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本科学生毕业论文
L'étude de l'existentialisme dans l'Etranger d'Albert Camus
作
者：
宋昕怡
学
院：
中法学院
专
业：
年
级：
学
号：
法语
2012级
2012202923
指导教师：
LAFON PALOMA
完成日期：
2016
教务处制
本科学生学年论文写作提纲审阅表
论文题目
L'étude de l'existentialisme dans l'Etranger
d'Albert Camus
写作提纲：
I. Introduction
L’existentialisme
En quoi cette oeuvre appartient à l’existentialisme
II. L’être humaine est essentiel pour l’individu
A. L'existence précède l’essence
B. L’existence est un hasard
C. L’être humain est définit par ses choix
III. L’interaction entre l’être humaine et le monde est obligatoire
A. Le monde est absurde pour l’individu
B. Le choix de l’individu définit son essence et celui-là est influencé par le
monde
C. La communication interpersonnelle est un espoir ou un menace?
IV. L’éthique de l’existentialisme
A. l’existentialisme est une philosophie éthique
B. 2 éléments éthiques essentiels de l’existentialisme: la liberté et la
responsabilité
C. La liberté est une concerne l’humanité
Conclusion
Bibliographie
L’annexe
日期：
年
月
日
指导教师意见：
指导教师签名：
日期：
年
月
日
本科学生学年论文指导教师成绩评定表
论文题目
L'étude de l'existentialisme dans l'Etranger d'Albert
Camus
指导教师评阅意见：
指导教师建议论文成绩为：
指导教师签名：
日期：
年
月
日
中文提要
存在主义是二十世纪上半叶兴起的一种哲学流派，也是当今西方世界的主要哲学流派之
一。在它的产生和发展过程中，许多文学艺术都都到了其广泛而深刻的影响。其中，不可
不说的就是阿尔伯特·加缪和他的经典著作《局外人》。在这部作品中，加缪运用了陌生化
的写作手法，为我们讲述了主人公跌宕而荒诞的一生，也向我们展现了存在于世界和人类
内心的荒诞思想。虽然这部书并不是一本哲学论著，但是其中隐含的世界的荒诞，对自由
的追溯，和对人类尊严的尊重，使它在存在主义的发展史上占有着及其深厚的地位。
关键词：存在主义
加缪 局外人 荒诞 自由
Introduction
Cette année marque la 56ème anniversaire du décès d’Albert Camus, prosateur et
journalist qui est mort dans un accident le 4, Janvier, 1960, en voyageant avec son
ami et éditeur Michel Gallimard, dans une petite ville qui s’appelle Villeblevin du
nord de la Burgendy. Il avait 46 ans. 3 ans auparavant, il avait gagné le prix de Nobel
de littérature grâce à “ses production importants, qui ont un sens cordial et sage qui
illuminate les problèmes de la conscience d’humaine dans notre époque.”
Camus est une grande homme pour l’existentialisme. L’existentialisme est une école
philosophique née à la seconde moitié de XXème siècle. Il est aujourd’hui l’une des
grandes écoles philosophiques du monde occidental. Bien qu’il y a une divergence
entre Camus et Sartre, un autre personnage représentatif de l’existentialisme, Camus a
son impact large et profonde sur le développement de l’existentialisme. Dans son
travail, Camus a utilisé le style d'écriture inconnue, nous présente l’absurdité du
monde, l’importance de la liberté, la dignité de la vie et l’humanité.
Mots clés : existentialisme Albert Camus absurdité liberté
Remerciements:
Ce mémoire de de fin d’étude est le résultat de l’aide de plusieurs personnes. Je
souhaite de adresser tous mes remerciements aux personnes qui m’ont apporté leur
soutien et qui ont ainsi contribué à l’élaboration de ce mémoire quand j’étais fait face
à des difficultés.
Tout d’abord, je tiens à remercier à Professeur Shounong Feng, Directeur du
département de français, et professeur de civilisation française, qui nous apprenait les
connaissances essentiels de l’existentialisme.
Merci à Madame Paloma LAFON, tutrice de ce mémoire, professeure de FLE de
l’IFC de l’Université du Peuple, pour son aide précieuse et le temps y a consacré. Je
remercie également Madame Fang TAN, professeure de français, pour son aide et
encouragements.
Enfin, j’adresse mes remerciements à mes deux professeures de FLE, Aurélia et
Carine, ainsi qu’à mes avis et qu’à ma famille pour leur soutien.
L'étude de l'existentialisme dans l'Etranger d'Albert Camus
Introduction
«Il existe une abondante publication sur Albert Camus. Plus de 1300 titres de
volumes, d'articles de revues, de comptes rendus, ont été recensés. La plupart traitent
de Camus comme homme de lettres, comme homme de théâtre ou comme
philosophe.»
— Marcel J. Mélançon
Cette année marque la 56ème anniversaire du décès d’Albert Camus, prosateur et
journalist qui est mort dans un accident le 4, Janvier, 1960, en voyageant avec son
ami et éditeur Michel Gallimard, dans une petite ville qui s’appelle Villeblevin du
nord de la Burgendy. Il avait 46 ans. 3 ans auparavant, il avait gagné le prix de Nobel
de littérature grâce à “ses production importants, qui ont un sens cordial et sage qui
illuminate les problèmes de la conscience d’humaine dans notre époque.”
Ce grand maître de littérature avait une enfance misérable en Algérie. À cause de la
morte de son père dans la Première Guerre Mondiale, il a une vie serrée avec sa mère.
