BREVET D’ELECTROLYSEUR HORVATH US 4.107.008 Une méthode de décomposition de l'eau pour produire l'hydrogène et l'oxygène comportant les étapes de placer un soluté électriquement conducteur dans un navire en contact avec une paire d'électrodes séparées, faisant couler le courant électrique entre lesdites électrodes tout en simultanément irradiant le soluté avec le rayonnement électromagnétique de la longueur de vague moins que les mètres 10E -10 et un jet des neutrons, et rassemblant l'hydrogène et l'oxygène qui s'accumule aux électrodes en tant que gaz fortement ionisés en lesquels l'hydrogène contient une proportion plus élevée de deutrons qu'en hydrogène naturel. 2. Une méthode selon la revendication 1 où lesdites électrodes sont cylindrique arrangées au sujet d'une ligne centrale commune et où le rayonnement électromagnétique et ledit jet des neutrons sont produits dans un générateur de rayonnement disposé dans l'électrode intérieure et rayonnent extérieurement par l'électrode intérieure dans ledit soluté. 3. Une méthode selon la revendication 2, où un champ magnétique est appliqué à ledit soluté dans des directions de champ se prolongeant entre lesdites électrodes que le champ magnétique produit "tourner-renversent" l'effet sur des protons libérés du soluté. 4. Une méthode selon la revendication 1, où le jet des neutrons est un jet pulsé des neutrons liés à ledit rayonnement électromagnétique et où les gaz fortement ionisés d'hydrogène et de l'oxygène sont rassemblés comme mélange gazeux. 5. Une méthode de décomposition de l'eau pour produire l'hydrogène et l'oxygène comportant les étapes de placer un soluté électriquement conducteur dans un navire en contact avec une paire d'électrodes séparées a arrangé cylindrique un dans l'autre, produisant par bombardement d'électron d'une anode dans un tube de rayonnement disposé dans l'électrode intérieure un faisceau de rayonnement électromagnétique de longueur de vague moins que les mètres 10E-10 qui rayonne extérieurement par l'électrode intérieure pour irradier l'électrolyte aqueux entre les électrodes, faisant couler un courant électrique entre les électrodes et par l'électrolyte irradié, et rassemblant les gaz d'hydrogène et de l'oxygène qui s'accumulent aux électrodes. 6. Une méthode selon la revendication 5, où le bombardement d'électron de l'anode dans le tube de rayonnement produit également un jet pulsé des neutrons liés à ledit faisceau de rayonnement électromagnétique que le jet des neutrons entre dans également l'électrolyte irradié et l'hydrogène et l'oxygène sont rassemblées en tant que gaz fortement ionisés en lesquels l'hydrogène comporte une proportion plus élevée des deutérons qu'en hydrogène naturel. 7. Une méthode selon la revendication 5 où ledit bombardement d'électron est produit par l'application entre l'anode et un filament de ledit tube de rayonnement une tension CC De palpitation au moins de 17.000 volts et de la fréquence d'impulsion au moins de 3.000 impulsions par seconde. 8. Une méthode selon la revendication 5 où on produit dans ledit navire un champ magnétique qui à proximité de l'électrolyte irradié se prolonge entre lesdites électrodes et qui à proximité du tube de rayonnement est dirigée accélèrent les électrons de bombardement. 9. Une méthode de décomposition de l'eau pour produire l'hydrogène et l'oxygène comportant les étapes de placer un soluté électriquement conducteur dans un navire en contact avec une paire d'électrodes séparées irradiant le soluté avec le rayonnement électromagnétique de la longueur d'onde moins que les mètres 10E -10 tout en entraînant le courant électrique couler entre lesdites électrodes et rassemblant les gaz d'hydrogène et de l'oxygène qui s'accumulent de là. 10. Une méthode selon la revendication 9, où un jet pulsé des neutrons est associé à ledit rayonnement électromagnétique et où les gaz d'hydrogène et de l'oxygène sont rassemblés comme mélange gazeux fortement ionisé dans lequel l'hydrogène contient une proportion plus élevée de deutérons que l'hydrogène naturel. 11. Une méthode selon la revendication 10, où un champ magnétique est appliqué à ledit soluté dans des directions de champ se prolongeant entre lesdites électrodes. 12, Une méthode selon la revendication 11, où le champ magnétique produit un effet "de chiquenaude de rotation" sur des portons libérés dans le soluté. 13, Une méthode selon la revendication 12, où ledit champ magnétique est produit par les aimants permanents. 14, Une méthode selon la revendication 9, où lesdites électrodes sont cylindrique arrangées au sujet d'une ligne centrale commune et où le rayonnement électromagnétique est produit dans un générateur de rayonnement disposé dans l'électrode intérieure et rayonne extérieurement par l'électrode intérieure dans ledit soluté. FOND de description de L'Invention que cette invention concerne le champ général de l'électrolyse et a le détail, mais non exclusif, d'application à l'électrolyse de l'eau pour former l'hydrogène et l'oxygène. Dans un procédé d'électrolyse une différence potentielle est appliquée entre une anode et une cathode en contact avec un conducteur électrolytique pour produire un courant électrique par le conducteur électrolytique. Beaucoup de sels et hydroxydes fondus sont les conducteurs électrolytiques mais habituellement le conducteur est une solution d'une substance qui dissocie dans la solution pour former des ions. Le terme "électrolyte" sera employé ci-dessus pour se rapporter à une substance qui dissocie dans des ions, au moins dans une certaine mesure, une fois dissoute dans un dissolvant approprié. La solution résultante désigné sous le nom d'une "solution d'électrolyte." Dans les process simples d'électrolyse la masse de la substance libérée à une anode ou à une cathode est conformes, aux lois de Faraday de l'électrolyse, strictement proportionnelles à la quantité de l'électricité passée entre l'anode et la cathode. Le taux de décomposition de l'électrolyte est ainsi limité et il est généralement peu économique par exemple, pour produire de l'hydrogène et de l'oxygène de l'eau commercialement par un procédé d'électrolyse. ON LE SAIT QUE DES COMPOSÉS, Y COMPRIS DES ÉLECTROLYTES TELS QUE L'Eau, PEUVENT ÊTRE DÉCOMPOSÉS EN LEURS ÉLÉMENTS CONSTITUTIFS PAR RAYONNEMENT ÉLECTROMAGNÉTIQUE DE VAGUE COURTE D'Irradiation. Un tel rayonnement induit la dissociation ou la décomposition peut se nommer "radiolyse". Par exemple, un papier par Dr. Akibumi Danno a eu droit "produire l'hydrogène avec de l'énergie nucléaire" éditée dans "l'économie chimique et la revue de technologie" de juin, 1974 décrit de manière assez détaillée la radiolyse de l'eau et un certain nombre d'hydrocarbures avec une explication des réactions élémentaires ont impliqué dans une telle radiolyse. Brièvement, on le constate que l'irradiation avec des rayons X de vague courte ou des rayons gamma, c.-à-d. rayonnement électromagnétique de la longueur de vague moins que les mètres 10E 10, a comme conséquence la décomposition directe des composés concernés. Par exemple, si l'eau est irradiée avec le rayonnement gamma l'eau sera dissociée dans l'hydrogène et l'oxygène. Danno propose l'utilisation d'un réacteur nucléaire comme source de rayonnement sur une échelle massive mais conclut que la radiolyse de l'eau n'est pas une méthode très efficace de produire l'hydrogène et il propose à la place un processus comportant une radiolyse d'anhydride carbonique pour produire l'oxyde de carbone et l'oxygène et une conversion suivante de l'oxyde de carbone au gaz d'hydrogène par le processus conventionnel de conversion de water/gas. SOMMAIRE DE L'Invention que la présente invention prévoit un procédé d'électrolyse dans lequel la radiolyse est également présente. On le constate qu'avec la combinaison de l'électrolyse et de la radiolyse le rendement de produits de décomposition peut être plus grand que qui ont réalisé par un procédé simple d'électrolyse ou radiolyse simple. Le taux de rendement peut être tout d'abord amélioré dans l'électrolyse combinée et le procédé de radiolyse en fournissant un champ magnétique dans le conducteur électrolytique qui fournit a préféré des chemins pour les photons à grande vitesse du rayonnement électromagnétique de vague courte et également pour les ions dans le conducteur électrolytique augmentant de ce fait la possibilité pour la collision entre les électrons et les ions avec un rendement amélioré suivant de radiolyse. Dans une méthode selon l'invention, des impulsions de l'énergie électrique à haute tension sont appliquées entre l'anode et la cathode d'une cellule électrolytique d'une telle façon quant à produisent du rayonnement nécessaire de longueur de vague courte pour la radiolyse. Dans une autre méthode selon les impulsions d'invention de l'énergie électrique à haute tension sont déchargés dans des un ou plusieurs générateurs de rayonnement de longueur de vague courte séparé de l'anode et de la cathode mais ont disposé tels que le conducteur électrolytique dans la cellule est irradié par le rayonnement de vague courte produit de ce fait. Les impulsions à haute tension de l'énergie électrique peuvent être produites par une entrée tout à fait modeste de courant continu assurée et les méthodes selon l'invention produiront un considérablement plus grand rendement d'excédent de produits de décomposition cela qui pourrait être réalisé en passant le courant d'approvisionnement par le conducteur électrolytique. L'invention fournit également l'appareil adapté pour pratiquer les méthodes de l'invention. Comme précédemment mentionné, l'invention est particulièrement applicable à la décomposition de l'eau ou des solutés pour produire des gaz d'hydrogène et de l'oxygène et, pour que l'invention puissent plus entièrement être expliqués, de l'appareil conçu spécifiquement pour une telle génération d'hydrogène et l'oxygène seront maintenant décrits en détail référence étant faite aux schémas d'accompagnement. COURTE DESCRIPTION DES SCHÉMAS dans les schémas: Fig. 1 est un schéma de circuit pour un appareil construit selon l'invention; Fig. 2 est une vue de plan d'une cellule électrolytique de l'appareil; Fig. 3 est une section transversale sur la ligne 3--3 dans fig. 2; Fig. 4 est une section transversale sur la ligne 4--4 dans fig. 3; Fig. 5 est une vue de plan de la cellule électrolytique certaines parties supérieures étant coupées; Fig. 6 est une section transversale sur la ligne 6--6 dans fig. 2; Fig. 7 est une section transversale sur la ligne 7--7 dans fig. 2; Fig. 8 est une section transversale verticale par une forme modifiée de cellule électrolytique; Fig. 9 est une section transversale sur la ligne 9--9 dans fig. 8; Fig. 10 est un schéma de circuit pour l'appareil modifié des figues. 8 et 9; Fig. 11 est un schéma de circuit pour un appareil modifié encore; Fig. 12 est une vue de plan d'une cellule électrolytique un autre de mode de réalisation de l'invention; Fig. 13 est une vue arrière de la cellule illustrée dans fig. 12; Fig. 14 est dessous une vue de la cellule illustrée dans fig. 12; Fig. 15 est une section transversale verticale sur la ligne 15 -- 15 dans fig. 12; Fig. 16 est une section transversale horizontale par la cellule de fig. 12; Fig. 17 est une section transversale sur la ligne 17 -- 17 dans fig. 12; Fig. 18 est une section transversale sur la ligne 18 -- 18 dans fig. 12; Fig. 19 est une section transversale sur la ligne 19 -- 19 dans fig. 12; Fig. 20 représente en perspective un composant d'anode de la cellule montrée dans fig. 12; Fig. 21 est une vue cassée de perspective d'un composant de douille d'anode de la cellule montrée dans les figues. 12; Fig. 22 représente en perspective une cathode de la cellule montrée dans fig. 12; Fig. 23 représente en perspective un composant de l'assemblée montrée dans fig. 22; Fig. 24 est une section transversale de chute par un raccordement électrique incorporé dans la cellule; Fig. 25 est une section transversale verticale par la cellule illustrant schématiquement des chemins de rayonnement électromagnétique et de champs magnétiques dans la cellule; et fig. 26 est un schéma de circuit électrique pour l'appareil illustré dans les figues. 12 à 25. DESCRIPTION DES MODES DE RÉALISATION PRÉFÉRÉS l'appareil illustré dans les figures. 