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Monsieur G. 82 ans est hospitalisé dans le service de gériatrie ou je travaille pour la
prise en charge des conséquences d’une chute mécanique (pneumopathie hypoxémiante
et rhabdomyolyse).
Le patient a pour principaux antécédents une hypertrophie de la prostate, des allergies
multiples, un AVC non séquellaire et une dépression .
Son ordonnance comportait ; KARDEGIC 160 mg ; inexium 40 mg, deroxat 20 mg ,
polaramine 2 mg : 1 cp à tous les repas , atarax : 1 cp le soir , xatral 10 mg lp : cp le
matin , paracetamol 1g : 1cpx4 si douleur , tramadol 50 mg : 1cp si douleur et BI
profenid 100 LP : 1cp le matin et le soir
Il vit à la maison avec sa femme , sans aide. Il est peu autonome pour les gestes de la vie
quotidienne ( sa femme l’aide à faire sa toilette , à l’habiller ).Elle fait également le
ménage, les courses et les repas .
La prise de sang montrait un syndrome inflammatoire et une hyponatrémie à 125.
La première fois que j ai vu mon patient et sa femme c est la détresse de cette dernière
qui m’a marqué .je pensais dans un premier temps qu’elle était inquiète pour son époux
car il était hospitalisé .elle m’a répondu que certes elle était inquiète de cela mais qu’elle
était complètement épuisée., qu’elle n’arrivait plus à faire tous toute seule .Je lui ai
demandé pourquoi elle n’avait pas pris des aides à la maison , elle m ‘a dit que c était
trop cher , qu’ils n’en n’avaient pas les moyens financiers .Mais qu’elle avait de plus en
plus de mal à s’en occuper car il était trop lourd pour elle .Elle m a fait de la peine car on
voyait vraiment qu’elle voulait s ‘occuper de son mari mais qu’elle n y arrivait plus .Je
lui ai parlé des aides sociales qu’on pouvait potentiellement mettre en place et que l
assistante sociale allait venir .
Au moment de faire les prescriptions de mon patient je me suis retrouvée avec une
ordonnance que j ai trouvé assez iatrogène . J ai donc appelle le médecin traitant qui m ‘a
confirmé qu’il prenait un anti histaminique mais sans que des allergies soient
retrouvées , des anti douleurs car il a de l’arthrose et qu’ il avait le deroxat depuis
plusieurs années .
.J’ai donc décidé d’élaguer l’ordonnance en supprimant l inexium , les AINS, le tramadol
.le deroxat m a posé problème à cause de hyponatrémie j ai beaucoup hésité car la
patiente n’avait pas de trouble ionique jusqu’à présent , mais garder une antidépresseur
au long cours ce n’est pas vraiment recommander j’ai donc décidé de l arrêter .. Quand j
ai fait ce petit élagage je me suis posée de multiples questions :ai je bien fait ?J ai
imaginé les pires scenarios dont le suicide de mon patient suite à l arrêt du deroxat .
Le Kardégic m’a aussi posé un problème car son AVC était une notion que le médecin
avait eu son prédécesseur recopié de contre rendu en compte rendu sans que l’on puisse
établir son origine. Jai donc décider de le garder , sans changement de posologie .je
voyais déjà mon patient faire un AVC durant la nuit et qu’on demande qui était le
mauvais médecin ayant arrêté ce médicament ou pire la mort de mon patient suite à une
IDM .
En effet il est beaucoup plus simple de prescrire que de deprescrire . Je me trouvais
seule et un peu perdu en ce début de stage devant mon ordinateur .En maintenant après
deux mois dans stage j’ai appris une chose essentielle : le dé prescription .En effet pour
chaque patient nous faisons un tableau avec leurs maladies , leurs médicaments et on
voit si ils ont le traitement optimal pour chaque maladie et si il y a des médicaments
sans maladie identifiée.
Chez mon patient j ai fait des choix selon mes habitudes ,ce que j’avais appris durant
mes années études mais sans fondement .De plus, je ne me suis pas du tout intéressée
au interactions médicamenteuses ;notion que j allais vite découvrir dans ce stage .
