2.1 Opérations sur biens et services

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Economie générale
Comptabilité nationale : Présentation globale, détaillé et chiffrée de l’économie nationale
dans le cadre comptable, Elle obéit aux règles  SECSS (Système économique européen
des comptes depuis 95).
1
Les atouts de l’économie nationale : secteur institutionnel
Agent économique élémentaire : Unité institutionnel (centre autonomes de décisions)
Ex.: Entreprises et ménages, elles sont regroupées en secteurs institutionnels ( regroupent
toutes les unités qui ont la même fonction principale et même ressource principale), il existe
5 secteurs institutionnels :
- Ménages
- Sociétés non financière(SNF)
- Sociétés financières (SF)
- Administration publique (APU)
- Institution sans but lucratif des ménages (ISBLSM)
- Restes du monde (compte l’ensemble des relations entre deux groupes)
1.1
Les ménages
Personnes vivants au sein d’un foyer : ils ont 2 fonctions principales
 Fournir des facteurs de productions
 Consommer
Principales ressources : rémunération des facteurs de productions, transferts versés par
d’autres secteurs institutionnels
Les entreprises individuelles font parties des secteurs institutionnels des ménages (ex : artisans, agriculteurs).
Il est difficile de séparer le patrimoine de l’entreprise au patrimoine du ménage.
1.2
SNF
Toutes les entreprises qui retirent au moins la moitié de leurs ressources de la banque de
biens et services non financiers.
Fonction principale : production de bien et service non financier
Ressource : Montant de la vente
1.3
SF (Banques, entreprise d’assurance)
Fonction principale : Production de services financiers
Ressource : vente de ces services
Toutes les entreprises qui retirent au moins la moitié de leur ressource de la vente de services
financiers.
1
Economie générale
1.4
Administrations publics (Etat, collectivités locales, SS)
Production de services non marchands : offert ou quasi gratuitement
Fonction Principale : redistribution du revenu et de la richesse nationale
Ressource : Prélèvements obligatoires (impôt, cotisation sociale).
1.5
ISBLSM
Fonction principale : Fourni des services non marchands
Ressource : Contribution volontaire de leurs membres, subventions versées par les administrations (association et syndicats travailleurs).
2
Les fonctions économiques
3 catégories d’opération économiques :
 Opérations sur biens et services (production et emploi de la production)
 Opérations de répartitions (formation et redistribution des revenus)
 Opérations financières (lié à l’usage et échange des instruments financiers ;
crédits, obligations).
2.1
Opérations sur biens et services
La production se décompose en production marchande, production pour emploi final
propres et en production non marchande.
Production
Production matériel =
Bien
Y° pour emploi finale
propre
=Y° marchande
Conso pour son propre
usage
Production immatériel=
services
A vendre > à la ½ du
cout de Y°= Y° marchande
A vendre ≤ à la ½ du
cout de production=
Non Marchande
Y° pour emploi final
propre
Pour évaluer la production marchande on évalue le prix de Base (= Prix effectivement perçu
par le producteur pour chaque unité vendu).
Prix de base  Prix du marché.
2
Economie générale
La production non marchande est évaluée au coût de production.
Dans la consommation : consommation finale ; utilisation de biens et services à leur stade
final de production en vue de satisfaire directement les besoins de l’individu,
 Importante pour les ménages,
Il n’y pas de consommation finale pour les sociétés non financières et financières, sauf
les administrations publics qui sont un cas particulier
Consommation finale des ménages = Dépenses
 Notion restrictive pour les ménages, elle écarte les biens et les services dont disposent les
ménages mais qui ont été pris en charge par la collectivité (=Etat), cela écarte l’éducation qui
est assez gratuite ainsi que la santé.
 Consommation finale effective des ménages (=tous ce qui a été consommé par les ménages y compris ce qui a été consommé gratuitement ou quasi gratuitement)= Dépense de
consommation effective des ménages
+ Les biens et services marchands (payant par la collectivité), ex : remboursement des médicaments de la SS
+Services publics dont les ménages, ex : éducation public
 TRANSFERT SOCIAUX EN NATURE
CFE=CF+ transfert sociaux en nature ( utile pour faire des comparaison internationales de la
consommation des ménages, on prend en compte toutes les consommations par les différents
pays, sans prendre en compte qu’ils soient payant ou non , si on ne les prendrait pas en
compte on aurait des grandes disparités des différents ménages des pays, disparité expliqué
par le faite qu’il y en ai des gratuits ou non).
