NOUVELLES TECHNOLOGIES ET OPPORTUNITÉS D’AFFAIRES EN SANTÉ NATURELLE ANNICK LAMBERT RePAd Working Paper No.0220151 Mots clés Allergies, Dépistage électrodermal, Homéostasie, Intolérances Bioénergétiques, Prévention. JEL Classification : I 1 : Health Résumé Cet article a pour objectif de faire connaitre les nouvelles méthodes et technologies dans le domaine de la santé et d’encourager les praticiens et praticiennes à les utiliser. Ceux et celles qui le font voient leur clientèle augmenter et leur livre rendez-vous plein pour plusieurs mois. Ceci est dû à la satisfaction des clients et aux nombreux amis et membres de famille qu’ils réfèrent au praticien. L’autre avantage extraordinaire pour le praticien est d’avoir la satisfaction de faire un travail très productif et de voir peu à peu disparaitre les symptômes de leurs clients grâce aux possibilités quasi-illimitées de ces technologies. Les opportunités d’affaires s’adressent à la fois aux praticiens dans le domaine de la santé et aux gens d’affaires ou organisations qui leur fournissent le matériel que nous décrivons dans cet article. Ces opportunités existent déjà dans les pays occidentaux où elles sont très peu exploitées. Elles peuvent aussi s’étendre facilement partout dans le monde grâce à leur usage simple, efficace et financièrement abordable. Nous tentons aussi d’expliquer en termes simples les découvertes récentes dans le domaine de la biologie cellulaire qui sont à la base de ces technologies, et la philosophie qui en découle. 1 This paper can be downloaded from RePAd.org : http://www.repad.org/ca/qc/uq/uqo/dsa/RePAd022015.pdf Introduction Bien que plusieurs technologies similaires soient disponibles nous allons nous intéresser à deux d’entre elles dont l’usage combiné apporte l’analyse et la solution à de nombreux problèmes de santé. Nous commencerons par la technique du dépistage électrodermal sur ordinateur « Computerized Electro-Dermal Screening » en sigle CEDS, et notre expérience porte en particulier sur la machine appelée ORION-CEDS. L’usage de CEDS permet d’analyser l’état de santé du client de façon approfondie, non invasive et d’identifier les causes profondes de ses symptômes. Bien sûr les seules méthodes efficaces de guérison sont celles qui s’attaquent à la cause initiale - ou la plus profonde – du problème. Ensuite nous décrivons la technologie connue sous le nom d’élimination des intolérances bioénergétiques, « Bio energetic Intolerance Elimination » BIE en sigle, qui pour principal objectif l`élimination des intolérances et des allergies. Mais cette technologie a beaucoup plus de possibilités comme, par exemple, d’aider à rétablir certains organes à leur fonctionnement optimal. L’usage de ces technologies est extrêmement simple, même si les notions scientifiques qui ont permis de les créer font appel à des notions de biochimie, de physique et de physique quantique qui ne sont connues que par des scientifiques spécialisés. Un praticien en médecine naturelle, un homéopathe, un naturopathe ou un nutritionniste peuvent suivre des formations qui durent une semaine ou parfois une dizaine de jours et utiliser CEDS ou BIE de façon efficace, ce qui leur permet d’augmenter immédiatement leur clientèle. Peu à peu le praticien peut obtenir des bases de données supplémentaires sous forme virtuelle, c’est-à-dire sous forme de fichier sur ordinateur, pour CEDS ou sous forme d’échantillons de fréquences pour BIE. Les inventaires pour chaque technologie sont impressionnants. La technologie de dépistage électrodermal sur ordinateur (CEDS) CEDS est une technologie de la santé intégrée qui peut déterminer la cause d’un déséquilibre énergétique et peut aussi déterminer le produit ou la technique qui va permettre de rétablir l’équilibre donc, si on veut, l’homéostasie. Histoire du CEDS Cette technologie a tout d’abord été étudiée par Dr Reinhold Voll, un allemand né en 1909 qui était médecin, ingénieur, chirurgien-dentiste, homéopathe et acuponcteur. À travers ses expériences Dr Voll a identifié environ un millier de points de la peau qui suivent les 12 lignes de méridiens bien connues dans la médecine classique chinoise. Avec un de ses amis ingénieur il a créé un instrument qui mesure la résistance de la peau à ces points d’acuponcture (Voll 1980, Tiller 1982). La procédure est la suivante : Le patient tient une électrode dans une main et le praticien touche le point d’acuponcture avec un stylet qui a une extrémité métallique. Un courant électrique de force connue est envoyé par l’électrode et voyage dans le corps jusqu’à atteindre la stylet. La machine qui génère le courant mesure l’intensité de la résistance ou de la conductance du corps selon le chemin choisi qui dépend donc du point d’acuponcture où on place le stylet. Les scientifiques se sont aperçus que les points d’acuponcture présentent une résistance plus faible au courant que les autres endroits de la peau. La peau a normalement une résistance de 2.4 millions d’ohms, mais sa résistance est seulement de 100 000 ohms aux points d’acuponcture pour une personne en santé. Selon ces observations les points d’acuponcture sont vus comme étant « une fenêtre d’accès à l’information ». Les conclusions du Dr Voll après des années d’étude et d’expérimentation montrent que pour les points d’acuponcture : 1. Une résistance de 100 000 ohms est corrélée à une absence de maladie des organes ou systèmes liés au méridien en question. 2. Une résistance supérieure à 100 000 ohms est corrélée avec une maladie chronique ou dégénération des organes ou systèmes liés au méridien en question. 