Collèges au théâtre Saison 20082008-2009 Fiche pédagogique n°1 Monsieur de Pourceaugnac Star Théâtre Collèges au théâtre Saison 2008 2008008-2009 Fiche pédagogique n°1 Sommaire 1. Monsieur de Pourceaugnac dans le parcours de Molière 1.1. Présentation : la comédie-ballet 1.2. Résumé de la pièce 1.3. Une comédie 1.4. Et pourtant, ce n’est pas seulement une comédie 1.5. Alors comment monter la fable ? 2. Les instruments de la farce ou comment rendre contemporaine une farce du 17ème siècle : la mise en scène d’Isabelle Starkier 2.1. Pourquoi avoir choisi Monsieur de Pourceaugnac ? 2.2. Où se situe le comique ? 2.3. Le décor 2.4. L’importance de la musique 3. Pistes pédagogiques 4. Sources et éléments bibliographiques Annexe 2 Collèges au théâtre Saison 2008 2008008-2009 Fiche pédagogique n°1 1. Monsieur De Pourceaugnac dans le parcours de Molière 1. 1. Présentation : la comédie-ballet Genre dramatique, musical et chorégraphique, la comédie-ballet est inventée par Molière en 1661, pour sa pièce Les Fâcheux. Mêlant la musique et la danse dans une action unique (contrairement à l'opéra-ballet, plus composite), la comédie-ballet traite de sujets contemporains et montre des personnages ordinaires de la vie quotidienne. Le mariage en est souvent le thème central. Le trio Molière-Lully-Beauchamp créa une demi-douzaine d'œuvres, mais le genre déclina après la mort de Lully dès 1687. Quelques grandes comédies-ballets • • • • • • • • • Les Fâcheux (1661) Le Mariage forcé (1664) Le Sicilien (1667) L'Amour médecin (1665) George Dandin (1668) Monsieur de Pourceaugnac (1669) Le Bourgeois gentilhomme (1670) La Comtesse d'Escarbagnas (1671) Le Malade imaginaire (1673) Jean-Baptiste Lully À la différence des pièces de Molière écrites pour les grandes fêtes baroques de Versailles, comme Le Bourgeois gentilhomme qui est une pièce à intermèdes, Monsieur de Pourceaugnac a été créé à Chambord en 1669 dans un cadre beaucoup plus intime, après un repas de chasse. Or, cette pièce semble marquer, plus que les autres, la totale réussite de la collaboration entre Molière et Lully : par-delà le langage et la comédie qu’il fait naître – avec le patois par exemple –, la pièce arrive à un point de non retour, qui est la musique. La dramaturgie du texte théâtral et celle du texte musical sont intimement liées. Ce frottement est nettement plus prononcé dans que dans les autres pièces de Molière. Dans Pourceaugnac, la construction musicale est totalement imbriquée à la pièce : il y a une sorte d’ouverture et un grand final, avec au milieu trois grandes interventions musicales qui correspondent à trois épreuves imposées à Monsieur de Pourceaugnac : l’épreuve des médecins, celle du discours des femmes accusant Pourceaugnac de polygamie puis celle des avocats. La musique est ici indissociable du texte. Molière et Lully ont réussi à faire de cette magnifique contrainte qu’est le théâtre – et plus encore de celle de devoir coudre ensemble la comédie, le ballet et la musique – un genre à part entière, qui est un moment unique dans l’histoire du théâtre en France qui donnera naissance à l’opéra français. C’est bien l’idée d’un « spectacle total ». 3 Collèges au théâtre Saison 2008 2008008-2009 Fiche pédagogique n°1 1.2. Résumé de la pièce Monsieur de Pourceaugnac Pourceaugnac Comédie-Ballet Faite à Chambord, pour le divertissement du roi, Au mois de septembre 1669, et représentée en public A Paris, pour la première fois, sur le théâtre du Palais-Royal, Le 15e novembre de la même année 1669, Par la Troupe du Roi a. Personnages principaux M. DE POURCEAUGNAC Monsieur de Pourceaugnac est un Limousin qui débarque à Paris pour y épouser Julie. ORONTE Oronte est le père (de 63 ans) de Julie. Il veut marier sa fille à un avocat de Limoges qu’il n’a jamais vu : Monsieur de Pourceaugnac. JULIE