On peut identifier les utilisateurs des autres services, mais il y a au sein des services publics,
des utilisateurs que l’on ne peut pas identifier
Ex. : éclairage publics, défenses, justice (= service publics collectif par convention ils sont
enregistrés comme un CFE des administrations publics)
Cette convention répond à la logique économique. Ce ne sont pas les ménages ou les entreprises qui produisent, des biens et des services qui sont détruits ou transformés ou en cour de
processus de production pour créer d’autres biens et services.
Pour évaluer la VA créer par une entreprises, il faut faire la différence de ce qu’elle a produit
et se qu’elle a utilisé.
Pour produire
VA= production- consommation intermédiaire
Investissement= consentir un cour immédiat en vue d’une satisfaction ou production future
Formation brut du capital (FBC)
 Concept pour la comptabilité nationale
= FBCF+ variation de stocks + acquisition (-cession) D’objet de valeur
FBCF= acquisition- cession d’actif fixe
(Corporel : outil, bien d’équipement, incorporel : logiciel, programme informatique…)
Pendant un an pour les entreprises (achat bâtiments et équipements), pour ménages (achat
logement), Pour l’état (augmentation des stocks).

Les variations de stocks = Augmentations ou diminutions de tout les biens en stocks
(MP, PF, PSF). Les entreprises constituent des stocks de matière première et de bien
3
Economie générale

intermédiaire pour assurer un approvisionnement régulier dans une unité de production. Elles font aussi des stocks volontaires de PF, pour répondre à la demande pour
limiter le délai de livraison, quand les entreprises constituent les stocks, les entreprises
supportent des coûts immédiats et les ventes à venir dans les meilleures conditions
 Notion d’investissement
On peut dire que même quand les variations des stocks sont provoquées par une baisse
des ventes, il reste un investissement, l’entreprise pourrait baisser ses prix pour écouler les stocks, une meilleure façon de conserver les stocks
Acquisition (-cession d’objet de valeur) : On s’intéresse aux objets qui ont un usage
durable mais qui ne sont pas employés pour utiliser d’autres biens et services. Objet
acquis pour servir de réserve de valeur
 Exportation = X Importation= M
Ressource = production + importation
Emploi = CF + CI+ FBC + X
P+M=CI+CF+FBC+X
 Equilibre emploi/ressource en quantité
 Equilibre emploi/ressource en valeur (en €)
Les emplois sont évalués aux prix du marché =TVA
Le prix du marché inclus la TVA, les impôts sur les produits (IP), les ressources sont évaluées aux prix de base : ce qui rentre effectivement dans la poche du producteur pour chaque
unité vendu, le prix de base n’inclus pas les impôts par les produits car elle n’est pas perçu
par les producteurs, il est payé par les acheteurs.
Le prix de base inclus les subventions sur les produits (SUBV)= sommes versées aux entreprises publics ou aux institutions européennes, sommes versées pour influencer le niveau de production des entreprises à baisser leur prix, influencer les rémunérations, des
facteurs de productions.
Les subventions sur produits font parti du prix de base, elles font parti de la somme effectivement perçu par les producteurs pour chaque unité produit.
P+M+IP-SUBV=CI+CF+FBC+X
 Équilibre en E/R en valeur
Pour retrouver l’équilibre E/R en VA on ajoute aux ressources les IP, on enlève les subventions sur les produits alors que le prix du marché qui permet d’évaluer les emplois n’inclut a
les subventions sur les produits
(P-CI= VA brute)
P-CI+IP-SUBV=CF+FBC+X-M
VAB+IP-SUBV=CF+FBC+X-M
 VA évalué au prix du marché = PIB
PIB=
CF+FBC
E final Int.
+X-M
 Solde commercial
4
Economie générale
Le PIB peut être évalué selon 3 optiques :
 Production : PIB peut être évalué par la VA dégagé par l’activité de production PIB=VAB+IP+SUBV
 Si les entreprises produisent c’est pour répondre à la demande plutôt que de
dire que le PIB a été produit au lieu de dire que c’est la demande. (= PIB valeur produite mise sur le marché et non réutilisé de façon intermédiaire
PIB=CF+FBC+X-M
 Revenu : quand les entreprises créent de la valeur elles gagnent de l’argent,
une partie de cet argent va être utilisé pour les salariés, pour l’impôt, pour
l’entreprise EBE
PIB=montant des revenus issu de l’activité de production =rémunération des salariés+EBE +IP – SUBV
Croissance : Hausse en longue période d’un indicateur de production en volume (=PIB
en Volume), on va mesurer la croissance à partir de l’évolution du PIB en volume.
Actuellement qu’est ce qui vient réduire les perceptives de la France ?