Plus malheureusement, Il a attrapé la tuberculose pulmonaire en 1930 pendant ses
études de philosophie. Désormais, cette maladie l’avait toujours tourmenté et lui
apporté une pensée plus profonde sur la vie, l’être humaine et la croyance.
l’Étranger est mijoté de 1938 à 1939, pendant la Deuxième Guerre Mondiale, quand
Camus avait 26 ans. En décriant la comportement hétérodoxe du héros Meursault,
Albert Camus a relevé l’absurde du monde et l’opposition de l’humaine et la société.
Par exemple, pour son attitude vers le Dieu, il a écrit: « j'ai répondu que je ne croyais
pas en Dieu. Il a voulu savoir si j'en étais bien sûr et j'ai dit que je n'avais pas à me le
demander : cela me paraissait une question sans importance.».
Dans cette oeuvre, bien qu’il n’avait pas présenter directement son idée
philosophique, il nous a présenté l’essence de l’humaine et il a essayé de trouver la
signification de la vie. Camus est parti dans L'Étranger avec le « Tout le monde sait
que la vie ne vaut pas la peine d'être vécue » et il s'interroge et rétablit les choses dans
Le Mythe : « Il s'agissait précédemment de savoir si la vie devait avoir un sens pour
être vécue. Il apparaît ici au contraire qu'elle sera d'autant mieux vécue qu'elle n'aura
pas de sens ».
Bien qu’on a des disputes sur la relation entre l’absurde et l’existentialisme, on ne
peut pas dénier la position importante d’Albert Camus dans la littérature et
philosophie l’existentialisme. Ce qu’on veut savoir c’est en quoi cette oeuvre a
appartenu à l’existentialisme.
On va le discuter selon trois clues: L’être humaine pour l’individu, l’interaction entre
l’être humaine et le monde et la seule fin affirmative - la mort.
I. L’être humaine est essentiel pour l’individu
1.1 La conception de l’existence
L’existence est la réalité identique de la volonté d’humaine, y compris l'existence
matérielle et l'existence de la conscience et l'existence d’entités, les attributs, les
relations. La volonté en soi-même est également une genre d’existence. Ce que les
gens pensaient, les choses irréelles sont aussi une genre d’existence. Le monde virtuel
est également une existence. Il est une présence du monde de la conscience.
Selon les philosophes idéalistes et les philosophes matérialistes, la définition de
l’existence sont différente. Selon les philosophes idéalistes, «Esse est percipi aut
percipere»(être, c’est être perçu ou percevoir).1 Les choses qui ne peuvent pas être
perçu (y compris la perception par le dieu), ne peuvent pas se prouver son existence.
Selon les philosophes matérialistes, l’existence est une conception absolue.
1
A Treatise Concerning the Principles of Human Knowledge, George Berkeley
Cependant, la discussion de la théorie d’existentialisme ne concentre pas à la
conception essentialiste, donc elle a surpasse l’échelon de idéaliste ou matérialiste.
Les philosophes existentialistes estiment que l’existence est l’existence subjective de
l’individu. La question centrale de l’existentialisme est sur l’humaine soi-même.
1.2 Exemples dans l’Étranger
Dans L’Étranger, les sentiments, les actes, les connaissances de son objective, sont
tous les exemples de l’existence. Cette genre de l’existence n’est pas rationnelles,
mais une expérience sentimentale irrationnelle.
Plus précisément, on peut le discuter selon 3 parties. Elles sont les 3 principes
essentielles pour l’existentialisme. Premièrement, l’existence précède l’essence.
Deuxièmement, l’existence est un hasard. Troisièmement, l’être humaine est définit
par ses choix. On discutera avec les preuves dans l’oeuvre L’Étranger.
A. L’existence précède l’essence
L'existence humaine précède son essence. Ça signifie que qu'il doit exister avant de
créer son propre essence. Cependant, ce n’est pas l’existence qui crée l’essence, mais
l’individu crée l’essence de soi-même pendant son existence.
En ce qui concerne l’en-soi, la chose peut correspondre à un schéma, à un plan, à un
concept. On parle alors de l’essence de cette chose. Ainsi, l’essence du vélo
correspond à l’idée générale qu’on a tous de cet objet, indépendamment de sa couleur,
de sa grosseur, etc. On dit alors que l'essence (ou encore l'idée, le plan, le concept ...)
précède l'existence. Si Jean-Paul Sartre peut admettre une telle explication pour tous
les objets, il prétend qu’une telle façon de faire ne peut rendre compte de ce qu’est
l’être humain.2
Il n'y a pas d'essence humaine antérieure à l'existence de l'homme. Selon Sartre, il
est impossible d’obtenir une définition théorique totalement satisfaisante qui
permettrait de savoir précisément ce qu’est l’être humain. Celui-ci existe tout d’abord
et se définit ensuite par rapport aux actions qu’il a posées. S’inspirant de Karl Marx,
Sartre nous invite donc à définir l’être humain par les action qu’il produit plutôt que
par des idées ou des croyances.
On peut aussi voir dans L’Étranger, la différence entre l’humaine et les choses.
Albert Camus nous présente, dans L’Étranger, que les hommes ont leurs singularités
2
Martin Godon, L’existentialisme selon Jean-Paul Sartre
et ils ont leurs actes, sentiments et logics uniques et personnelles. On ne peut pas
prévoir les actions d’une personne et on ne peut pas connaitre ses pensées totalement.
