Radiothérapie

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Radiothérapie
Radiothérapie
La radiothérapie est une méthode de
traitement locorégional des cancers, utilisant
des radiations pour détruire les cellules
cancéreuses en bloquant leur capacité à se
multiplier. L'irradiation a pour but de
détruire toutes les cellules tumorales tout en
épargnant les tissus sains périphériques.
La radiothérapie est utilisée chez plus de la
moitié des patients ayant un cancer. Elle est,
avec la chirurgie, le traitement le plus
fréquent des cancers et peut entraîner une
guérison à elle seule. Elle peut être utilisée
seule ou associée à la chirurgie et à la
chimiothérapie. Ses indications sont liées au
Accélérateur de particules Clinac 2100 C
type de la tumeur, à sa localisation, à son
stade et à l'état général du patient. Elle peut
être faite en ambulatoire, c’est-à-dire sans hospitalisation, car les séances sont de courte durée et les effets
secondaires moindres que lors d'une chimiothérapie.
On distingue quatre grandes techniques de radiothérapie :
• La radiothérapie externe : c'est la plus connue et la plus utilisée, la source de rayonnement est à l'extérieur du
malade. Les bombes au cobalt, qui utilisent une source radioactive γ de cobalt 60, ont pratiquement disparu, au
moins dans les pays développés, au profit des accélérateurs linéaires de particules de rayonnement X haute
énergie et faisceaux d'électrons. Il existe trois techniques principales : la radiothérapie conventionnelle, la
radiothérapie conformationnelle et la tomothérapie ou radiothérapie hélicoïdale, mais qui est peu répandue.
• La curiethérapie : la source radioactive est placée pendant une durée limitée (le plus souvent quelques heures) ou
définitivement, à l'intérieur du malade, dans la tumeur ou dans une cavité à son contact. Trois techniques
principales, elles même se subdivisent en sous-techniques suivant leur débit de dose (bas débit et haut débit) et
leur type de chargement (manuel ou différé). Il s'agit de la curiethérapie interstitielle, la curiethérapie
endocavitaire et la curiethérapie endoluminale
• La radiothérapie métabolique vectorielle : la source radioactive est liquide, injectable, non scellée, et va se fixer
sur les cellules cibles.
• La radiochirurgie : proche de la radiothérapie externe, son principe et ses indications sont cependant différents des
autres techniques de radiothérapie en se rapprochant de ceux de la chirurgie, elle utilise un ou plusieurs faisceaux
ultra-focalisés. Deux types d'appareillage sont utilisés : le Gamma-Knife ou Novalis et le Cyberknife.
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Radiothérapie
Indication
En fonction du type de la tumeur, de sa localisation, de sa taille, de son extension et de son stade, de l'état général du
patient et des symptômes associés, on distingue trois situations très différentes dans lesquelles on va utiliser la
radiothérapie dans des buts bien précis :
La radiothérapie curative
Comme son nom l'indique, l'objectif est d'irradier toutes les cellules cancéreuses afin d'entraîner le contrôle voire la
guérison du cancer. Cela implique l'absence de lésions à distance. Elle est indiquée dans environ la moitié des
irradiations. Elle peut être utilisée seule ou en association avec la chirurgie ou la chimiothérapie.
La dose nécessaire dépend du type et du volume de la tumeur, certaines étant très radiosensibles alors que d'autres
sont radiorésistantes. Il faut veiller à ce que la dose permettant le contrôle tumoral soit inférieure à la dose de
tolérance critique des organes, ce qui implique une technique rigoureuse au risque de ne pas délivrer une dose
suffisante et d'avoir une récidive locale ou au contraire de délivrer une dose excessive et d'entraîner un effet
secondaire. Le protocole habituel délivre une dose de 10 Gy par semaine à raison de 5 séances de 2 Gy par jour. La
dose totale varie selon les cas de 30 à 70 Gy.