 Augmentation du pétrole ( baisse du pouvoir d’achat des ménages), ce qui
est défavorable à la consommation car l’augmentation des coûts de production des entreprises Inflation
 Réforme du premier janvier 2007, la TVA augmente, tous les biens vendu
vont augmenter, notamment des prix de bien français, si exportation vers Allemagne
 Evolution des prix du $ par rapport à l’€uros, elle influence sur les quantités
exportées vers les EU augmentation du prix pratiqué aux EU réduction
des quantités exportées. Actuellement, la tendance est à la baisse du taux de
change $ par rapport à l’€uro réduire les quantités exportés vers les EU
Toutes ces perceptives sont défavorables pour la production et donc de la
croissance.
2.2
Opérations de répartitions
C’est l’ensemble des opérations contribuant à la formation, la circulation et la redistribution des revenus des différents agents économiques : ex : rémunération=salarié, Impôt
sur les importations et les exportations, Subvention, prestations sociales…
2.3
Opérations financières
Toutes les opérations que l’on a traitées, étaient des opérations non financières, résultante de toutes ces opérations financière, soit CF, pour les secteurs institutionnels dont les
moyens ont été supérieurs à leur besoin, les SI dont les moyens financiers ont été inférieurs à
leurs besoins.
Sa fonction essentiel=Aux uns, Utilisé leur capacité de financement aux autres, aux autres
combler leur besoins de financement. Ex : OF= Prêt, achat de titres (Obligation, Actions)
5
Economie générale
3
Les comptes des secteurs institutionnels
Enregistrement de toutes les opérations économiques effectuées pendant une année dans un
cadre comptable, on a un compte pour chaque secteur institutionnel, sachant que le compte
d’un secteur institutionnel est composé de différents comptes.
Dans ces comptes :
A droite : valeur qui augmentent les ressources, A Gauche : ce qu’ils font de leurs ressources
 Chaque compte à un solde (soldes=signification économique)= RESSOURCES-EMPLOI
et ce solde est mis du coté emplois pour équilibrer E/R. Chaque solde peut être exprimé de
façon brute ou nette :
Solde net= Solde brute- Consommation des capitaux fixes (Amortissement=Montant de
l’usure du matériel et du bâtiment utilisé.
Dans ces comptes on a toutes les opérations qui permettent de partir de la production des
SI CF ou BF
Compte de production : relation entre Production et consommation intermédiaire qui ont été
nécessaires pour réaliser cette production. On peut calculer la contribution de chaque secteurs institutionnels à la VA brute total.
Les Société non financière=56% de VA brute
Ménages= 20% de VA brute
Administration public= 18%
Société financière= 5%
Constitution sans but lucratif aux services des ménages= 1%
=VA brute= ressource que les secteurs institutionnels retire de son activité de production.
Ses ressources vont êtres repartis entre salariés, l’Etat et les secteurs institutionnels luimême.
Compte d’exploitation : répartition de la VA dans le cas du processus de production.
La VA est reparti entre les salariés (=rémunération 65% de la VA brute des sociétés non
financière) l’Etat qui prélève des impôts de production. Ce qui reste = ce qui revient au
SI=EBE= revenu des actifs de production, c’est ce qui reste à la VA. On peut dire que l’EBE
est indépendant de l’origine des capitaux mis en œuvre.
Capitaux obtenus par les emprunts ou émissions d’actions.
= EBE= Indépendant de mode de rémunération mis en œuvre en cas d’emprunt que le taux
d’intérêt soit élevé ou pas n’échange rien.
Taux de marge= EBE (part de la VA créer par L’entreprise qui reste dans l’entreprise)/VAB
Pour les sociétés financières. Taux de marge=33%, c’est un indicateur de profit brute, c’est
un indicateur de la rentabilité de l’action de la production.
Compte d’affectation des revenus primaires : Il décrit l’information des revenus primaire=
revenu de la propriété+ revenue de contribution à la production; pour les entreprises=EBE
Ménage= Rémunération du travail; Etat= Impôt sur la Production
Revenus de la propriété= revenu que perçoit le propriétaire, actif financier ou d’un actif corporelle non produit en échange de sa mise en disposition.
6
Economie générale
Actif financier= obligation: rapport intérêt ; Action: dividende
Actif corporelle non-produit= terrains (loyer de terrain), par contre les loyers de logements
ne font pas partis de la revenu de la propriété, logement actif corporel produit c’est parce
qu’il n’est pas enregistré dans les revenus de la propriété.
 Voir tableau
Compte de distribution secondaire du revenu : revenu dispo pour la conso+revenu primaire.