Julie est la fille d’Oronte et l’amante d’Eraste qu’elle souhaite épouser malgré l’opposition de son père. Elle est désespérée par les projets matrimoniaux de son père concernant Monsieur de Pourceaugnac. ERASTE Eraste est l’amant de Julie. Il est déterminé à l’enlever à Monsieur de Pourceaugnac. NERINE Entremetteuse et alliée de Julie, Nérine va aider Eraste à fomenter des complots contre Monsieur de Pourceaugnac. LUCETTE Servante qui aide Nérine dans ses intrigues en feignant de venir de Gascogne et d’être l’épouse de Monsieur de Pourceaugnac SBRIGANI Napolitain voyou qui apporte lui aussi son aide et ses stratagèmes à Eraste pour confondre Monsieur de Pourceaugnac. 4 Collèges au théâtre Saison 2008 2008008-2009 Fiche pédagogique n°1 b. Personnages secondaires Premier médecin Second médecin L’apothicaire Un paysan Une paysanne Premier musicien Second musicien Premier avocat Second avocat Premier Suisse Second Suisse Un exempt Deux archers Plusieurs musiciens Joueurs d’instruments et danseurs c. Une histoire simple en apparence : la trame de l’histoire Le limousin Monsieur de Pourceaugnac se rend à Paris pour y épouser Julie, fille d’Oronte. C’est Oronte qui a arrangé ce mariage. Mais Julie et Eraste s'aiment et tous deux ont décidé d'empêcher cette union, aidés en cela par les intrigues de Sbrigani, Nérine et Lucette. Sbrigani accueille M. de Pourceaugnac (acte I - scène 3) à son arrivée à Paris et lui propose de le guider. Arrive Eraste (scène 4), qui feint d’être un vieil ami de sa famille et qui lui propose de venir séjourner chez lui. Les intrigues se succèdent : Julie lui est présentée comme une jeune fille légère et l’on fait croire à Oronte que son futur gendre est ruiné. Deux médecins chez qui Eraste et Sbrigani mènent Monsieur de Pourceaugnac sous un faux prétexte en le leur présentant comme fou, le déclarent au cours d'une consultation burlesque, fou dangereux (acte I - scène 8). Enfin, Nérine et Lucette le reconnaissent publiquement comme l'époux qui les a toutes deux abandonnées avec leurs enfants (acte II, scènes 7 et 8). Menacé d'être pendu pour bigamie, affolé, M. de Pourceaugnac s'enfuit, déguisé en femme sur les conseils de Sbrigani, (Acte 3 – scène 2). Monsieur de Pourceaugnac parti, Eraste et Julie pourront s'épouser (Acte III scène 7). d. Mais l’histoire n’est pas si simple On connaît bien les histoires de mariages forcés, elles finissent bien en général : comédie oblige. Il y a d’un côté les bons : ceux qui s’aiment (Eraste et Julie), qui préfèrent les « bons » sentiments à l’argent… et de l’autre les méchants (Monsieur de Pourceaugnac, Oronte), les « sans-scrupules » qui épousent à tour de bras et contraignent, par leur âge et leur pouvoir, les faibles et les opprimés (les femmes, les fils et les valets…) Dans Monsieur de Pourceaugnac, la fable est bien plus perverse. Bons et méchants se mélangent à tel point que l’on ne sait plus qui perd et qui gagne et si l’on doit bien se réjouir d’un happy end qui est somme toute assez tragique. Monsieur de Pourceaugnac, qui vient pour épouser, est d’abord une victime : la victime d’un amant sans scrupule, Eraste, aidé de sa promise Julie, assisté d’un mafieux (Sbrigani) et d’une entremetteuse (Nérine) qui vont ourdir des machinations toutes plus sadiques les unes que les autres. 5 Collèges au théâtre Saison 2008 2008008-2009 Fiche pédagogique n°1 1.3. Une comédie On rit beaucoup de ces coups montés contre le pauvre Pourceaugnac qui ne comprend pas ce qui lui arrive, type même du « pauvre bougre » : naïf, voire niais et d’une crédulité touchante. Dans la scène 4 de l’acte I (voir texte en annexe), on voit combien Monsieur de Pourceaugnac fait le jeu d’Eraste. Il aura tout vu à Paris : des psychiatres avant la lettre qui le déclarent fou ; un futur beau-père Oronte qui le croit malade, voire contagieux ; des femmes (Nérine et Lucette) qui le déclarent deux fois marié ; des ribambelles d’enfants qui lui sautent au cou en l’appelant papa ; des gardes suisses qui le prennent pour une femme et lui mettraient bien « la main dessus »… La machine comique s’emballe autour de ces stratagèmes qui n’en finissent pas, dans une théâtralité débridée où tout n’est que spectacle et faux-semblants – aux dépens d’une victime ahurie et impuissante. 