1 à 7 comporte une cellule électrolytique dénotée généralement en tant que 11 et avoir une anode 12 et cathode 13. L'appareil a un circuit électrique comme pour produire des impulsions à haute tension de l'énergie électrique qui sont appliquées entre l'anode 12 et la cathode 13. Spécifiquement, le circuit doit comme développer les impulsions à haute tension exigées d'une source d'énergie électrique de courant continu qui peut par exemple être une batterie de 12 volts, reliée entre les bornes 14, 15. La ligne 16 de la borne 14 peut être considérée en tant que réception de l'entrée positive et la ligne 17 de la borne 15 peut être considérée comme négatif commun pour le circuit. La ligne 16 inclut un commutateur de commande principal "MARCHE/ARRÊT"simple 18. Comme montré dans fig. 1 le circuit électrique comporte des circuits de générateur d'impulsion comportant le transistor Q1 d'unijunction avec les résistances associées R1, R2, R3 et condensateurs C2 et C3. Ce circuity produit les impulsions qui sont employées pour déclencher un transistor de puissance de silicium de NPN Q2 qui fournit alternativement par l'intermédiaire des impulsions de déclenchement du condensateur C4 pour un T1 de thyristor. La résistance R1 et un condensateur C1 sont reliées en série dans une ligne 21 se prolongeant à un des contacts fixes d'un relais RL1. L'enroulement 26 du relais RL1 est relié entre la ligne 16 et une ligne 27 qui s'étend du contact mobile du relais à la ligne négative commune 17 par l'intermédiaire d'un commutateur actionné par pression normalement fermée 19. La ligne 20 de commande de pression du commutateur 19 est reliée en quelque sorte pour être décrite ci-dessous à une chambre de collection de gaz de la cellule électrolytique 11 afin de fournir un raccordement de commande par lequel le commutateur 19 soit ouvert quand le gaz dans la chambre de collection atteint une certaine pression. Cependant, à condition que les restes du commutateur 19 fermés, le relais RL1 fonctionnent quand le commutateur de commande principal 18 est fermé pour fournir de ce fait un raccordement entre les lignes 21 et 27 pour relier le condensateur C2 à la ligne négative commune 17. Le but principal du relais RL1 est de fournir un léger retarde à cet égard entre le condensateur C2 et la ligne négative commune 7 quand le circuit active d'abord. Ceci volonté retarde la génération des impulsions de déclenchement au T1 de thyristor jusqu'à ce qu'un état électrique exigé ait été réalisé dans les circuits de transformateur pour être décrit cidessous. On le préfère que le relais RL1 soit hermétiquement scellé et a une armature d'équilibre de sorte qu'il puisse fonctionner en n'importe quelle position et puisse résister au choc ou à la vibration substantiel. Quand le rapport entre le condensateur C2 et ligne 17 est établi par l'intermédiaire du relais RL1, le transistor Q1 d'uninjunction agira en tant qu'un oscillateur pour fournir le rendement positif palpite dans la ligne 24 à une fréquence du pouls qui est commandée par le rapport de R1:c1 et à une force d'impulsion déterminée par le rapport de R2:r3. Ces impulsions chargeront le condensateur C3. le condensateur qu'électrolytique C1 est relié directement entre la ligne positive commune 16 et la ligne négative commune 17 pour filtrer les circuits de tout le bruit statique. La résistance R1 et condensateur C2 sont choisies tels qu'à l'entrée au transistor Q1 les impulsions seront de forme de dent de scie. Ceci commandera la forme des impulsions produites dans les circuits suivants, et la forme d'impulsion de dent de scie est choisie puisqu'on le croit qu'il produit l'opération la plus satisfaisante des circuits de palpitation. Il devrait soumettre à une contrainte, cependant, que d'autres formes d'impulsion, telles que la vague carrée palpite, pourrait être employé. Le condensateur C3, qui est chargé par pour produire des impulsions du transistor Q1, décharge par une résistance R4 pour fournir déclencher des signaux pour la résistance R4 du transistor Q2. est relié à la ligne négative commune 17 au servir de dispositif de limitation courante de porte au transistor Q2. Les signaux de déclenchement produits par le transistor Q2 par l'intermédiaire du réseau du condensateur C3 et résistance R4 seront sous forme d'impulsions positives de forme brusquement pointue. Le collecteur du transistor Q2 est relié à la résistance traversante R6 de la canalisation d'alimentation 16 positifs tandis que l'émetteur de ce transistor est relié à la résistance traversante R5 de la ligne 17 négatifs communs. Ces résistances R5 et R6 commandent la force des impulsions courantes appliquées à un condensateur C4 qui décharge par une résistance R7 à la ligne négative commune 17, pour appliquer de ce fait déclencher des signaux à la porte du T1 de thyristor. La porte du T1 de thyristor reçoit une polarisation négative de la ligne négative commune par l'intermédiaire de la résistance R7 qui sert ainsi à empêcher le déclenchement du thyristor par les courants d'irruption. Les impulsions de déclenchement appliquées à la porte du T1 de thyristor seront les transitoires très pointues se produisant à la même fréquence que les impulsions de forme de vague de dent de scie ont établie par le transistor Q1 d'unijunction. On le préfère que cette fréquence soit de l'ordre de 10.00 impulsions par seconde et des détails des composants spécifiques de circuit qui réaliseront ce résultat sont énumérés ci-dessous. Le transistor Q2 sert d'interface entre le transistor Q1 d'unijunction et le T1 de thyristor, empêchant le refoulement d'cEmf de la porte du thyristor, qui pourrait autrement interférer le fonctionnement du transistor Q1. En raison des tensions élevées manipulé par le thyristor et le dos EMF de haute appliqués au transistor Q2, le dernier transistor doit être monté sur un radiateur. La cathode du T1 de thyristor est reliée par l'intermédiaire d'une ligne 29 à la ligne négative commune 17 et l'anode est reliée par l'intermédiaire d'une ligne 31 au centre de l'enroulement secondaire 32 d'un transformateur TR1 de la première étape. Les deux extrémités de l'enroulement 32 de transformateur sont reliées par l'intermédiaire des diodes D1 et D2 et d'une ligne 33 à la ligne négative commune 17 pour fournir la pleine rectification de vague du rendement de transformateur. Le transformateur TR1 de la première étape a trois enroulements primaires 34, 35, 36 enroulés ainsi que l'enroulement secondaire 32 au sujet d'un noyau 37. Ce transformateur peut être de demi de construction conventionnelle de tasse avec un noyau de ferrite. L'enroulement secondaire peut être blessé dessus à un corps de bobine disposé au sujet du noyau et les enroulements primaires 34 et 36 peuvent être enroulés de mode bifilar au-dessus de l'enroulement secondaire. L'autre enroulement primaire 35 peut alors être enroulé audessus des enroulements 34, 36. Les enroulements primaires 34 et 36 sont reliés sur un côté par une ligne 38 au potentiel positif uniforme de la ligne 16 de circuit et sur leurs autres côtés par les lignes 39, 40 aux collecteurs des transistors Q3, Q4. Les émetteurs des transistors Q3, Q4 sont reliés de manière permanente par l'intermédiaire d'une ligne 41 à la ligne négative commune 17. Un condensateur C6 est relié entre les lignes 39, 40 à l'agir comme un filtre empêchant n'importe quelle différence potentielle entre les collecteurs des transistors Q3, Q4. Les deux extrémités de l'enroulement primaire 35 sont reliées par les lignes 42, 43 aux bases des transistors Q3, Q4. Cet enroulement est centre tapé par une ligne 44 reliée par l'intermédiaire de la résistance R9 à la ligne positive 16 et par l'intermédiaire de la résistance R10 à la ligne négative commune 17. Quand la puissance est d'abord appliquée au circuit, les transistors Q3 et Q4 seront dans leurs états non conducteurs et il n'y aura aucun courant dans les enroulements primaires 34, 36. Cependant, le courant positif dans la ligne 16 fournira par l'intermédiaire de la résistance R9 un signal de déclenchement appliqué au robinet de centre de l'enroulement 35, et ce signal fonctionne pour déclencher l'oscillation à haute fréquence alternative des transistors Q3, Q4, qui aura comme conséquence des impulsions alternatives rapides dans les enroulements primaires 34.36. Le signal de déclenchement s'est appliqué au robinet de centre de l'enroulement 35 est commandé par le réseau de résistance fourni par les résistances R9 et R10 tels que sa grandeur n'est pas suffisante pour lui permettre de déclencher Q3 et Q4 simultanément mais est suffisant pour déclencher un de ces transistors. Par conséquent seulement un des transistors est mis le feu par le signal de déclenchement initial pour faire traverser un courant l'enroulement primaire respectif 34 ou 36. Le signal exigé pour tenir le transistor dans l'état de conduite est beaucoup moins que cela exigé pour le déclencher au commencement, de sorte que quand le transistor devient conducteur, une partie du signal se soit appliquée au robinet de centre de l'enroulement 33 sera détourné au transistor non conducteur pour le déclencher. Quand le deuxième transistor est ainsi mis le feu pour devenir conducteur, le courant traversera l'autre des enroulements primaires 34.36 et puisque les émetteurs des deux transistors sont directement reliés ensemble, le rendement positif du deuxième transistor causera le transistor premier-mis le feu d'être coupé. Quand le courant dessiné par le collecteur du secondfired des baisses de résistance, une partie du signal sur le robinet de centre de l'enroulement 35 est détournée de nouveau au collecteur du premier transistor qui re-est mis le feu. On le verra que le cycle répétera alors indéfiniment, de sorte que les transistors Q3, Q4 soient alternativement mis le feu et coupent dans l'ordre très rapide. Ainsi les impulsions courantes entrent dans l'ordre alternatif par les enroulements primaires 34, 36 très à un à haute fréquence, cette fréquence étant constante et indépendante des changements de la tension d'entrée au circuit. Alterner rapidement palpite dans les enroulements primaires 34 et 36, pour lesquels continuera à condition que les restes principaux du commutateur de commande 18 fermés, produiront des signaux plus élevés de tension à la même fréquence dans l'enroulement secondaire 32 de transformateur. Un condensateur C5 de décharge jeté un pont sur par une résistance R8 est relié par une ligne 46 à la ligne 31 de l'enroulement secondaire du transformateur TR1 et fournit le rendement de ce transformateur qui est alimenté par l'intermédiaire de la ligne 47 à un transformateur TR2 de la deuxième étape. Quand le T1 de thyristor est déclenché pour devenir conducteur la pleine charge du condensateur C5 de décharge est libérée au transformateur TR2 de la deuxième étape. En même temps la première étape du transformateur TR1 cesse de fonctionner en raison de ce circuit court momentané placé à travers elle et par conséquent le T1 de thyristor libère, c.