Analyse Économique et Historique des Sociétés Contemporaines HEC 2 Révision 6 du programme de Première Année _____________ Nota bene 1. Les questions sont rédigées de façon à faire apparaître les principales problématiques des thèmes du programme. On les traitera donc dans cet esprit : il s’agit de faire la preuve que les grands débats, les principaux enjeux, bref l’esprit de l’AEHSC, sont maîtrisés. 2. Indications bibliographiques : pour ce sixième programme de révisions, on pourra s’appuyer sur : Yves Crozet, « Analyse économique de l’État », Armand Colin, Coll. Cursus, 1991. Pierre Rosanvallon, « La crise de l’État-providence », Seuil, Points Essais, 1992. Pierre Rosanvallon, « L’État-en France de 1789 à nos jours », Seuil, Points Histoire, 1990. Cahiers français n° 271, « Les frontières de l’État », La Documentation française, mai-juin 1995. L’État dans la vie économique et sociale : 1. Analyse économique du rôle et des fonctions de l’État 1 Les trois devoirs du souverain selon Adam Smith 2 Comment les marxistes pensent-ils l’État (de Marx à la théorie du capitalisme monopoliste d’État) ? 3 Les fonctions de l’État selon Robert Musgrave 4 Comment internaliser un effet externe ? 5 Le théorème d’impossibilité de Kenneth Arrow 6 Qu’est-ce que l’école du « Public Choice » ? 7 Le théorème d’équivalence de Ricardo. 8 Qu’est-ce que l’économie de l’offre (supply side economics) ? L’État dans la vie économique et sociale : 2. Poids et action dans l’économie (passé et présent) 1 Les administrations publiques au sens de la comptabilité nationale 2 Comment mesurer le poids de l’État dans l’économie ? 3 Nationalisations et privatisations en France depuis la fin de la seconde guerre mondiale 4 Les politiques de tarification dans le secteur public français : la question de la vérité des prix 5 L’évolution des prélèvements obligatoires en France depuis 1950 6 Qu’est-ce que l’ordo-libéralisme ? 7 Analyse comparée du rôle de l’État en Russie et au Japon du milieu du XIXe siècle à 1914 8 Les trois crises de l’État providence selon Pierre Rosanvallon