Donc on peut voir dans L’Étranger, la humanité ne sont pas descendante de la
moralité ni de la divinité. Les hommes sont absurdes. Meursault ne se préoccupe pas
de l'existence de Dieu, car il pensait que c’est un affaire classé. Pendant ses voyages,
il s'ennuie dans les églises qu'il visite, et constate que «le dieu qu'on adorait ici était
celui qu'on craint et qu'on honore, non celui qui rit avec l'homme devant les jeux
chaleureux de la mer et du soleil». Pour le Meursault, la position est similaire. Il a dit
au pasteur quand il était au prison: « j'ai répondu que je ne croyais pas en Dieu. Il a
voulu savoir si j'en étais bien sûr et j'ai dit que je n'avais pas à me le demander : cela
me paraissait une question sans importance »3. Il sait qu'il mourra tout finalement et le
temps qui lui reste avant son exécution, il ne veut pas le perdre avec Dieu.
De plus, les hommes ne sont pas devinable selon la moralité. «Je savais que c'était
stupide, que je ne me débarrasserais pas du soleil en me déplaçant d'un pas. Mais j'ai
fait un pas, un seul pas en avant. Et cette fois, sans se soulever … Et c'était comme
quatre coups brefs que je frappais sur la porte du malheur.» Selon la meurtre de
l’Arabe, on ne peut pas expliquer l’acte de Meursault solon les règles de la moralité.
La motivation de son acte est totalement absurde et aléatoire. Avant son meurtre, il
était totalement un bon homme, un employé honnête, une personne banale. Personne
ne peut prévoir qu’il attenterait. C’est aussi la raison pourquoi le juge pense que «un
homme qui tuait moralement sa mère se retranchait de la société des hommes au
même titre que celui qui portait une main meurtrière sur l'auteur de ses jours». «C'est
alors qu'il a parlé de mon attitude envers maman. Il a répété ce qu'il avait dit pendant
les débats. Mais il a été beaucoup plus long que lorsqu'il parlait de mon crime.» Les
gens pensaient que Meursault était un homme qui tuait sa mère moralement car il a
tué un Arabe mais pas à l’inverse. C’est ce qu’il a fait définit ce qu’il est, pas à
l’inverse. Malgré tous, selon Camus, sont absurde.
B. L’existence est un hasard
Existentialisme croit que tous les êtres, y compris l'existence d’humaine et tous les
choses arrivées par accident. Cela ne veut pas dire que l'univers physique est
désordonné ou qu’il n'y a pas de loi ni de la règle du tout; Cela ne veut même pas dire
que les lois de la science a trouvé sur le monde physique est complètement illusoire,
qu’on ne peut pas faire confiance. Il suffit de dire, à la fois pour l'univers des
personnes ou du matériel, il n'a pas de chose pré-déterminé.
3
page 57, Albert Camus, L’Étranger, Gallimard, 1971-12
Ce qu’on dit «hasard» signifie que pour la présence du monde matériel il n'y a
aucune raison, ni est-il basé sur une idée, la pensée ou de l'interprétation spirituelle
absolue de celui-ci à l'avance avec un certain sens.
Étant donné que tous les êtres ne sont pas déterminées, mais accidentels, la présence
est incertaine. On peut en déduire que, au fond, l’existence est absurde.
On peut aussi voir dans L’Étranger que, Albert Camus nous présente un monde sans
Dieu. Monsieur Meursault se refuse à l'éternel sous toutes ses formes : Dieu,
l'immortalité, l'espoir.
Pour le Dieu, Meursault a refusé de recevoir l'aumônier avant l’execution. À mon
avis, c’est parce qu’il n’accepte pas les charges sur lui. Il sait bien que son attentat
contre l’Arabe est accidentelle, pas par l’intention. Il n’accepte non plus les
accusations qu’il est un homme insensible, un homme qui tuait sa mère moralement,
un homme qui doit «se retranchait de la société des hommes au même titre que celui
qui portait une main meurtrière sur l'auteur de ses jours». Il trouvait que c’est absurde
d’expliquer un accident selon les règles et la moralité de la société. Sa mort, n’est pas
une peine de Dieu causé par sa faute, mais une faute des jurés, qui ne croyaient pas
l’existence du hasard, et qui pensaient que les logics de la moralité pouvaient être
appliqués à toutes circonstances.
Pour la relation entre lui et sa mère, il a dit que c’est l’habitude. («Mais c'était à
cause de l'habitude. Au bout de quelques mois, elle aurait pleuré si on l'avait retirée de
l'asile. Toujours à cause de l’habitude.»4)
La relation entre enfant et parents est considérée comme une relation la plus
essentielle et la plus solide dans le monde. Cependant, pour Meursault, il trouve que
l’affection entre lui et sa mère, était basé sur l’habitude. Étant donné qu’ils ne vivent
pas ensemble, les affection de l’un pour l’autre disparaitrait. Pourtant, aucune ne peut
promettent qu’il peut vive toujours avec quelqu’un. Ils peuvent se séparer pour des
raisons variés. Par exemple, comme dans L’Étranger, pour la raison économique.
Bref, comme la relation la plus essentielle dans la société des humaines, la relation
parentale peut être changé par l’habitude et d’autres choses accidentelles, on peut dire
que l’existence est un hasard.
En troisième lieu, à la fin de sa vie, Meursault a trouvé que une seule choses certaine
est la mort. «Maintenant, je comprenais, c'était si naturel. Comment n'avais je pas vu
que rien n'était plus important qu'une exécution capitale et que, en somme, c'était la
seule chose vraiment intéressante pour un homme!» il a dit dans L’Étranger, avant
son execution, dans la prison. « L'ordre du monde est réglé par la mort », c'est une
4
page 10, Albert Camus, L’Étranger, Gallimard, 1971-12
vérité qui se répercute dans La Peste et dans L'État de Siège, symboles l'une de la
condition métaphysique, l'autre de la condition historique de l'homme.