3. Une résistance inférieure à 100 000 ohms est corrélée avec une inflammation des organes ou systèmes liés au méridien en question. Dr Voll a révisé l’échelle de mesure pour la simplifier et il utilise la conductance qui est l’inverse de la résistance. La note de conductance qui apparait suit une échelle de 1 à 100 où la valeur 50 est optimale. La valeur 50 représente une résistance de 100 000 ohms ou une conductance de 0.00001 mhos. Selon cette échelle de mesure, une valeur élevée sur un méridien, donc supérieure à 50 représente une inflammation du système ou de l’organe correspondant à ce méridien. Une valeur faible, donc inférieure a 50, indique une dégénération de ce même système ou organe. L’échelle inventée par Dr Reinhold Voll est celle qui est utilisée jusqu’à présent dans la machine CEDS. Le Dr Reinhold Voll s’est aussi aperçu que lorsqu’ une mesure diffère de la valeur 50, il peut tester l’effet d’un remède simplement en mettant le remède en contact avec le patient. Cela permet de trouver le remède idéal qui, en contact avec le patient donne une valeur de 50, et de savoir à l’avance l’effet d’un remède sur le patient en question. James Hoyt Clark a développé les applications de toutes ces découvertes sur ordinateur pour permettre l’utilisation de ces techniques de façon pratique. Nous utiliserons le terme CEDS pour désigner la technologie qu’il a créée. L’électrode et le stylet sont rattachés à l’unité de dépistage électrodermal (EDS) qui est elle-même connectée à l’ordinateur et la lecture se fait sur l`écran. Les valeurs obtenues peuvent être ainsi enregistrées et comparées d’une visite à l’autre. L’ordinateur a aussi permis d’obtenir des bases de données virtuelles qui donnent accès à de nombreux stimulis. Le système ORION CEDS a une librairie de fréquences spécifiques que le praticien peut utiliser et qui sont relatives à des organes, des parties d’organes ou des remèdes. Dans le cas d’un remède on peut transmettre sa fréquence de l’ordinateur au patient en choisissant le nom du produit à tester et en activant le signal correspondant. Si un produit n’appartient pas à la base de données, on peut simplement le placer sur un plateau relié à l’unité de dépistage électrodermal et procéder de la même façon. L’invention et l’usage de CEDS marque la rencontre de la technologie moderne, de l’acuponcture et de nombreux éléments de la médecine chinoise. Par exemple les méridiens ont été utilisés pendant des milliers d’années en médecine chinoise avant que l’appareil électronique puisse mesurer le flot des électrons. Processus de test avec CEDS Une première session commence en général par l’analyse des méridiens et d’un ensemble d’organes bien déterminés. Il y a principalement 22 points de mesure qui sont utilisés de façon routinière et correspondent aux méridiens et à des organes. Ces points de mesure se situent sur les mains et sur les pieds, la plupart sur les doigts et les orteils. La liste des ces points est la suivante : les glandes surrénales, allergies, la circulation, les gras et tissus fibreux, la vésicule biliaire, le cœur, les articulations, les reins, le gros intestin, le foie, les poumons, la lymphe, le système nerveux, le pancréas, la glande pituitaire, la peau, l’intestin grêle, la rate, l’estomac, les dents, la glande thyroïde e la vessie. Donnons quelques détails sur les deux premiers points de la liste. Celui des glandes surrénales permet de tester le stress, l’inflammation et le métabolisme du sucre. Celui des allergies permet de tester les sensibilités à des substances extérieures. Le praticien commence par tester tous ces points et note en particulier les méridiens - ou organes - dont la note est inférieure à 45 ou supérieure à 55 .Il doit alors interpréter les résultats et approfondir l’analyse en cherchant l’explication des symptômes du patient et en tentant de remonter à la cause principale. Par exemple, si un patient présente une faiblesse des glandes surrénales, ce qui arrive très souvent dans notre société où la vie est stressante, le praticien va tester les hormones une par une, à partir de sa base de données virtuelle. Ce résultat peut indiquer, ce qui arrive assez souvent, une faiblesse des hormones comme le cortisol ou l’insuline ou le glucagon. Il y a beaucoup d’autres possibilités. Un déséquilibre de l’insuline et du glucagon peut être lié avec une note faible pour le pancréas et le foie. Ces déséquilibres sont parmi les plus fréquents. On peut investiguer de façon plus approfondie au niveau du pancréas et vérifier des parties de celui-ci. Par exemple, si la note est faible sur l’insuline, on peut vérifier la note des cellules béta qui produisent l’insuline. Des produits naturels peuvent être alors testés pour voir s’ils conviennent et s’ils peuvent aider à corriger le problème. Une faiblesse des hormones peut aussi être liée, en fait, au récepteur de cette hormone dans les cellules. Les bases de données de CEDS permettent aussi de tester les récepteurs des hormones. Pour chaque hormone dont la note est trop faible ou trop élevée, le praticien va aussi tester le récepteur de cette hormone pour analyser complètement le problème. Les bases de données virtuelles de l’appareil ORION CEDS sont très impressionnantes et approfondies. Elles contiennent les fréquences de différentes parties des organes. Pour le pancréas on peut donc vérifier la note pour les cellules alpha qui produisent le glucagon, pour les cellules bêta comme mentionné précédemment et pour les cellules delta. Souvent les problèmes avec les glandes surrénales et l’insuline sont précurseurs du diabète, qui lui-même est lié aux problèmes de vision. Parmi ses bases de données, ORION CEDS en a une qui inclut toutes les parties de l’œil. Un patient qui a des problèmes de vision, et cela s’appliquerait aussi bien à un enfant, peut avoir sa vision analysée en profondeur avec la technologie CEDS et cette base de données. Les parties faibles de l’œil peuvent être trouvées facilement. Des produits peuvent être envisagés pour corriger le problème, mais une autre possibilité existe et fonctionne de façon extraordinaire. Il s’agit de l’usage de l’autre technologie, BIE, que nous exposons un peu plus loin dans cet article et qui permet d’envoyer les fréquences correspondant aux parties faibles de l’œil. Cela peut corriger l’œil et la vision du patient. Si un patient a une vision faible, il faut trouver aussi les causes profondes de cette faiblesse pour pouvoir régler efficacement le problème. Une sensibilité au sucre, des notes faibles sur les composantes liées au diabète, peuvent en être la cause, Dans ce cas il faut adresser ce problème pour que la vision s’améliore de façon définitive, Il peut y avoir un bon nombre d’autres causes. Il y a des banques de données détaillées pour chaque organe, il y en aussi une pour les neurotransmetteurs et pour bien d’autres éléments. L’étape suivante consiste à corriger la faiblesse identifiée. Pour cela des produits naturels sont suggérés à partir de la base de données et peuvent être testés pour savoir s’ils rétabliront la note à une valeur de 50, ou proche de 50. De même des corrections d’ordre nutritif et de style