Le sevrage en AINS et tramadol ne m’ont pas posé de problème par contre suite à l arrêt
de l Atarax a été très compliqué .En effet même si j ai expliqué à mon patient la raison de
la dé prescription ce dernier n avait pas l ‘aire convaincu mais a été d ‘accord pour
essayer .je lui au diminué d’un quart de comprimé .Dans les jours qui ont suivi min
patient n ‘a pas présenté de syndrome de sevrage physique mais mentale .Ce dernier se
plaignait sans cesse qu’il n arrivait pas à dormir et qu’il avait besoin de sa dose
complète .J ai cédé et je lui ai re prescrit sa dose habituelle même si je pense que c’est
plus délétère qu’autre chose et sans bénéfice réel .J’ai beaucoup réfléchi sur in échec de
sevrage , je pense qu’ en travaillant à l hôpital de prescrire ce que prescrit le médecin
traitant est très dure .En effet les patients ont plus confiance en leur médecin traitant
qui le connaît depuis plusieurs années que nous qui le connaissons depuis plusieurs
heures en plus ils ont l ‘impression qu’on critique leur médecin traitant et ca les patients
n’aime pas non plus .Je pense donc que seule le médecin traitant peut obtenir une
sevrage grâce à l alliance thérapeutique forte .
Durant l hospitalisation mon patient avait systématiquement des tensions élevées .J ai
donc décidé de lui introduire un traitement hypotenseur : l’amlor .Pourquoi l amlor .Je
ne saurais le dire mais dès qu’un patient qui n’est pas diabétique c’est mon médicament
de première intension .Je ne saurais revenir à l’origine de mon amour pour ce dernier
mais il est profond.
Comme tous patients de gériatrie qui chutent nous avons fait un test hypotension
orthostatique qui c est avéré d’être positive .Le patient avait plusieurs raisons de faire
de l hypotension d’une part à cause de ses médicaments contre la maladie de parkinson
et d’une être du fait de la maladie de parkinson qui entraine en dysautotomie. J’ai donc
prescrit à mon patient des bas de contentions de grade 2, et je lui au prescrit du gutron.
Mais je ne sais pas si il y a autres choses à faire pour les hypotensions orthostatiques
neurogènes.
Durant son séjour, nous avons établis les scores de dépendances avec la grille aggir puis
on a fait une demande APA afin qu’ils aient les ressources afin de payer les aides mises
en place, aide à la toilette et à l habillage 2 fois par jours, aide à faire la ménage 2 heures
2 fois par semaine et une auxiliaire de vie 2 fois par semaine afin de faire les courses et
autres taches domestiques. Les aides ont été mises en place par l’assistante sociale mais
je me suis demandée comment je ferrais une fois dans mon cabinet sans aide car je ne
sais pas de tout comment on obtient APA, ou ASPA.
Je voulais donc faire comme axe
- iatrogénie sur l ordonnance de mon patient en suivant es recommandations start
and stopp( on en a parlé au tutorat et en stage) en prenant en charge le sevrage
des benzodiazépine et hyponatrémie médicamenteuse prescrire
- -traitement hypertension artérielle chez la personne âgée
- aide sociale APA ET ASPA.
I/choix hypertenseur chez les personnes âgées et prise en charge d’une
hypotension orthostatique
1°HTA adulte ;
L’ Objectif de pression artérielle systolique chez les plus de 80 ans est inferieur à
150mmHg,sans hypotension orthostatique, en ne pas dépassant pas la prescription de
plus de trois antihypertenseurs
Il existe 5 classes médicamenteuses en France :
-Les diurétiques :
-Les inhibiteurs calciques
-Les inhibiteurs de l enzyme de conversion,
-Les antagonistes de récepteurs de l angiotensine 2
-Beta bloquants
En France : le choix des hypertenseurs se fait en fonction des antécédents des patients
et de ses co morbidités.
Les recommandations qu’avaient émises HAS mais qui ont été suspendu recommander
les diurétiques thiazidiques et les inhibiteurs calciques chez les personnes âgées
Les dernières recommandations françaises datent de 2015 se basent sur une étude
prenant en compte l’efficacité en termes de réduction de la mortalité, de prévention des
événements cérébro et cardiovasculaires, la tolérance, la persistance au
Traitement) et sur le critère d’efficience .Elle a permit de rapporter les différences entre
les différentes classes .Il vaut mieux choisir les IEC, les inhiteurs calciques et les
diurétiques thiazidiques. La non efficience des bêtabloquants en l’absence de
complications cardiovasculaires a été démontrée. En 2013 ils recommandait de
préférence les diurétiques ou les IEC .
Les recommandations européennes ne tranchent pas non plus.
Dans le littérature une méta analyse de 2003 regroupent des articles sur 10 ans a
démontré que les diurétiques sont plus efficaces en terme de mortalité cardiovasculaire
et en terme de mort et mortalité pour une TA similaire.
La société de cardiologie américaines a publié un recommandations sur les personnes
âgées en démontrant qu’ à part les beta bloquant les autres classes médicamenteuses
ont démontré une efficacité sur la réduction des évènements cardio vasculaire..
