de rayons sortant
- 10 Dès
faisceaux
de rayons
sont parallèlesen
entre
eux, tout
plan
perpendiculaire
estleunplan
planfocal
équiphase
pour tous les
de que
trousdeux
d’Young
différents
qui se superposeront
un point
M d’un
détecteur
placé dans
d’une lentille)
Trous
d'Young
T1et T2 séparés de a et éclairés dans le vide par un faisceau LASER incliné sur l'axe optique de ß?0 (dans le
trains
d'onde
présents
plan défini par le segment reliant les trous et un rayon du faisceau).
lentille
convergente
a été ajoutée
enéclairés
sortie etdans
le détecteur
optique
se trouve
dans incliné
son plan
9 Une
Trous
d'Young
T1 et T2 séparés
de a et
le vide par
un faisceau
LASER
surfocal
l'axeimage.
optique de ß?0 (dans le
plan défini par le segment reliant les trous et un rayon du faisceau). Une lentille convergente a été ajoutée en sortie et le
détecteur optique se trouve dans son plan focal image.
L'interfrange
vauten phase
avecàf'lalatraversée
distance focale
image de la lentille
- - Les
vibrations isont
des trous
les plans perpendiculaires aux deux rayons parallèles issus de T1 et T2 sortant inclinés de ??ß sont équiphases
L'interfrange
i vaut
avec
D laladistance
séparant
les trousen
duun
détecteur
- - En
l'absence de
diffraction,
toute
lumière serait
concentrée
seul point M0 sur le détecteur
- - Le
O' intersection
duau
plan
détecteur
avec l'axe
de la lentille
peut être le
d'interférences constructives
Lapoint
différence
de marche
point
O' (intersection
deoptique
l'axe optique
et du détecteur)
estlieu
nulle
La différence de marche au point M0 (conjugué sur le détecteur des rayons parallèles ayant poursuivi leur chemin dans la
10
direction de l'optique géométrique malgré la traversée des trous)
est-nulle.
Trous
d'Young
T2 séparés
et éclairés
dans
le videaux
partrous
un faisceau
incliné sur
l'axe
optique de ß?0 (dans le
Non
car ilT1et
y a une
différencededea marche
avant
l’arrivée
( à causeLASER
de l’inclinaison
non
nulle)
plan- défini
par ledesegment
lesplans
trousne
et sont
un rayon
du faisceau).
« inclinés
Ω≠ß » : reliant
Non ces
pas équiphases
(d’ailleurs les surfaces d’onde sortant des trous sont des
Une lentille
convergente
a été
ende
sortie
et associé
le détecteur
optiquede
seretour
trouve
dans son
plan des
focalpoints
image.
sphères)
mais d’après
le ajoutée
théorème
Malus
au principe
inverse
: à partir
intersections
des rayons avec ce plan, il n’y aura plus de différence de marche jusqu’à la superposition des rayons.
- Oui la lumière serait concentrée dans la seule direction de l’optique géométrique qui pointera, après passage de la
L'interfrange
vaut
f' la distance focale image de la lentille
lentille, versi un
point Mavec
0 dans son plan focal image où se trouve le détecteur plan.
- Oui il peut arriver que les interférences soient constructives en O’. Cela dépend seulement de la différence de marche
L'interfrange i vaut
avec D la distance séparant les trous du détecteur
avant les trous (liée à l’inclinaison ß) : il suffit que cette inclinaison ait engendré une différence de marche (avant les
Latrous)
différence
de
marche
auentier
pointde
O' longueurs
(intersection
de l'axe
qui soit un nombre
d’onde
dansoptique
le vide.et du détecteur) est nulle
La différence de marche au point M0 (conjugué sur le détecteur des rayons parallèles ayant poursuivi leur chemin dans la
direction de l'optique géométrique malgré la traversée des trous)
est nulle.
(
)
(
)
détecteur optique se trouve dans son plan focal image.
Les vibrations sont en phase à la traversée des trous
les plans perpendiculaires aux deux rayons parallèles issus de T1 et T2 sortant inclinés de ??ß sont équiphases
En l'absence de diffraction, toute la lumière serait concentrée en un seul point M0 sur le détecteur
Le point O' intersection du plan détecteur avec l'axe optique de la lentille peut être le lieu d'interférences constructives
10
Trous d'Young T1et T2 séparés de a et éclairés dans le vide par un faisceau LASER incliné sur l'axe optique de ß?0 (dans le
plan défini par le segment reliant les trous et un rayon du faisceau).
Une lentille convergente a été ajoutée en sortie et le détecteur optique se trouve dans son plan focal image.
-
L'interfrange i vaut
avec f' la distance focale image de la lentille
L'interfrange i vaut
avec D la distance séparant les trous du détecteur
La différence de marche au point O' (intersection de l'axe optique et du détecteur) est nulle
La différence de marche au point M0 (conjugué sur le détecteur des rayons parallèles ayant poursuivi leur chemin dans la
direction de l'optique géométrique malgré la traversée des trous)
est nulle.
- Expression désormais démontrée en cours
- D n’est plus une distance constituant un paramètre pertinent pour quantifier des grandeurs (comme l’interfrange) sur
-
-
le détecteur placé dans le plan focal puisqu’entre les trous et la lentille de projection les rayons sont parallèles. Seule
f’ lie l’inclinaison de sortie des rayons à la position sur le détecteur.
La différence de marche en O’ est la somme de la différence de marche avant et après le passage des trous. Pour le
point O’ elle est nulle après mais dépend de l’inclinaison ß avant donc NON elle n’est pas nulle. Par contre elle peut
égaler un nombre entier de longueurs d’onde dans le vide de telle façon que les interférences seraient constructives
en ce point et qu’il s’agirait donc d’une frange lumineuse (cf question 9)
Oui, au point M0, la différence de marche avant est compensée exactement par la différence de marche après ! (faire
le dessin de la marche des rayons et faire apparaitre ces deux différences de marche qui se compensent)
©Evalbox
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