de vie peuvent être envisagées. Les praticiens utilisant CEDS aident leurs patients avec les problèmes suivants : Fatigue, Obésité et perte de poids, Arthrite, Stress, Varices, Tension artérielle élevée, Troubles des neurotransmetteurs, Cholestérol élevé, Problèmes hormonaux, Anxiété, Diabète, Allergies et intolérances nutritives, Cellulite, Problèmes de glande thyroïde, Problèmes digestifs Dépression etc…. La technologie d’élimination des intolérances bioénergétiques (BIE) Cette technologie fait partie de ce qu’on appelle la médecine vibratoire. Elle est utilisée lorsque le déséquilibre qui cause les symptômes du patient a été identifié, elle suit donc une analyse qui est faite le plus souvent avec le test musculaire que nous expliquons un peu plus loin. La technique BIE travaille sur le même principe que CEDS mais au lieu de recevoir l’information à analyser, elle envoie dans le corps du patient, à travers des points d’acuponcture, les fréquences qui tentent de corriger le déséquilibre. Les points d’acuponcture utilisés sont différents de ceux qu’on utilise avec CEDS. Les formations pour l’usage et la licence de la technologie BIE sont effectuées par l’Institut des technologies naturelles de la santé (Institute of Natural Health Technologies www.inht.ca) Introduction à la médecine vibratoire Dans les années 1920 – 1930 Dr Royal Rife, un des fondateurs de la médecine vibratoire, a développé le générateur de fréquences Rife. Chaque microbe a une fréquence particulière et le générateur Rife pouvait identifier la fréquence des microbes et renvoyer une fréquence qui détruit ce microbe (Lynes 1987). Des détails sur les inventions du Dr Royal Rife sont donnés dans l’article sur internet de Jeff Rense (http://www.rense.com/general31/rife.htm). Le générateur de fréquences Rife est utilisé jusqu’à présent, non seulement par des praticiens mais aussi par des particuliers comme appareil de santé pour la famille. Il est vendu par la compagnie Alixxor Technologies (http://alixxor.com ). La technologie BIE reprend la même méthode consistant à envoyer dans le corps, à travers les points d’acuponcture, les fréquences qui permettent de corriger le problème identifié. Comment se passe une session BIE Le praticien commence le plus souvent par les tests sur les aliments et utilise le test musculaire sur les doigts. Les échantillons sont sous la forme de tubes d’une longueur d’environ 5 cm qui contiennent de l’eau, de l’alcool et des fréquences. Les bases de données, sous forme d’échantillons, sont nombreuses et d’une grande diversité, Nous donnons ci-dessous une liste de quelques-unes d’entre elles. Si le praticien a la machine CEDS, il peut l’utiliser pour faire les tests d’une façon rapide et efficace. Le praticien détermine les intolérances ou allergies du patient et organise les traitements. Il s’agit de décider le nombre de séances de désensibilisation qui seront nécessaires et les produits qui seront utilisés pour chaque séance. Par exemple si le praticien a identifié des allergies alimentaires et des allergies saisonnières pour un patient, la première séance portera sur ce qui est le plus inconfortable, donc les allergies si c’est la saison, et les allergies alimentaires dans la session suivante. A chaque session le praticien teste à nouveau ce qui a été traité aux sessions précédentes pour savoir s’il est nécessaire de faire le traitement une fois de plus. Pour le traitement le praticien place les échantillons de fréquences sur la plaque de la machine BIE. Le patient tient dans une main une électrode et le praticien envoie les fréquences avec le stylet qui est branché sur la machine, par des points d’acuponcture. Après le traitement le patient est testé à nouveau et le test d’allergie est maintenant devenu négatif dans la grande majorité des cas pour chaque échantillon. Pour éliminer les fréquences nocives, le patient doit boire au moins deux litres d’eau par jour pendant les trois jours qui suivent le traitement. Quelques bases de données BIE Ces bases sont principalement sous formes d’échantillons de fréquences dans des tubes de un pouce de long. La nourriture contient les produits laitiers, protéines (viande et poisson), grains, fruits, légumes, graines, féculents, noix et sucres, en tout 96 éléments. Les principales allergies aux aliments concernent le lait et les produits laitiers, le sucre, les céréales et les protéines. Il y a des bases de données plus complètes, contenant 30 éléments pour chacune de ces catégories. La base d’additifs contient 31 produits incluant les colorants utilisés couramment dans notre nourriture, plusieurs sortes de sodium dont le glutamate mono sodique (MSG), plusieurs acides et l’aspartame. La base homéostasie du cerveau contient une trentaine de produits liés aux vaccins, aux additifs utilisés dans les vaccins et aux éléments essentiels à la santé du cerveau. Il y a en particulier les vaccins MMR, DPT, le mercure, et la vitamine D3, et les acides gras DHA et EPA. La base de données pour les problèmes de sommeil inclut des hormones et des neurotransmetteurs dont la dopamine, la sérotonine, la norépinephrine et la mélatonine. Elle inclut aussi la glande pinéale et le thalamus et des produits comme la caféine et la nicotine. Il y a deux autres bases de données importantes pour la nourriture et la digestion qui sont les vitamines et les minéraux. Ces bases sont importantes car un client peut souffrir de déplétion d’une ou plusieurs vitamines ou minéraux, non pas parce que sa consommation est insuffisante mais parce que son absorption est déficiente. Dans ce cas changer la diète du client ou lui donner des suppléments n’apporte aucune solution au problème. Il est alors nécessaire de faire un traitement BIE pour rétablir l’absorption du minéral ou de la vitamine en enlevant l’intolérance du corps à son égard. Par exemple une déficience de chrome est souvent liée au diabète, et cela peut être dû au fait que le client n’absorbe pas le chrome. Dans ce cas un traitement BIE peut résoudre le problème. La base de données contient 30 vitamines et 30 minéraux et les tests sont effectués, le plus souvent, au cours de la première session avec le client. est vraiment importante. De même l’analyse des intolérances ou allergies trouvées pour les protéines (viande et poisson) doit être complétée en utilisant la base de données sur les acides aminés qui