I Sociologie et Anthropologie

Sociologie du sport
Section I : Quelques Définitions
I SOCIOLOGIE ET ANTHROPOLOGIE :
1 Sociologie
1.1 Origines:
Elle née au XIXè siècle, parce que les autres sciences n'arrivaient pas à étudier les
phénomènes sociaux. Les phénomènes de société avec de nouveau outils que n'avait pas la
philosophie. Aujourd'hui la sociologie est très diversifiée dans ses objets d'études, et dans les
méthodes.
1.2 Les méthodes rattachées à la société:
1.2.1 Les méthodes quantitatives :
Elle quantifie. Il est possible de faire une étude sur toute la population. Elle chiffre, elle va
déterminer des tendances générales avec l'outil le plus utilisé : le questionnaire. Le questionnaire va
passer sur un échantillon aléatoire de personnes.
Le questionnaire passe sur un échantillon (aléatoire qui ne sera pas forcément représentatif)
(ou représentatif, pour cela on fait d’abord une étude de la population : home, femme, tranche
d’âges). Avec les études quantitatives on ne peut pas avoir de finesse dans les résultats mais un
résultat global.
1.2.2 Les méthodes qualitatives :
Echantillon plus réduit, et ce fait soit par entretien direct et/ou par observation. Les entretiens
sont enregistrés et retranscrits à l’écrit puis on ressort les éléments intéressants et on regroupe avec
les autres résultats, ce sont des éléments d'analyse sur le comportement.
1.3 Sociologie du sport :
Aborde des thèmes très très variés :


Analyse générale du sport à travers de grandes enquêtes quantitatives (quels sports? Quelles
fréquences?) pour avoir un état des lieux des français par rapport au sport. Vision
synchronique et vision diachronique.
Transformation du sport : pratique auto-organisée (ex: footing, skate-board, vélo...
Sociologie du sport




s'organisent et s'apprennent seuls.)
Ensemble de travaux sur le spectacle sportif, vision très critique : J.M Braume, il appelle
l'opium du peuple, leur enlève l'opinion politique...
Réflexion critique sur elle même, outils employés. Pascal Durrey.
Pratiques physiques et sportives traditionnelles liées aux localités : Pelote basque, quilles,
pétanque
Tous les thèmes qui abordent les pratiques sportives comme lieu de distinction sociale et
sexuelle. Sport populaire et bourgeois. Evolution de la distinction sociale ? Sport féminin,
sport masculin. Menson , Rousselle (femmes culturistes).
2. Anthropologie :
2.1 Origines :
Née en Europe au moment où elle découvre l'Humanité exotique. Les grands voyages vers
l'USA, l'Asie fait naître des modes de vie différents des européens. Toutes les sociétés vivent pas
sur les même principes, n'évoluent pas au même rythme. Il s'agit de l'étude de l'Homme.
Existe-t-il des invariants? (y a-t-il des traits invariants, commun à toutes les sociétés).
Elle est composée de 3 sciences : Ethnographie/ ethnologie / anthropologie.
Ethnographie :
c'est l'observation sur le terrain (correspond à la description et analyse des groupes humains et de
leur mode de fonctionnement).
Monographie :
document où l'on va retrouver par écrit où on relate des modes de viue de la société étudiée.
Ethnologie :
on prend du recul, consigner les observations et les ANALYSER, on va essayer de les comparer sur
différentes populations.
Anthropologie :
prend plus de recul, on va essayer de comprendre quelles grandes tendances traversent toutes les
populations. Qu'est-ce qui caractérise les êtres humains d'une façon générale. Elle est comparative
dans l'espace et dans le temps.
2.2 L'ethno-technologie : « la techno »:
Il s'agit d'une branche de l'anthropologie qui est française elle est ni valorisée, ni valorisante.
C'est une étude de la technologie mais plus particulièrement s'interesse aux techniques qui
sont rattachées à l'utilisation des objets
ex: Sarbacane en Amazonie.
Les grands fondateurs : Marcel MAUSS (1936) il publie un article : Les techniques du corps.
Cet article dit que : « le corps en lui même est un outil, et va faire apparaître plusieurs notions
avec les différentes utilisations du corps dans les différentes sociétés.
Sociologie du sport
Qu'est-ce qui est acquis par la nature ?
Qu'est-ce qui est acquis par la culture?
Il va lancer des grandes pistes de recherche et va parler du rapport au corps. Il va créer la
notion de schémas corporel (cf def).
L'anthropologie des pratiques sportives va s'interesser à prendre en compte les phénomènes
culturels rattachés au sport.
La sociologie va étudier des gens qui se connaissent pas. L'éthnologue s'interesse aux
interractions des individus.
Travaux fondateurs :
Bonberger : sociologue, il a écrit sur les supporters et être rugby.
Dargon : différence entre rugby en France et dans les îles Fidji. Les équipes de villages contre les
équipes de villes.
La prof : féminisation des sports équestre.
II DEFINITIONS DE QUELQUES TERMES :
1. La notion de société :
1.1 qu'est-ce qu'on appelle une société ? :
Une société consiste en un groupe d'être humain pourvu de la capacité à autoreproduire son
existence collective en fonction d'un système de règle dont la durée de vie excède celle de chacun
des individus qui s'y soumet.
Chaque individu est né dans une société qui prééxiste et apprend les règles par ses ainés
(idées, coutumes...).
L'apprentissage des cultures = vivre ensemble de la même façon.
1.2 Les deux grands types de sociétés :

