L`intensif À "de" du bestileo du nord

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Western Papers in Linguistics / Cahiers linguistiques de
Western
Volume 1
Issue 1 Dialectal microvariation in Madagascar
Article 17
L'intensif à "de" du bestileo du nord
Julie Ravakiniaina Razanamampionona
Université d'Antananarivo, [email protected]
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Razanamampionona, Julie Ravakiniaina () "L'intensif à "de" du bestileo du nord," Western Papers in Linguistics / Cahiers linguistiques de
Western: Vol. 1: Iss. 1, Article 17.
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L’INTENSIF A de DU BETSILEO DU NORD1
Julie Ravakiniaina Razanamampionona
Université d’Antananarivo
1.
Introduction
Les recherches lexicologiques sur le malgache ne sont pas aussi avancées que
celles concernant les autres niveaux d’analyse linguistiques. La langue malgache
souffre également de l’insuffisance de dictionnaires et nombreux de ses jeunes
locuteurs se trouvent en panne de mot ou d’expression dans leur conversation au
quotidien même. Il est pourtant sûr que des recherches à ce niveau d’analyse
linguistique, surtout leur extension aux dialectes contribuent à la modernisation
du malgache et à son auto-enrichissement. Nous voulons y contribuer par la
mise au jour des moyens d’exprimer les idées d’intensité dans le cadre de la
thèse pour le doctorat. Dans cet article, nous avons choisi un modèle
d’expression de l’intensité en Betsileo du Nord : l’intensif à de / de /.
2.
Contexte
Pour commencer, il convient de signaler que le de du dialecte betsileo du Nord
(noté blN dans la suite) est la variante phonologique de dia du malgache officiel.
Pour cette raison, il est indispensable d’apporter une précision sur la fonction
qu’occupe dia dans les écrits sur la grammaire malgache.
D’abord, il faut signaler que dia est un homonyme grammatical2.
Premièrement, dia est une particule copulative liant un sujet à un prédicat selon
Rajemisa- Raolison (1971-159), Rajaona S. (1972-35) et Rabenilaina Roger
Bruno (2005-150). Deuxièmement, dia est une conjonction de coordination,
Rajemisa (1971-147), Rajaona (1972-48).
Ainsi, il peut coordonner deux verbes comme nous avons dans :
(1)
a.
Nitsangana
izy
dia
Se mettre debout
il/elle et
‘Il/Elle s’est mit debout et parti.’
lasa
parti
ou deux propositions comme dans :
b.
Marary
Malade
ny
le/la
zanany
son enfant
1
dia
donc
C’est le malgache parlé dans la région Amoron’i Mania qui est appelé, ici, dialecte
betsileo du Nord.
2
dia est aussi un homonyme lexical.
Actes du colloque « Variation dialectale à Madagascar ».
Proceedings of the workshop “Dialectal variation in Madagascar”.
© 2015 Julie R. Razanamampionona
2
ne pas
travailler
il/elle.
‘Son enfant est malade donc il ne vient pas travailler.’
Le grammairien Rajemisa-Raolison Régis (1971-158), comme
Malzac3(1987) a mentionné que de est un adverbe4 et dénote le superlatif dans :
(2)
Tsara
dia
Bon
et
C’est très bon.’
tsara
bon cela
3.
Hypothèse et problématique
izany
Il paraît évident que le de que nous voulons étudier ici n’est pas une copule du
fait qu’il ne relie pas un sujet à un prédicat. Il met plutôt en relation deux mots
faisant partie, d’un même prédicat comme nous avons dans :
(3)
a.
b.
Mikotaba
de miharavetsoNa
Prédicat
bavarder
et crier
‘Les enfants font du grand bruit.’
Valaka
de valaka
Prédicat
Sujet
Fatigué
et
fatigué
‘Je suis très fatigué(e).’
ny
les
kilonga5.
Sujet
enfants
aho.
moi
Ainsi, de toute évidence, nous considérons le de en question dans le type
d’expression étudié comme conjonction de coordination et qu’il a un rôle
intensificateur dans :
(4)
a.
Matory
de matory
Dormir
et dormir
‘dormir à poings fermés.’
b.
FaniNa
de
mivaimbaiNa
Ebloui
et
se balancer
‘Ebloui qui ne sait plus où aller’
Il est certain qu’une conjonction de coordination n’as pas le pouvoir
intensificateur. On ne saurait pourtant nier que ce modèle fait parti des moyens
d’exprimer des idées d’intensité en malgache. Ainsi, on ne peut douter que ce
n’est pas de qui intensifie le verbe mikotaba « bavarder » (4.a) et l’adejctif
faniNa « ébloui » (4.b) mais respectivement de matory et de mivaimbaiNa.