1.4. Et pourtant, ce n’est pas seulement une comédie Isabelle Starkier fait apparaître que Monsieur de Pourceaugnac est aussi une farce terrible sur l’Autre, celui dont on se moque parce qu’il vient d’ailleurs. De la différence naît un ridicule... contestable. Pour renvoyer ou pour rejeter ce provincial gênant, on ourdit une série de complots plus cruels les uns que les autres : on lui envoie de faux médecins qui l’enferment, la différence étant assimilée à de la folie ; on lui jette à la tête plusieurs femmes qui l’accusent de polygamie (l’Autre ne peut être qu’un pervers sexuel, sa différence entraînant le fantasme de la sexualité - invisible) ; on l’oblige même à se travestir en femme, pour bien démonter jusqu’à son identité première. La violence est à la base du comique dans cette tragi-comédie de Molière : tout y est fait gratuitement, pour le plaisir de rendre l’Autre fou et d’assister à sa déconfiture – à sa déconstruction. Monsieur de Pourceaugnac en femme finit par s’enfuir en ayant perdu ses espérances de mariage mais aussi son argent, sa dignité et son identité. On n’en veut pas à Pourceaugnac parce qu’il vient épouser Julie (et d’ailleurs l’histoire d’amour avec Eraste est accessoire) mais bien parce qu’il vient d’un ailleurs inconnu, donc fantasmatique. 1.5. Alors, comment monter la fable ? Monsieur de Pourceaugnac sort donc de sa « brousse » limousine pour affronter un Paris moderne qui porte un regard impitoyable sur son exotisme. Au XVIIe siècle, Limoges est un pays aussi lointain que pourrait l’être l’Afrique aujourd’hui. Tout est orchestré par les deux couples, maîtres et valets, qui organisent la mise à mal – la mise à mort - de Monsieur de Pourceaugnac. 6 Collèges au théâtre Saison 2008 2008008-2009 Fiche pédagogique n°1 2. Les instruments de la farce ou comment rendre contemporaine une farce du 17ème : la mise en scène d’Isabelle Starkier 2.1. Pourquoi avoir choisi Monsieur de Pourceaugnac ? Monsieur de Pourceaugnac est une comédie-ballet souvent dédaignée et montée allègrement par Isabelle Starkier. Le thème du provincial lourdaud et démodé qui monte à Paris est un thème récurrent. L’intérêt de l’idée d’Isabelle Starkier est qu’elle prend à contre-pied le ridicule du Limousin. Ainsi, Pourceaugnac est un agréable trentenaire, beau garçon (Christian Julien), tout vêtu de blanc et très "classe" tandis que les parisiens sont habillés de façon voyante : couleurs « flashy », habits grotesques. La vulgarité n’est pas loin. Christian Julien est noir comme Monsieur de Pouceaugnac est limousin. Tout l'intérêt de la proposition réside dans le renversement du ridicule. Monsieur de Pourceaugnac a la peau noire... mais un beau costume blanc. De plus, il s'exprime bien, calmement, poliment. Et ce sont les autres, tous les autres, qui sont ridicules. Les deux amoureux sont d'une mièvrerie sans fond, le valet est un vieux mafieux italien qui porte d'horribles costumes bigarrés, la mère est obligée de cacher sa monstruosité derrière une voilette... Et comme tout ce petit monde va jouer la comédie à l'étranger pour l'obliger à retourner "dans son pays", et surtout à renoncer à la jeune fille qu'il est censé venir épouser, ils vont chausser d'extraordinaires masques qui auront pour effet d'accentuer encore le grotesque de leurs caractères. Tous les personnages sont masqués sauf Monsieur de Pourceaugnac. 