Pourtant, même si l’existence est un hasard, et la mort est une seule chose qu’on peut
contrôler par nous-mêmes, cela ne signifie pas la seule méthode pour révolter la
réalité est la suicide. «L’absurde» transmettre les recherches par les hommes la
rationalité et la compréhensibilité de l’existence. il connecte l'homme et le monde. Par
laquelle, les gens peuvent confirmer l’existence du monde et leurs-mêmes, rétablir les
relations avec le monde. Celles-là sont la première partie de la philosophie de
l’absurde de Camus.
Bref, cet attribut de l’existence ne déduire pas à la suicide. Au contraire, Camus mis
en avant comment qu’on doit faire pour faire face au monde: il a nié deux formes de
suicide - la suicide physique, qui essuyage l’existence de l’individu; le suicide
philosophique, qui dédie à néant, renonce à la lutte. Les rebelles doivent se fonder sur
le présent, afin de traiter l’absurdité par la choix libre et les actes réelles. Camus a
obtenu une compréhension claire de la résistance avec l’absurdité comme un point de
départ. Ce qu’il a recherché est la liberté du choix et la responsabilité de ses actes. Ce
sont les sens de l’existence selon Camus.
C. L’être humain est définit par ses choix
L’existence est accidentelle et absurde. Pour les gens, ils tout à bord existent, puis
déterminent leur nature par leur propre choix. Donc, les gens ont la liberté absolue.
L’existence d’humaine est inséparable avec ses responsabilités et ses propres choix.
Sartre a souligné que la liberté humaine est absolue, parce que les gens vivent dans
un monde isolé. Les gens sont "jetés" dans le monde. Le Dieu, la science, la
rationalité, la moralité ne sont pas pertinents, que ils ne peuvent pas nous dire la vérité
et la façon de vie. En même temps, ils n’ont également pas d'effets de contrôle et de
contrainte. À cause de cela , les gens ont la liberté absolue.
Dans la théorie de l'existentialisme, la responsabilité est fondamentalement un
émotion et un sentiment qu’on est le faiseur d’un événement ou un influencer pour un
ou plusieurs personnes. C’est à dire que quand une personne est libre, elle est
responsable. Une fois il prendre un action selon la choix de liberté, il doit prendre
aussi les conséquences de cette action, sans aucune excuse et regret. Selon sa point de
vue, il n’existe pas l’ordre ou loi qui peuvent légaliser et valoriser nos décisions.
N’importe quel sont la conséquence, on doit toujours savoir que nous sommes
l’auteur de nos actes.
Selon Albert Camus, la liberté est un droit de l’homme. Nous avons rencontré la
liberté comme conséquence de l’absurde. Nous voyons aussi que le droit de liberté est
une exigence de la révolte historique. Dans l'absurde, l'homme ne s'occupait que de sa
liberté individuelle à l'égard des règles communes. Mais dans la révolte, il est reconnu
une dimension collective : « La valeur la plus calomniée aujourd'hui est certainement
la valeur de liberté ». Elle se trouve au principe des grands mouvements de
révolution. Elle est le moteur des hommes : « ... La liberté, seule valeur impérissable
de l'histoire. Les hommes ne sont jamais bien morts que pour la liberté ». 5
Dans L’Étranger, on peut voir que Meursault nous présentait ses choix libre:
«J'avais vécu de telle façon et j'aurais pu vivre de telle autre. J'avais fait ceci et je
n'avais pas fait cela. Je n'avais pas fait telle chose alors que j'avais fait cette autre. Et
après ? C'était comme si j'avais attendu pendant tout le temps cette minute et cette
petite aube où je serais justifié.» Selon lui, il a fait ses choix, qui a abouti à ses
résultats. Mais il ne regrettait pas, il dit: «J'avais eu raison, j'avais encore raison,
j'avais toujours raison.»6 Bien ou pas, ce sont les choix libre de Meursault qui forment
son essence, ses caractères et sa singularité. C’est pourquoi il ne regrattait jamais.
Il a dit aussi que «les vies qu'on choisit, les destins qu'on élit, puisqu'un seul destin
devait m'élire moi-même et avec moi des milliards de privilégiés qui, comme lui, se
disaient mes frères. Comprenait-il, comprenait-il donc? Tout le monde était privilégié.
Il n'y avait que des privilégié»7. Les choix de toutes les personnes conduisaient une
réseau de destin. Ils se croisaient et s’influençaient. Tout le monde a le droit égale à
choisir librement. Soit ils choisissaient par leurs-mêmes, soit ils choisissaient par des
autres; soit ils choisissaient indépendamment, soit ils chinoisaient pas
indépendamment, une fois ils participaient dans le monde et l’interaction, ils ne
peuvent pas éviter de prendre responsabilités de son destin.
L’être d’humaine, ou bien l’existence d’humaine, est la fondation de la conception
du monde pour la philosophie de l’existentialisme. L’existence ne peut pas se séparer
avec la perception de l’homme. Donc, comme Sartre a dit, «l’existentialisme est un
humanisme». L’existentialisme se centre sur les personnes, l'individualité humaine et
de la liberté. Étant donné que les gens vivent dans un univers de sens, l'existence
humaine elle-même n'a pas de sens, mais les gens peuvent lui-même créer ses propres
valeurs et la vie dynamique sur la base de l’existence.
transition
5
page 694, Albert Camus, L'Homme révolté
page 96, Albert Camus, L’Étranger
7
Ib
6
Cela concerne les contenus qu’on va discuter à la suite: comment doit-on traiter la
relation entre nous-mêmes et le monde externe? Après avoir su que l’existence est un
absurde, est-ce qu’il a une méthode pour mieux vivre?
