Figure 1. Représentation schématique de la méthode La protéine

 Figure 1. Représentation schématique de la méthode La protéine « appât » (bait protein en rouge) est fixée aux microtubules via une protéine naturellement associée à ces filaments, ici la protéine Tau. Ce système permet de maintenir la protéine appât à distance des microtubules, ce qui préserve son accessibilité pour la protéine « proie » (prey partners en vert). Figure 2. Observation et quantification des interactions La protéine appât et la protéine proie sont visualisées grâce à leur fluorescence rouge et verte, respectivement – A gauche : observation des protéines appâts seulement ; au milieu : observation des protéines proies seulement ; à droite : observation générale. En haut : les protéines proies sont réparties de manière homogène dans la cellule (fluorescence verte diffuse) tandis qu’on observe clairement les microtubules, apparaissant rouges puisque la protéine appât y est attachée. La proie n’interagit donc pas avec l’appât. Au milieu : les deux images, rouge et verte, de l’observation séparée des protéines appâts et proies se superposent parfaitement, ce qui se traduit par une visualisation claire des filaments de microtubules qui apparaissent jaunes. Ces observations montrent que les protéines proies ont été amenées par les protéines appâts sur les microtubules. L’interaction entre l’appât et la proie est forte. En bas : le niveau d’interaction est moindre, les microtubules apparaissant rouges et la fluorescence verte se révélant plutôt diffuse.