2.2. Où se situe le comique ? De façon traditionnelle Monsieur de Pourceaugnac est la caricature du gentilhomme mal léché au regard des raffinements de la cour de Louis XIV où sévissent précieux et précieuses qui se moquent de ce genre de petite noblesse. Le comique de la farce repose sur la connivence avec le public qui rit des manières décalées de celui que l’on roule dans la farine et de son côté provincial tout entier contenu dans la référence au cochon contrastant avec la particule aristocratique et le suffixe du nom qui évoque le centre de la France. Quant aux farces qui lui sont jouées, elles se métamorphosent en ballets cauchemardesques : celui des médecins aux clystères, des femmes éconduites, des hommes de loi, des soldats libidineux… Isabelle Starkier n’a pas choisi de travailler les effets comiques sur la complicité des valets avec le public. Le parti–pris de sa mise en scène s’appuie sur la fabrication de l’autre : Pourceaugnac est le seul à ne pas porter de masque et à jouer franc jeu… c’est un personnage digne et séduisant : belle prestance, costume blanc avec jabots, dentelles et perruque XVIIe siècle, toute blanche elle aussi. Christian Julien qui joue ce personnage, lui prête toute sa prestance et sa séduction : on ne rit pas de ce Pourceaugnac-là. 7 Collèges au théâtre Saison 2008 2008008-2009 Fiche pédagogique n°1 Les manipulateurs qui dans les mises en scène habituelles de la pièce apparaissent comme les héros sympathiques qui sauvent les jeunes amants des exigences autoritaires des parents, ont quelque chose de mafieux et leur manque de scrupules nous les rend plutôt odieux. La mise en scène dénonce la cruauté de la manipulation, cruauté d’une société fondée sur des faux semblants et des artifices. Pourceaugnac se retrouve vidé de lui-même, accusé de polygamie, mis aux fers, dépouillé de ses biens, et contraint même de cacher son identité jusqu’à se travestir en femme et à jouer les dames du monde au risque de se faire violer. Molière ne manque pas d’exploiter toutes les situations comiques et en radicalisant cette idée du dépouillement, Isabelle Starkier va jusqu’à la mise à nu, avec un strip-tease où Pourceaugnac se retrouve dans le plus simple appareil. Mais en définitive, même si les nobles de la cour contents d’eux rient des déboires du pauvre provincial, Molière est du côté de Pourceaugnac et au final la pièce qu’on lui a jouée et qui le renvoie chez lui dépouillé et vidé de lui-même lui a aussi évité d’épouser la bien peu recommandable Julie. La farce n’est pas une simple pantalonnade, et celui aux dépends de qui l’on a voulu rire est celui qui reste dans le vrai, victime peut-être mais jamais grotesque. La nudité de Pourceaugnac le ramène à son humanité. Face aux extravagances des costumes de tous les personnages qui gravitent autour de lui et qui font le spectacle, Pourceaugnac est le seul à avoir de la sincérité et une identité vraie, le seul capable d’estime et de fidélité, notamment avec Sbrigani qu’il prend pour un honnête homme jusqu’à la fin. La farce qu’on lui a jouée est celle de la cour qui se perd à force de superficialité et de mise en scène. Bien sûr l’aventure de Pourceaugnac est avant tout un divertissement et la comédie-ballet convoque toutes sortes de travestissements et de caricatures régionales : le valet napolitain, le commerçant flamand, la soubrette espagnole et la paysanne de Saint-Quentin. Isabelle Starkier rajoute l’apothicaire chinois, et donne aux médecins une allure de vieux sages juifs, espèce de savants fous au crâne dégarni, les cheveux en bataille ; les gardes suisses deviennent des soldats américains avec casque et plastron d’uniforme. Le spectacle s’appuie clairement sur l’énergie de la commedia dell’ arte avec des masques désopilants et des comédiens d’une maestria incroyable campant tour à tour des figures irrésistibles de drôlerie qui relèvent aussi de l’univers de la bande dessinée. 