todd nicholson

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KCI LIFECELL
HISTOIRE DE DONNA – transcription
Donna :
« Quelqu'un a dit que le tout est plus grand que la somme des parties. Si vous privez une
personne d'un organe, cette personne peut-elle se sentir entière ? Je m'appelle Donna
Bramante InDelicato. J'ai survécu à un cancer du sein. Rien qu'aux États-Unis, un
nouveau cas de cancer du sein est diagnostiqué toutes les trois minutes. En 1999, j'avais
34 ans, j'ai eu MES trois minutes. Cette année-là, les médecins ont trouvé une grosseur,
j'entendais pour la première fois les mots « cancer du sein non invasif ». Le cancer a été
traité par chirurgie. J'avais lutté contre le cancer et j'avais gagné... pour un temps.
Texte à l'écran :
En 2003, Donna a remarqué une autre grosseur et a subi une autre biopsie.
Un cancer du sein invasif s'était étendu aux ganglions lymphatiques.
John (mari de Donna) :
« Chaque rêve, chaque réveil était marqué par la peur... à l'idée que ma femme allait
mourir... et à l'idée que ma famille serait détruite. »
Donna :
« À 37 ans, je souffrais du type de cancer le plus agressif qui existait. »
Frank (père de Donna) :
« Ma réaction ? Comme si on m'avait déchiré le cœur. Je ne suis pas du genre à pleurer,
mais là j'ai craqué. »
Donna :
« Pendant l'été 2003, je suis entrée à l'hôpital pour une mastectomie bilatérale suivie
d'une chirurgie reconstructive. »
Texte à l'écran :
La chirurgie a été une réussite... et un échec.
Donna :
« Toutes les tumeurs ont été retirées, mais en raison de l'infection, la reconstruction était
impossible. Je me suis réveillée SANS seins. Avec le temps, je me suis habituée à vivre
sans seins. Guérie du cancer, j'ai canalisé mon énergie à soutenir d'autres femmes dans
leur lutte contre le cancer. »
Texte à l'écran :
Les efforts de Donna ont aidé à collecter 150 000 dollars pour la lutte contre le cancer du
sein.
Roberta (mère de Donna) :
« Vous savez, vous êtes arrivée là, vous êtes enfin guérie du cancer mais quelque chose
manque. »
Donna :
« Pendant les années suivantes, j'ai cherché à faire une reconstruction mammaire, mais à
cause de ma petite taille, mes cicatrices et ma peau lésée par les rayonnements, on me
répétait que ce n'était pas possible. »
John (mari de Donna) :
« Il n'y avait pas de solution pour elle. Elle a vécu des années avec un corps défiguré. À
certains moments, elle s'en servait comme une marque de courage pour ses activités de
sensibilisation. À d'autres moments, je sentais sa douleur d'avoir perdu une part d'ellemême à cause du cancer. »
Texte à l'écran :
Un après-midi, Donna et sa mère sont allées acheter des maillots de bain.
L'expérience s'est révélée trop douloureuse pour Donna.
Roberta (mère de Donna) :
« Tout ce qui avait réussi à contenir ses émotions jusqu'à présent s'est brisé. Elle a tout
simplement craqué. »
Donna :
« Lorsque je me suis vue dans ce maillot de bain, un maillot de petite fille, flottant sur
moi, j'ai vu non pas une image de force pouvant inspirer les autres, mais le souvenir de ce
que le cancer m'avait volé. J'allais ressembler à ça pour le restant de mes jours. »
Texte à l'écran :
Après cinq ans de recherche, Donna a appris l'existence d'une matrice de tissu
régénératrice révolutionnaire.
AlloDerm.
Dr Karl H. Brueing, M.D. (Chirurgien Plasticien, Hôpital Faulkner) :
« AlloDerm est composé de peau humaine. Toutes les cellules vivantes qui peuvent poser
problème durant le processus de cicatrisation sont éliminées par un procédé exclusif, ce
qui est, à mon avis, l'un des principaux avantages d'AlloDerm. »
Texte à l'écran :
Après quelques mois de visite avec le Dr Brueing, Donna a bénéficié d'une
reconstruction.
Dr Karl H. Brueing, M.D. (Chirurgien Plasticien, Hôpital Faulkner) :
« Cela a révolutionné le concept de reconstruction par expandeur ou par implant en
matière de chirurgie du sein. »
Texte à l'écran :
Quelques semaines après l'intervention, la vie de Donna a changé de façon spectaculaire.
Donna :
« ... Je me sentais entière à nouveau ! J'étais heureuse, confiante et sexy ! »
Dr Karl H. Brueing, M.D. (Chirurgien Plasticien, Hôpital Faulkner) :
« C'est bien plus qu'un organe. Cela va au-delà d'une restauration de la silhouette. C'est
une partie de l'identité ; c'est une part d'amour-propre. Ces femmes ont une influence
formidable sur beaucoup d'autres vies, sur leur famille. Rétablir leur bien-être général
influe sur de nombreuses personnes de leur entourage. »
John (mari de Donna) :
« Tout était différent, c'était un renouveau pour nous. Comme si un poids avait été
enlevé de ses épaules, comme si elle reprenait le contrôle de sa vie. »
Frank (père de Donna) :
« Sa conception de la vie était visible sur son visage. Elle était tout simplement
rayonnante. C'était la meilleure chose qui lui soit arrivée, cette reconstruction. »
Roberta (mère de Donna) :
« Redevenir une personne entière, redevenir vous-même... une personne entière, une
femme entière à nouveau ! Savoir que cette option existe aujourd'hui, alors qu'elle
n'existait pas il y a quelques années, c'est juste... c'est difficile à dire avec des mots. »
Donna :
« Mon image dans le miroir ne me rappelle plus mon cancer ni la mort. Je vis pleinement
chaque jour et je me sens revivre sur tous les plans. »
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