La cathédrale de la Théophanie, Église domestique des

La cathédrale de la Théophanie, Église domestique des Patriarches de Moscou
Job
Hilarion
Le patriarche Nikon révisant les livres du service religieux, toile de Alexeï D. Kivchenko
(1851-96).
Alexis II de Moscou Alexis II (russe : Патриарх Московский и всея Руси Алексий II), né
Alexeï Mikhailovich Ridiger à Tallinn en Estonie le 23 février 1929 et mort le
5 décembre 2008 dans sa résidence de Peredelkino, près de Moscou, en Russie, est le 15e
patriarche de l'Église orthodoxe russe avec le titre de Patriarche de Moscou et de toutes les
Russies (1990 - 2008).
Le patriarche Cyrille le jour de son intronisation le 1er février 2009 Cyrille Ier (russe :
Kирилл I Kirill piervyï), né Vladimir Mikhaïlovitch Goundiaïev (Влади́мир Миха́йлович
Гундя́ев) le 20 novembre 1946 à Leningrad, a été élu 16e patriarche de l'Église orthodoxe
russe le 27 janvier 2009. Il a été intronisé patriarche de Moscou et de toutes les Russies le
1er février 2009.
Il est ancien métropolite de Smolensk et de Kaliningrad, ancien président du Département des
relations extérieures du Patriarcat de Moscou (1989-2009) et membre permanent du SaintSynode de l’Église orthodoxe russe.
Il a été le représentant du Patriarcat de Moscou au Conseil œcuménique des Églises, recteur
du séminaire et de l’académie de Leningrad, et chargé de la préparation de plusieurs conciles
russes. Il est l’un des principaux auteurs des « Fondements de la doctrine sociale de l’Église
orthodoxe russe (ru) ».
Jugé parmi les « plus ouverts sur le monde extérieur » au sein de la haute hiérarchie de
l'Église orthodoxe russe, après la mort d'Alexis II, il a été nommé patriarche par intérim,
chargé de diriger l'Église orthodoxe de Russie jusqu'à l'élection du successeur. Le 27 janvier,
il est officiellement élu patriarche de Moscou et de toutes les Russies, prenant ainsi la tête de
l'Église orthodoxe russe par 508 voix sur 700.
Un archimandrite (du grec arché, « chef », et mandra, « cloître ») est, dans les Églises
orthodoxes, un titre honorifique accordé aux higoumènes (supérieurs de monastère) ou aux
recteurs (curés) de paroisses importantes.
Ce nom a été aussi donné dans l'Église latine de rite oriental au supérieur de plusieurs
couvents.
Un higoumène ou hégoumène est le supérieur d'un monastère orthodoxe ou catholique de
rite oriental. Le terme équivalent, en Occident, est celui d'abbé ou d'abbesse.
Le terme provient directement du grec ἡγούμενος / hêgoúmenos, participe présent du verbe
ἡγέομαι / hêgéomai, signifiant littéralement « marcher devant », d'où « conduire,
commander ». En macédonien, en bulgare et en russe, le mot s'écrit игумен, et se transcrit
igumen; en ukrainien Ігумен, transcrit ihumen ; en georgien იღუმენი, transcrit iğumeni ; en
serbe Игуман, transcrit iguman. En roumain le mot se traduit egumen.
L'higouménat est une fonction. Ceux qui l'assument peuvent porter différents titres comme
celui d'archimandrite conféré à des hiéromoines (moines-prêtres) éminents. Il peut y avoir
plusieurs archimandrites dans un même monastère. Lorsqu'un higoumène est évêque, on parle
de cathigoumène.
Pope
Pope assasiné 21.11.2009
Skufeika (bonnet moine)
Nonnes au bain à l'épiphanie Ces nonnes orthodoxes s'apprêtent à prendre un bain dans le lac,
comme le veut la coutume pour l'Epihanie. Espérons que la foi réchauffe les coeurs, car à
Suzdal en Russie, il fait - 26.
Nonne
St Serge de Radonège devant son monastère, avec l'icône de la Trinité