La radiothérapie palliative
L'objectif n'est pas ici de guérir le cancer mais de soulager le patient par de légères doses, permettant d'atténuer la
douleur résultant de cancer trop avancé pour être soigné.
Elle s'adresse aux cancers trop évolués localement ou métastatiques.
Le traitement étant palliatif, il doit être de courte durée et peu agressif, pour entraîner le moins de désagréments
possible au patient. Par exemple, l'irradiation de type "split-course", permet de récupérer entre 2 séries d'irradiations.
La radiothérapie symptomatique
Son objectif est de soulager un symptôme majeur particulièrement gênant pour le malade. Son efficacité est :
• Antalgique : L'effet antalgique de l'irradiation est quasiment constant et se manifeste rapidement en quelques
jours. Elle est souvent utilisée dans les douleurs des métastases osseuses. La disparition de la douleur se produit
dès les premières séances, après parfois une recrudescence douloureuse due à l'inflammation radio induite.
• Hémostatique : Dans le cas des hémorragies persistantes que l'on retrouve parfois dans des cancers du rectum, de
la vessie, ORL ou gynécologiques, quelques séances de radiothérapie entrainent l'assèchement et l'arrêt du
saignement.
• Décompressive : Dans les cancers avec signes de compression médullaire - qui constituent une urgence, ou
radiculaire, la radiothérapie peut être un traitement efficace, à condition de la commencer dès les premiers signes
de compression. Elle doit être de courte durée, souvent juste quelques séances afin de limiter l'irradiation
vertébrale. De plus, les œdèmes par compression veineuse ou lymphatique sont également bien améliorés par la
radiothérapie.
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Application
Selon la localisation et le stade des tumeurs, la radiothérapie peut être utilisée seule, mais elle est le plus souvent
combinée avec un traitement chirurgical et/ou une chimiothérapie et/ou une hormonothérapie.
La plupart des cancers peuvent être traités par radiothérapie dans une certaine mesure. Ceci inclut les cancers du
sein, de la prostate, du poumon, du rectum etc.
Cette thérapie est, la plupart du temps, appliquée pour traiter une région localisée autour d'une tumeur. Le champ des
radiations couvre souvent aussi le réseau lymphatique drainant la tumeur.
Afin d'atteindre la zone tumorale et ses extensions éventuelles sans porter atteinte aux tissus sains environnants, on
irradie la cible successivement selon différents angles, de telle sorte que les champs d'irradiation se superposent sur
la région à traiter. Le maximum de radiation est alors localisé à la zone tumorale.
Avant le développement des médicaments immunosuppresseurs, cette technique était utilisée pour prévenir les
réactions immunitaires indésirables lors de transplantations d'organes.
Dosage
La dose de radiations délivrée en radiothérapie se mesure en Gray (Gy). Le médecin radiothérapeute prescrit une
dose à délivrer dans une région donnée (généralement la tumeur) ainsi que le fractionnement à utiliser (dose par
séance). Il définit le cas échéant les contraintes de dose à ne pas dépasser dans les régions avoisinantes (organes à
risques). La dose prescrite et son fractionnement dépendent de la localisation et de la nature de la maladie.
Généralement une dose de 45 à 80 Gy est délivrée à la cible par fraction de 2 Gy/jour (ordre de grandeur). Le sein est
par exemple traité par des doses de 45-50 Gy et les tumeurs pulmonaires par des doses supérieures à 65 Gy. La dose
peut être délivrée par des faisceaux de photons ou d'électrons d'énergie comprise entre 1,25 MeV (bombe au cobalt)
et plusieurs MeV pour les accélérateurs linéaires. Plus rarement les neutrons, les protons, les pions ou encore des
photons d'énergie plus basse sont également utilisés. Le radiophysicien propose alors une planification du traitement
qui sera validée ensuite par le radiothérapeute. Il s'agit d'établir le nombre et la disposition des faisceaux qui vont
permettre de délivrer la dose à la cible en limitant la dose délivrée aux tissus sains.