contient aussi 30 éléments. Deux autres bases de données concernent la nourriture et la digestion. Il s’agit des acides gras et des enzymes digestives, chaque ensemble a 30 éléments. Les bases de données que nous venons d’énoncer permettent de corriger beaucoup de déséquilibres digestifs et d’améliorer de façon très efficace l’absorption de la nourriture. Un autre aspect pour lequel BIE peut être utilisé est celui de l’édiction à une nourriture, à une boisson ou à une drogue. Ceci est dû au fait que souvent, ce qu’on appelle édiction est en réalité une allergie-édiction. Prenons l’exemple d’un enfant qui mange souvent une certaine sorte de biscuit, Dès qu’il voit ce biscuit, il faut qu’il le mette dans sa bouche, il ne peut pas résister. En testant le biscuit avec le test musculaire, on peut s’apercevoir que les doigts de l’enfant s’ouvrent très facilement, ce qui indique une intolérance ou allergie à ce biscuit ou à certains ingrédients qu’il contient. Il s’agit donc d’une allergie-édiction. Souvent, et surtout avec les enfants, en se débarrassant de l’allergie on se débarrasse aussi de l’édiction. Donc après un traitement BIE portant sur le biscuit, il est possible que l’enfant ne soit plus du tout intéressé par ces biscuits auxquels il ne pouvait pas résister auparavant. Pour les adultes, se débarrasser de l’allergie ne suffit pas forcément pour se débarrasser de l’édiction car les actions de l’adulte sont moins spontanées que celles de l’enfant et plus modelées par des habitudes. Les édictions ont aussi une base émotionnelle et possiblement une composante sociale, comme par exemple de rencontrer les amis à l’extérieur pour la pause cigarette, ou d’aller boire pour célébrer la fin de semaine, ou une victoire au hockey, etc. Le traitement BIE aide définitivement à se débarrasser des édictions sous la condition que la personne adulte soit déterminée à le faire et fasse l’effort émotionnel ou social pour y parvenir. Les édictions courantes ont un mélange de raisons chimiques, émotionnelles et de style de vie, et la technologie BIE est très efficace pour se débarrasser des causes chimiques mais elle a aussi une base de données qui concerne les émotions. Scientifiquement les émotions ont aussi été identifiées comme correspondant à des fréquences. BIE a donc une base de données de 30 émotions et une base de données plus approfondie de 175 émotions. Celle de 30 éléments contient par exemple la colère, l’anxiété, la trahison, la confusion, le désespoir, la culpabilité, le chagrin, la haine, la réjection, la tristesse, la honte, la terreur et l’inquiétude. Lors des traitements pour les émotions les enfants présentent souvent une réaction immédiate et qui peut être durable, dépendant de l’importance de cette émotion dans leur entourage. Si l’émotion fait partie de la vie familiale, elle risque de revenir. Par contre si elle correspond à des événements passés qui n’ont plus d’impact sur la vie actuelle de l’enfant, cette émotion peut disparaitre, donnant ainsi à l’enfant de meilleures conditions pour sa vie future. Pour les adultes, le problème est le même et l’effet du traitement BIE peut n’être que temporaire car ils sont marqués par les émotions depuis plus longtemps et plus profondément. L’effet des émotions sur le corps et leur rôle dans les maladies est tout à fait remarquable. Le lien entre l’esprit et le corps est décrit dans de nombreux livres, par exemple Pert (1997), Gabor Maté (2003) et même sous forme de roman biographique accessible à toute la population (Moorjani 2012). Il existe des méthodes efficaces pour se débarrasser des émotions négatives, l’une d’entre elles s’appelle la technique de liberté émotionnelle (Emotional Freedom Technique : EMT). Certaines méthodes remontent à la source du problème pour l’analyser, une d’entre elles qui est particulièrement efficace s’appelle le système Renewell. Certains praticiens de BIE se spécialisent dans le domaine des émotions. La base de données sur les maladies est en fait intitulée nosodes. Elle inclut 30 éléments dont nous donnons une liste intégrale à cause de l’intérêt qu’elle présente. Il y a acné, appendicite, arthrite, otite bactériale, catarrhe, colite, cystite, diverticulose, ulcère duodénal, eczéma, œdème, endométriose, sein fibreux, calculs biliaires, ulcère gastrique, gingivite, hépatite, calculs rénaux, lupus, maladie de Lyme, mononucléose, sclérose en plaques, myosite, névralgie, parodontite, ovaires poly kystiques, prostatite psoriasis, sinusite, amygdalite. Un traitement BIE n’apporte pas nécessairement une guérison complète, comme nous l’avons indiqué précédemment pour les émotions, mais une amélioration et un allègement souvent significatifs des symptômes. Le traitement est souvent accompagné d’un protocole naturopathique suggéré par le praticien. La base de données sur les radiations contient aussi 30 éléments. Citons par exemple l’infrarouge, les radiations solaires. Les ultraviolets, la radio, les téléphones cellulaires, les fours microondes, les rayons X, les tours cellulaires, les couvertures électriques, les néons, les lumières fluorescents, etc… Les bases de données sur les moisissures intérieures; les moisissures extérieures et les toxines domestiques contiennent chacune 30 éléments. Il y a aussi 30 éléments dans la base le stress géopathique, citons par exemple la pression atmosphérique élevée, la pression atmosphérique basse, la pleine lune, le froid, la chaleur, le vent les précipitations, l’humidité, l’activité volcanique, etc…. L’usage le plus courant de BIE est lié aux allergies alimentaires et aux allergies environnementales. Il y a une base de 75 éléments pour les allergies dues aux plantes, arbres et pollen, et cette base varie selon les régions, Pour la région des grands lacs elle inclut en particulier le cèdre, le chêne le pin, l’herbe à poux, l’herbe à puce, etc. Avec BIE il est facile aussi de se débarrasser des allergies dues aux chats et aux chiens. La base système endocrinien et voie stéroïde contient aussi 75 éléments. Mentionnons aussi une autre possibilité. Par exemple un patient qui souffre d’une infection de la gorge peut prélever lui-même un échantillon de la partie infectée, le mettre sur un coton dans un sac en plastique et l’apporter au traitement BIE. Le traitement tend à accélérer significativement la guérison. Cette méthode peut aussi alléger considérablement