Augmentation de tous les transferts qu’il a du effectué au profit d’autre SI (Impôt, cotisation
sociale)= on regarde essentiellement comment les revenus courants du SI est affecté par les
opérations de distributions
Redistributions= distribution secondaire, les administrations effectuent des prélèvements et
des réaffectations de ressources qui affectent les revenus des ménages.
Le solde revenu dispo brute est effectivement disponible pour la consommation et l’épargne
pour les ménages.
Les salaires représentent plus de la moitié du revenu disponible brute
Prestation social= 30% du revenu dispo brute
Compte de distribution du revenu en nature : il ne concerne pas tous les SI il concerne que
pour ceux qui versent ou reçoivent des transferts sociaux en nature (ménage, administration
publique) bien et service marchand pris en charge par la collectivité. Les services publiques
qui en bénéficient sont les ménages. Le compte présente une mesure plus large du revenu des
ménages que le revenu disponible brute, en intégrant, les flux, correspondant aux transferts
sociaux en nature.
=Revenu disponible ajusté brute des ménages
 Voir tableau
Compte d’utilisation du revenu disponible ajusté : Il analyse le partage du revenu dispo
entre conso et épargne en Revenu dispo brute en épargne brute/nette et en consommation
finale.
 Voir tableau
Ce compte n’a d’intérêt que pour les SI qui on une conso finale= les ménages, les administrations publiques, Les ISBLSM.
Pour les autres SI il constate l’égalité entre épargne brute/nette et Revenu disponible brut
Compte d’utilisation du revenu disponible=Voir tableau
Solde = RDB+TSN- (Consommation finale +TSN)
= RDB-Consommation finale
= Epargne brute
Conso finale effective= Consommation finale +TSN
TSN
Quand on fait le rapport pour les ménages
CFE
Pour les ménages=25%, consommé gratuitement, prise en charge par la collectivité.
Compte courant : qui décrive la formation et la redistribution des revenus
Epargne= Acquérir des biens durable pour produire mieux ou + produire
Accumulé une richesse financière
 Compte d’accumulation : 2 comptes
Capital =Investissement
7
Economie générale
Compte financier=Opération financière
Comment l’épargne est utilisée pour financer l’investissement?
Ressource =épargne brute+ transfert qui augmente l’épargne (ex : aide à
l’investissement)- transfert qui diminue l’épargne.
Emploi= Différent investissement possible=AFBSF, Acquisition d’objet de Valeur
Apport : les acquisitions des actifs non produits (terrains, logements anciens….)
Il modifie le patrimoine de société mais pas des secteurs institutionnels
 Voir tableau
Les sociétés non financières= généralement besoin de financement
Administrations publiques= ______________________________
Société financière= Varie selon le temps
ISBLSM= capacité de financement
Quand on fait le total des capacités et des besoins de financements des différents secteurs
institutionnels, on obtient la capacité ou le besoin de financement de la nation.
Depuis 2003, la France a un besoin de financement, elle doit compléter ces moyens financiers, en empruntant de l’argent à l’étranger (35 Million d’€)
Au niveau mondial, les capacités et les besoins de financements entre les difficultés
d’équilibres
Comptes financiers : Il s’intéresse aux opérations financière décrit ; les opérations financières réalisés pour utilisé la capacité de financement ou pour combler les différents besoins de financements.
Capacité financière : ex.: achat de titres, remboursement de dette.
Besoin de financement : ex. : Emprunt, émission d’action
Remarque : la capacité de financements peut être une épargne financière utilisée pour réaliser des opérations financières, on parle d’épargne pour investir
4
Principaux ratios
= Grandeur défini par rapport aux
Ratios des sociétés non financière
EBE
 Indicateur de profit brut et de rentabilité (on sait que pour les entreprises
VA
individuelle, L’EBE s’appelé revenu mixte brute)
Ce revenu a 2 composantes : Composé du profit de l’entrepreneur et de la rémunération du
travail de l’entrepreneur.
Quand on calcul le taux de marge pour les SNF, sa valeur est d’environ de 30% .quand on
calcul le taux de marge pour les entreprises individuelles, on a une valeur de
SNF 
8
Economie générale
Rémunération
 80% . Si le taux de marge est plus élevé pour les entreprises individuelles
VAB
ce n’est pas parce qu’elles font plus de profits.
ep arg ne brute
 Indicateur de profit concerné par les entreprises
VAB
EBE
Taux de m arg e 
, il y a une grande partie de l’EBE qui est dépensé par l’entreprise.
VAB
Le taux d’épargne n’évolue pas forcement comme le taux de marge, car le taux d’épargne
dépend des intérêts reçus ou versé. Le taux d’épargne est susceptible de varier en fonction de
l’évolution du taux d’endettement et du taux d’intérêt, ce qui n’est pas le capital du taux de
marge. En 2005, pour les SNF, taux d’épargne =13,4% valeur la plus basse depuis 99.