Voici les doses maximales admissibles de certains organes:
Moelle épinière : 45 Gy,
Tronc cérébral : 54 Gy,
Chiasma optique : 54 Gy,
Nerf optique : 60 Gy,
Cerveau : 60 à 70 Gy,
Parotides : 40 à 60 Gy,
Larynx : 60 à 64 Gy,
Poumons: 20 Gy,
Foie : 20 Gy,
Os : 50 Gy,
Prostate : 75-80 Gy,
Cœur : 45-50 Gy,
Cristallin : 12 Gy,
Thyroïde : 20 Gy
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Surveillance
Comme tout traitement une surveillance s'impose. Elle doit s'assurer :
• de la bonne réalisation technique de l'irradiation,
• de la bonne tolérance du patient, jugée sur la clinique essentiellement, en surveillant l'apparition d'effets
secondaires,
• de la bonne efficacité du traitement, jugée sur la clinique et les examens complémentaires.
Contrôle des conditions techniques de l'irradiation
• Le bon fonctionnement du générateur de rayonnement est contrôlé par les ingénieurs, le technicien biomédical ou
le radiophysicien du service de radiothérapie ; le contrôle périodique des doses qu'il délivre est effectué par le
radiophysicien. Le détail de ces contrôles obligatoires est rédigé par l'Afssaps
• Le bon positionnement du malade et du faisceau est contrôlé par le manipulateur en électroradiologie médicale et
le radiothérapeute lors de la première séance de repérage.
• Les temps d'irradiation, les doses délivrées et les collimations sont programmés par le dosimétriste et le
radiophysicien en coopération avec le radiothérapeute à l'aide d'outils informatiques.
• La bonne installation du malade sur la table et le suivi du traitement sont contrôlés à chaque séance par le
manipulateur en électroradiologie médicale et, lors des consultations, par le radiothérapeute.
Surveillance clinique du patient
La surveillance du malade pendant toute la durée de la radiothérapie est assurée par le médecin radiothérapeute et par
son médecin traitant. Elle a pour but essentiel de s'assurer de la bonne tolérance par le malade et de la bonne
efficacité du traitement.
• Lors de la première consultation, particulièrement longue, le patient est informé de toutes les modalités
techniques de la radiothérapie et des effets indésirables et secondaires à surveiller. Il est pesé et des conseils
hygiéno-diététiques sont donnés. Une évaluation psychologique est faite et un suivi ou un traitement sont
envisagés. Un traitement symptomatique est également prévu selon les cas - douleur, anxiété, troubles digestifs,
amaigrissement ...
• Puis des consultations de suivi sont effectuées de façon hebdomadaire. Elles ont pour but notamment
• de soutenir le patient sur le plan psychologique de façon adaptée,
• d'apprécier la tolérance clinique, sur le plan général - poids, fatigue, état général et sur le plan locorégional apparition de complications locales aigües,
• de suivre l'évolution de la lésion, grâce à la clinique et aux symptômes ou grâce à des examens
complémentaires biologiques ou radiologiques,
• de suivre sur le plan hygiéno-diététique le patient.
• Parfois l'irradiation doit être interrompue en cas d'intolérance majeure.
• En fin de traitement, le radiothérapeute rédige un compte rendu complet précisant notamment la technique
utilisée, les doses délivrées, les effets secondaires éventuellement rencontrés, la tolérance et l'efficacité. Ce
compte rendu est adressé aux différents médecins responsables du patient.
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Radiothérapie
Effets secondaires
Les effets secondaires peuvent être divers et variés suivant la localisation de l'irradiation. Dans tous les cas, on
distingue la toxicité aiguë de la toxicité tardive.