-à-d. devient non-conducteur. Ceci permet à la charge d'être accumulée encore dans le condensateur C5 de décharge pour le dégagement quand le thyristor est après déclenché ainsi par un signal du transistor Q2. pendant le chacun des intervalles quand le thyristor est dans son état non conducteur les impulsions rapidement alternatives dans les enroulements primaires 34, 36 du transformateur TR1 produit par les transistors sans interruption d'oscillation Q3, le produit Q4, par l'intermédiaire de l'accouplement de transformateur, les impulsions relativement à haute tension de rendement qui accumulent une charge élevée dans le condensateur C5 et cette charge est libérée soudainement quand le thyristor est déclenché. Dans un appareil typique employant l'approvisionnement de C.c de 12 volts sur des bornes 14.15 impulsions de l'ordre de 22 ampères à 300 volts peuvent être produites dans la ligne 47. Comme le relais précédemment mentionné RL1 est fourni dans le circuit pour fournir retarde dans le raccordement du condensateur C2 au négatif commun rayent 17. Ceci retarde, bien que très court, est suffisant pour permettre aux transistors Q3, Q4 de commencer à osciller pour faire accumuler le transformateur TR1 une charge en vidant le condensateur C5 avant que le premier signal de déclenchement soit appliqué au T1 de thyristor à la décharge de cause du condensateur. Le circuit inclut un transformateur TR2 de la deuxième étape. C'est transformateur surélévateur comportant un enroulement primaire 48 et un enroulement secondaire 49 enroulé au sujet d'un noyau commun 51 et lui produit des impulsions très d'à haute tension dans l'enroulement secondaire 49 que des impulsions sont appliqué entre l'anode 12 et cathode 13. Comme montré dans fig. 1, l'enroulement secondaire 49 est relié non seulement entre l'anode et la cathode mais également de nouveau au côté négatif de l'enroulement primaire 48. Le transformateur de la deuxième étape est construit dans l'anode de la cellule électrolytique 11. Sa construction physique et la façon dont ses rapports électriques sont établis seront expliquées en détail ci-dessous. Dans un appareil typique le rendement du transformateur de la première étape TR1 serait des impulsions de 300 volts de l'ordre de 22 ampères à 10.000 impulsions par seconde à un coefficient d'utilisation légèrement des les que 0,1. Ceci peut être réalisé d'un uniforme 12 volts et 40 ampères d'approvisionnement de C.c appliqué entre les bornes 14.15 en utilisant les composants suivants de circuit: R1 2.7 k ohms 1/2 watt 2% resistor R2 220 ohms 1/2 watt 2% resistor R3 100 ohms 1/2 watt 2% resistor R4 22 k ohms 1/2 watt 2% resistor R5 100 ohms 1/2 watt 2% resistor R6 200 ohms 1/2 watt 2% resistor R7 1 k ohms 1/2 watt 2% resistor R8 10 m ohms 1 watt 5% resistor R9 100 ohms 5 watt 10% resistor R10 5.6 ohms 1 watt 5% resistor C1 2200 µf 16v electrolytic capacitor C2 0.10 µf 100v 10% capacitor C3 2.2 µf 100v 10% capacitor C4 1 µf 100v 10% capacitor C5 1 mf 1000v ducon paper capacitor 5 S10A C6 0.022 mf 160v capacitor Q1 - 2n 2647 pn unijunction transistor Q2 2n 3055 npn silicon power transistor Q3 2n 3055 npn silicon power transistor Q4 2n 3055 npn silicon power transistor T1 btw 30 800rm fast turn-off thyristor D1 a 14 p diode D2 a 14 p diode Rl1 pw5ls hermetically sealed relay Ps1 p658a-10051 pressure switch Tr1 half-cup transformer cores 36/22-341 Coil former 4322-021-30390 wound to provide a turns ratio between secondary and primary of 18:1 Secondary coil 32 = 380 turns Primary coil 34 = 9 turns Primary coil 36 = 9 turns Primary coil 35 = 4 turns Les transistors Q2, Q3 et Q4 chaque besoin d'être monté sur un radiateur et un radiateur approprié à cette fin est 35D 3CB. Les autres composants de circuit peuvent être installés dans un récipient en acier et les transistors montés par radiateur adaptés sur une surface extérieure du récipient en acier. Alternativement il serait possible de monter au moins le transistor Q2 dans la boîte si un radiateur approprié avec la superficie prolongée est fourni dans la boîte. La construction physique de la cellule électrolytique 11 et le transformateur TR2 de la deuxième étape est illustrée dans les figues. 2 à 7. La cellule comporte une enveloppe extérieure 71 ayant un mur périphérique tubulaire 72 et les fermetures 73, 74 de dessus et de bas. La fermeture 74 de Botton est composée d'une couverture voûtée 75 et un disque électriquement isolant 76 qui sont tenus sur le fond du mur périphérique 72 par circonférentiellement espacé maintenant les goujons 77. La fermeture supérieure 73 est composée d'une paire de plats 78.79 de dessus a disposé tête à tête et tenue par circonférentiellement espacé maintenant les goujons 81 baisés dans les trous taraudés dans l'extrémité supérieure du mur périphérique 72. L'anode 12 de la cellule est de formation généralement tubulaire. Elle est disposée verticalement dans l'enveloppe extérieure et est maintenue entre les isolateurs supérieurs et inférieurs 82. 83. Le isolateur supérieur 82 a une partie centrale 84 de patron et une partie périphérique annulaire 85 de bride, dont la jante externe est maintenue entre le plat supérieur 79 et l'extrémité supérieure de fermeture du mur périphérique 72. Le isolateur inférieur 83 a une partie centrale 86, une partie annulaire 87 de patron de bride entourant la partie et une partie tubulaire externe 88 de patron se tenant vers le haut de la marge externe de la partie 87 de bride. Les isolateurs 82.83 sont moulés d'un matériel électriquement de isolation qui est également alcali résistant. Le polytétrafluoroéthylène est un matériel approprié. Une fois lié par le supérieur et abaissez les fermetures, les isolateurs 82.83 forment une clôture dans quelle anode 12 et les transformateurs TR2 de la deuxième étape sont disposé. L'anode 12 est de formation généralement tubulaire et elle est simplement maintenue entre les isolateurs 82, 83 avec sa périphérie intérieure cylindrique située sur les parties 84, 86 de patron de ces isolateurs. Elle forme une chambre de transformateur qui est fermée par les parties de patron des deux isolateurs et qui est remplie de l'huile appropriée de transformateur. Un joint 90 de bague est adapté entre le patron 86 et l'anode de isolateur pour empêcher la perte d'huile de la chambre de transformateur. Le noyau 51 de transformateur est formé comme barre stratifiée d'acier doux de section carrée d'approximativement 3/4 pouce. Il se prolonge verticalement entre les parties 84.86 de patron de isolateur et ses extrémités sont situées dans des cavités dans ces parties de patron. Le transformateur secondaire enroulant 49 est blessé directement sur le noyau 59 tandis que l'enroulement primaire 48 est enroulé sur de anciens 89 tubulaires afin de pour être éloigné extérieurement de l'enroulement secondaire dans la chambre remplie d'huile de transformateur. La cathode 13 est sous forme de tube logitudinally encoché qui est clôture l'ajustement dans la partie tubulaire externe 88 du isolateur 83. Elle a huit fentes longitudinales équidistantes 91, de sorte qu'elle soit essentiellement composée de huit bandes 92 de cathode disposées entre les fentes et se soit reliée ensemble en haut et le fond seulement. L'anode et la cathode sont faites de nickel plein. La périphérie externe de l'anode est usinée pour former huit cannelures circonférentiellement espacées 93 qui ont les racines arquées se réunir aux crêtes ou aux arêtes pointues 94 définies entre les cannelures. Les huit crêtes 94 d'anode sont radialement alignées centralement des bandes 92 de cathode, et le périmètre de l'anode mesurée le long de son surface externe est égal aux largeurs combinées des bandes de cathode mesurées sur les surfaces internes de ces bandes, de sorte qu'au-dessus de la majeure partie de leurs longueurs l'anode et la cathode aient des secteurs efficaces égaux. Cette égalization des secteurs généralement n'a pas été disponible dans des arrangements cylindrique de l'art antérieur anode/cathode. L'espace annulaire 95 entre l'anode et les servir de cathode de chambre de solution d'électrolyte. Cette chambre est divisée par une membrane tubulaire 96 a fait du film de nickel sans épaisseur de plus de 0,015 pouces perforé par des trous sans plus de 0,004 po. de diamètre de 5000 perforations par pouce carré. Cette membrane perforée sert de barrière contre le mélange de l'hydrogène et de l'oxygène produits à la cathode et à l'anode respectivement tout en permettant l'écoulement électrolytique du courant entre les électrodes. Ses extrémités adaptées dans les fentes annulaires dans les brides périphériques des isolateurs supérieurs et inférieurs 82.83 par lequel elle soit électriquement isolée dans tous autres composants de la cellule. Cette barrière peut alternativement être constituée par un enchaînement étroitement étiré du matériel en nylon de maille de la maille suffisamment petite, c.-à-d. telle que les ouvertures de maille ne passeront pas des bulles de 0,004 po. de diamètre plus grand que. Le matériel de maille peut être étiré entre les anneaux d'extrémité d'un support en plastique adapté entre les fentes annulaires dans les isolateurs 82.83. Au commencement la chambre 95 est remplie approximativement 75% complètement de solution d'électrolyte d'hydroxyde de potassium de 25% en eau distillée. Ensuite, pendant que la réaction progresse, l'eau est épuisée et se compose avec l'eau doux admis dans la section externe de la chambre 95 par l'intermédiaire d'un bec 97 d'admission formé dans le plat supérieur 78 de fermeture. La solution d'électrolyte passe de l'externe à la section intérieure de la chambre 95 par l'intermédiaire des trous dans la membrane 96. On le notera cependant, cette membrane 96 est perforée seulement au-dessous du niveau de la solution d'électrolyte de sorte qu'il ne puisse y avoir aucun mélange de l'hydrogène et de l'oxygène dans la cellule. Les trous, tandis qu'assez grands pour permettre le passage de la solution d'électrolyte sont par là assez petits pour empêcher le passage des bulles de l'hydrogène et de l'oxygène se produisant normalement dans la réaction. Dans le cas où la barrière de gaz est constituée par la maille en nylon l'anneau supérieur du support serait formé pour fournir une barrière pleine au-dessus du niveau de la solution d'électrolyte. Le bec 97 a un passage 98 d'écoulement se prolonger à une soupape d'admission d'électrolyte 99 commandée par un flotteur 101 dans la chambre 95. La valve 99 comporte une douille 102 montée dans une ouverture se prolongeant de haut en bas par le plat supérieur 78 et la bride périphérique 85 de fermeture du isolateur supérieur 82 et fournissant un siège de valve qui coopère avec l'aiguille 103 de valve. L'aiguille 103 est légèrement polarisée vers le haut par un ressort 104 dans la douille 102 de valve. Cependant, la pression de la solution d'électrolyte dans le bec 97 est suffisante pour pousser l'aiguille de haut en bas contre ce printemps pour permettre l'admission de la chambre 95 de solution d'électrolyte jusqu'à ce que le flotteur 101 soulève l'aiguille dur contre le siège de valve. Les glissières de flotteur verticalement sur une paire de tiges 106 de glissière de étoile-section se prolongeant entre les isolateurs supérieurs et inférieurs 82 et 83 et également formé du polytétrafluoroéthylène. Ces tiges avancent à travers les trous appropriés 107 par le flotteur. La profondeur du flotteur 101 est choisie tels que la solution d'électrolyte remplit seulement approximativement 75% de la chambre 95, laissant la partie supérieure de la chambre pendant qu'un espace de gaz qui peut adapter à l'expansion du gaz produit dû à la chauffage dans la cellule. Comme électrolyse de la solution d'électrolyte dans le montant de la chambre 95, le gaz d'hydrogène est produit à la cathode, et le gaz de l'oxygène est produit à l'anode. Ces gaz bouillonnent vers le haut dans la partie supérieure de la chambre 95 où ils demeurent séparés dans les compartiments intérieurs et externes définis par la membrane 96, et il convient noter que la solution d'électrolyte écrit cette partie de la chambre qui est remplie d'oxygène plutôt que l'hydrogène tellement là n'est aucune chance de la fuite du bec 97 d'admission d'électrolyte de throgh de dos d'hydrogène. Les visages d'aboutement des plats supérieurs 78.79 de fermeture ont les cannelures annulaires assorties former dans les passages intérieurs et externes supérieurs 108.109 de fermeture de gaz de collection. Le passage externe 108 est circulaire, et il communique avec le compartiment d'hydrogène de la chambre 95 par l'intermédiaire de huit ports 111 se prolongeant de haut en bas par le plat supérieur 79 et la bride périphérique de fermeture du isolateur supérieur 82 adjacent les bandes 92 de cathode. Écoulements de gaz d'hydrogène vers le haut par les ports 111 dans le passage 108 et de là vers le haut par une valve à sens unique 112 (fig. 7) dans un réservoir 113 a fourni par un logement en plastique 114 boulonné au plat supérieur 79 de fermeture par un goujon 115 de centre et scellé par une garniture 116. La partie plus inférieure de logement 114 est chargée avec de l'eau 117, et l'hydrogène passe vers l'intérieur dans le réservoir 113 par l'intermédiaire d'un tube 118. La valve 112 comporte une douille 119 fournissant un siège de valve pour la tige de valve 121 qui est polarisée de haut en bas par un ressort 122 et également par le poids de l'eau agissant là-dessus. De l'hydrogène est retiré du réservoir 113 par l'intermédiaire d'un tube tordu 123 qui se relie à un passage 124 de sortie dans le plat supérieur 78 de fermeture. Le passage 124 de sortie se termine en bec 125 de la livraison d'hydrogène qui peut livrer l'hydrogène au stockage ou directement au point de consommation. L'oxygène est retiré de la chambre 95 par l'intermédiaire du passage annulaire intérieur 109 dans la fermeture supérieure. Le passage 109 n'est pas circulaire mais a une configuration crantée à entourer l'admission d'électrolyte. L'oxygène l'entre dans par sept ports 131 avancés à travers le plat supérieur 79 et la partie annulaire de fermeture de bride du isolateur supérieur 82. L'oxygène coule vers le haut du passage 109 par