Cette tendance est confirmé par la revue prescrire pour les patients en générale qui
portent également son choix sur les diurétiques thiazidique avec comme second choix
les IEC chez les patients de tous âgée même chez les plus de 80 ans .Les IEC sont
proposée en en premiers choix pour les patients diabétiques ou à risque de
diabète car les diurétiques thiazidiques ont un risque hyperglycémie . En effet les
IEC sont moins bons que les diurétiques dans la prévention des AVC ; les
inhibiteurs calciques dans celui de la prévention cardiovasculaire
Interaction médicamenteuse :
Diurétique
thiazidique
Hyponatremie,
hyperglycemie
hyperuricemie
alcalose
hypochloremique
Desydratation
Douleur
musculaore
crmape
Troible digestif
Cephalée
Insuffisnace
renale
Hypotension
arterielle
IEC/sartan
Beta bloquant
lls diminuent la
production de
rénine)
insuffisance
cardiaques ,
ralentisseiurs de la
conduction ,
bradycardies ,
hyptension
arterielles
bronchospasme
liées au blocage
beta 2 des muscles
misses
bronchiques
angor en cas de cas
de sevrage subite
exacerbation d’un
syndrome de
raynaud
-CEPHALÉES N
VETIGES
trouble digestif
dont les diarrhées
HYPOTENSION
ARTERIELLE
SENSATION
VERTIGINEUSE ,
FAITIGUE ,
CEPHALÉE
PARESTHESIE
TROUBLE
DIGESTIFS
HYPERKALIEMIE,
HYPONATREMIE
INSUFFISNACE
RENALE
ATTEINTE
CUTANÉE PHOTO
SENSIBILITÉ
Vasodilatation
périphérique(céphalée
, bouffée de chaleur,
oedeme des chevilles ,
pises de poids
hypotension)
Troubles digestif (
RGO, constipation)
Trouble de ka
conduction , BAV
bradycardie
Accroissement des
gencives
gynécomastie
Toux
hypoglycémie
Crampes
hypoglycémie
trouble érection
Insuffisance
renale (ains IEC )
Hyponatremiant
Bradycardie : Anti
arythmique
bradycardisant
(amiodarone,
digoxine,
inhibiteurs
calciques
Hyponatrémie
(diurétique, IRS,
antiépileptique)
Hyperkaliémie
(diurétique
hyperkaliemiant,
Bradycardie (bb
digoxine.)
Inotrope positif (BB
anesthésique locaux)
Torsade de pointe ( FG
Hypokaliémiant
Hypercalcemiant
(lithium, vitamine
D ,calcium,
vitamine A)
Hyperuricémiant
(ivrabradine,
ticagrelor
levodopa
Crampe
Attention
diminution de
d’excrétion rénale
bradycardisant ;
diltiazem,
varamapil), les
anticholenergiques
utilisée dans la
maladie alzeimer
donopezil,
galantamine,
rivastigmine
Hypokaliémies
pouvant entrainer
les torsades de
pointes
Cauchemar ;
benzodiazépine
opioïde,
antiparkinsonien,
antihypertenseur
centraux
2°hypotension orthostatique
Etiologies :
sel de potassium,
digoxine
héparine)
antipaludéenne anti
histaminique n
macrolide
Hypoglycémie
(insuline, quinine,
tramadol)
Accroissement des
gensives anti
épileptiques n
immunodépresseurs
Crampe
(diurétique,
laxatif, corticoïde)
Gynécomastie :
neuroleptique anti
androgène non
Trouble du gout
stéroïdien inhibiteurs
(levodopa lithium) 5 alfa réductase
Elimination rénale
diminuée (lithium,
digoxine,
metformine
ATTENSION
SENSIBLE
INDUCTEUR
ENZYMATIUQE
Prise en charge :
Traitements non médicamenteux :
-Eliminer les médicaments déclenchant ou aggravant l’hypotension orthostatique.
-Augmenter la prise hydrique et la ration en sel en prenant en compte la fonction
cardiaque.