Primitives : celles dont les règles n'évoluent pas ou très peu et qui vont perpétuer de façon
régulière leur mode de pensée.

Développées : évoluent dans les systèmes de pensées et évoluent dans le temps. La société
française est une société occidentale sans faire de disticntion.
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2. Notion de culture :
2.1 La culture en « général »:
C'est l'ensemble complexe incluant les savoirs, les croyances, les moeurs, le droit, les
coutumes, ainsi que toute disposition ou usage acquis par l'homme vivant en société. Inérant à la
nature humaine on oppose culture et nature.
C'est aussi l'ensemble de tout ce qui se transmet d'une génération à l'autre dans une société.
MEAD : Moeurs en Océanie (1949) : notion de culture : abstraction, on observe pas une
culture mais des comportements humains.
2.2 Des « cultures » :
Grande variété au niveau des cultures, chacune à un style particulier qui va s'exprimer à
travers : la langue, les croyances, les cultures, le style, le propre de chaque culture va avoir une
influence sur le comportement des individus. Aucune culture n'est isolée, il y a une interraction
permanente entre les cultures.
Il existe différentes cultures duent à l'éloignement, l'isolement ou du soucis de distinction
avec des coutumes différentes. Etude sur les poils, les cheveux, la tonsure...
CCL : Une culture ne se décrète pas, elle relève pas d'un volonté consciente.
2.3 Au niveau de l'individu :
L'héritage culturel se fait au niveau de l'éducation et est en grande partie inconscient. Chaque
individu va être marqué par sa société et participe à la retransmission de la culture ce qui implique
des changements culturels.
2.4 Les cultures sportives :
Dargon :
Une culture sportive est une combinaison spécifique de pratiques, de coutumes, de
comportements, de rapports au corps et de systèmes de valeurs caractéristiques du groupe, des
praticants d'un sport donné.
Il y a autant de pratiques sportives que de cultures sportives. Les pratiques sportives partagent
les traits culturels communs. Les cultures sportives sont sous l'influence de la société donc de la
culture de cette dernière.
Sociologie du sport
3. La notion de sport :
3.1 La difficulté à définir et la nécessité à définir :
Le sport est un champ vaste au contour assez fluide. Tout résiste à dresser des frontières en ce
qui peut être qualifié de sport et ce qui ne peut pas l'être. Ainsi plusieurs définitions coexistent.
Qu'inclut-on dans le sport ?
Le sport peut être :