II. L’interaction entre l’être humaine et le monde est
obligatoire
L’existence représente le développement du monde entier. La conscience des
substances a un rôle dynamique pour le monde matériel.
Les activités de conscience a un but et de la planification, les personnes actives
peuvent comprendre le monde . La conscience humaine ne reflète pas seulement
l'aspect extérieur des choses, mais aussi de saisir l'essence des choses et des lois. Les
gens peuvent changer activement le monde. La conscience a un rôle directive pendant
transformer le monde.
Après la Seconde Guerre mondiale, les gens se sentaient un avenir incertain, face à
une menace sérieuse de l'existence humaine. Les gens ont perdu le sens de la sécurité,
ils étaient désespérés, solitaires et dans la peur de devenir sans abris. C’était quand le
rationalisme, le scientisme et l’optimisme sont remplacé progressivement par la
philosophie absurde. Les gens ont largement ressenti l’absurde de monde et l’absurde
de l'existence humaine. En ce moment-là, la philosophie d’absurde est entré en être.
L’explication de la philosophie existentielle pour «l’absurde» est: Étant donné de la
séparation de l'homme et le monde, le monde est absurdes et sans signification pour
les gens. À cause de l’absurdité, les gens ne peut rien faire, ils ne détient aucun espoir
pour toutes les choses indifférent. Dans la littérature existentialiste, Camus est sans
aucun doute un écrivain la plus vive.
Le noyau de la pensée de Camus est l’humanisme, autrement dit, la dignité humaine,
qui est toujours le problème fondamental de sa création, de sa vie et sa lutte politique.
« Mythe de Sisyphe » et « L’étranger » constituent son motif littéraire, y compris la
question centrale des travaux futurs de Camus. Dans ces livres, Sisyphus nous
présente une hypothèses de bonheur. La nature de la motivation de cette hypothèse
n’est pas l’absurde. car l’absurde ne peut pas nous dire la nature de bonheur, ni la
douleur. La raison pour laquelle on suppose que Sisyphe est heureux, c’est qu'il
croyait que la vie heureuse s’accordait la dignité d’humaine. Le bonheur, c’est une
révolte, qui est la seule méthode de révolution possible dans ces conditions.
Dans les parties suivantes, on va discuter les méthodes différentes pour lutter contre
nos destins et gagner le bonheur pendant l’interaction avec le monde. Après tout,
comme tout le monde le sait que, pour l’humaine, l’interaction avec le monde est
inévitable.
A. Le monde est absurde pour l’individu
Le monde est la somme de la description de la portée de l'existence de la vie, de
toutes les choses de la société naturelle, sociale et humaine. Selon la conscience, on
peut distinguer le monde à deux parties: le monde qu’on peut percevoir et le monde
qu’on ne peut pas percevoir. L’homme n'est pas qu'intelligence, il est aussi sensibilité.
Celle-ci est la première à s'éveiller au monde. Or elle expérimente un état de
contradiction entre elle et le monde. Elle a l'impression qu'il est absurde.
La découverte de l’absurdité du monde a un longue processus. «Le sentiment de
l'absurdité au détour de n'importe quelle rue peut frapper à la face de n'importe quel
homme» 8 En général, la vie est endormie par les habitudes quotidiennes ; mais un
jour un fait, en apparence banal, vient tirer la conscience de la torpeur où la
maintenait jusqu'alors le décor habituel. Citons le texte célèbre du Mythe de Sisyphe :
« Il arrive que les décors s'écroulent. Lever, tramway, quatre heures de travail, repas,
sommeil et lundi mardi mercredi jeudi vendredi et samedi sur le même rythme. Cette
route se suit la plupart du temps. Un jour seulement, le 'pourquoi' s'élève et tout
recommence dans cette lassitude teintée d'étonnement. 'Commence', ceci est
important. La lassitude est à la fin des actes d'une vie machinale, mais elle inaugure
en même temps le mouvement de la conscience. Elle l'éveille et elle provoque la suite.
La suite, c'est le retour inconscient dans la chaîne, ou c'est l'éveil définitif ».9
De plus, l’absurdité n’est pas seulement une existence, il est aussi un sentiment
subjectif. On peut aussi dire, « cet incalculable sentiment qui prive l'esprit du sommeil
nécessaire à sa vie » 10. C’est aussi le sentiment qu’on peut voir dans L’Étranger,
quand Meursault savait que sa mère était morte, quand il acceptait la propose de
mariage de Marie. C’est un sentiment qu’on ne peut pas expliquer - un sentiment
intuitive. C’est le début de la découvert de l’absurdité.
Ce qu’on rend faire face à l’absurdité du monde, ce sont la science et la guerre. La
développement de la science a aboli la croyance aveugle en Dieu, et la guerre nous a
présenté la destruction de la moralité de notre société. Selon l’intelligence, la
signification de l’existence d’une chose de base doit être expliqué par une essence
8
page 105, Albert Camus, Le myth de sisyphe
page 106, Albert Camus, Le myth de sisyphe
10
page 101, Albert Camus, Le myth de sisyphe
9
supérieure. Cependant, dans ce sens, ce qui signifie l’essence supérieur doit être
expliqué par une essence plus élevée qu’elle. Par conséquence, rien ne peut occupe
une essence la plus supérieure. Cette «chaîne d’explication» est impossible pour
parvenir à un résultat. En bref, il n’y a pas de «essence suprême», autrement dit, le
monde est absurde.