une valve à sens unique 132 et dans un réservoir fourni par un logement en plastique 134. L'arrangement est semblable à celui pour le retrait de l'hydrogène et ne sera pas décrit dans le grand détail. Suffisez pour dire que le fond de la chambre est chargé avec de l'eau et l'oxygène est retiré par un tube tordu 135 et un passage 136 de sortie dans le plat supérieur 78 de fermeture se terminant en bec 137 de la livraison de l'oxygène. La pression sentant le tube 20 du commutateur de commande 19 est reliée directement à la partie supérieure de la chambre 95 par l'intermédiaire du passage 138 dans le plat supérieur 79 et isolateur supérieur 82 de fermeture pour sentir la pression d'hydrogène dans la partie supérieure de cette chambre. Si cette pression monte au-dessus d'un commutateur de niveau prédéterminé 19 fonctionne pour démonter le condensateur C2 du négatif commun rayent 17. Ceci enlève le signal négatif du condensateur C2 qui est nécessaire pour maintenir l'opération continue de l'impulsion produisant des circuits pour produire des impulsions de déclenchement sur le T1 de thyristor et ces impulsions de déclenchement cessent donc. Le transformateur TR1 continue à rester en fonction pour charger vider le condensateur C5, mais parce que le T1 de thyristor ne peut pas être déclenché, vider le condensateur C5 restera simplement chargé jusqu'à ce que la pression d'hydrogène dans la chambre 95 tombe au-dessous du de niveau prédéterminé et des impulsions de déclenchement sont appliqués une fois de plus au mano-contact de T1 de thyristor 19 commande ainsi le taux de production de gaz selon le taux auquel il est retiré. Il est ainsi possible par exemple, pour alimenter les gaz d'hydrogène et de l'oxygène directement à un moteur à combustion interne sans stockage intermédiaire, et l'appareil produira les gaz selon la demande. La rigidité des ressorts de commande pour les valves 112.132 d'évasion de gaz doit naturellement être choisie pour permettre l'évasion de l'hydrogène et de l'oxygène dans les proportions dans lesquelles ils sont produits par électrolyse, c.-à-d. dans les rapports 2:1 par le volume. Les réservoirs 113.133 sont fournis comme mesure de sécurité. Si une contrepression soudaine étaient développées dans la livraison siffle ceci pourrait seulement briser les logements en plastique 114.134 et ne pourrait pas être transmise de nouveau dans la cellule électrolytique. Le commutateur 19 fonctionnerait alors pour arrêter davantage de génération des gaz dans la cellule. Les raccordements électriques du transformateur secondaire TR2 sont montrés dans fig. 3. Les deux extrémités de l'enroulement primaire 48 de transformateur sont reliées par des fils 156.157 à conducteurs 158.159 qui se prolongent vers le haut par la partie centrale de patron du isolateur supérieur 83. Les extrémités supérieures des conducteurs 158.159 projettent vers le haut comme goupilles dans une douille 61 formée dans le dessus du isolateur supérieur 83. Le dessus de la douille 161 est fermé par une couverture 162 qui est tenue par un goujon 163 de centre et a un passage 164 par lequel les fils du circuit externe peuvent être prolongés et reliés aux conducteurs 158.159 par n'importe quel connecteur approprié (non montré) situé dans la douille 161. Les extrémités de l'enroulement secondaire 49 sont reliées entre l'anode et la cathode et un raccordement additionnel est fait au conducteur 158 relié au côté négatif de l'enroulement primaire. Spécifiquement, une extrémité d'enroulement 49 est reliée à l'anode par un fil 141, ce raccordement étant entièrement dans l'anode. L'autre extrémité de l'enroulement 49 est reliée à la cathode par l'intermédiaire d'un fil 142 qui se prolonge de haut en bas par un trou dans le isolateur inférieur 83 et puis horizontalement au congé affaire 71 entre le disque isolant inférieur 76 et isolateur 83. Le visage supérieur du disque 76 et le visage inférieur du isolateur 83 sont cannelés pour recevoir et maintenir sur le fil 142. En dehors de l'enveloppe, le fil 142 est relié à un boulon 143 de terminal cathodique. Le boulon terminal 143 a une tige 144 passant à travers une ouverture dans la cathode et un buisson isolant 144 adaptés dans une ouverture alignée dans le mur 72 d'enveloppe. Les 146 principaux du boulon thermique est dessinés contre la périphérie intérieure de la cathode par le serrage d'un écrou de blocage 147, et l'extrémité du fil 142 a un oeil qui est maintenu entre l'écrou 147 et une rondelle 148 en serrant un écrou terminal 149 d'extrémité. Une rondelle 151 est fournie entre l'écrou 147 et buisson 144, et les bagues 152.153 de cachetage sont fournies entre la tête 146 et la cathode de boulon et entre le buisson 144 et le mur 72 d'enveloppe pour empêcher l'évasion de la solution d'électrolyte. Le raccordement terminal est couvert par un logement 154 tenu en place par les vis 155 de fixing. Le rapport électrique additionnel entre l'enroulement 49 et conducteur 158 est établi par un fil 150 relié entre le fil 142 et le fil 156. Assumant une entrée au transformateur secondaire TR2 de 22 ampères à 300 volts et à un rapport d'enroulement de 100:1 la tension de rendement appliquée entre l'anode et la cathode serait alors de 30.000 volts à une fréquence du pouls de 10.000 impulsions par seconde, avec un écoulement courant de 220 milliampères. Ce rendement produit une décharge entre l'anode et l'électrolyte qui a comme conséquence la production du rayonnement électromagnétique de longueur de vague courte et également d'un courant de palpitation dans l'électrolyte. Dans l'espace entre l'anode et la cathode il y a un champ magnétique de palpitation dû à l'enroulement secondaire du transformateur et ceci aide à la génération du rayonnement de longueur de vague courte. Spécifiquement, le rayonnement des mètres de la longueur de vague 10.sup.-10 aux mètres 10.sup.-13 est produit et ce rayonnement produit la radiolyse de l'électrolyte tandis que l'écoulement électrolytique du courant prévoit le dégagement des produits de décomposition de l'hydrolyse. La configuration de l'anode et de la cathode et de l'arrangement du transformateur secondaire dans l'anode centrale est de grande importance. L'anode et la cathode, étant construit avec du matériel magnétique, sont agies dessus par le champ magnétique du transformateur TR2 pour devenir, pendant la période de l'excitation de ce transformateur, conducteurs forts du flux magnétique pour créer un champ magnétique fort dans l'espace d'interélectrode entre l'anode et la cathode. D'ailleurs, la périphérie externe cannelée de l'anode et de la formation de bande de la cathode, forme ce champ magnétique tels que des lignes de champ de l'anode sont causées pour intersecter des lignes de champ de la cathode comme indiqué par les ensembles respectifs de lignes pointillées A et B tracés dans une partie de la chambre d'électrolyte dans fig. 4. Les photons à grande vitesse du rayonnement électromagnétique de vague courte tendront à suivre ces lignes de champ. D'ailleurs, l'hydrogène et les ions de l'oxygène dans l'électrolyte seront concentrés le long de ces lignes de champ et, en fait, se déplaceront selon elles. Ainsi, la possibilité statistique de collision entre les photons à grande vitesse du rayonnement de longueur de vague courte et des ions dans l'électrolyte est tout d'abord améliorée par la génération de ce champ magnétique particulier. D'ailleurs, il y a une considérablement plus grande possibilité de collision entre les ions elles-mêmes puisque ceux-ci tendront à se heurter aux intersections des lignes A et B de champ la libération améliorée suivante des gaz d'hydrogène et de l'oxygène. Ainsi, la configuration de l'anode et de la cathode qui produit les lignes d'intersection de champ magnétique est extrêmement importante en améliorant l'efficacité du procédé de radiolyse et également en libérant les produits de décomposition de l'hydrogène et de l'oxygène. Cette configuration particulière également cause la superficie de l'anode d'être sortie et permet un arrangement dans lequel l'anode et la cathode ont des superficies égales qui est la plus souhaitable afin de réduire au minimum des pertes électriques. Il est également souhaitable que les surfaces d'anode et de cathode sur lesquelles le gaz est produit soient rendues rudes, par exemple, par le sable soufflant ou moletage. Ceci favorise la séparation des bulles de gaz des surfaces d'électrode et évite la possibilité d'overvoltages. L'anode et la cathode peuvent tous les deux être faites de nickel mais ce n'est pas essentielle, et elles pourraient alternativement être constituées de l'acier plaqué par nickel, ou elles pourraient être faites en platine ou être platine plaqué. La chaleur produite par transformer TR2 est conduite par l'intermédiaire de l'anode à la solution d'électrolyte et augmente également la mobilité des ions dans la solution d'électrolyte et contribue ainsi également au progrès de l'électrolyse et de la radiolyse. Si désiré pour la dissipation de la chaleur il peut y avoir les ailerons de refroidissement fournis tels que les ailerons 150. L'endroit du transformateur dans l'anode permet également les raccordements du deuxième enroulement 49 à l'anode et à la cathode à faire de conducteurs courts et bien protégés. Vidant le condensateur C5 déterminera un rapport de temps de remplissage au temps de décharge qui sera en grande partie indépendant de la fréquence du pouls. La fréquence du pouls déterminée par le transistor Q1 d'unijunction doit être choisie de sorte que le temps de décharge ne soit pas à condition que produire la surchauffe du transformateur love et plus en particulier l'enroulement secondaire 49 du transformateur TR2. Avec la vague de dent de scie entrez et brusquement les impulsions pointues de rendement du circuit préféré d'oscillateur le coefficient d'utilisation des impulsions produites à une fréquence de 10.000 impulsions par seconde étaient environ 0,006. Cette forme d'impulsion aide à réduire au minimum des problèmes de surchauffe dans les composants du circuit d'oscillateur aux fréquences du pouls élevées impliquées. Un coefficient d'utilisation de jusqu'environ à 0,1, comme peut résulter d'une entrée carrée de vague, serait faisable mais à une fréquence du pouls de 10.000 impulsions par seconde, certains des composants du circuit d'oscillateur serait alors exigé pour résister aux entrées exceptionnellement élevées de la chaleur. Un coefficient d'utilisation environ de 0,005 serait un minimum qui pourrait être obtenu avec le type illustré de circuits d'oscillateur. La cellule électrolytique illustrée 11 est conçue pour produire l'hydrogène et l'oxygène à un taux suffisamment pour l'opération des moteurs à combustion interne et d'autre emploie connu dans l'art. Typiquement, il peut avoir un diamètre d'environ 8 pouces et d'une taille d'environ 8 pouces, de sorte qu'on le voie pour être extrêmement compact. Un appareil modifié construit selon l'invention est illustré dans les figues. 8 à 10. cet appareil est en grande partie identiques à cela déjà décrit avec référence aux figues. 1 à 7 et composants communs ont été identifiés par les mêmes numéros de référence. Dans ce cas-ci cependant le rendement du transformateur secondaire TR2 n'est pas appliqué directement entre l'anode 12 et la cathode 13, mais est à la place appliqué aux générateurs de rayonnement dénotés généralement en tant que 201 montés dans la partie plus inférieure de la cellule électrolytique et en outre d'un potentiel constant de C.c, par exemple 12 volts, est appliqués entre l'anode et la cathode comme indiqué dans fig. 10. Les modifications faites à la partie inférieure de la cellule électrolytique impliquent un épaississement de la partie centrale de patron du isolateur inférieur 83. La partie épaissie de patron est indiquée à 8Ã. Le disque isolant 76 de l'appareil précédent est éliminé et la couverture voûtée inférieure comme modifié et est indiqué dans les figues. 