La toxicité aiguë regroupe les conséquences qui se font ressentir dans les quelques jours après le traitement et jusqu'à
6 mois après. Elle touche surtout les tissus à renouvellement rapide comme la peau, les muqueuses, la moelle
osseuse. La toxicité tardive regroupe les effets secondaires qui apparaitront entre 6 mois et 30 ans après la fin de
l'irradiation. Elle est irréversible et touche essentiellement les tissus de soutien, avec développement d'une fibrose.
Ci-dessous, les effets secondaires en fonction des différents sites:
• Yeux :
• opacification du cristallin : cataracte induite à partir de 10 Gy
• la rétine est radio résistante (non sensible aux rayonnements ionisants)
• Si la dose est supérieure à 50 Gy, risque de nécrose de l'œil
• Au niveau ORL :
• toxicité aiguë : mucite[1] (irritation de la muqueuse), épithélite, agueusie
• toxicité tardive : xérostomie vers 30 à 40 Gy, nécrose osseuse, hypothyroïdie, risque dentaire
• Cheveux :
• Alopécie à 30 Gy, définitive à 40 Gy
• Œsophage :
• Œsophagite aiguë à 40 Gy, sténose tardive si plus de 60 Gy
• Poumons :
• toxicité aiguë : pneumopathie radique (toux, asthénie, dyspnée, état fébrile)
• toxicité tardive : insuffisance respiratoire, variable en fonction du volume pulmonaire irradié
• Cœur :
• toxicité aiguë : péricardite à partir de 50 Gy
• toxicité tardive : risque coronariens
• Intestin :
• toxicité aiguë : diarrhée, douleurs
• toxicité tardive : grêle radique si dose supérieure à 45 Gy
• Organes de reproduction :
• stérilité définitive ou temporaire possible en fonction de l'âge à partir de 10 à 12 Gy
• Vessie :
• toxicité aiguë : pollakiurie, brulure mictionnelle
• toxicité tardive : fibrose de la vessie à partir de 60 Gy
• Reins :
• insuffisance rénale
• Moelle épinière :
• Myélite radique (exceptionnel)
• Peau :
• l'érythème apparaissant dans les deux semaines, suivi d'une desquamation sèche
• la radiodermite exsudative, formée de phlyctènes pouvant suinter
• la radionécrose aiguë, ulcération douloureuse
• toxicité tardive : l'atrophie, les troubles de la pigmentation, télangiectasies, scléroses.
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En cas d'effet indésirable grave, un surdosage doit être évoqué, mais aussi une radiosensibilité individuelle
augmentée (défaut de réparation de l'ADN).
Comment ça marche
Les radiations ionisantes (= transfert d'énergie dans un milieu créant des ionisations dans celui-ci), lors de la
traversée de la matière vont avoir un certain nombre d'interactions avec les composants de celle-ci, noyaux et
électrons. Elles vont transférer de l'énergie à ces composants et créer des ionisations dont la densité va dépendre de
la nature de la particule (charge, masse au repos et énergie) et du milieu. Ceci va aboutir à des effets chimiques dans
les molécules rencontrées et notamment au niveau de l'ADN, des protéines ... mais surtout au niveau des molécules
d'eau aboutissant à la création de radicaux libres, espèces chimiques très réactives. La formation des radicaux libres
va dépendre en partie de la concentration en oxygène du milieu. Ces radicaux libres vont interagir avec les autres
molécules du milieu.
La cible finale de l'action directe des radiations ionisantes ou indirecte (par le biais des radicaux libres) expliquant
leurs effets biologiques est l'ADN même si les phospholipides membranaires vont aussi participer aux lésions
cellulaires. Les interactions des radicaux libres avec l'ADN vont induire des ruptures de la molécule.
