Orchestre Symphonique Bienne Soleure Rue des Maréchaux 1 2502 Bienne T 032 328 89 69 [email protected] www.tobs.ch Communiqué de presse 3 février 2017 Nous vous invitons au Sixième Concert Symphonique de l’Orchestre Symphonique Bienne Soleure «Couleurs d’ailleurs» Mercredi, 15 février 2017, 19:30, Palais des Congrès Bienne Direction : Manuel Hernández-Silva Piano : Andrei Korobeinikov Orchestre Symphonique Bienne Soleure Programme : Manuel de Falla: El sombrero de tres picos, 1er suite de ballet ; Joaquín Turina: Rapsodia sinfónica op. 66 pour piano et orchestre à cordes ; Maurice Ravel: Concerto pour piano sol majeur ; Zoltán Kodály: Danses de Galánta Sous la direction de Manuel Hernández-Silva, l’Orchestre Symphonique Bienne Soleure proposera des mélodies espagnoles, basques et hongrois au Palais des congrès de Bienne. Le pianiste russe Andrei Korobeinikov se produira en tant que soliste. Il interprétera, entre autres, le célèbre concerto en sol majeur de Maurice Ravel. Fermer les yeux et arriver dans un pays étrange immédiatement – qui ne rêve pas d’un mode de voyage aussi rapide et confortable ? Lors de son sixième Concert Symphonique, l’Orchestre Symphonique en fera une réalité : des œuvres d’Espagne, de la France et de Hongroie évoqueront des images des nuits d’été méditerranées et des danseurs folkloriques fougueux et invitent à échapper au brouillard du Jura pour quelques heures musicales. Le voyage imaginaire nous amène d’abord au sud de l’Espagne. Dans sa suite de ballet «El sombrero de tres picos» («Le tricorne»), Manuel de Falla présente des mélodies de la musique folklorique de l’Andalousie. Le sujet du ballet est les avances maladroites d’un fonctionnaire déjà âgé vers une belle meunière. Le compositeur Joaquín Turinaest originaire lui aussi d’Andalousie. Sa «Rapsodia sinfónica» pour piano et orchestre à cordes se présente en manière de musique de chambre et évoque la beauté des nuits de son pays natal. La prochaine œuvre emmène le public vers le nord, dans le Pays Basque. Né à quelques kilomètres de la frontière espagnole, le compositeur français Maurice Ravel a intégré des éléments du style méditerranéen dans toute son œuvre musical. Ce qui explique qu’on retrouve des sons basques et espagnols dans le premier mouvement de son fameux concert pour piano en sol majeur. En parallèle, les éléments jazz témoignent d’une confrontation active avec les nouveaux développements dans la musique américaine. Pour couronner le concert, le voyage musical nous transporte en la Hongrie. Inspirés par les traditions vocales de la musique folklorique hongroise, les «Danses de Galánta» de Zoltán Kodály rappellent les mélodies de la culture gitane. L’œuvre se termine par un Csárdás tourbillonnant – une conclusion magnifique pour ce concert symphonique. Le maestro Manuel Hernández-Silva, né au Venezuela, formé à Vienne et résidant en Espagne, et le soliste russe Andrei Korobeinikov sont les musiciens invités pour ce concert cosmopolite.