3
Dans le dictionnaire Malgache-Français le R.P Malzac, considère dia comme un adverbe
signifiant ‘très’ en français.
4
Nous ne croyons pas pouvoir affirmer cette idée en ce sens que de, dans cette phrase est
une conjonction de coordination ayant une idée d’intensité dont nous verrons plus tard.
5
Dans cet article, un N majuscule en plein mot est employé pour transcrire le son nasale
vélaire.
3
Le but de vérifier ce constat nous a poussé à entamer ce travail pour
savoir comment ce modèle se construit et quels liens sémantiques existent-ils
entre les éléments que de met en exergue. En d’autres termes, nous essayerons
de voir quels liens sémantiques existent-ils entre les éléments reliés par de dont
le sens est intensif par rapport à celui du premier élément.
4.
4.1
Théorie et méthode
Théorie
Pour faire l’analyse des intensifs à de du blN, nous avons choisi la lexicologie
explicative et combinatoire (LEC) comme outil théorique. La LEC est initiée par
Igor Mel’čuk dans la théorie sens-texte (TST) qui propose les fonctions lexicales
(FL) comme outil d’analyse pour décrire les relations sémantiques lexicales. Ce
sont des outils construits sur le modèle des fonctions mathématiques et qui se
présentent, donc, sous forme de formule.
La LEC identifie 56 fonctions lexicales. Il y a des fonctions lexicales
aussi bien sur l’axe paradigmatique que sur l’axe syntagmatique. Les fonctions
lexicales paradigmatiques lient entre elles des lexies qu’on peut substituer l’une
à l’autre dans une phrase puisqu’elles appartiennent à la même partie du
discours (Polguère A. 2003-130). Les FL syntagmatiques quand à elles
permettent de rendre comptes de la combinatoire des lexies en encodant les
relations particulières que peut entretenir une lexie avec d’autres lexies de la
langue au sein des collocations6. La fonction Lexicale Magn7 est une fonction
lexicale syntagmatique standard (Grossmann F.1999-23). Ella associe à une
lexie l’ensemble des lexies ou expressions linguistiques qui expriment auprès
d’elle (en tant que modificateurs) l’intensification c’est-à-dire le sens général
‘intense’, ‘très’, ‘beaucoup’( Polguère A. 2003-137).
Nous employons, donc, la fonction lexicale Magn pour explorer l’intensif
à de du blN.
4.2
Méthode et collecte des données
L’étude se fonde sur un corpus de départ constitué d’environ une centaine
expressions d’intensifications à de. La collecte s’est faite sur l’attestation
subjective, contrôlée auprès d’autres locuteurs natifs. En fait, nous avons
identifié les éléments de notre corpus de vive voix à partir des dialogues entrent
des locuteurs habitant la petite ville d’Ambositra8 pendant deux jours de
passage. La compréhension immédiate entre les interlocuteurs nous a servi de
critère pour l’acceptabilité de ces éléments.
5.
Résultats
Avant de présenter les résultats proprement dits, parlons de la représentation
adoptée pour faciliter la lecture et la compréhension du fonctionnement des
6
Comme les expressions semi-idiomatiques (locutions), les collocations sont aussi une
transgression du principe de la compositionalité sémantique.
7
Magn est l’abréviation du mot latin magnus qui se traduit ‘grand’ en français.
8
Ambositra se trouve sur la RN7, à 254 km de la capitale.
4
intensifs à de. Nous avons opté pour une formule comprenant les éléments
conventionnels suivants :
A = premier élément de l’intensif à de
B = deuxième élément de l’intensif à de
(X+ Y) = X ou Y
(Z) = Z est facultatif
D’après l’analyse de notre corpus, nous avons pu identifier quatre
structures. Ces structures se basent sur un élément A. L’idée d’intensité dans les
deux premiers cas est accompagné d’un jeu de l’intonation et la répétition de la
base avec une possibilité de changements. Les deux autres se basent sur l’ajout
d’un élément B et cet élément peut être soit un mot simple soit une expression.
CAS 1: A dia an… et A dieha(ny)9
L’intensification de ce cas 1 est due à l’adjonction de dia an…ou dieha(ny)
après la base. La fonction lexicale, de l’intensif à de peut donc être écrite
comme :
Magn (A) = A dia an…
A dieha(ny)
Dans ce cas, dia avec l’élément qui suit intensifie le sens du mot A qui lui
précède que A soit un adjectif ou un verbe comme on a dans :
(5)
a.
Magn (matory‘dormir’) = matory dia an…
‘dormir profondément’
ou
matory dieha(ny)
‘dormir profondément’
b.