les problèmes de ronflement. Il suffit d’apporter des échantillons d’oreiller, couverture et matelas, de tester l’intolérance du patient et de faire un traitement sur les articles pour lesquels le patient montre une intolérance. Cette méthode tend à fonctionner très bien pour les enfants, un traitement règle souvent le problème de façon définitive. Les praticiens utilisant BIE aident leurs patients avec les problèmes suivants lorsqu’ils sont dus à des intolérances ou liés au stress: Allergies et intolérances, Acné, Arthrite, Maladies auto-immune, Problèmes de tension artérielle et de circulation, Déséquilibre de la glycémie, Diarrhées et constipation, Dépression et sautes d’humeur, Problèmes digestifs, Fatigue, Migraines, Perte de mémoire, Urination nocturne, Phobies et anxiété, Problèmes de la glande thyroïde, Prise de poids, Manque d’énergie, Problèmes de sinus, Perte de l’ouïe, Hyperactivité, Cesser de fumer, Insomnie, etc. Le test musculaire Il y a plusieurs méthodes pour faire le test musculaire, les praticiens BIE utilisent le plus souvent le test sur les doigts. Disons qu’on vent tester l’intolérance ou l’allergie d’un patient à un certain produit ou à une nourriture, du pain, par exemple. Le patient présente sa main au praticien et met le pouce et le petit doigt en contact. Le praticien essaie de séparer les deux doigts. C’est la résistance à la séparation des deux doigts qui est mesurée dans ce test, elle peut être forte ou faible. Pour expérimenter les deux cas avant de tester les produits, le praticien procède de la façon suivante. Le patient met son autre main sur sa tête, la paume sur les cheveux. Ceci donne une position de force pour le corps parce que la tête et la paume de la main sont de polarité opposée. Le praticien essaie de séparer les deux doigts qui résistent. Ensuite le patient tourne sa main vers le haut, cela donne une position de faiblesse car le dos de la main et la tête sont de même polarité. Le praticien essaie de séparer les deux doigts et cette fois ci la résistance est faible, les deux doigts s’écartent facilement. Normalement les deux niveaux de résistance sont très distincts. Si les niveaux de résistance sont inversés, on dit que le patient a une polarité inversée, Dans ce cas il suffit de lui faire faire des exercices simples pendant quelques minutes afin de rétablir sa polarité pour que les tests soient parfaitement valides. Pour faire le test musculaire le praticien essaie de séparer les deux doigts qui résistent. Ensuite le patient met le produit à tester, par exemple le pain, sur l’intérieur de son avant-bras et le praticien essaie à nouveau de séparer les deux doigts. Si la résistance est forte, comme précédemment, le produit n’a pas d’influence négative sur le patient, il n’y a donc pas d’intolérance ou d’allergie. Si la résistance est faible, le patient a une intolérance ou allergie au pain. Le test musculaire est aussi utilisé pour connaitre la réaction d’un patient à un remède. Celui-ci tient avec son autre main le remède sur l’intérieur de son avant-bras, si la résistance des deux doigts est forte le remède est bon pour le patient, si la résistance des deux doigts est faible, le remède ne lui convient pas. Théorie et Kinésiologie La kinésiologie est une science qui date de la seconde moitié du 20ième siècle. Dr George Goodheart est le pionnier de la kinésiologie appliquée et il a écrit le livre « Applied Kinesiology » en 1976. Dans les années 1970 Dr John Diamond a continué le travail du Dr Goodheart et a nommé cette science kinésiologie comportementale Il utilisait un test musculaire différent mais équivalent, ce qui lui permettait d’identifier les remèdes qui seraient bénéfiques aux patients. Pour faire ce test le patient tend un bras à l’horizontale et le praticien exerce une pression sur le bras vers le bas. La résistance du bras peut être forte ou faible. Si le patient applique avec l’autre main, en bas de son cou, un produit qui est bon pour lui, la résistance du bras est forte. Si il tient un produit auquel il est intolérant, la résistance de son bras va être faible. Ce test est donc équivalent à celui que nous avons vu précédemment sur les doigts. Dr John Diamond a introduit l’idée importante que le corps sait ce qui est bon pour lui et ce qui ne l’est pas. Dr Diamond a appliqué les mêmes principes à des stimulis émotionnels et intellectuels. Par exemple, selon les résultats du Dr Diamond : un sourire donne un test fort alors qu’une affirmation négative comme, par exemple, « je vous déteste » donne un test négatif. Il a écrit en 1979 le livre « Your body does not lie ». Le test musculaire a des applications qui dépassent l’imagination. Si le patient dit quelque chose de vrai, le test va être fort. Si le patient dit quelque chose de faux, le test va être faible. Dr Hawkins a étudié la réponse kinésiologique à la vérité et au mensonge et a exposé les résultats incroyables de ses recherches dans son livre « Power versus force : The hidden determinants of human behavior » en 1975. La kinésiologie appliquée est un des développements scientifiques récents qui peuvent avoir un impact dans le domaine de la santé et aussi dans d’autres domaines, comme décrit dans ce livre. L’usage conjoint de CEDS et BIE La technologie CEDS est utilisée en premier pour analyser l’état de santé du client : méridiens et systèmes, organes etc… Le point d’allergie peut être utilisé pour tester la réaction du corps à divers produits. On peut donc l’utiliser pour tester les éléments de la base BIE dont nous avons donné une liste assez détaillée ci-dessus et qui sont sous forme de tubes de 5 cm de long. Certaines de ces bases de données sont aussi sous forme électronique dans les fichiers de l’ordinateur. Les problèmes du client sont alors identifiés et plusieurs possibilités se présentent pour les régler, selon la nature et le nombre de ces problèmes. Avec CEDS il est possible de créer une capsule comme celles des bases BIE. La capsule (qu’on dit « vide » de fréquences) contient de l’eau et de l’alcool et est placée sur la tablette de l’unité EDS. L’ordinateur peut alors envoyer les fréquences demandées dans la capsule et celle-ci peut être utilisée dans l’unité BIE pour envoyer ces mêmes fréquences par les points d’acuponcture. Ce sont ces mêmes fréquences qui enlèvent l’intolérance. Il est très courant de faire une capsule pour un