FBCF
Taux de investissement 
 Ce ratio indique quelle part de la VAB consacré à
VAB
l’effort brute d’investissement pour augmenter le capital fixe ou remplacer le capital usé au
cour de la période
 Ni optimiste, ni motivé pour investir
Taux investissement =18% et 22% en 2005=19,1
Taux d ' ép arg ne 
ep arg ne brute
 Indique quel part de l’investissement à partir
FBCF
de ressources dégagées par l’entreprise
Taux d ' Autofinancement 
Taux de m arg e 
Ep arg ne brute  VAB
VAB  FBCF
Un taux d’autofinancement élevé pour les SNF n’est pas nécessairement une bonne chose
car il peut provenir d’un taux d’investissement bas.
En 2005, Le taux d’autofinancement des SNF valait 70,1% (valeur la plus basse depuis 99.)
On peut dire qu’au total, il y a une multiplicité de ratios envisageables et cette multiplicité
indique la rentabilité et l’accumulation son difficile a utilisé et la mesure choisi dépens de la
perspective choisi par l’analyse, les ratios sont brutes, ils sont inclus dans la consommation
du capital fixe.
 Usure des bâtiments et des matériels utilisés
Ration brute= Ratio net= il faut soustraire la consommation de capital fixe au numérateur et
au dénominateur, le fait de passé du ratio brute au net peut changer la perspective de
l’analyse.
Un Taux d’épargne élevé = bien pour l’entreprise
EB  conso de K fixe
Taux d ' ép arg ne net 
<0
VAB  conso finale
Quand EB<conso de K fixe =pas suffisante
Ep arg ne brute
Taux d ' ép arg ne 
VAB
9
Economie générale
Les principaux ratios des ménages
Entreprise individuelles= elles ont une production
Ménages= elles ont une production (production marchande= on enregistre les loyers perçues
par les ménages qui louent les logements dont ils sont propriétaire= paiement d’un service
Elles peuvent avoir une production pour emploi final propre, on enregistre la production
agricole au taux consommé et on enregistre le travail réalisé par les domestiques.
Ratio important pour les ménages
Ep arg ne brute
Taux d’épargne pour les ménages=
RDB
15 % depuis 25 ans, ce qui n’est pas épargné et consommé 85%
Conso finale
 85% = proportion mal consommé
RDB
CF
Taux d ' ép arg ne financière 
RDB
La capacité de financement c’est ce qui reste de l’épargne après avoir investi et donc c’est
l’épargne qui va être consacré à des opérations financières
CF= Taux d’épargne financière, c’est la part du revenu disponible consacré aux opérations
financières
.
Ratio important pour les administrations publiques.
3 types d’administrations :
Administration locale :
Etat, différents organismes qui dépendent de l’Etat, université, CNRS, ANPE.
Administration centrale :
Collectivité locales, région, département, commune, organismes divers d’administrations
locales. Ex : district (groupement d’une commune d’une même agglomération
Administration sociale :
Différents régimes d’assurance sociale (unité qui verse des prestations sociales grâces aux
cotisations), plus les organismes qui perçoivent leur principal ressource d’assurance social
(hôpitaux public)
Taux de prélèvements obligatoires=
Im pôts / cot isations
PID
Ratio APU
Besoin de financements = ce besoin de financement est le déficit public, les responsables
(Etat+SS).
Ce déficit public appartient aux critères européens de convergence estime que le déficit public doit être ≤ 3% du PIB.
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Economie générale
La France depuis 2002, ne respecte pas ce critère, elle espère le respecter en 2006. Ce déficit
public est financé par l’emprunt ; c’est l’accumulation de la dette public (somme de la dette
état + administrations central, locale et SS. La dette public doit être <= à la 60% du PIB. Le
déficit gonfle la dette public, plus la dette public est importante, plus une grande partie des
richesses produite dans le futur, va servir à rembourser la dette public.
Il y a une autre raison pour ces critères, quand un pays ou entreprise laisse filer son déficit
budgétaire = Augmentation de la demande verser d’avantage de prestations sociales
risque d’inflation si l’Etat dépense plus
 Banque centrales européens, Augmentation des taux d’intérêts= taux d’intérêt plus élevé
de la part des banques donc la demande de crédit baisse ainsi que la demande de biens
réduit la pression inflationniste.
BCE : le taux d’intérêt pénalise tout les pays même ceux qui n’ont pas laissé creuser leur
déficit budgétaire pour éviter, il faut laisser chaque pays creuser déficit budgétaire
11
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