8 et 9 comme 7Ä. La modification de la couverture 7Ä inclut la fourniture d'un filoncouche droit périphérique 202 et la couverture est attachée au fond de l'enveloppe extérieure 71 par les longs goujons de retenue 77A passant à travers les trous verticaux dans le filoncouche 202. Les générateurs 201 de rayonnement sont disposés directement sous la chambre annulaire d'électrolyte sur les côtés diamétralement opposés de la chambre. Ils sont de construction identique, chacune qui comporte un support en céramique cylindrique 203 qui a un alésage central pour recevoir les électrodes 204.205 de tige de tungstène. Ces électrodes sont disposées avec un espace entre eux et le support a une entaille supérieure 210 qui expose l'espace d'électrode. L'extrémité externe de l'électrode 205 a une tête voûtée 206 et un ressort 207 est comprimé entre la tête 206 et l'extrémité externe d'un goujon creux 208 qui baise dans s'ouvrir tapé prolongé radialement par le filon-couche 202 de la couverture 7Ä. Le bout interne de l'électrode 205 est brusquement dirigé et le bout aigu est espacé indépendamment de l'extrémité plate adjacente de l'électrode 204 par un espace au moins de 0,006 pouces et de de préférence environ 0,016 pouces. L'électrode 204 est formée comme tige cylindrique simple de tungstène équipée d'un chapeau en laiton 209 de bout interne qui a une langue 211 engager une fente 212 à la fin d'une tige en laiton 213 montée dans un trou alésé diamétralement par le patron épaissi 8Ã du isolateur 83. Le rendement de l'enroulement secondaire 49 de transformateur est appliqué à la tige en laiton 213 par l'intermédiaire du noyau 51 de transformateur, d'un ressort 214 et d'un goujon 215 qui se prolonge de haut en bas dans le patron 8Ã et dans un trou taraudé au centre de la tige 213. Comme indiqué dans fig. 8 le fil 141 dans ce cas-ci est inséré dans le noyau 51 plutôt que de relié à l'anode comme dans l'appareil précédent et le fil 142 de l'appareil précédent est éliminé tellement là n'est aucun raccordement entre l'enroulement secondaire et la cathode. Au lieu de cela une constante approvisionnement de C.c de 12 volts est reliée directement entre l'anode et la cathode par les fils isolés 216, 217. Le fil 216 est relié au boulon terminal 143 au lieu du fil 142 et le fil 217 est prolongé par un buisson en nylon 218 dans le filon-couche 202 du couvercle inférieur 7Ä et puis vers le haut par un trou 219 dans le isolateur 83 et dans l'extrémité inférieure de la cathode. L'application des impulsions de 30.000 volts à la tige en laiton 213 a comme conséquence un des générateurs 201 de rayonnement agissant de produire du rayonnement gamma d'intensité élevée qui des irradiates l'électrolyte entre l'anode et la cathode. L'énergie à haute tension déchargera par ce générateur de rayonnement qui présente la moindre résistance électrique de sorte que seulement un générateur fonctionne n'importe quand. Si cependant un des générateurs échoue, l'autre commencerait à fonctionner. Les impulsions rapides de la différence potentielle se sont appliquées entre les électrodes, 204, 205 résultats dans le rayonnement gamma de rayon en raison de l'impossibilité d'établir un écoulement courant entre les électrodes suffisamment pour transmettre les électrons à grande vitesse impliqués. L'extrémité aiguë de l'électrode 205 augmente la résistance au passage des électrons et augmente donc la production du rayonnement gamma de la longueur de vague plus court que les mètres 10.sup.-10 et généralement dans les mètres de la gamme 10.sup.-10 aux mètres 10.sup.-13. Le champ magnétique fort induit par l'enroulement secondaire du transformateur TR2 aide également à la génération du rayonnement gamma et permet en fait la génération du rayonnement d'intensité relativement élevée par une décharge ouverte d'étincelle d'air. Encore davantage d'amélioration pourrait être réalisée si les électrodes 204, 205 étaient encapsulées dans un tube évacué. Comme dans le cas de l'incorporation précédente les lignes d'intersection de champ magnétique de l'anode et de la cathode fournissent ont préféré des chemins pour les photons à grande vitesse du rayonnement gamma et les ions dans l'électrolyte se déplaceront également le long de ces lignes de champ de sorte que la probabilité des collisions entre les ions et les photons à grande vitesse dans l'électrolyte soit considérablement augmentée et il y ait également une plus grande probabilité de la collision des ions aux intersections des lignes de champ. Ainsi il y a un taux élevé de décomposition par la radiolyse et la libération de la décomposition produites par électrolyse. Fig. 11 est un schéma de circuit pour une modification de l'appareil des figues. 8 à 10. Dans ce cas-ci la construction physique de la cellule électrolytique comme illustré dans les figues. 8 et 9 restes inchangés mais au lieu d'appliquer une constante potentiel de C.c de 12 volts entre l'anode et la cathode, l'anode sont reliés par l'intermédiaire d'un dispositif 300 de commande au côté de rendement du relais RL1. Le côté de rendement du relais RL1 fournit une constante potentiel de C.c de 12 volts et le dispositif 300 de commande sert à modifier ceci avant qu'il soit appliqué à l'anode. Le potentiel de décomposition pour l'eau est de 1,8 volts et c'est le minimum théorique pour l'électrolyse de l'eau à procéder. Dans la pratique il est nécessaire d'assurer une tension additionnelle, nommée surtension, et ceci dépend des caractéristiques physiques de la cellule électrolytique et de la quantité d'électrolyte. Si la surtension est excédée aucune amélioration est réalisée et la tension additionnelle est simplement gaspillée dans la génération de la chaleur. Le but du dispositif 300 de commande est de s'assurer que la surtension nécessaire est fournie mais la tension additionnelle est réduite au minimum. Il peut également servir à empêcher le refoulement d'cEmf de l'électrolyte au circuit. Il peut, par exemple, comporter une diode ou un certain nombre de diodes en série pour fournir un dévolteur dans la tension du côté de rendement du relais RL1 et une augmentation conséquente du courant. Il peut alternativement inclure des moyens de produire une tension CC De palpitation à appliquer à l'anode 12. De divers circuits standard de commutation pourraient être utilisés à cette fin et en particulier un circuit standard de multivibrateur pourrait être utilisé. Si un courant de palpitation est employé il est nécessaire de garder la fréquence du pouls au-dessous d'environ 10.000 impulsions par minute autrement que le courant de palpitation induit dans l'électrolyte adoptera une caractéristique de courant alternatif qui retardera l'électrolyse. Les expériences ont exécuté sur de petits dispositifs comme cela illustré, ont indiqué que, afin de produire le rayonnement électromagnétique nécessaire de vague courte, le rendement électrique à partir du transformateur TR2 doit être au moins de 10.000 volts, autrement aucun rayonnement gamma appréciable n'est produit. Bien que les augmentations de la tension produise le rayonnement accru, la tension et le rendement conséquent de rayonnement doivent être assortis aux caractéristiques physiques de la cellule et à la quantité d'électrolyte utilisée. Le circuit électrique déjà décrit produit environ 30.000 volts et nous avons constaté que c'est un optimum pour l'appareil particulier illustré. Il est également nécessaire, afin d'éviter des problèmes de chauffage dans le circuit électrique, que la fréquence du pouls de la décharge électrique soit les 5.000 pules plus grands que par minute, et de préférence de l'ordre de 10.000 impulsions par minute. On l'a plus loin constaté que le rayonnement de vague courte doit avoir une intensité au moins de 6 milliRoentgen/hour pour produire la radiolyse significative de l'eau dans l'appareil selon l'invention. L'intensité du rayonnement exigée naturellement dépendra de la taille de l'installation et de la quantité d'électrolyte irradiée mais on le croit que 6 milli-Roentgen/hour doivent être considérés comme un minimum absolu pour réaliser n'importe quel résultat significatif même dans un petit appareil. Appareil construit selon des figues. 8 à 10 a produit un résultat gamma de rayonnement de 26 à 28 milli-Roentgen/hour qui est tout à fait proportionné pour produire la radiolyse rapide de l'électrolyte dans un un tel appareil. Figues. 12 à 26 illustrent un appareil modifié et amélioré en lequel l'électrolyte est irradié par le rayonnement électrique de longueur de vague courte produit par un tube de rayonnement situé au centre de la cellule dans une anode tubulaire creuse de la cellule. Le tube de rayonnement produit une diffusion 360.degree. du rayonnement qui rayonne extérieurement par des trous ou des fenêtres dans l'anode pour fournir l'irradiation intense de l'électrolyte. Des aimants permanents sont installés dans l'anode et dans la cathode pour produire un champ magnétique soigneusement formé dans la cellule. Un écoulement de recyclage d'huile traverse l'anode et autour du tube de rayonnement à la chaleur d'extrait de la cellule et pour empêcher étinceler entre le tube de rayonnement et d'autres composants de la cellule. La cellule électrolytique de l'appareil illustré dans les figues. 12 à 26 est dénotés généralement en tant que 301. Il comporte une enveloppe extérieure 302 ayant un mur périphérique 303 d'aluminium et les fermetures 304, 305 de dessus et de bas. Le mur périphérique 303 incorpore les ailerons de refroidissement 310. La fermeture inférieure 305 est composée d'une embase non magnétique 306 d'acier inoxydable qui est maintenue à l'extrémité inférieure du mur périphérique 303 d'enveloppe au moyen de maintenir les boulons 307 qui s'adaptent dans les trous taraudés dans le mur d'enveloppe. L'interface entre l'embase 306 et le mur 303 d'enveloppe est scellée par une garniture annulaire 308. La fermeture supérieure 304 est composée d'un plat non magnétique 309 de dessus d'acier inoxydable et d'une couverture en plastique 311. Le plat supérieur 309 est attaché à l'extrémité supérieure du mur 303 d'enveloppe en maintenant les boulons 313 qui baisent dans les trous taraudés 314 dans le mur d'enveloppe et la couverture en plastique 311 est attachée au plat supérieur 309 en attachant les vis 315 afin de couvrir une ouverture centrale dans le plat supérieur. L'interface entre le plat supérieur 309 et le mur 303 d'enveloppe est scellée par une garniture annulaire 316. Une cathode tubulaire 317 est entrée étroitement dans le mur 303 d'enveloppe. L'extrémité supérieure de cette cathode engage la garniture 316 et sa extrémité inférieure fournit une butée pour la jante externe d'un disque inférieur en plastique 318 qui est jugé maintenu au fond de la cathode par l'embase 306. Une garniture 319 de cachetage est située entre l'fin inférieure de la cathode et le disque inférieur en plastique 318. Le disque inférieur en plastique 318 a une partie centrale de patron 321 qui incarne les bornes 322 de douille, 323 pour les bornes 324, 325 d'un tube électromagnétique de rayonnement de longueur de vague courte dénoté généralement en tant que 326 disposés au centre de la cellule. Le tube 326 de rayonnement comporte une enveloppe murée par verre partiellement évacuée qui loge un filament protégé enroulant 327 et une anode 328 ayant une insertion 330 de tungstène fournir une surface plate de cible. Les extrémités du filament enroulant 327 sont électriquement reliées aux bornes terminales 324, 325 et l'anode 328 est reliés par un raccordement 329 de vis à un composant 331 en métal qui a un corps à ailettes et une tige supérieure 332 qui des projets dans un trou dans le dessous de la couverture en plastique 311. Comme sera décrit en plus détail au-dessous des servir du membre 331 en métal de prise électrique par laquelle pour assurer la haute tension à l'anode du tube de rayonnement et également comme radiateur pour le tube de rayonnement. Le tube 326 de rayonnement est entouré par une anode dénotée généralement en tant que 333 qui est maintenue entre le disque en plastique inférieur 318 et un disque en plastique supérieur 334 au moyen de maintenir plus bas les boulons 335 et le haut maintenant les boulons 336. L'anode comporte une anode tubulaire non magnétique en métal 337 dans laquelle est force adaptée une douille en plastique épaisse 338 de recouvrement. Les tiges de la vis des boulons 335 dans les trous taraudés 339 dans le fond de l'anode 337 et de leurs têtes s'appuient contre un anneau 341 en métal adapté au dessous du disque inférieur en plastique 318. Les tiges de la vis des boulons 336 dans les trous taraudés 342 dans l'extrémité supérieure de l'anode 337 et de leurs têtes s'appuient contre un circlip 343 en métal adapté à un visage supérieur du disque en plastique 334. Une garniture 344 est comprimée entre la jante externe du disque en plastique supérieur 334 et les extrémités supérieures de l'anode 337 et le recouvrement 338 d'anode et une plus petite garniture 345 est comprimées entre le disque en plastique inférieur 318 et les extrémités inférieures de l'anode et du recouvrement d'anode. Une paire de joints 346 de bague sont disposées dans les cannelures circulaires de la périphérie externe du recouvrement 338 adjacent les fins de dessus et de bas de la cathode afin de former des joints assurant la séparation de l'électrolyte qui entoure l'anode et le pétrole qui traverse l'intérieur de l'anode. Comme le plus clair est vu dans fig. 20 la périphérie externe de l'anode 337 est usinée pour former huit cannelures circonférentiellement espacées 347 qui ont les surfaces arquées se réunir aux crêtes pointues 348 définies entre les cannelures. La totalité de la surface périphérique externe de l'anode est moletée pour produire de petites projections pyramidal afin d'augmenter la superficie efficace de l'anode et favoriser la séparation des bulles de gaz sur cette surface. L'anode est faite d'un matériel non magnétique, de préférence laiton plaqué par nickel. Le mur tubulaire de l'anode est perforé par huit trous ou fenêtres 349 disposés centralement des cannelures (c.