client dans une session et de la conserver pour vérifier la réaction du patient au cours des séances futures, ou pour ajouter des fréquences. Par exemple si un patient a un problème avec certaines parties de l’œil, les fréquences des parties de l’œil dans CEDS sont sous forme électronique. CEDS peut créer une capsule en mettant les fréquences identifiées pour ces parties dans une capsule « vide ». La capsule sera alors utilisée dans la machine BIE pour corriger la vision du patient, en envoyant les fréquences par les points d’acuponcture comme indiqué précédemment afin de tenter d’obtenir l’homéostasie de l’œil. On passe donc ainsi d’une base de données de fréquences électronique à des capsules ou échantillons de fréquences. Cette procédure permet l’usage conjoint des deux technologies. L’exemple de la vision n’est qu’un exemple parmi tant d’autres et la même procédure peut s’appliquer au mal fonctionnement d’un autre organe. Mais c’est un exemple que nous trouvons particulièrement intéressant. Les vraies causes de la perte de vision de notre patient ne sont pas encore vraiment identifiées, mais c’est la prochaine étape. Ainsi nous pouvons observer qu’un client qui devient myope a souvent des problèmes au niveau du métabolisme du sucre. C’est un fait connu, mais, jusqu’à présent ce n’est pas connu ou compris par la grande partie de la population. De plus en plus d’enfants portent des lunettes pour la myopie dès un jeune âge et, avec le temps, les lunettes deviennent de plus en plus épaisses sans que le lien soit fait avec leur consommation de sucre ou leur réaction au sucre. Un enfant qui mange beaucoup de bonbons peut n’avoir aucun problème de vision, et un enfant qui en mange moins peut avoir une vision qui décline rapidement. Le métabolisme du sucre diffère largement entre les individus. D’un autre coté un enfant peut avoir une vision déclinante dans le sens de la myopie sans que cela soit causé par le sucre. Il peut exister d’autres causes. Et c’est là un sujet qui mérite des recherches sérieuses, et qui mérite aussi que les résultats soient rendus publics pour lutter effectivement contre la myopie, dès qu’elle se présente. L’usage de CEDS permet de trouver les causes de la myopie du patient et les parties de l’œil qui sont affectées. L’usage de BIE permet de tenter de corriger la vision. Nous ne disposons pas de données pour dire le pourcentage de patients sur lesquels les corrections fonctionnent, mais nous pouvons affirmer que de tels cas existent. La vision est corrigée, ou du moins, largement améliorée. Mais si la cause du problème – le sucre – persiste, la correction est extrêmement temporaire. C’est là que nous voyons la synergie entre les deux technologies CEDS et BIE. BIE effectue les corrections. CEDS nous donne les causes. Si l’effort est fait pour corriger les causes, le problème de vision peut être corrigé de façon permanente. Dans notre exemple il s’agit de corriger les parties de l‘œil identifiées comme déficientes et le métabolisme du sucre. CEDS permet d’analyser et de voir les indices du mauvais métabolisme du sucre qui peut se manifester par une note faible sur les glandes surrénales, sur le pancréas, sur l’insuline, peut être sur les cellules bêta si le processus est avancé. Mais l’objectif de la prévention est justement de s’apercevoir que le métabolisme du sucre est déficient avant d’arriver à un affaiblissement des cellules béta qui produisent l’insuline et dont la dégradation totale a pour résultat le diabète de type 1, connu comme étant irréversible et nécessitant des injections quotidiennes d’insuline et des tests continuels du sang. Menons cet exemple une étape plus loin. Un enfant voit moins bien de loin et devient myope. L’analyse nous montre que cela est dû à l’effet du sucre. Nous pouvons trouver un traitement naturel qui rétablit le métabolisme du sucre. Avec BIE les intolérances au sucre peuvent être corrigées, les glandes surrénales et l’insuline de même et on peut trouver et tester des produits qui aident le métabolisme du sucre. Bien sûr, la diète de l’enfant doit être changée et surveillée étroitement par les parents. Cette procédure peut donc sauver l’enfant du diabète. Dans ce cas-là la diminution de vision a été un événement extrêmement positif – comme une lumière rouge clignotante dans une voiture pour indiquer que le moteur fonctionne mal ou qu’une porte est mal fermée. La diminution de vision a permis d’identifier un problème plus grave qui a des proportions épidémiques dans la population, et de régler ce problème. En effet il y a maintenant de nombreux cas d’enfants de moins de dix ans qui souffrent de diabète de type 1 et la plupart portent des lunettes depuis un jeune âge. L’usage de CEDS et BIE de façon généralisée peut avoir un impact absolument incroyable sur la santé de la population. Il permet la prévention des conditions dégénératives et de la plupart des maladies qui découlent de ces conditions. En effet ces maladies n’arrivent pas du jour au lendemain et peuvent donc être prévenues. Pensons au diabète, aux problèmes de haute pression artérielle, aux crises cardiaques, aux cancers. Toutes sont connues comme des maladies mais en fait ce sont des conditions qu’on a laissé dégénérer au cours des années et qui deviennent une maladie. Mais avec ces nouvelles technologies, le taux de prévention de ces maladies peut être très élevé. L’aspect commercial et l’expansion de ces technologies Il est nécessaire que des organismes soient créés pour généraliser la vente de ces technologies, la formation des praticiens et l’entretien des appareils. Les personnes qui seront à la tête de ces organismes, étant donné le niveau scientifique de ces technologies, doivent avoir des connaissances dans le domaine de la physique quantique, de l’ingénierie et de la santé, ce qui est le cas présentement pour l’institut des technologies naturelles de la santé (INHT) et aussi pour la compagnie Alixxor. Il faut donc un mélange de capacités scientifiques, commerciales au niveau local et aussi au niveau international (Manning 2008, Munns 1995) . Nous recommandons aux praticiens et praticiennes du domaine de la santé naturelle : naturopathes, homéopathes, nutritionnistes, etc… de considérer l’usage de ces nouvelles technologies pour de nombreuses raisons, par exemple : 1. L’usage de CEDS et BIE permet d’augmenter dramatiquement la clientèle et les revenus du praticien. 