B. Le choix de l’individu définit son essence et celui-là est influencé
par le monde
«l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait. Tel est le premier principe de
l'existentialisme. C'est aussi ce qu'on appelle la subjectivité, et que l'on nous reproche
sous ce nom même.»11 Selon Sartre, Les gens existent comme la subjectivité pure ou
comme un néant et ils n’ont pas d’essence. Les caractéristiques spécifiques et
prescriptive sont atteintes par les choix et actes libre de l’humaine. Deuxièmement,
l’essence des choses sont données par le peuple. Sartre estime que les objects sont
passifs. Ils ne peuvent pas choisir et créer leur propre nature. Le monde extérieur n’a
aucune signification essentielle. Leur nature et sens sont données par les gens quand
ils sont objets des actes et conscience d’humaine. C’est à dire que, quand la
conscience de gens sont dans le monde extérieur, il peut obtenir l’essence.
Strictement dit, selon Sartre, la liberté absolue ne veut pas dire que les gens ont la
liberté absolue de faire quoi qu’il veut, mais seulement souligner que l’existence
existe toujours pendant les gens font tous les choses. Par exemple, Sartre a dit que les
prisonniers jouissent d'une liberté absolue, mais ça ne signifie pas qu'il peut avoir plus
d'options que d'un homme libre; il veut seulement dire que concernant la possibilité
de son choix, sa liberté est absolue. Cependant, comme les collections infinies qui ont
les tailles différentes peut avoir différents domaines (par exemple, tous les nombres
naturels et tous les numéros sont deux tailles différentes en ayant les collections
illimitées), les différentes personnes ont le choix illimité ne signifie pas qu'il n'y a pas
de différence. Cela signifie que quand des personnes différentes font une choix, en
plus de sa sélection absolument libre, sa situation morale et la possibilité de choix
sont très différent. Dans les situations morales différentes mais on doit prendre la
responsabilité absolue, c’est une difficulté dans sa théorie.
Dans L’Étranger, la mort de Meursault est un parfait exemple de la contrainte. Il
nous présente comment la moralité du monde et les autres influence la conscience.
Pourtant, ce n’est pas le plus important. Citations de Meursault, «J’avais vécu de telle
façon et j'aurais pu vivre de telle autre. J'avais fait ceci et je n'avais pas fait cela. Je
n'avais pas fait telle chose alors que j'avais fait cette autre. Et après ? C'était comme si
11
page 3, J. P. Sartre, L’existentialisme est une humanisme
j'avais attendu pendant tout le temps cette minute et cette petite aube où je serais
justifié. »12. Toutes les vies de l’humaine sont limité, mais dans la vie limité, on a des
choix illimité. Ce sont les choix qui nous font unique. Même si on chois sous les
contraintes, on ne peut pas refuse leurs conséquences, car c’est lui qui conduit notre
essence.
C. La communication interpersonnelle est un espoir ou un menace?
La relation interpersonnelle une problème concernée par toutes les doctrines de
l’existentialisme. Différents existentialistes ont leurs points de vue différentes sur
cette question, cependant, ils ont souligné, l’homme peut comprendre les autres et les
autres peuvent me comprendre. La différence c’est que : les autres doivent être
considérés comme l’objet ou comme l’humaine.
Selon Sartre, il approuve l’idée dernière. Il a dit dans son théâtre, Huis Clos, «l'enfer,
c'est les autres». Pourtant, ce ne veut pas dire que les gens doivent être égoïstes. Ça
veut dire qu’on ne peut pas rendre les autres la puissance de distribuer nos choix. Car
il pense que la liberté est la forme de l’existence d’humaine. La moralité essentielle
pour Sartre c’est la liberté. Donc, il pense que les gens doivent créer leurs propres lois
et les respecter. La liberté rendre la possibilité à personnes de vivre harmoniquement.
Selon Camus, il est aussi d’accord avec que les gens peuvent se comprendre. Avant
l’execution, Meursault a dit: «Pour que tout soit consommé, pour que je me sente
moins seul, il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon
exécution et qu'ils m'accueillent avec des cris de haine.» Après trouver la vérité du
monde, Meursault ne s’inquiétait pas que les autres le changeait. Son execution
pourrait réveiller l’absurdité de monde et influençait les spectateurs. Même s’ils ne
pouvaient pas comprendre en ce moment-là, leurs monde allait changer par la mort
Meursault, car l’existence est être perçu.
Même s’il y a un conflit entre Sartre et Camus, on peut toujours voir la similarité de
ses pensées. L’existentialisme comme une théorie philosophique née après la
Deuxième Guerre Mondiale, a inspiré les gens à découvrir la coeur intérieur, rende les
gens la courage et le désir de la liberté.
12
page 17, Albert Camus, L’Étranger
III. L’éthique de l’existentialisme
A. L’existentialisme est une philosophie éthique
Il sera mieux de considerer la philosophie existentialiste comme une philosophie
éthique qu’une philosophie expliquant la vision du monde. C’est parce-qu’en terme
des objectives, la finalité de la théorie ou la problème de base (la nature et la doctrine
de la problème qu’elle concerne), l’existentialisme est une réflexion métaphysique,
qui est basé fondamentalement d’origine et la fondation de la moralité, le
discernement du bien et du mal, plutôt qu’une philosophie sur la vue du monde, qui
explique l’existence matériel et les règles du mouvement de l’existence de l’univers.
En première lieu, selon ce que Sartre a dit dans son oeuvre L’existentialisme est une
humanisme, il indique directement et souligné que l’existentialisme selon lui, est une
philosophie concernant de la mouvement éthique, qui signifie, la philosophie éthique.