-à-d. à mi-chemin entre crêtes 348) et à mi-chemin entre les extrémités de l'anode. En référence à fig. 21, la périphérie externe du recouvrement 338 d'anode a huit alésages sans visibilité 351 qui s'inscrivent aux trous 349 dans l'anode quand le recouvrement est adapté dans l'anode. Le recouvrement peut servir ainsi à séparer l'électrolyte de l'huile dans l'anode mais l'épaisseur de paroi du recouvrement est réduite à un minimum à l'anode troue afin de présenter l'obstruction minimum au rayonnement électromagnétique de longueur de vague courte produit par le tube 326 de rayonnement comme ce rayonnement étend du tube 326 et par les trous d'anode. Le tube 338 de recouvrement d'anode a une bride circulaire intérieure 352 a plac adjacent les dessus des trous 349 d'anode et des alésages 351 de recouvrement. Cette bride soutient une enveloppe en plastique annulaire 353 qui contient une pile de trois aimants permanents annulaires 354. Les aimants sont fermement retenus par six garnitures en caoutchouc 355 qui sont comprimées entre l'aimant le plus élevé et le disque en plastique supérieur 334. Comme soyez décrit cidessous les aimants 354 produisent un champ magnétique fort dans la cellule. Afin de produire la densité plus élevée possible de flux, ils sont de préférence du type de samarium de cobalt. La cathode 317 comporte un tube 356 de cathode, dont la périphérie externe est enfoncée pour recevoir une gaine externe 357 de fil qui sert de bouclier de rayonnement. À la différence de l'anode, la cathode est faite d'un matériel magnétique. De préférence elle est construite avec de l'acier doux plaqué par nickel. Son périphérie intérieure a huit rainures en queue d'aronde verticales 358 disposées à l'espacement circulaire égal. Sept de ces fentes reçoivent les bandes en plastique 359 qui incorporent les petits logements 361 d'aimant. Sept aimants permanents 360 sont installés dans des logements 361 par insertion par les ouvertures 362 qui sont alors scellées avec la résine époxyde avant que les bandes 359 soient adaptées au tube de cathode. La fente restante 358 de tube 356 de cathode est équipée d'une bande en plastique plate 363 qui n'incorpore pas un logement d'aimant. La cathode est un ajustement ordonné dans le mur périphérique 303 de l'enveloppe extérieure 302 de la cellule et on l'installe tels que les sept aimants 360 de cathode sont radialement alignés avec les centres des cannelures 347 d'anode. Elles donc sont généralement alignées avec sept des trous 349 d'anode. Les parties exposées de la périphérie intérieure du servir du tube 356 de cathode de cathode dépouille les lignes centrales dont sont radialement alignés avec les crêtes 348 d'anode. Comme dans les incorporations précédentes la somme des largeurs extérieures de ces bandes sont égale au total des largeurs extérieures des cannelures d'anode. La chambre 361 d'électrolyte entre l'anode et la cathode est au commencement chargée de l'électrolyte par une ouverture de remplisseur dans le plat supérieur 309 qui est alors fermé par une prise 370 de vis. Cette chambre reçoit l'eau de maquillage d'une pipe 362 d'approvisionnement par l'intermédiaire d'un passage 363 d'admission de l'eau dans le plat supérieur 309 et par une soupape à pointeau 364 qui est commandée par un flotteur 365. Le flotteur 365 est formé comme une coquille creuse généralement cylindrique de l'acier non magnétique qui se déplace verticalement dans un camp en plastique 366 a attaché à la face infèrieure du plat supérieur 309 par une vis 367 d'attache. Le flotteur et le camp sont disposés dans la chambre d'électrolyte adjacente la bande 363 de cathode, qui n'est pas équipée d'un aimant de cathode afin de permettre au suffisamment d'espace d'adapter au flotteur. Le flotteur agit sur la soupape d'admission de l'eau 364 par l'intermédiaire d'un bras déclencheur d'acier inoxydable 368 qui est relié au flotteur par un connecteur en plastique électriquement isolant 369. Une paire de navires de collection de gaz dénotés généralement en tant que 371 sont montées sur le plat 309 de dessus en métal. Chacun de ces navires comporte un mur latéral en plastique transparent 372 couvert par un couvercle 373 en métal. Le couvercle est équipé d'un boulon de retenue central 374 qui baise dans un trou taraudé dans le couvercle 309 pour maintenir le couvercle et le mur latéral au couvercle. Comme le plus clair vu dans les figues. 17 et 18 le visage supérieur du plat supérieur 309 est usinés afin de former un puits 375 au fond de chaque navire 371 et ceci de collection de gaz bien soit remplie avec de l'eau au niveau indiqué à 376. Cette eau peut être refaite le plein de temps en temps comme exigée par des ouvertures de remplisseur dans des couvercles 373 qui sont fermés par les vis 377. Le mélange des gaz d'hydrogène et de l'oxygène libérés dans la partie supérieure de la chambre 361 d'électrolyte passe vers le haut dans les navires 371 de collection par l'intermédiaire d'une paire de clapets à gaz 378. Chaque clapet à gaz comporte un membre creux inférieur 379 de broche, qui se prolonge vers le haut par un trou dans le plat 309 de dessus en métal et est vis reliée à 381 à l'extrémité inférieure d'un membre central 382 de tige de valve ayant une tête agrandie 383 dont une jupe externe 384 dépend au-dessous du niveau de l'eau dans le navire de collection de gaz. L'extrémité inférieure de la broche 379 a une bride 385 de sorte qu'une action de retenue soit produite entre cette bride et le fond de la tige de valve 382 pour maintenir la valve pour compléter le plat 309 quand le raccordement 381 de vis est serré. Une paire de garnitures sont fournies au joint contre la fuite de l'eau du navire de collection de gaz. La broche 379 et la tige de valve 382 sont creuses et gaz des écoulements de chambre d'électrolyte vers le haut par eux et de là de haut en bas et extérieurement par quatre trous 387 dans la tête 383 de valve dans l'espace dans la jupe 384 de valve. Le gaz doit alors bouillonner de haut en bas par l'eau dans bien au fond du navire de collection de gaz pour s'échapper dans la chambre 388 de collection de gaz dans la partie supérieure du navire de collection. Le mélange de l'hydrogène et du gaz de l'oxygène qui s'accumule dans les chambres 388 de collection des navires 371 découle de ces chambres par les tubes tordus 389 dans une paire de passages 391 d'écoulement de gaz se prolongeant le long du plat 309 de tube en métal à une paire de conduits verticaux 392 d'écoulement de gaz formés dans le mur périphérique 303 de l'enveloppe extérieure. Le gaz passe alors des conduits 392 par l'intermédiaire des valves à sens unique à ressort 393 dans une pipe 394 de la livraison boulonnée au côté de l'enveloppe de cellules par les boulons 395, d'où il peut être sifflé au stockage ou à un point de consommation. Un tube 400 est adapté à un tapement dans la couverture supérieure 309 qui se relie au dessus de la chambre d'électrolyte. Le tube 400 surveille donc la pression dans la chambre d'électrolyte. Son autre extrémité est reliée à un mano-contact dans les circuits électriques de l'appareil comme sera expliqué ci-dessous. La cellule a un système obligatoire de circulation d'huile d'écoulement par lequel de l'huile soit passée dans le fond de la cellule et vers le haut par l'intérieur de l'anode pour entourer complètement le whereafter du tube 326 de rayonnement qu'elle passe dehors à partir du dessus de la cellule et soit recyclée. L'huile déplace l'air de l'intérieur de la cellule, qui pourrait autrement laisser étinceler pour se produire entre le tube 326 et d'autres composants de rayonnement de la cellule, et elle sert également à extraire la chaleur à partir de la cellule et à empêcher ainsi la surchauffe du tube de rayonnement. L'huile écrit le fond d'une cellule d'une pipe 401 d'entrée par un orifice d'entrée 402 et passe vers le haut par les trous 403 dans la partie centrale de patron du plat en plastique inférieur 318. Elle passe alors vers le haut par l'intérieur de l'anode et autour du tube et du membre à ailettes 331 de rayonnement en métal. La partie supérieure 332 de tige du membre 331 a un fâcheux transversal 404 se relier à un alésage vertical central 405 par lequel les écoulements d'huile à un passage 406 de sortie d'huile dans la couverture en plastique 311 et de là dans une pipe 407 de sortie d'huile. L'huile peut être recyclée par une pompe de pression par une unité de refroidissement de radiateur et d'accummulator ou d'extenseur pour adapter à la dilatation thermique d'huile. En raison de son construction à ailettes, le membre 331 fournit l'excellent transfert thermique à partir du tube de rayonnement à l'huile de circulation qui peut couler vers le haut le long des canaux définis entre les ailerons verticaux. Le membre 31 sert également de prise électrique par lequel un rapport de tension élevée soit établi à l'anode 328 du tube de rayonnement. Ce rapport est établi à partir d'un câble à haute tension 408 relié par l'intermédiaire d'un boulon en plastique 409 dans la couverture en plastique 311 à un conducteur en laiton plaqué argenté 411 qui s'appuie contre la partie 332 de tige du membre 331 de connecteur et est soutenu par un joint en caoutchouc flexible 412. La borne 323 pour le filament 327 de tube est reliée par l'intermédiaire d'un fil 413 à une avance électrique positive 414 d'entrée et l'autre borne 322 de filament est reliée par l'intermédiaire d'un fil 415 directement à l'enveloppe extérieure de la cellule par lequel elle soit mise à la terre. Le tube 356 de cathode est mis à la terre par son enclenchement avec l'enveloppe extérieure de la cellule et l'anode 337 est électriquement reliée par l'intermédiaire d'un des goujons de retenue 335 à une avance positive 416 d'entrée qui écrit la partie plus inférieure de l'enveloppe extérieure par un joint en caoutchouc 417. Avant de décrire les circuits électriques pour l'appareil illustré dans les figues. 12 à 26, le fonctionnement général de l'appareil seront décrits. Commencer l'opération de la chambre 361 d'électrolyte de cellules est chargé d'un soluté de 25% d'hydroxyde de potassium. Un potentiel constant de C.c de 4,2 volts est appliqué entre l'anode 337 et cathode 356. Le filament 327 est fourni avec une tension positive réglée de 2,65 volts et une tension CC De palpitation très élevée est appliquée entre le filament et l'anode du tube de rayonnement. Typiquement la tension entre le filament et l'anode sera de 40 kilovolts avec une tension d'ondulation superposée de 2-4 kilovolts. Dans ces conditions le bombardement d'électron de l'anode produit une bande 360.degree. de rayonnement indiquée par les lignes pointillées 421 dans fig. 25. Comme indiqué par ces lignes pointillées la bande du rayonnement évente de haut en bas du plan horizontal de la surface plate de cible de l'anode de tube de rayonnement par un angle de dispersion approximativement de 15.degree.. Le rayonnement comporte des photons d'énergie élevée de la longueur de vague moins que les mètres 10.sup.