2. L’usage de CEDS et BIE est flexible et permet au praticien d’orienter sa pratique dans le sens qui lui convient. Certains peuvent s’intéresser à la santé des enfants par exemple, d’autres peuvent se spécialiser dans un domaine comme celui du traitement des émotions. 3. Le praticien peut aussi tenter de faire connaitre ces méthodes pour qu’elles atteignent une grande proportion de la population causant une différence dans son niveau de santé. Il peut faire des présentations dans les organismes liés à la santé. 4. Le praticien peut aussi devenir formateur lorsque la demande est présente, ce qui enrichit sa vie professionnelle. 5. Le praticien qui utilise CEDS et BIE participe à révolution dans le domaine de la santé basée sur la nouvelle biologie et la physique quantique. C’est donc une occasion à ne pas manquer! Par exemple, pour faire connaitre ces nouvelles méthodes et les appliquer aux enfants, un praticien peut faire des présentations aux parents dans les écoles pour les informer et leur faire une démonstration. Il peut rencontrer le conseil scolaire pour avoir son support pour aider à la diffusion de la connaissance. L’usage de ces machines devrait être coordonné pour garder des statistiques sur les cas et sur les liens entre différents déséquilibres. Par exemple nous avons ce lien qui est connu, mais pas publiquement, entre la myopie et le métabolisme du sucre. Et le fait de ne pas voir de près, est-il aussi lié à certaines conditions et lesquelles? Le fait d’être astigmate, est-il aussi lié à certaines conditions? Les réponses à ces questions ne sont pas publiquement connues. La coordination des praticiens, la prise et la mise en commun de leurs données devrait dramatiquement augmenter la prévention des maladies qui accablent nos populations et la première étape consiste à croire que c’est une chose possible, ce qui est le cas. La nouvelle biologie et sa philosophie Les deux technologies que nous avons explorées sont le résultat de découvertes au niveau biologique sur le fonctionnement de la cellule et ces découvertes changent complètement la vision des scientifiques à propos de la science et de la vie en général. Comme le générateur du Dr Royal Rife, qui envoie des fréquences qui détruisent des microbes, ces technologies reconnaissent les fréquences dont le patient a besoin pour retrouver l’homéostasie et les envoie. Pourquoi est-ce que cela fonctionne? Les fréquences envoyées peuvent être considérées de façon mécanique comme un taux de secouage. Un microbe est en général sensible à une fréquence spécifique. Ceci est dû, selon le Dr Rife, à l’existence, à l’intérieur du microbe, de structures de protéines qui ont une forme bien particulière. Ces structures de protéines ont un rôle dans le fonctionnement du microbe et sont nécessaires à sa survie. La structure elle-même et les liens entre les protéines ne sont pas forts et le secouage à un taux particulier permet d’endommager ou de détruire ces structures de protéines. A ce moment-là le microbe ne peut pas survivre, ou du moins, il ne peut pas se propager. Dans son livre « The Biology of Belief » le biologiste et professeur Bruce Lipton explique comment sa vision de la biologie a changé à la suite de ses découvertes sur le fonctionnement des cellules En fait il a découvert que les cellules ont beaucoup de pouvoir et leur rôle est sous-estimé par la biologie classique. Depuis ce moment là, Dr Bruce Lipton base son enseignement en biologie cellulaire sur la ressemblance entre l’être humain et la cellule. Il trouve que cet argument améliore significativement la compréhension de ses étudiants sur le comportement cellulaire. Ainsi chaque cellule est un être intelligent et peut survivre par elle-même. La cellule recherche un environnement qui soutient sa survie et évite les environnements qui lui sont agressifs. La cellule peut apprécier les caractéristiques de son environnement et a une mémoire qu’elle passe à sa descendance cellulaire. Avant la nouvelle biologie les scientifiques croyaient que la vie est contrôlée par les gènes, plus précisément par le DNA, qui est une chaine de molécules de protéines de forme de double hélice se situant dans le noyau de la cellule. Le DNA contient l’information nécessaire à la formation des protéines. Selon les anciennes croyances le DNA était responsable non seulement de notre apparence physique, mais aussi de nos comportements et de nos émotions, à travers du facteur hérédité. Ce concept aussi a changé de façon drastique (McGue 1997, Reik 2001, Chakravarti 2003, Watters 2006, Cloud 2010). Les cellules en tant qu’êtres vivants digèrent et métabolisent les nutriments, produisent des substances variées, respirent, éliminent, etc. Le DNA était considéré comme le cerveau de la cellule mais des expériences ont montré que des cellules sans noyau (il est possible d’enlever le noyau d’une cellule) peuvent survivre pendant deux mois ou plus. Les cellules sans noyau étaient capables de performer toutes les opérations décrites ci-dessus. Par contre elles ne pouvaient pas se diviser ni faire la synthèse de nouvelles protéines. Les cellules sans noyau finissaient donc par mourir, non pas d’’avoir perdu leur « cerveau », mais parce qu’elles ne pouvaient plus se reproduire. Ces nouvelles découvertes qui reconnaissent la puissance de la cellule comme être vivant à part entière aboutissent à une science connue sous le nom « épigénétique » ce qui veut dire « contrôle au-dessus de la génétique ». Selon l’épigénétique le DNA n’est pas immuable et les gènes ne sont pas ce qui guide la destinée. Les gènes sont affectés par l’environnement, par exemple par le stress, les déséquilibres chimiques, la mauvaise nutrition, la pollution électromagnétique, etc. Ces modifications des gênes peuvent aussi être transmises aux générations futures. Pourquoi la technologie BIE fonctionne? La nouvelle biologie et les nouvelles connaissances sur la cellule expliquent comment la technologie BIE peut corriger les déséquilibres. Cela est dû à l’importance et à la façon dont fonctionne la membrane cellulaire. Pour comprendre en détail le fonctionnement de la technologie BIE, il faut comprendre le mécanisme biologique de la membrane cellulaire et nous essayons de donner quelques idées simplifiées sur ce mécanisme. Le premier aspect est l’importance de cette membrane qui interprète