Magn (hendry‘être sage’) = hendry dia an…
‘sage comme une image
ou
hendry dieha(ny)
‘sage comme une image’
Il est à noter que l’utilisation de dieha ou diehany n’a pas de répercussion
sur le sens. Ce moyen d’exprimer une idée d’intensité est possible avec tous les
adjectifs mais pas pour touts les verbes mais c’est un problème encore à
résoudre.
CAS2: A de A (de A+ de zany)
Pour ce cas, l’idée d’intensité peut être formulée comme
Magn (A) = A de A ou
Ade A de A
9
L’intonation joue un rôle très important dans la réalisation de ces intensifs mais à ce
niveau de notre recherche nous n’avons pas le moyen de les étudier. Nous avons pourtant
mis les trois points de suspension après (an…) pour transcrire l’intonation descendante et
trainant en longueur du son /ã/.
5
A de A de zany
et A peut être un verbe ou un adjectif selon le cas.
L’idée d’intensité est, ici, due à la répétition de A, la base, par le biais de
de. Cette répétition existe aussi en malgache officielle (A de A). Le grammairien
Rajemisa Raolison (1971-159) considère de comme un adverbe de quantité
indiquant le superlatif absolu. A ce propos Rajemisa cite « étant insérés entre un
mot (verbe ou adjectif) répété, dia marque le superlatif absolu». La répétition du
mot en question n’est pas seulement deux fois en blN mais souvent trois fois (A
de A de A). On peut considérer que le mot répété est, ici, la base et c’est de, qui
permet la répétition le, collocatif. Il y a des cas ou la base en dernière position
est remplacée par zany« celà » d’où la forme de base A de A de zany. C’est ce
modèle d’intensification qui est réalisé dans les exemples suivants.
(6)
a.
Magn (matory ‘dormir’) = matory de matory de matory
dormir et dormir et dormir
‘dormir à poings fermés’
ou
matory de matory de zany
dormir et dormir et cela
‘dormir à poings fermés’
b.
Magn (valaka‘fatigué(e)’) = valaka de valaka de valaka
fatigué(e) et fatigué(e) et fatigué(e)
‘extrêmement fatigué’
ou
valaka de valaka de zany
fatigué(e ) et fatigué(e ) et celà
‘extrêmement fatigué(e )’
Comme ceux du cas 1, ce moyen d’exprimer une idée d’intensité basée sur la
répétition est possible avec tous les adjectifs mais pas pour tous les verbes10en
blN.
En somme, les intensifs à de basée sur un élément A est intensifié par de
soit par le jeu de l’intonation soit par la répétition de A. Dans les paragraphes
qui suivent nous allons voir les intensifs à de ayant un second élément B dans
son fonctionnement.
CAS3: A de hôtra B
Dans les structures A de hôtra B, l’ensemble A de hôtra B a un sens plus intense
que celle de A. En d’autres termes, A de hôtra B est une collocation ayant A
comme base et de hôtra B comme collocatif mais à l’intérieur même de cette
collocation A et B entretiennent une relation sémantique bien précise. Ainsi, B
peut être un mot simple ou une expression.
Les éléments A et B de la structure A de hôtra B ont deux types de liens
sémantiques en ce sens que les unes ont un lien de comparaison et les autres
entretiennent un lien de cause à effet.
10
Concernant les verbes, cette possibilité de se répéter via l’intensif à« de » est encore à
résoudre au fur et au mesure de l’avancement de notre recherche.
6
CAS3.1 : Relation de comparaison
Dans ce cas, les éléments A et B de la collocation A de hôtra B entretiennent
entre eux une relation de comparaison. En effet, hôtra blN est la variante de
ohatra du malgache officielle qui veut dire ‘comme’. L’ensemble A de hôtra B
a un sens plus intense que A. C’est ce que nous avons dans :
(7)
a.
Magn(masieka‘méchant(e)’) = masieka de hôtra fanenitra
méchant(e)comme une guêpe
‘très méchant(e)’
b.
Magn (maloto‘sale’) = maloto de hôtra kisoa milomaka
sale
comme
un
cochon
baignant dans la boue
‘très sale’
se
CAS 3.2 : Relation de cause et d’effet
Il y a des cas où la structure A de hôtra B n’entretient aucun lien de
comparaison. Au premier vue, on a tendance à considérer qu’il s’agit d’une
comparaison comme nous avons dans (7) a. et b. que nous venons de citer plus
haut puisqu’il y a le mot hôtra ‘comme’. Pourtant les éléments A et B
n’entretiennent pas une relation de comparaison mais plutôt d’une relation de
cause à effet. Ce qui veut dire une transgression au principe de la
compositionalité sémantique. Le collocatif, de hôtra B, n’est pas, dans ces cas
quelque chose qu’on compare à A mais plutôt une conséquence que A pourrait
avoir. C’est ce que nous avons dans :
(8)
a.