-10. Les essais indiquent que l'intensité de rayonnement du tube est de l'ordre de 30.000 Roentgen/hour. Ce flux élevé des photons libère un grand nombre de neutrons dans la cible de tungstène du tube de rayonnement et le tube donc agit également en tant que source pulsée des neutrons qui rayonnent avec les photons d'énergie élevée dans le faisceau de rayonnement. Le faisceau de rayonnement se prolonge extérieurement par les trous 349 dans l'anode 337 dans la chambre d'électrolyte et en raison des réflexions de la cathode une bande de l'électrolyte dans la chambre d'électrolyte est intensément irradiée. Les aimants 354 d'anode et les aimants 360 de cathode produisent un champ magnétique intense dont la forme est indiquée par les lignes tirées 422, 423. Les lignes 422 indiquent que les lignes de champ magnétique de boucle bloquée qui se prolongent de haut en bas des aimants 354 d'anode pour intersecter le faisceau de rayonnement à approximativement 90.degree. courbent alors vers l'intérieur et pour se prolonger vers le haut verticalement par la cathode du tube 326 de rayonnement et par le whereafter du membre 331 en métal elles courbent extérieurement et de haut en bas aux extrémités supérieures des aimants d'anode. Dans la région entre le filament de tube de rayonnement et l'anode le champ magnétique sert accélèrent les électrons qui bombardent l'anode de tube de rayonnement et ainsi contribuent à l'énergie du rayonnement produit par le tube. Les lignes 423 montrent aux boucles externes de champ ce qui s'étendent du fond des aimants 354 d'anode et à travers aux aimants 360 de cathode d'où elles passent vers le haut par la cathode et en arrière dans une boucle bloquée à l'extrémité supérieure des aimants d'anode. Le service des aimants 360 de cathode pour dessiner des ces champ magnétique raye de sorte qu'ils passent extérieurement par la chambre d'électrolyte dans la région où l'électrolyte est soumis à l'irradiation intense. Le champ magnétique dans cette région de la chambre d'électrolyte fournit donc les chemins préférés pour les photons de rayonnement qui tendent alors à passer par l'électrolyte dans des directions radiales. L'intersection du champ magnétique avec les photons de rayonnement dans l'électrolyte produit un effet "de chiquenaude de rotation" en protons libérés dans l'électrolyte qui augmente leur force. Les lignes de champ magnétique dans la chambre d'électrolyte fournissent ont préféré des chemins pour les photons énergiques du rayonnement électromagnétique et les ions dans l'électrolyte se déplaceront également le long de ces lignes de champ de sorte que la probabilité des collisions entre les ions et les photons énergiques dans l'électrolyte soit considérablement augmentée. Ainsi il y a un taux élevé de décomposition par radiolyse et une libération des produits de décomposition produits par électrolyse. Les produits de décomposition sont sous forme de gaz fortement ionisés d'hydrogène et de l'oxygène. D'ailleurs, en raison de la capture nucléaire des neutrons a associé au faisceau de rayonnement le gaz d'hydrogène ionisé qui est produit comportera une proportion beaucoup plus élevée des deutérons qu'en hydrogène naturel. Ainsi un mélange des gaz fortement ionisés de l'oxygène et d'hydrogène comprenant une proportion de deutérons sensiblement élevée s'accumule dans la partie supérieure de la chambre d'électrolyte et passe vers le haut dans les navires 371 de collection d'où il traverse les tubes tordus 389 et le transfert passe 391 et canalise 392 dans la pipe 394 de sortie. Afin de réaliser les résultats ci-dessus le champ magnétique devrait avoir une densité de flux 500 plus grands que Grauss dans l'électrolyte, et de préférence de l'ordre de Grauss 1800. Le circuit électrique pour l'appareil montré dans les figues. 12 à 25 est illustrés dans fig. 26. Comme représenté sur cette figure les circuits activent par une batterie 501 de 12 volts. Un commutateur de commande principal "Marche/Arrêt"simple 502 fournit la tension positive à un régulateur de tension de filament de tube de rayonnement dénoté généralement comme 503 et à un circuit de temporisateur dénoté généralement en tant que 504. Le régulateur de tension de filament fournit la tension positive commandée au filament 327 du tube 326 de rayonnement. Le temporisateur 504 active un relais principal 505 de commande qui est relié au négatif commun par un commutateur de commande de pression 506. Le commutateur de commande de pression 506 fournit la tension négative à un voyant 507 l'autre côté dont reçoit la tension positive de la batterie 501. 508 approvisionnements une tension positive commandée à un circuit d'inverseur dénoté généralement pendant que 511 qui fournit alternativement une forme carrée de vague de tension CA À un circuit de multiplicateur de tension produit la différence potentielle de C.c de haute tension qui est appliquée au tube 326 de rayonnement. Cette tension est approximativement 40 kilovolts de C.c avec brusquement superposée une ondulation pointue de 2-4 kilovolts. La tension positive pour l'anode 337 de la cellule 301 est fournie par un circuit d'alimentation d'énergie de commutation dénoté généralement en tant que 513 qui active par le relais 509 de puissance élevée. La pression sentant le tube 400 de la chambre d'électrolyte de la cellule 301 est indiquée dans le schéma de circuit par une ligne cassée et est reliée au commutateur de commande de pression 506. Les composants principaux du circuit électrique seront maintenant décrits séquentiellement en détail. Le régulateur de tension de filament (503) quand la tension positive est assurée par le commutateur de commande principal 502 et active le relais RL1 il fournira le courant au régulateur de tension IC1 par le contact fixe du relais. Le même contact fournira le courant au temporisateur 504 par le contact normalement fermé du relais RL2. Capacitor C1 est relié entre les canalisations d'alimentation négatives et positives et fournit retarde de 1,5 secondes où le relais RL1 s'éteint pour s'assurer que l'à haute tension fourni au tube 326 de rayonnement est arrêté avant que la tension réglée de filament soit arrêtée avant que la tension réglée de filament soit arrêtée. La tension de rendement du régulateur IC1 est commandée par le niveau d'ensemble de la résistance d'un réseau de résistance R1, R2 et RV1 (résistance variable). Actes du condensateur C2 pour stabiliser le circuit contre des coupures d'approvisionnement de tension d'entrée. La résistance R3 isole le condensateur C3 du rendement du régulateur IC1 et équilibre le diviseur d'entrée. Le condensateur C3 est employé tombent l'amplificateur d'erreurs dans le régulateur IC1 et pour fournir la compensation de fréquence. Si le transistor de freinages de filament Q1 est mis en marche par le courant fourni par la résistance R4 et R5 et le relais RL2 pour arrêter le courant d'approvisionnement au temporisateur 504. Les valeurs de la résistance R4 et R5 sont choisies pour empêcher le suffisamment d'approvisionnement courant pour activer le relais RL2 pendant le fonctionnement normal du tube de rayonnement. Quand le transistor Q1 et relais RL2 sont activés une résistance R6 laisse tomber l'approvisionnement de 12 volts à un niveau où elle ne surcharge pas le relais RL2 de 6 volts. Le temporisateur (504) que délai le circuit 504 fournit le courant au relais principal 505 de commande. Quand la puissance est assurée par le point de contact normalement fermé de relais RL2, le condensateur C4 est chargé par la résistance R7 jusqu'à ce que la tension à travers le condensateur C4 atteigne la tension de déclenchement du transistor Q2 d'unijunction. Délai est commandé par le rapport du condensateur C4 et résistance R7 et fournit retarde de 2 à 3 secondes. Quand le transistor Q2 d'unijunction allume et décharge le condensateur C4, par la résistance R8, lui fournit une impulsion de tension qui est appliquée à la porte de SCR1 et allumera SCR1. La résistance R9 commandera le courant pulsé fourni à la porte des actes du relais RL4 de commande de SCR1. Master comme charge pour le dispositif, et ainsi, quand SCR1 s'allume, les verrous principaux du relais RL3 de commande plus d'et fournit, par son point de contact, la tension positive pour conduire le régulateur de tension d'inverseur 508 et active le relais RL4 de puissance élevée. Le relais principal 505 de commande est relié à l'approvisionnement négatif par le point de contact normalement fermé de commutateur de commande de pression 506. Quand la pression de gaz en cellule 301 monte au-dessus d'un certain niveau, le commutateur de commande de pression 506 change plus de pour fournir la tension négative au voyant 507 et pour arrêter la fonction du relais principal 509 de commande jusqu'à ce que la pression de gaz réduise à la normale. Pendant cette période le circuit complet est inactif excepté l'approvisionnement de filament de tube. Le régulateur de tension d'inverseur (508) le régulateur de tension de passage de série 508 sent des changements de la tension de rendement par les transistors Q3 d'amplificateur différentiel et Q4 et ses résistances associées de circuits R10, R11, R12 et R13 et diode Zener ZD1. Resistor R13 prévoit un grand courant pour traverser ZD1 et puisqu'il est beaucoup plus grand que les résistances traversantes courantes R10 et R11 fait la tension de référence produite par la diode Zener ZD1 au point A pratiquement indépendant des changements de la tension. S'il y a n'importe quel changement à la tension, ceci cause un changement complémentaire du courant de base au transistor Q5. Ceci est réalisé en utilisant le transistor Q4 pour commander le courant par le transistor Q5 du transistor Q5. est employé comme conducteur commun d'émetteur et règle le courant de base à la diode Zener ZD2 du transistor Q6. de passage de série fournit la tension de référence pour cet arrangement des transistors Q5 et Q6 et maintient la tension à la base de Q6 constante et par conséquent seulement changeante le courant de commande par les résistances R14 et R15 du transistor Q5. pour fournir polariser correct des transistors Q5 et Q6. Le condensateur C5 maintient la basse impédance de rendement aux hautes fréquences où les transistors Q3 et Q4 de gain est bas. La valeur de la résistance R12 est choisie pour dessiner le courant suffisant de fonctionnement par les transistors Q3 et Q4, tels que le transistor Q4 est dans son région active pour de grandes variations possibles de tension. Le régulateur de tension d'inverseur reçoit l'approvisionnement positif de 12 volts par le relais principal 505 de commande et fournit une tension réglée d'approximativement 8 volts à l'inverseur 511. L'inverseur (511) l'inverseur est un C.c au convertisseur à C.a. en utilisant un oscillateur de transistor. Les transistors Q7 et Q2 sont les dispositifs à grande vitesse de commutation et fonctionnent pour fournir un courant à haute fréquence alternatif, la fréquence 3KHz à 25KHz, en T1 d'enroulements et T2 primaires. Le signal de départ s'est appliqué au robinet de centre du T3 d'enroulement est commandé par le réseau de résistance fourni par les résistances R15 et R16 tels que sa grandeur fournira la suffisamment de commande basse aux transistors Q7 et Q3 pour leur permettre de déclencher alternativement. Les transistors Q7 et Q8 fourniront vis-à-vis de l'écoulement du courant dans le T1 d'enroulements et le T2 qui alterne le flux dans le noyau FC1 de ferrite de positif au négatif. L'enroulement secondaire produit d'un résultat à haute tension au moyen du grand rapport de tours entre les enroulements primaires et secondaires. Le condensateur C6 agira en tant que filtre et empêchera des coupures de tension d'entrée. Le multiplicateur de tension (512) la tension d'entrée au multiplicateur de tension est la forme d'onde à C.a. de haute tension de l'enroulement secondaire T4. d'inverseur typiquement que ce sera au sujet de 18KV. Le fonctionnement du circuit peut être décrit en considérant les cycles positifs et négatifs alternatifs de la forme d'onde à C.a. de haute tension. Sur premier demi du cycle positif les diodes D1 et D2 sont polarisées en aval et chargent le condensateur C7 à la valeur maximale du cycle positif. Sur le cycle négatif les diodes suivantes D1 et D2 sont renversées décentrées et les diodes D3 et D4 sont polarisées en aval. Décharges du condensateur C7 par les diodes D3 et D4 pour charger le condensateur C8. Au prochain condensateur positif de demi de cycle C7 est chargé encore par les diodes D1 et D2 tandis que la tension à travers le condensateur C8 polarise en aval les diodes D5 et D6 qui permet au condensateur C8 de charger le condensateur C9. Ce processus est répété sur le prochain condensateur de remplissage négatif C10 de demi de cycle et dans un condensateur semblable de mode C11 est chargé sur demi de cycle positif suivant. En ce moment (22/3 de cycles