-
Eviter le lever rapide ou la station debout prolongée (miction et douche en position
assise)
-
Eviter l’exposition aux températures élevées ou la prise de boissons alcoolisées Surélever la tête du plan lit (10°)
-Maintenir l’activité physique
-Utiliser une contention des membres inférieurs (au moins classe 2) ou abdominale
-Absorption d’eau avant le repas (400 ml) (si hO post prandiale)
-éducation du patient :
-fractionner le levée
-indentification des symptômes
-mettre fin à l orthostatisme (Contraction musculaire : - serrer fortement une
petite balle dans sa main
- Agripper ses deux mains devant le sternum et les écarter
vigoureusement Augmentation du retour veineux : - Incliner le buste en avant (faire
semblant de lacer sa chaussure) - Croiser les pieds et serrer les jambes
- Piétiner
S’accroupir - Boire un grand verre d’eau)
Traitement médicamenteux : si neurogene et symptomatique
Monothérapie : - Agoniste alpha-adrénergique : midodrine (Gutron®)
en 2 ou 3 prises .pas de prise 2 à
3h avant le couché
- Augmentation de la volémie : fludrocortisone (exemple: Flucortac®) hors AMM.
surveillance poids /TA /kaliémie
Associations médicamenteuses (en cas d’échec de la monothérapie) : - Midodrine et
fludrocortisone
Bibliographie :
Diurétique 1 er intention ; revue prescrire
"Hypertension artérielle essentielle chez un adulte : premiers traitements"
Rev Prescrire 2015 ; 35 (383) : 683-686. (pdf, réservé aux abonnés)
Traiter l'hypertension artérielle après 80 ans ©Prescrire 1er novembre 2008. Rev
Prescrire 2008 ; 28 (301) : 851.
Fiche E2i : hypertension artérielle médicamenteuse en bref
Guide interactions médicamenteuses - décembre 2015
HTA essentielle : prise en charge des patients adultes Juillet 2015 HAS ET SFC
HAS Rapport efficacité 2013
Prise en charge hypertension artérielle de l’adulte, SF HTA 2013
Psaty, Bruce M., Thomas Lumley, Curt D. Furberg, Gina Schellenbaum, Marco Pahor, Michael H.
Alderman, and Noel S. Weiss. “Health outcomes associated with various antihypertensive
therapies used as first-line agents: a network meta-analysis.” JAMA 289, no. 19 (May 21,
2003): 2534–44. doi:10.1001/jama.289.19.2534.
Expert consensus document on hypertension in the elderly:
A report of the American
College of Cardiology Foundation Task Force on Clinical Expert Consensus documents
HHTA adulte 2005 mais suspendu : HAS
Prise en charge de l’hypotension orthostatique société française d’hypertension artérielle,
société française de gériatrie et de gérontologie et europeen federation of autonomic
societies janvier 2003
discussion :
En faisant cette bibliographie j ai découvert énormément de choses .Je ne prescrit jamais
de diurétiques thiazidique que ce soit pour les adultes et encore moins pour les
personnes âgées du fait de troubles ioniques ( natrémie et kaliémies).
les IEC je ne les prescrivais en première intension que pour les diabétiques en cela je
suivais les recommandations .
Mais quelle étonnement pour les inhibiteurs calciques qui étaient ma classes favorites
qui n arrive qu’en 3 eme position .
Les beta bloquant je ne les prescrivant jamais comme hypotenseur .Je me reprochais
donc des recommandations.
Donc je suis tres surprises par mes recherches qui ont l aire d’après la littérature assez
claire je vais donc changer mes habitudes de prescriptions même si il est toujours dure
de défaire ce qu’on a l habitude de faire
2)Mise en place des aides sociales
Condition
d'âge
condition
APA à domicile
moins 60 ans.
ASPA
60 ans
APA institualisé
60 ans.
Etre dans la classe1 à 4 de la
grille Aggir
Il faut résider
régulièrement en
Etre dans la
classe1 à 4 de la
Il faut habiter :
France
grille Aggir
-soit à domicile,
Revenu d’une
personne seule :
au maximum
9 600 € (soit
800 € par mois).
votre
établissement doit
être :
-soit chez un accueillant
familial,
-soit dans un établissement
dont la capacité d'accueil est
inférieure à 25 places,
-soit dans un foyer logement
pour personnes valides.
Revenu en
couple : au
maximum de
14 904 € (soit
1 242 € par mois).
Il faut habiter en France de
manière stable et régulière.
Récupération
sur l’héritage
si l'actif de la
succession
dépasse 39 000 €.
Les sommes
récupérées sont
de 6 220,05 €
pour une
personne seule et
de 8 144,10 €
pour un couple de
bénéficiaires.
- situé en France héberger au
moins 25
personnes âgées
dépendantes
aide
Montant :
Gir 1
Gir 2
Gir 3
Gir 4
1312,67 €
1125,14 €
843 ,86 €
€
562 ,57
Le complément de
la différance fixée
des revenus
perçus.
