Judaïsme Statut social de la femme Droit de vote Droit de demander un divorce Selon la loi juive, le droit de demander un divorce revient uniquement au mari http://www.ledevoir.com/societe/actualites-ensociete/287572/femmes-et-judaisme-desfemmes-veulent-changer-la-loi-juiveconcernant-le-divorce les progressistes considèrent qu’il s’agit d’un héritage du passé et qu’ils ont le devoir de réformer les anciennes lois qui ne sont plus conformes à la morale, alors que les conservateurs considèrent que supprimer une obligation de la tradition équivaut à sortir du monde juif. Droit à la propriété Droit de servir comme militaire Droit à l’éducation Droit au mariage Il faut comprendre qu’ìl existe un retard dans l’évolution de la religion et de l’égalité : En France, les femmes juives n’ont pas le droit d’étudier les textes sacrés dans les yeshivas, les écoles religieuses, ni de devenir rabbin, contrairement à ce qui se fait en Israël ou aux États-Unis, où les femmes ont facilement accès aux cours de haut niveau dans des classes mixtes et au leadership religieux. Le judaïsme libéral est majoritaire aux États-Unis. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-ensociete/287572/femmes-et-judaisme-desfemmes-veulent-changer-la-loi-juiveconcernant-le-divorce - Droit à la citoyenneté Droit de passer un contrat Droits parentaux Droit de travailler et de recevoir un salaire égal à celui de l’homme, de dépenser librement - La femme est encouragée à rester à l’intérieur pour s’occuper de la famille, mais rien dans la Torah ne l’empêche d’aller travailler pour des besoins financiers ou par goût personnel Droits de succession - « Tu parleras aux enfants d’Israël, et tu diras : Lorsqu’un homme mourra sans laisser de fils, vous ferez passer son héritage à sa fille. S’il n’a point de fille, vous donnerez son héritage à ses frères. S’il n’a point de frères, vous donnerez son héritage aux frères de son père. S’il n’y a point de frères de son père, vous donnerez son héritage au plus proche parent dans sa famille, et c’est lui qui le possédera. Ce sera pour les enfants d’Israël une loi et un droit, comme l’Éternel l’a ordonné à Moïse. » Nombres 27.8-11. Sécurité financière (et dans le cas du divorce), dot lors du mariage Droit à l’avortement (interruption volontaire de grossesse) Droit de témoignage Droit de signer avec son nom (nom de famille du mari) Polygamie Dans le judaïsme, la polygamie était admise dans le Talmud, qui autorise un homme à avoir plusieurs femmes, mais ne le conseille pas. Dans l’Ancien Testament, les prophètes et les rois étaient tous polygames. Cette pratique fut interdite au début du XIe siècle, mais subsiste encore, à très faible échelle, chez les Juifs d’Israël, du Yémen et autour de la Méditerranée. Les femmes et le judaïsme http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/287572/femmes-et-judaisme-des-femmesveulent-changer-la-loi-juive-concernant-le-divorce - Il y a quatre grands courants dans le judaïsme (orthodoxe, conservateur, libéral ou réformiste, reconstructionniste), et les droits des femmes juives dépendent dans le courant auquel elles appartiennent . Par exemple, chez les juifs ultra-orthodoxes, les femmes seront séparés des hommes au synagogue, en étant généralement derrière ces derniers. - Il y a bon nombre de femmes qui sont rabbins, sauf chez les juifs orthodoxes, où on en compte quelques unes seulement (elles exercent principalement la fonction de guide spirituel) - Certaines femmes dans les communautés juives orthodoxes ont encore difficilement accès à certains textes sacrés, à toutes les sources de la tradition juive (comme le Talmud). La pensée la plus libérale se trouve aux États-Unis et en Israël. - «Au Québec, les femmes gagnent un revenu moins élevé que les hommes; elles sont minoritaires au Parlement, fait-elle observer. Les problèmes observés dans la société séculaire existent aussi dans les communautés religieuses. Pourtant, dans la Bible, il est écrit que les hommes et les femmes sont égaux. Ils ont tous deux été créés à l'image de Dieu. Malheureusement, cela ne veut pas dire que les hommes vont traiter les femmes en tant qu'égales. Certains le font, d'autres, non.» - Selon la loi juive, le droit de demander un divorce revient uniquement au mari. - La femme juive ne peut se remarier religieusement à la suite d’un divorce, tant qu’elle ne reçoit pas le guet, c'est-à-dire un document écrit dans lequel le mari confirme le divorce, et ce, même si le couple est divorcé civilement. La loi juive ne peut pas obliger le mari à donner le guet. Dans ce cas, elle ne peut se mettre en couple avec un autre homme, sous peine de se faire accuser d’adultère, et les enfants nés de cette union seront considérés comme des bâtards. - Le mariage est considéré comme un offre de protection à la femme chez les orthodoxes. http://madame.lefigaro.fr/societe/judaisme-aime-t-femmes-260914-959022 - Lefigaro.fr/madame.