complets depuis le déclenchement de l'ordre) les condensateurs C7, C9 et C11 sont chaque entièrement zéro chargé à la tension maximale positive de l'enroulement secondaire T4 et puisque les condensateurs sont en série avec l'un l'autre la tension en ce qui concerne la terre sur la borne de rendement du multiplicateur de tension est trois fois le zéro de faire une pointe la valeur. Ce processus continue tant que la tension d'entrée est présente et en raison de l'action de rectification des diodes D1 - D6. Le rendement comme étant multiplié à trois fois la tension d'entrée est également rectifié d'une tension CA À une tension CC. Cependant, le règlement de ce type de circuit est tel que la forme d'onde de C.c a une tension d'ondulation superposée assez grande à C.a.. C'est en général 2 - 4KV dans une tension totale de rendement de 46KV. Alimentation d'énergie de commutation (513) que le circuit d'alimentation d'énergie de commutation fonctionne à l'aide du transistor Q9 de passage et de son transistor de conducteur associé Q10 rapidement commuté en marche et en arrêt par le régulateur de tension IC2. Un résultat de cinq volts peut être obtenu par cette méthode parce que les transistors sont alimentés jusqu'à ce que la tension de rendement soit juste au-dessus de 5 volts. Ils sont alors coupés jusqu'aux chutex de tension à juste en-dessous de 5 volts. Ce processus continue et la tension de rendement est ainsi une tension CC Avec une légère ondulation superposée à C.a.. Les résistances R17 et R18 rétroagissent une fraction de la tension de rendement à IC2 et ceci est comparé à une tension interne de référence dans IC2. Le résultat de cette comparaison commande la commutation des transistors Q9 et Q10. Resistor R20 améliore le règlement de rendement contre des changements de tension d'entrée en alimentant une petite tension compensatrice proportionnelle à la tension d'entrée à IC2. Les condensateurs C12 et C14 fournissent la rétroaction à C.a. à IC2 qui cause pour produire la tension pour être indépendant de la tension d'ondulation de rendement à travers le condensateur C15. Capacitor C13 est employé tombe l'amplificateur d'erreurs dans les circuits internes du régulateur de tension IC2 et pour fournir la compensation de fréquence. Le condensateur C16 améliore la réponse passagère des circuits 513 d'alimentation d'énergie. La résistance R21 établit le niveau désiré de la commande basse au transistor Q10 et détermine la tension d'hystérésis à travers la résistance R19. Le transistor Q11 fournit l'action limiteuse courante en sentant la chute de tension à travers la résistance R24. Quand le courant de sortie excède un transistor prédéterminé Q11 de limite tourne découper dessus le courant d'entraînement à IC2. Resistor R19 fournit la polarisation nécessaire pour le transistor Q11 de même que les résistances R22 et R23 pour les transistors Q9 et Q10 respectivement. Quand les transistors Q9 et Q10 s'allument, le courant par l'inducteur L1 augmente d'une mode exponentielle. Il y a également une élévation correspondante de la tension qui est sentie par les résistances R18 et R17. Quand ces résistances sentent que la tension a atteint ses transistors de niveau supérieur Q9 et Q10 sont arrêtés. À mesure que le courant augmentait par l'inducteur L1, cet inducteur stockait l'énergie dans son champ magnétique associé. Quand les transistors Q9 et Q10 arrêtent la combinaison D11, L1 et l'acte C15 car la seule source d'énergie avec la diode D11 étant polarisée en aval qui prévoit un chemin de courant continu pour le courant par l'inducteur L1. Les transistors Q9 et Q10 et la diode D11 doivent être les dispositifs rapides de commutation pour assurer l'opération efficace du régulateur pendant qu'il est pendant le changement de cela la plupart des pertes se produisent. La combinaison de l'inducteur L1 et condensateur C15 fournit un filtre pour réduire au minimum l'ondulation à C.a. de rendement sur l'ordre technique de rendement de C.c. Une liste des éléments complète pour le circuit illustré est comme suit: __________________________________________________________________________ R1 10K OHM 1/4 WATT C1 1000 µF ELECTROLYTIC R2 3K OHM 1/4 WATT C2 1 µF TANTALOM R3 5.6K OHM 1/2 WATT C3 2000 pF POLYESTER R4 0.68 OHM 5 WATT C4 10 µF TANTALUM R5 12K OHM 1/2 WATT C5 2500 µF ELECTROLYTIC R6 68 OHM 1/2 WATT C6 .002 µF POLYCARBONATE R7 1 MEGOHM 1/2 WATT C7 1800 pF 30KVWDC R8 220 OHM 1/2 WATT C8 1800 pF 30KVWDC R9 470 OHM 1/2 WATT C.sub.9 1800 pF 30KVWDC R10 2.2K OHM 1/2 WATT C10 1800 pF 30KVWDC R11 2.7K OHM 1/2 WATT C11 1800 pF 30KVWDC R12 680 OHM 1/2 WATT C12 .01 µF POLYESTER R13 2K OHM 1/2 WATT C13 220 pF DISC CERAMIC R14 33 OHM 5 WATT C14 .02 µF POLYESTER R15 100 OHM 1/2 WATT C15 2500 µF ELECTROLYTIC R15A 18 OHM 5 WATT C16 420 µF ELECTROLYTIC R16 1.5 OHM 5 WATT 5.5K OHM 1/2 WATT 3.1K OHM 1/2 WATT Q1 R17 R18 2N3568 R19 8 OHM 2 WATT Q2 2N2647 R20 1.2 MEG 1/4 WATT Q3 2N1304 R21 5 OHM 2 WATT Q4 2N1304 R22 40 OHM 2 WATT Q5 2N3055 R23 15 OHM 5 WATT Q6 2N6274 R24 .006 OHM Q7 2N3773 Q8 2N3773 RV1 10K OHM TRIMPOT Q9 2N6274 Q10 2N6191 RL1 12V DC RELAY IC1 MPC 1000 VOLT REGULATOR RL2 6V DC RELAY IC2 LM 305 RL3 12V DC RELAY RL4 12V DC RELAY SCR1 G.E. C106D D1 ED1 7639 35KV FC1 FERRITE "E" CORE D2 ED1 7639 35KV D3 ED1 7639 35KV L1 5 µH D4 ED1 7639 35KV D5 ED1 7639 35KV PS1 PRESSURE ACTIVATED MICROSWITCH 5A DC AT 28 VOLTS D6 ED1 7639 35KV D7 ED1 7639 35KV ZD1 B27 96 C6V2 105W D8 ED1 7639 35KV ZD2 6.2V 10 WATT D9 ED1 7639 35KV D10 ED1 7639 35KV D11 75 AMP IAV. Appareil du type illustré dans les figues. 12 à 25 a été construits et examinés et s'est avérés pour fonctionner le plus efficacement. Les résultats d'un essai typique effectué pendant 60 minutes et 39 secondes sont tabulés dans la table A. As montré du fait la table la tension et les entrées courantes entre l'anode et la cathode de la cellule et au tube de rayonnement ont été surveillées. Ceci permet un calcul de toute l'absorption d'énergie électrique à la cellule comme suit Voltage Amperage 8.5 .times. 17 Time in Seconds .times. 75 Watt seconds = 11,220 8.5 .times. 17 8.6 23,684 .times. 830 = 121,346 .times. 405 = 58,523 .times. 605 = 86,394 .times. 430 = 60,673 .times. 17 8.2 = .times. 17 8.3 .times. 162 .times. 17 8.4 75,574 .times. 17 8.5 = .times. 17 8.6 .times. 523 .times. 17 .times. 609 = 3,639 ______________________________________ ______________________________________ Between Time Anode and Cathode in Voltage Amperage Seconds ______________________________________ 3.38 .times. 70 .times. 565 = 3.35 .times. 70 .times. 235 = 3.34 .times. 70 .times. 360 = 3.32 .times. 70 .times. 305 = 3.31 .times. 70 .times. 675 = 3.30 .times. 65 .times. 700 = 3.29 .times. 62 .times. 255 = 3.28 .times. 62 .times. 310 = 3.27 .times. 61 .times. 234 = 3,639 ______________________________________ 84,894 522,308 Watt seconds 133,679 55,107 84,168 70,882 156,398 150,150 52,014 63,041 46,676 812,115 Toute l'absorption d'énergie électrique à la cellule pendant la période d'essai était donc des secondes de 1.334.423 watts ou des heures de 0,371 kilowatts. Pendant l'essai soixante-dix millilitres de l'eau ont été convertis en hydrogène et gaz de l'oxygène. C'est égal à 3,89 moles de l'eau et, puisque chaque taupe de l'eau produit 1 mole d'hydrogène et mole de 1/2 de l'oxygène, le poids d'hydrogène produit pendant la période d'essai était 3,89 times. 2 = 7,78 grammes ou 0,017 livres. Ainsi, le taux de consommation électrique de la cellule était des heures de 21,63 kilowatts par livre d'hydrogène produite. Un paramètre commun utilisé pour exprimer l'efficacité d'une cellule électrolytique est toute l'entrée électrique en heures de kilowatt exigées pour produire 1.000 pieds cubes standard d'hydrogène et d'un chiffre des heures de 79 kilowatts par 1000 S.c.f. est considéré en tant qu'efficacité 100%. Les résultats d'essai indiquent que l'appareil illustré a besoin de des heures de 121 kilowatts par 1.000 S.c.f. et sur cette base son efficacité est 65,53%. Une autre base pour mesurer l'exécution des cellules électrolytiques doit calculer l'efficacité thermique définie comme ## du ## EQU1 que la valeur calorifique plus élevée de l'hydrogène est définie en tant que 286 kjoules par mole. Par conséquent, l'efficacité thermique démontrée dans l'essai était: ## du ## EQU2 que les résultats ci-dessus rivalisent très favorablement avec l'exécution des electrolysers les plus efficaces qui sont actuellement disponibles dans le commerce. Une comparaison avec des electrolysers connus est présentée dans la table B. It sera vue que le seul electrolyser connu qui fonctionne aux mêmes niveaux d'efficacité est un produit par Life Systems inc.. Cependant, ceci fonctionne très à à haute pression et à température élevée et n'est pas disponible commercialement. Comparé aux systèmes existants l'appareil actuel fonctionne à la pression très basse et à la température et a un résultat élevé pour sa taille. Il est également relativement bon marché de produire. TABLE A ______________________________________ RESULTS OF TEST ON APPARATUS OF FIGURES 12 - 26 Electrolyte 25% of KOH Electrolyte volume at start of test period 600 ml Electrolyte volume at end of test period 530 ml Water converted during test period 70 ml Total duration of test period 60 mins 39 Voltage to Voltage Inverter Circuit between Anode/Cathode Time Volts Time Volts 1 min 15 8.5 3 min 25 3.38 9 min 58 8.6 9 min 25 3.35 12 min 40 8.6 13 min 20 3.34 16 min 30 8.6 19 min 20 3.32 20 min 20 8.6 24 min 25 3.31 26 min 30 8.5 29 min 05 3.31 33 min 15 8.4 35 min 50 3.30 37 min 25 8.4 41 min 40 3.30 43 min 20 8.3 47 min 20 3.29 49 min 30 8.3 51 min 35 3.28 50 min 30 8.2 56 min 45 3.27 54 min 55 8.2 59 min 55 3.27 58 min 25 8.2 60 min 39 8.2 Current Current to Inverter Circuit between Anode/Cathode Time Amps Time Amps 3 min 03 17 0 min 0 70 steady 9 min 06 70 60 min 32 17 12 min 40 70 18 min 05 70 23 min 55 70 High Voltage on Radiation Tube 29 min 55 70 Time KV 36 min 30 68 11 min 25 41 41 min 10 65 19 min 55 41 47 min 40 64 20 min 15 40 53 min 30 62 28 min 10 40 56 min 20 62 34 min 35 39 59 min 25 61 39 min 05 39 42 min 50 38 48 min 40 38 53 min 05 37 57 min 45 37 Current between tube filament and anode varied 4.72 to 4.9 milliamps Filament current varied 1.56 to 1.58 amps Filament voltage varied 2.68 to 2.65 volts Maximum electrolyte temperature 54.degree. C ______________________________________ __________________________________________________________________________ MAIN INFORMATION TAKEN FROM A PAPER TO 10TH INTERSOCIETY ENERGY CONVERSION CONFERENCE AUGUST 1975 BY KNOPIC & GREGORY OF INSTITUTE OF GAS TECHNOLOGY Company and Commercially Weight Size Output Model Available lbs. L" .times. W" .times. H" Rate Electrode __________________________________________________________________________ TELEDYNE ISOTOPES Small Yes 80 10" .times. 14" .times. 26" .177c.ft. Porous per min. Medium Yes 1000-2000 33" .times. 74" .times. 64" .177 to Porous lbs. per 7.06 c.ft. cabinet per min. Large (Multiple Yes 260 s.ft. floor 1/2-4 tons Porous System Packages) space per basic per day package GENERAL ELECTRIC CO. Solid Polymer Electrolyte Yes 30 <1 c.ft. Platinum ELECTROLYSER CORP. - CANADA Modular Stuart Cell 1665 44" .times. 12-33" .times. 63.6 Nickel Plated Steel 5135 lbs. 350 c.ft. per cell per hour Stuart Package Hydrogen 25" .times. 48" .times. 0 20 c.ft. Nickel Plated Steel Generator per hour LITE SYSTEMS INC. No Noble Metal (Gold plated nickel) DE NORA Yes .times.196" .times. 63" Low Carbon Steel N.P. Anode COMINCO 41 tons Mild Steel (one of largest plants in world) per day N.P. Anode HORVATH SYSTEMS 1.45 liters per min. __________________________________________________________________________ kWhr kWhr per lb. per Company and Operating Operating H.sub.2 Thermal 1000 Model Pressure Temp. Produced Efficiency SCF __________________________________________________________________________ TELEDYNE ISOTOPES Small 130.degree. F 55.4 31.8 310 Medium 70-100 30.4 58 170 p.s.i.g. Large (Multiple 100 p.s.i.g. 25.2 70 140 System Packages) GENERAL ELECTRIC CO. Solid Polymer Electrolyte 23.8 74 133.3 ELECTROLYSER CORP. - CANADA Modular Stuart Cell 10" WG 70.degree. C 24.5 72 128 Stuart Package Hydrogen Generator 26.8 66 150 LIFE SYSTEMS INC. 600 p.s.i. 220.degree. F 20.3 87 117 DE NORA 22.0 80 123.2 COMINCO 140.degree. F 28.6 62 160 (one of the largest plants in world) HORVATH SYSTEM Low 54.degree. C 21.6 83.3 121 __________________________________________________________________________