En suite, quand il répondait les critiques qu’il a limité l’homme à la subjectivité
personnelle, Sartre a indiqué encore une fois en générale que l’existentialisme n’est
pas une philosophie sur la vision du monde, mais une philosophie sur la valuer de vie,
sur la moralité. Il admet aussi que la départ de la théorie est la subjectivité de
l’homme. Son objectivité, est d’établir une théorie qui est compatible avec la dignité
d’humaine et évite de faire l’homme chose. Cela signifie que sa théorie ne considère
pas l’homme comme les éléments essentiels de l’univers, et après révéler les règles du
mouvements du monde, mais établir une état qui est une modèle de valeur, qui se
distingue d’autres choses matériels.
En deuxième lieu, dans la doctrine de la problème de base de la théorie de
l’existentialisme, on peut voir que, pendant la période de l’existentialisme plus pure
(avant la publication de L’existentialisme et marxisme et La Critique de la raison
dialectique), la sujet de ses discutions est constante, qui est toujours les problèmes sur
la philosophie éthique. En plus, les pensées de ces problèmes sont dans les niveaux
éthiques. Les méthodes d’analyse, sont toujours suite les pensée éthiques. Surtout,
dans l’oeuvre le plus typique, L’existentialisme est une humanisme, Sartre a expliqué
son point de vue, ses idées et l’orientation de la vie sur l’existentialisme.
Dans les oeuvres de Camus, il aimait bien de construire les conditions extrêmes et en
marge, pour interroger l’humanité et faire dérouler la liberté. En bref, ce que Sartre et
Camus concerne, n’est pas de règles ou la vérité de l’univers, mais la condition de vie
de l’homme. Les 3 éléments essentiels dans l’existentialisme de Camus: la liberté, la
responsabilité, la révolte, sont tous les conceptions sur la jugement de valeur.
L’existentialisme nous aide à chercher la vérité du monde, mais surtout à augmenter
la vitalité et la valeur de l’essence.
B. Deux éléments éthiques essentiels de l’existentialisme: la liberté
et la responsabilité
Selon Sartre, comme une théorie qui donne la valeur à l’essence humaine,
l’existentialisme soutien que tous les lois et les mouvements qui contrôlent la
mentalité et la corps doivent concevoir l’existence humaine et la subjectivité humaine.
Pour se tirer des limites et libérer la corps et la mentalité humaine, les existentialistes
ne positionne pas seulement comme une théorie humaine, en plus, ils positionne
comme une théorie humaine qui gagner la liberté, la dignité et la valeur humaine. Ils
s’opposent à tous les étouffements de l’humanité. Comme Sartre a dit, une défaut la
plus grande de marxisme est qu’elle fait trop d’attentions aux classes, la socialité et
l’abstraite mais peu d’attentions aux la singularité, réalité et la spécificité de l’homme.
Elle n’a pas connaitre que l’existence humaine est la base du monde.
Donc, on peut savoir qu’on ne peut pas laisser l’homme à une positon passif.
L’homme est l’existence la plus essentielle et la plus définitive. L’homme est une
existence qui produit leur propre essence. Étant donné que l’homme est une vie
spéciale, on doit admettre que la condition et la base de tous les mouvements sont la
liberté. C’est à dire que, l’homme, c’est une existence libre à son début.
C’est quoi la liberté selon Sartre? Comme lui a dit: l’homme est existence né dans le
néant. Pour l’existence humaine, ce qui rend la singularité contre le néant, est la
liberté. La liberté est l’essence pour soi, ou la dynamisme subjective. La liberté est la
base de pour-soi, elle détermine aussi l’existence humaine et l’essence humaine.
Autrement dit: la liberté humaine procède l’essence humaine et donne la possibilité à
l’existence de l’essence. La liberté existe dans l’existence humaine, donc ce qu’on dit
«la liberté» ne peut pas se distingue de l’essence humaine. Cela signifie que la liberté
est une chose qu’on ne peut pas éviter. L’homme est destiné à être libre. La liberté est
la force d’obliger l’homme à conduire leurs mêmes. Devenir l’homme c’est devenir le
Dieu. Le Dieu est morte. les hommes doivent sauver leurs mêmes.
Cependant, la liberté ne signifie pas une vie sans limite. On sait déjà que, car
l’homme est l’existence essentielle, il doit être responsable pour lui-même. Donc, la
première conséquence de l’existentialisme est de faire face à la vérité de leur
mouvement et prendre responsabilité de leur choix. Cela signifie aussi que, l’homme
ne prend pas seulement responsabilité sur lui-même, mais aussi sur les autres. En fait,
quand l’homme prend son choix, il prend le choix pour tous les hommes. Autrement
dit, quand il construire lui-même, il construire aussi les autres. Les choix se croissent
et s’influencent. Par exemple, selon Camus, les participants de la guerre doivent
prendre la même responsabilité comme les gens qui ont provoqué la guerre.
Cependant, le niveau de la responsabilité peut se varier. Les gens qui a une impact
plus grande doivent prendre une responsabilité plus grande.
Donc, commet doit-on prendre le choix et la responsabilité? À cause de la mort du
Dieu, et la disparition de la moralité absolue, on peut prendre tous les décisions sans
limitation. Autrement dit, l’homme n’est pas obligatoire de consulter les modèle qui
existe déjà pour expliquer ses actes. Il n’y a pas d’ordre qui nous donne la valeur pour
raisonner nos actes. L’homme est donc isolant. Cependant, c’est la liberté qui nous
donne la responsabilité de conduire nos propres essences, de trouver nos propres
futures. Pourtant, on sait bien que le monde et la vie sont absurde. En finalité, ce qui
nous influence est la sens. L’orientation la sens on pousse à, c’est la route on doit y
aller.