8 Collèges au théâtre Saison 2008 2008008-2009 Fiche pédagogique n°1 2.3. Le décor Isabelle Starkier fait le choix d’une simple toile de fond noir et blanc pour décor représentant les rues de Paris sous la forme d’un dessin au fusain. Les figures hautes en couleur se détachent avec des contours grotesques qui n’en sont que mieux dessinés. C’est ainsi que Pourceaugnac, joué par un acteur noir, n’apparaît pas comme un étranger dans son allure, il est même plutôt le seul à être dans le ton de Molière. En revanche, sa couleur semble justement être la maladie que lui découvre les médecins : cette mélancolie (étymologiquement : la bile noire) dont il faudra le purger et qui prend un sens tout à fait étonnant. Le cauchemar du lavement et tout le vocabulaire qui l’accompagne avec les connotations péjoratives qui s’attachent au noir construisent une parodie drôle et décapante. Le décor est dépouillé car nous sommes dans un no man’s land : celui de la grande ville où tout se passe dans un désert peuplé. Quelques fauteuils de velours rouge et des paravents permettent la transformation et le spectacle : tout est dans le jeu d’acteurs qui jouent à jouer cette farce délirante. 2.4 L’importance de la musique Dans ce cauchemar tragi-comique, le divertissement musical souligne la cruauté absurde de la machination raciste. Les acteurs mènent la danse et la musique avec une flûte traversière, un saxo, des percussions, et surtout des voix, des choeurs – les choeurs chantés et grinçants du cauchemar de Pourceaugnac… « Comédie-ballet », la musique est aussi l’instrument du délire de Pourceaugnac harcelé. On s’y amuse et on y chante en chœur contre la voix solo de la victime – avec des comédiens chanteurs et musiciens. La musique originale d’Amnon Beham vient rythmer la farce pour la faire grandir – en l’amenant vers le jazz et les rencontres entre l’Afrique et l’Occident. 9 Collèges au théâtre Saison 2008 2008008-2009 Fiche pédagogique n°1 4. Pistes pédagogiques Proposition de travail en amont : 1. A partir de la scène jointe en annexe, imaginez une mise en scène qui permettra d’illustrer tous les ressorts du comique (de gestes, de situation, de mots…) 2. Isabelle Starkier a pris le contre-pied de la proposition traditionnelle qui fait de Monsieur de Pourceaugnac un « Limousin naïf ». Il est possible de demander aux élèves d’envisager une psychologie plus traditionnelle du personnage et de leur proposer de jouer la scène des deux façons. 3. Suggestion de recherches à faire au C.D.I.: - les mariages forcés au 17ème siècle, - la médecine et ses déboires 4. Possibilité de faire un pont avec L’Ecole des Femmes, Le Malade imaginaire 5. Qui est Lully ? Interrogez votre professeur d’Education musicale. Et écoutez un extrait du Bourgeois Gentilhomme… 5. Sources et éléments bibliographiques Les documents réunis dans ce dossier proviennent de : - - Molière, Les œuvres complètes 3, Monsieur de Pourceaugnac, p.389-436, GF –Flammarion, Paris, 1965. Monsieur de Pourceaugnac, dossier de présentation de la Compagnie Star Théâtre, 2008. Monsieur de Pourceaugnac, Revue de presse de la compagnie Star Théâtre, Avignon off 2008. Monsieur de Pourceaugnac, Comédie-Ballet de Molière, mise en musique par Jean-Baptiste Lully, mise en scène de Sandrine Anglade, dossier pédagogique, 2006. Africultures, article de Sylvie Chalaye, 6 août 2008 Parcours Molière, dossier pédagogique, La Comédie-Française : http://www.comedie-francaise.fr/histoire/dossier_pedagogique.pdf La comédie-ballet, article de Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki 10 Collèges au théâtre Saison 2008 2008008-2009 Fiche pédagogique n°1 Annexe 11