Magn (mangidy sira‘trop salé’) = mangidy sira 11de hôtra
hangala
zaza
tam-po.
trop salé comme si cela
allait faire sortir un fœtus
du ventre.
‘très très salé’
b.
Magn (matavy ‘être obèse’) = matavy de hôtra ho trie-mata
obèse comme s’il/elle allait
s’éclater.
‘démesurément obèse’
CAS 4: A de B
CAS 4.1 : Gradation12
11
Il est à noter que mangidy sira « très salé » est déjà une intensification de masira
« salé » puis intensifiée en mangid sira de hôtr hangala zaza tam-po. On peut donc écrire
magn (masira‘salé) = mangidy sira>mangidy sira de hôtra hangala zaza tam-po. Ce
degré continu d’intensification est fréquent en malgache .
7
Ici, de met en coordination deux éléments de la même partie de discours dont les
sens sont quasi-équivalents. Ils se mettent dans l’ordre d’une gradation
ascendante en ce sens qu’ils ont presque le même sens mais l’élément B apporte
une nuance plus intense. Ainsi, la base A et le collocatif de B font partie d’un
champ sémantique avec une gradation ascendante. C’est ce que nous avons dans
les intensifs suivants :
(9)
a.
Magn (feno ‘plein’) = feno de mitivotivo
plein et débordant
‘plein à craquer’
b.
Magn(mangina ‘silencieux’) = mangina de maNeno kiririka
silence et sonner perçant
‘totalement silencieux (se)’
CAS 4.2: Spécification
Dans ce cas, de met en coordination deux éléments de la même partie du
discours dont les sens sont différents. La base c’est l’élément antéposé et le
collocatif postposé par rapport à de. La base est le collocatif ne font pas parti
d’un champ sémantique mais le collocatif, c’est-à dire l’élément B, apporte une
certaine précision concernant la manière dont se réalise la base A.
(10)
a.
Magn (mandà‘nier’) = mandà de mihavahoraka
nier et crier fort
‘nier catégoriquement’
b.
Magn (mandihy ‘danser’) = mandihy de maNovokovoka
danser et de toute force
‘danser énérgiquement’
CAS 4.3: Cause et effet
Comme les deux cas précédent, la structure A de B de ce cas a une idée plus
intense par rapport à A. Ici, de coordonne deux éléments dont le sens ont une
relation de causeet d’effet. La cause est antéposée par rapport à de et la
conséquence postposé. En d’autres termes, la base c’est la cause et le
collocatifc’est la conséquence. C’est cette relation que nous avons dans :
(11)
12
a.
Magn (noana ‘avoir faim’) = noana de mangitrangitraNa
avoir faim et trembler
affamé
b.
Magn (mamo ‘être ivre’) = mamo de mandrefy lalana
être ivre et mesurer la rue
‘totalement soulé’
La gradation est une figure de rhétorique qui consiste à présenter une suite d’idée ou de
sentiment dans un ordre tel que ce qui suit dise un peu plus (gradation ascendante) ou un
peu moins (gradation descendante) que ce qui précède.
8
6.
Conclusion
En conclusion nous avons la nette impression que de est et resterait une
conjonction de coordination dans ces intensifs et il joue un rôle dans
l’intensification c’est-à-dire que, tout seul, de n’est pas un intensificateur, il est
nécessairement accompagné du jeu de l’intonation ou de la répétition pour
traduire l’intensif. Dans les autres cas, il introduit le second élément que ce soit
un mot simple ou une expression.
L’idée d’intensité est, généralement, due à la corrélation de ces deux
éléments joints par de. Les quatre structures que nous venons d’énumérer dans
cet article sont pourtant sous-décrites en ce sens que l’intonation joue un rôle
important dans la réalisation des ces intensifs mais on n’en a pas une
représentation graphique qui pourrait les transcrire. Signalons que la dernière
syllabe accentuée est longue et l’intonation est descendante dans matory de
matory de matooory ‘dormir profondément’.
Pour un même mot A, le changement de l’élément B peut apporter une
nuance sémantique. Dans mandihy de mandihy, par exemple, c’est la
concentration qui est intense mais dans mandihy de maNovokovoka, c’est
l’énergie qui est intense. En plus, la possibilité de combinatoire des verbes avec
l’intensif à du cas 1 et 2 est encore à explorer.
Sur ce, nous précisons que des résultats complémentaires et/ ou
changements sont attendu au fur et au mesure de l’avancement de notre
recherche surtout avec une liste beaucoup plus fournie avec d’autres dialectes.
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