des signaux extérieurs et ces signaux influencent son comportement. La membrane est créditée avec une pseudo-intelligence qui fait le tri entre ce qui doit ou non pénétrer dans la cellule et ce qui doit ou non en sortir. Les détails de ce mécanisme jouent sur les notions de lipides, de l’eau et de leur polarité. La cellule possède aussi des « antennes » qui peuvent reconnaitre des vibrations et leur fréquence, comme des sons, de la lumière et des ondes radio. Certaines vibrations affectent la cellule qui passe alors à un mode actif. Cela nous permet de comprendre pourquoi et comment le comportement biologique peut être influencé par les pensées et les émotions qui ont aussi leur fréquence. La charge électrique de la cellule peut aussi varier, ce qui arrive par l’intermédiaire d’un échange entre les ions de sodium et de potassium qui se situent respectivement à l’extérieur et à l’intérieur de la cellule. Les fréquences électromagnétiques, les téléphones cellulaires, les ordinateurs, la nourriture, la boisson, les pensées et les émotions ont une influence positive ou négative sur les cellules. L’influence négative est due à un changement de forme de la chaine de protéine dans la cellule. Sous l’influence des charges électriques positives ou négatives, la chaine peut changer de forme ou devenir penchée et lorsque cela arrive la protéine ne peut plus remplir pleinement sa fonction. On arrive alors à un déséquilibre homéostatique (Kolodynski 1996, Goodman 2002, Michelozzi 2002, Santini 2002). Alors que l’acuponcture permet d’enlever les blocages qui se situent le long des méridiens, elle ne peut pas enlever les blocages qui se produisent à l’intérieur des cellules. Pour faire cela on a besoin de la technologie BIE. On ne peut pas dire que BIE traite une maladie, mais BIE aide les cellules à retrouver leur équilibre, à renverser l’effet stressant et à commencer le processus de guérison. Ainsi une intolérance est le plus souvent due à la réjection d’une substance que le corps ne reconnait pas. Des substances comme les pollens, poussières, moisissures sont souvent considérées par le corps comme des envahisseurs et sont rejetés. La technique BIE permet de les faire accepter, encourageant ainsi l’homéostasie. Conclusion Les découvertes scientifiques dans le domaine de la biologie cellulaire apportent dans le domaine de la santé des innovations et des solutions qui dépassent les attentes de la population, comme si la population n’était pas préparée à reconnaitre et accepter ces innovations et leurs conséquences. Curieusement la population accepte facilement et avec enthousiasme les nouvelles technologies dans le domaine de l’informatique, comme de mettre des fichiers énormes sur une petite clé USB, ce qui était impossible il y a une vingtaine d’années. Elle accepte aussi les technologies sans fil, téléphones cellulaires, wifi, qui sont aussi des inventions récentes. Mais dans le domaine de la santé, la même population accepte seulement l’accroissement du nombre de maladies et du nombre de personnes affectées par ces maladies. Avec les exemples d’application des technologies CEDS et BIE que nous avons donnés, nous voyons pourtant que les mêmes « miracles » qui s’appliquent à des objets : ordinateurs, micro chips, téléphones etc…, peuvent aussi s’appliquer au corps humain. L’importance de ces technologies de la santé qui touchent directement en même temps à la vie humaine, à sa durée et à la qualité de cette vie est largement supérieure, pour les humains, à celle qui s’applique à des objets. Malgré cela ces progrès ne se répandent pas bien dans la population qui, pour la grande majorité, n’en profite pas et n’en connait même pas l’existence. Comment permettre à cette technologie de profiter à la population? Nous encourageons donc la formation de praticiens et praticiennes de plus en plus nombreux et nous espérons que d’ici quelques années, non seulement ces méthodes seront connues, mais qu’elles seront disponibles et appliquées au niveau de la population et non pas simplement au niveau d’une élite mieux informée. Nous souhaitons que ces technologies soient présentes dans tous les centres de santé avec des praticiens spécialisés dans toutes les écoles pour que les enfants atteignent une santé optimale. Tout ceci devrait arriver avec un cout financier acceptable car cette technologie consiste simplement d’un ordinateur, de fichiers et de deux unités. Rappelons brièvement le processus de traitement : le praticien utilise CEDS pour faire l’analyse de la santé du patient, pour tester les produits qui conviennent le mieux au patient et, le cas échéant, pour faire les capsules nécessaires. La machine BIE permet d’effectuer le traitement. Notons en particulier deux grands progrès apportés par ces technologies. D’abord on peut savoir si un produit convient au patient. Ceci est très important dans les sociétés occidentales où les maladies et décès dus aux médicaments sont très importants (Null; 2003). Ensuite les analyses sont faites de façon non - invasive, ce qui n’est pas le cas dans la médecine actuelle où certaines procédures de vérification d’organes sont extrêmement inconfortables. Avec ces nouvelles technologies nous pouvons donc prévoir un changement dramatique dans le domaine de la santé qui, progressivement, s’appliquera partout dans le monde. Non seulement les personnes pourront bénéficier d’une meilleure santé et d’une meilleure qualité de vie mais aussi le système de santé deviendra plus accessible et proche de la population, sous la forme de centres de santé plutôt que d’hôpitaux qui traiteront alors surtout les cas extrêmes, accidents, chirurgie, etc. Le rôle du praticien consistera d’abord à faire découvrir au patient le fonctionnement de son corps puis à discuter avec lui des remèdes possibles. Peu à peu le patient développera la capacité de comprendre le fonctionnement de son corps et deviendra le principal responsable de sa santé. RÉFÉRENCES Chakravarti, A et Little, P (2003). Nature, nurture and human disease. Nature 421: 412-414. Cloud, John (2010).Why your DNA Isn’t Your Destiny. Time. Diamond, J. (1979). Behavioral Kinesiology, New York:Harper and Row. Diamond, J. (1979.) Your Body Doesn’t Lie. New York: Warner Books. Gabor Maté (2003). Quand le corps dit non: le stress qui démolit, Editions de l’homme. 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