Après savoir tous çà, on connait que la valeur de la vie n’est pas dans nos corps,
mais dans le monde externe. La valeur de la vie se trouve dans la création. Comme
Meursault, qui veut sa morte peut influencer les spectateurs.
C. La liberté est une concerne l’humanité
L’existentialisme est une humanisme. Elle ne concerne pas seulement l’esprit
humaine, mais aussi la corps humaine. Quand l’esprit et l’âme est totalement dissocié
du corps et la vie quotidienne, et sont devenu une analyse abstraite et une recherche
empesé de la moralité. Cela n’a pas abouti la moralité supérieur, au contraire, il a
abouti la dégradation de l’humanité. Dans le 20ème siècle, la cri «libérer de leurs
propres» de nouvelle nietzschéisme a promu l’harmonie et l’unification de l’âme,
l’esprit et la corps. L’homme a connu la nature et la corps humaine.
Par exemple, la relation entre Sartre et Simone de Beauvoir. Ils n’ont jamais
s’enregistré la mariage, fait la noce, même pas construire la famille formelle. Pendant
50 ans, ils se gardaient la liberté d’émotion et du sex, et même essayaient «la famille
de trois». Il a manifesté que la vielle vison de mariage, de la famille et du sex sont
désuètes. Il transforme l’homme à la pureté d’esprit et de corps, l’amour à la pureté de
sex et de l’émotion. Cette théorie est aussi utilisé par Camus dans L’Étranger pour
expliquer l’amour entre Meursault et Marie. Selon lui, l’amour n’est pas une
convention, mais le sens subjectif. Citations «Le chien de Salamano valait au- tant
que sa femme. La petite femme automatique était aussi coupable que la Parisienne
que Masson avait épousée ou que Marie qui avait envie que je l’épouse.» Dans le
monde d’amour, l’objets ne sont pas important. Ce qui est important est ce qu’on sent
dans la coeur.
Pourquoi Sartre et Camus ont fait attentions au sex et l’amour? Ces deux choses,
sont enfin une chose. C’est l’existence la plus essentielle et la plus supérieure pour
tous les vies. C’est la passion de vie, qui nous rend l’intérêt à comprendre les autres.
Avoir su que la corps est la source du sex et l’amour, on peut dire que la corps est la
base de l’essence, mais aussi la transporteur de la relation entre moi et autres. Il
contient deux relations directes: la conflit et la co-existence. «Tous ce qui est valable
pour moi est valable pour les autres».
L’amour signifie d’aimer et d’être aimé. C’est à dire que les deux côtés doivent être
libre. Il doit être sujet mais aussi objet pour l’autre côté. L’amour ne doit pas être
obligé ni matérialisé. Cependant, dans cette condition, les gens peuvent dans la
regarde, l’exposition, la conflit mutuelle. C’est ce que Sartre a dit «l’enfer, c’est les
autres».
Conclusion
En conclusion, les existentialistes, y compris Albert Camus et Jean Paul Sartre, n’ont
pas fait attentions seulement aux définitions philosophiques, mais aussi aux méthodes
à résoudre les problèmes de la bonheur de l’homme. Comme Sartre a dit:
«L’existentialisme est un humanisme». La seule chose qui nous porte le bonheur c’est
la liberté. Camus nous a aussi présenté que la révolte contre la destin de la vie c’est la
solution pour faire face à l’absurdité.
En bref, l’existentialisme n’est pas une philosophie métaphysique. Il est une
philosophie méthodologique. Comme Camus a dit: «je révolte, donc je suis», ses
pensés nous dirigeant à gagner la dignité de l’homme et trouver la vérité de la vie.
Bibliographie
I. Existentialisme
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Review
Vol. 23, No. 6 (May, 1950), pp. 462-473, American Association of Teachers of
French
Martine Béland et Dominic Desroches, Liminaire : existentialisme et philosophie
continentale, Horizons philosophiques, vol. 17, n° 1, 2006, p. I-III.
Bernard Chenot, L’existentialisme et le droit, Revue française de science politique
Année 1953 Volume 3 Numéro 1 pp. 57-68
《萨特的密码》高宣扬，同济大学出版社，2006-10
（Le secret de Sartre, Gao Xuanyang, Maison d’édition de l’université Tongji, 200610)
Jean-Paul Sartre, L’existentialisme est un humanisme, Gallimard, 1996-1-23
II. Les ouvrages d’Albert Camus
Adelino Braz, La conscience de l’absurdité chez Camus : l’héritage d’un autre
existentialisme, Horizons philosophiques, vol. 16, n° 2, 2006, p. 1-8.
Ian Brunskill, The Gallic Orwell : Reading Albert Camus, The American Interest,
Autumn (September/October) 2010
Albert Camus, L’Étranger, Gallimard, 1971-12
Albert Camus, Le myth de sisyphe, Fremeaux & Associes, 2001-31
Joseph Hermet, À la rencontre d’Albert Camus : La dur chemin de la liberté,
Beauchesne Paris
Marcel J. Mélançon, Albert Camus : Analyse de sa pensée, Philosophe, professeur
chercheur en bioéthique, Université du Québec à Chicoutimi, 1976
III. Sites internet
Sartre VS Camus, http://www.the-philosophy.com/sartre-vs-camus
ANNEXE
Alert Camus avec Jean-Paul Sartre, pris après la théâtre de Picasso «le Désir attrapé
par le queue», Sartre VS Camus, Related articles on Sartre and Camus philosophies