– Dans la tradition juive on récite tous les matins « Béni sois Tu de ne pas m’avoir fait femme ». Dans le Talmud, on peut lire des phrases comme « Plutôt brûler la Torah que de la confier à une femme ». Face à ce genre de propos, on se dit que le judaïsme n’aime pas les femmes…L’auteure Eliette Abécassis y voit plutôt la reconnaissance des nombreux maux qu’endurent les femmes durant leur vie. On assiste un peu à une guerre d’interprétations - Il faut comprendre qu’ìl existe un retard dans l’évolution de la religion et de l’égalité : En France, les femmes juives n’ont pas le droit d’étudier les textes sacrés dans les yeshivas, les écoles religieuses, ni de devenir rabbin, contrairement à ce qui se fait en Israël ou aux États-Unis, où les femmes ont facilement accès aux cours de haut niveau dans des classes mixtes et au leadership religieux. Le judaïsme libéral est majoritaire aux États-Unis. Par exemple, en ce qui concerne l’obligation d’obtenir une autorisation du mari pour divorcer, les progressistes considèrent qu’il s’agit d’un héritage du passé et qu’ils ont le devoir de réformer les anciennes lois qui ne sont plus conformes à la morale, alors que les conservateurs considèrent que supprimer une obligation de la tradition équivaut à sortir du monde juif. http://judaisme.sdv.fr/histoire/rabbins/gugenh/gugenhe2.htm -RESUMER!!: Égale valeur certainement, mais direction différente ; il ne faut pas se leurrer : la femme au foyer, pour nous, c'est primordial – et ce n'est pas du tout péjoratif quoiqu'on en pense actuellement -. Une phrase fameuse des Psaumes dit : "la gloire de la femme, c'est d'être à l'intérieur". Et encore : "Où est Sarah ? Sarah est dans la tente". Le rôle fondamental de la femme est et devrait rester celui-là, à mon sens. Ceci dit, on conçoit fort bien une évolution de son rôle social au fil des âges. A l'époque du Talmud, de Maïmonide, les femmes sortaient peu – et encore était-ce, en général, pour rendre visite à des malades -. Aujourd'hui, même dans les milieux les plus religieux, elles sortent, peuvent exercer une profession, ont des responsabilités dans la société. Mais il est important de souligner que si cette activité extérieure était de nature à compromette l'équilibre du foyer, celui des enfants, ce serait quelque chose de très grave. Et cette fois, tout à fait contraire à l'esprit du judaïsme. - - La femme est encouragée à rester à l’intérieur pour s’occuper de la famille, mais rien dans la Torah ne l’empêche d’aller travailler pour des besoins financiers ou par goût personnel Interdit de marier une fille de force, il faut obligatoirement son accord. - Ce n’est pas souhaitable qu’elle est un poste supérieur à celui de son mari, afin d’éviter les conflits. - Elle peut vendre des biens qui lui appartiennent http://www.massorti.com/Inegalite-juive-devant-l-heritage - « Tu parleras aux enfants d’Israël, et tu diras : Lorsqu’un homme mourra sans laisser de fils, vous ferez passer son héritage à sa fille. S’il n’a point de fille, vous donnerez son héritage à ses frères. S’il n’a point de frères, vous donnerez son héritage aux frères de son père. S’il n’y a point de frères de son père, vous donnerez son héritage au plus proche parent dans sa famille, et c’est lui qui le possédera. Ce sera pour les enfants d’Israël une loi et un droit, comme l’Éternel l’a ordonné à Moïse. » Nombres 27.8-11. Il ressort de façon évidente que les garçons ont une prérogative sur les filles. En fait, comme dans d’autres domaines, le droit hébraïque classique est profondément inégalitaire, voire injuste, en ce qui concerne le statut de la femme. Lorsqu’une femme éprouvera le flux (son flux, c’est le sang qui s’échappe de son corps), elle restera sept jours dans son isolement, et quiconque la touchera sera souillé jusqu’au soir (Lévitique 15 : 19). Il est interdit à une femme qui saigne lors de ses règles d’avoir des rapports sexuels pendant une durée de sept jours, car elle transmet son impureté. http://www.massorti.com/La-femme-face-au-sacrependant-ses - Dans les sources juives, la femme réglée est comprise dans la liste des personnes impures auxquelles sont imposées des lois d’éloignement. Cet éloignement s’applique dans deux domaines : éloignement du sacré (le Tabernacle et le Temple) et éloignement de la femme de son mari par l’interdiction de relations sexuelles. - Seuls les hommes participent à l’enterrement. Dans le Judaïsme biblique, la loi était que les femmes mariées devaient se couvrir la tête pour être pudiques et peu attirantes. http://www.fr.chabad.org/library/article_cdo/aid/1995397/jewish/Le-Rabbi-sur-le-port- de-la-perruque.htm http://www.tsniout-mag.com/la-tsniout-c-est-quoi/lobligation-de-se-couvrir-la-tete-dans-le-judaisme La femme Juive a le devoir et l’obligation de se couvrir la tête. Qui le dit ? La Torah nous le dit. - See more at: http://www.tsniout-mag.com/la-tsniout-c-est-quoi/lobligation-de-se-couvrir-la-tete-dans-lejudaisme#sthash.g4GbICk7.dpuf Entrevue avec le rabbin Ernest Gugenheim -