Au niveau cellulaire, on pourra ainsi constater des lésions létales d'emblée ou des lésions sublétales susceptibles de
provoquer la mort cellulaire en cas d'accumulation. Ces lésions consistent en des ruptures intéressant un seul brin de
l'ADN (lésions sub-létales) ou les deux brins (souvent des lésions létales). Ces lésions seront ou non réparées en
fonction de conditions cellulaires particulières et notamment en fonction de la position de la cellule dans son cycle
multiplicatif (cycle cellulaire) et de la disponibilité d'enzymes de réparation pour le type de lésion induite,ou de son
état métabolique (disponibilité en nutriments) . Il existe en effet au moins 5 systèmes de réparations des lésions
simple-brin ou double-brin de l'ADN. En cas de non réparation, les cassures chromosomiques induites vont aboutir à
des aberrations chromosomiques que l'on peut mettre en évidence notamment au niveau des lymphocytes par un
simple caryotype (dosimétrie biologique).
Ce sont ces anomalies qui vont induire la mort cellulaire selon plusieurs modes : il existe normalement un contrôle
avant la mitose (ou transition de la phase G2 à M(itose)). En cas de non conformité (aberrations chromosomiques,
impossibilité d'assemblage du fuseau mitotique ...) la cellule peut connaître une apoptose ou mort cellulaire
programmée. Un autre mode, le plus fréquent est induit par l'impossibilité de fixation ou de disjonction des
chromosomes sur le fuseau mitotique. La cellule va alors connaître une mort mitotique. Bien entendu, les choses
sont un peu plus compliquées notamment parce que les cellules vont aussi pouvoir relarguer des cytokines et qu'il
peut exister une mort cellulaire de cellules voisines qui n'ont pas subi de lésions de leur ADN (effet dit
bystander)probablement par activation des récepteurs de mort cellulaire (voie extrinsèque de l'apoptose).
Au niveau d'une tumeur ou des tissus sains, le point important va être la perte de capacité de division de cellules
dites clonogéniques (que l'on pourrait aussi appeler cellules souches), cellules capables de générer tout un
assortiment de cellules plus différenciées et/ou de se reproduire elles-mêmes. Dans certains cas, en effet, une cellule
présentant des lésions de son ADN peut ne pas avoir totalement perdu sa capacité de division et elle pourra donner
un clone limité de cellules qui, in fine, s'arrêteront de proliférer ou mourront de manière différée.Le résultat, en ce
qui concerne la tumeur est quand même une mort cellulaire même si elle est différée. On pense ainsi qu'il faut
détruire toutes ces cellules clonogéniques pour obtenir la stérilisation d'une tumeur. D'un autre côté, la cellule peut
aussi ne pas avoir perdu sa capacité de multiplication et ne pas connaître de mort différée. Ceci explique la
cancérogénèse induite par les radiations ionisantes.
En ce qui concerne les lésions des organes, on sépare les organes dont les cellules ont un turn over rapide (peau,
muqueuse intestinale, moelle ...)dont les lésions vont être responsables des effets précoces (cytopénie, diarrhée,
mucites ...) et ceux dont les cellules se multiplie peu ou pas qui seraient responsables des lésions tardives (derme,
moelle épinière, système nerveux central, ...). En fait, si pour expliquer les radiolésions précoces survenant en cours
de traitement il suffit de penser que les cellules en cours de prolifération sont tuées et que la cicatrisation se fait par
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Radiothérapie
entrée en prolifération des cellules souches, les lésions tardives sont le fait à la fois de la destruction de cellules
clonogéniques à renouvellement lent mais aussi de processus de cicatrisation inappropriés notamment des lésions
dites précoces, de phénomènes inflammatoires et du vieillissement physiologique des tissus. [2]