L’argent permet de
payer :
Supérieures à
2 437,81 € et
inférieures ou
égales à
3 750,48 € :
variable
-une aide à domicile
- un accueillant
familial
-des aides concernant
le transport ou la
livraison des repas
Supérieures à
3 750,48 € :
-des mesures
d'adaptation du
logement
participation
égale au
montant du tarif
applicable au
GIR 5 et 6
auquel est
ajouté un
montant fixé à
80 % du tarif
dépendance de
l'établissement
correspondant à
votre Gir
obtention :
si urgences : APA titre
provisoire, pendant
au maximum 2 mois
L'allocation :656,33 €.
Si le revenu est
supérieur à 2 945,23
€ pas de complément
Papier/formu
laire
photocopie du livret de
famille, carte d'identité ou
passeport ou d'un extrait
d'acte de naissance ou
photocopie de votre titre de
séjour (si vous êtes étranger
non européen),
photocopie du dernier avis
d'imposition ou de nonimposition sur le revenu,
Inférieures ou
égales à
2 437,81 € :
Participation
égale au tarif
dépendance de
l'établissement
applicable aux Gir
5 et 6 de la grille
Aggir
cerfa n°13710*02
si vous dépendez
du régime général
de la sécurité
sociale (Cnav),
l'établissement
reçoit une
dotation globale
Apa : donc en
général pas de
démarche
cerfa n°14953*01
si vous dépendez
de la mutualité
sociale agricole
sinon auprès des
services du
département, d'un
CCAS avec les
même papiers que
photocopie du dernier avis
d'imposition de taxe foncière
sur les propriétés bâties et
non bâties (si vous êtes
propriétaire),
(MSA
APA
relevé d'identité bancaire (Rib)
apporter tous ca aux services
du département, centre
communal d’action sociale
Bibliographie :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F10009
http://social-sante.gouv.fr/affaires-sociales/personnes-agees/droits-et-aides/apaallocation-personnalisee-d-autonomie/article/apa-beneficiaires
Discussion :
Avec cette rechercher je pense avoir appris beaucoup .Je suis maintenant plus à l aise sur
les réponses à donner aux patients et aux familles sur ces questions .
3)Dé prescription
-aspirine à une dose > 150mg/jour (augmentation du risque de saignement
Sans augmentation démontrée de l’efficacité).
Donc j’aurai du diminuer la dose de Kardégic à 75 mg
-inhibiteur de la pompe à protons (IPP) à la dose maximale : j ‘aurai du diminuer la dose
et non le supprimer mais cette dernière recommandation est discutable .
-AH1 supérieur à 1 semaine : ici polaramine et Atarax donc double emploie et la
polaramine sans etiologie retrouvé peut être supprimer.
-AINS au long cours pour des douleurs arthroses. J ai fait cela
-antalgique au long cours à éviter .Tramadol chez le super âgée à éviter car beaucoup
d’effets indésirables. J ’ai également fait cela .
Hyponatrémies d'origine médicamenteuse
Rev Prescrire 2015 ; 35 (383) : 666-671
Signes cliniques et causes des hyponatrémies, en bref
Rev Prescrire 2015 ; 35 (383) : 668-669
Discussion
Je pense que l outil star and stopp est un bonne outils pour débuter la de prescription .J
‘ai fait des bonnes choses et je ne suis pas allée au fond des choses pour d’autres
médicaments mais je persiste avec mon idée de départ que le de prescription est très
difficile entre la prise de décision et encore plus en thermes d’acceptation du patiente .je
vois bien mon échec de sevrage en benzodiazépines .C'est un exemple parmi d autre ou
mes patients n’ont pas voulu arrêter des médicaments ,D ailleurs on le vois bine , des
études ont démontré qu’après une hospitalisation les patients reprenais leurs
d’ordonnance d avant et non la nouvelle fait à l hôpital car les patients sont attaché à
leur habitude ,à leur médicaments .L’internat m’a appris énormément de choses mais ca
je pense qu’il va me falloir du temps pour m’améliorer
évaluation:
Narration : 8
Problématisation : 6
Qualité de la recherche : 8
Identification des apprentissages : 7
Acquisition des compétences : 8
Compétences
-Vision globale Complexité : J’ai réévalué la balance bénéfice/risque des traitements en
faisant des déprescription et en re prenant les divers pathologies de mon patients
-continuité, suivi, Coordination des soins autour du patient : j’ai évalué l’autonomie de
mon patient, anticipé les situations à risque en modifications de l’environnement en
s’appuyer sur les para médicaux en instaurant des aides à domiciles.
-Education en santé, Dépistage, Prévention, Santé individuelle et communautaire : j’ai
favorisé les comportements permettant un vieillissement réussi en maintenant une
alimentation adaptée.
-Relation communication, approche centrée patient : j’ai été attentif à la situation de
l’aidant ici sa femme en respectant ses choix en communiquant avec la femme tout en
favorisant son autonomie.
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