Voir aussi
Liens internes
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Cancer
Chimiothérapie
Curiethérapie
Collimateur multilames
Hadronthérapie
Oncologie chirurgicale
Protonthérapie
Radiochirurgie
Radiomucite
Syndrome d'irradiation aiguë
• Générateur de rayons X
Liens externes
• PROS (Paediatric Radiation Oncology Society) : Société de Radiothérapie d'Oncologie Pédiatrique [3]
• ASTRO (American Society for Therapeutic Radiology and Oncology): Société Américaine des Radiothérapeutes
[4]
• ESTRO (European Society for Therapeutic Radiology and Oncology): Société Européenne des Radiothérapeutes
[5]
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SFRO (Société Française de Radiothérapie Oncologique) [6]
FNCLCC (Fédération Nationale des Centres de Lutte Contre le Cancer) [7]
SFPM (Société Française des Physiciens Médicaux) [8]
Radiation the cancer risk. [9]
RTOG (The Radiation Therapy Oncology Group): an organisation for radiation oncology research [10]
La radiothérapie des cancers [11], cours du Dr Bernard Gery, radiothérapeute, médecin spécialiste du Centre
François Baclesse
La radiothérapie [12], sur www.ligue-cancer.asso.fr
La radiothérapie [13], sur infocancer.nexenservices.com
Radiothérapie des cancers [14], Faculté de médecine de Strasbourg - Polycopié : Module 10 - Cancérologie
clinique onco-hématologie - Année 2005-2006
Radiothérapie Externe [15], sur www.radiotherapie-hegp.fr
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Radiothérapie
Littératures
Professionnels
• Jean-Jacques Mazeron, Alain Maugis, Christian Barret et Françoise Mornex "Techniques d'irradiation des cancers
La radiothérapie conformationnelle" édition Maloine ISBN 2-224-02811-3
Références
[1] En cas de radiothérapie de la tête et du cou, une mucite orale survient chez plus de 80% des patients. Elle apparait environ 1 à 2 semaines
après le début du traitement et peut empêcher de boire ou de manger lorsqu'elle est sévère. Sa prévention repose sur les soins bucco-dentaires ,
l'hygiène bucco-dentaire et sur l'action de sucer des glaçons quelques heures en commençant quelques minutes avant le traitement (activité
démontrée : Revue Prescrire, n°282, Avril 2007, mucites orales dues aux traitements anticancéreux)
[2] Eric J. Hall Amato J. Giaccia Radiobiology for the radiologist 6th edition Lippincott Williams & Wilkins 2006
[3] http:/ / www. intpros. org/
[4] http:/ / www. astro. org
[5] http:/ / www. estro. be/ estro/ Index. html
[6] http:/ / www. sfro. org/
[7] http:/ / www. fnclcc. fr/
[8] http:/ / www. sfpm. asso. fr/
[9] http:/ / www. geocities. com/ mobeta_inc/ slapp/ cancer. html
[10]
[11]
[12]
[13]
[14]
[15]
http:/ / www. rtog. org/
http:/ / www. oncoprof. net/ Generale2000/ g08_Radiotherapie/ g08_rt01. html
http:/ / www. ligue-cancer. asso. fr/ article. php3?id_article=60
http:/ / infocancer. nexenservices. com/ ESP/ RADIOTHERAPIE/ radiotherapie. htm
http:/ / www-ulpmed. u-strasbg. fr/ medecine/ cours_en_ligne/ e_cours/ cancero/ module10_item141E. pdf
http:/ / www. radiotherapie-hegp. fr/ radiotherapie-externe/
8
Sources et contributeurs de l'article
Sources et contributeurs de l'article
Radiothérapie Source: http://fr.wikipedia.org/w/index.php?oldid=49981843 Contributeurs: Arnaud.Serander, Arnavaz, Aviso, Bob Saint Clar, Bxfleury, CK55, Claude.ab, Croquant, Dhatier,
Dsant, Electrophil, Erasmus, Grook Da Oger, Hbbk, Hercule, IAlex, Jborme, Jeandédé, Jejecam, LUDOVIC, Lucyin, Madac, MichelA, Mitch-mitch, Mutatis mutandis, Napy1kenobi, Nepomuk,
Nguyenld, Nicolas Ray, Oxo, Petitemontagnedujura, PieRRoMaN, Pmiize, Poleta33, RadXman, Radekus, Raziel, Sahara, Thierry Caro, Trassiorf, Uhqd, Zubro, 69 modifications anonymes
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