une simple distraction ludique (comme celle des loisirs sportifs)
une activité codifiée qui ressemble à un travail spécialisé : recherche de la performance.
3.2 Approche diachronique -évolution dans le temps- de
la définition du sport :
Certain parlent du sport pour les jeux de l'Antiquité ou du Moyen Age. Ceci est contesté par
d'autre qui donnent la notion à partir du XIXè siècle.
Parmis les définitions du XIXè siècle :
✗
Pierre Larousse (1875) : précise que la signification du mot sport n'a pas de signifaction
précise mais il recouvre une série d'amusement et de simple plaisir : divertissements qui
mettent à l'épreuve, l'égalité, le courage, l'adresse et la souplesse. On associe sport à dépense
musculaire et engagement effectif.
Les sports athlétiques : rugby, football, athlétisme.
✗ Pierre de Coubertin (1920 ) : culte volontaire et habituel de l'effort musculaire intensif
appuyé sur le désir du progrès et pouvant aller jusqu'au risque. « Le « sport » doit être
pratiqué avec ardeur, je dirai même avec violence, le sport est le plaisir des forts ou de ceux
qui veulent le devenir ».
✗ Georges Heber (1933) : tout genre d'exercice ou d'Activité physique ayant pour but la
réalistation d'une performance et dont l'execution repose essentiellement sur l'idée d'une
lutte contre un élément défini : 1 distance, 1 durée, 1 obstacle, 1 difficulté matérielle, 1
danger, 1 adversaire, et par extension soi même. C'est le sport pour tous même pour les
femmes.
3.3 Quelques définitions moderne du sport :
➢
Pierre Parlebas (1976) :
Sociologue de sport actuel. Pour lui il existe 4 traits principaux pour ce qui est du sport et ce
qui ne l'est pas :
* engagement corporel en action motrice, sans action motrice pas de sport.
* codification : règles qui vont préciser les interdits.
*la compétition : les vainqueurs et les vaincus
* institutionnalisation : instances qui vont fédérer autour d'un sport en légiférer.
Sociologie du sport
Sport
Jeux de société
Jeux sportifs
Jeux rituels des
ballon prisonnier sociétés primitives
Situation motrice
X
O
X
X
Règles
X
X
X
X
Compétition
X
X
X
O
Institutionalisation
X
X
O
X
Le sport correspond à l'ensemble des activités motrices codifiées sous forme de
compétitions et institutionnalisé.
Cela ne regroupe pas l'ensemble des pratiques sportives mais il va pour cela proposer une
nomenclature.
1
Les quasi jeux sportifs
Activités sportives, situation motrices informelles, libre
dénoués de règles, de compétition et qui se déroule en
s'adaptant aux contraintes des milieux, les goûts et l'usage
des participants. Ex : le footing
2
Les jeux sportifs
Situation motrice d'affrontement codifié par un système de
règles. Ex : le ballon prisonnier.
3
Les jeux sportifs
traditionnels
Jeux sportifs enracinés qui eut une forte reconnaissance
traditionnelle mais non institutionnalisé, longue tradition.
Ex : Quilles.
4
Sport
5
Les quasi-sports
Voir la définition
Jeux sportifs qui ont reçu une forte reconnaissance
institutionnelle locale mais qui n'est pas de reconnaissance
internationale avec un nombre de praticants limité. Ex :
pelote basque.
Son système quasi-personne ne s'en ai servi, il n'est pas fonctionnel. Mais il y a matière à
réflexion qu'est-ce qu'il y a à inclure? À exclure?
Il ajoute deux catégories :
–
psycho-jeux
–
echo-jeux : ceux qui se font dans la nature et on utilisde que la nature, milieu non transformé, on
utilise les éléments naturels.
–
Techno-jeux : jeux sportifs fortement influencer par les développements technologiques.
Environnement complètement artificiel.
Sa définition est peu utilisée par les sociologues.
➢
Charles Bronberger (2000) :
Il élargit sa définition, on peut considérer le sport comme des jeux de compétition sérieux,
fondés sur la recherche de la performance physique face à une difficulté affrontée
intentionnellement : un ou plusieurs adversaires : un temps, une distance, un but, un ou plusieurs
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obstacles. On y rajoute au sens restreints le sport recouvre des pratiques étroitement codifié, apparu
au XIXè siècle et qui se sont rapidement diffusés à travers le monde.
4. Exemple de classification :
4.1 Jeux et sports:
Caillois : ouvrage fondateur , les jeux les hommes 1958 : L'amorce de sa pensée : de tout temps on
a joué.
Les caractéristiques du jeux :
*liberté de s'engager dans le jeux
*les conventions : règles à respecter et la règle fait le jeu même si on la contourne on la prend en
compte.
*la suspension du réel, l'individu sait qu'il joue (jeu de fiction).
*l'espace et le temps limité.
Classification des jeux : 4 catégories fondamentales :
–
Agon
-Alea
-Mimicry
-Lilinx
4.1.1 Agon :
Affrontement, jeux de compétition, combat où l'égalité des chances est créé artificiellement
pour que les antagonistes s'affrontent dans des conditions idéales susceptibles de donner une valeur
précise et incontestable au triomphe du vainqueur .
Les épreuves sportives et les jeux comme les échecs, les dames et le billard demandent un
entrainement approprié , des efforts acidus et une volonté de vaincre.
4.1.2 Aléa :
Jeu de hasard : roulette, dés, pile ou face.
Seul le destin est maitre de l'issue du jeu, le joueur est totalement passif. Aléa nie le travail, la
patience et l'habileté.
Il existe cependant des jeux composites mélangeant Agon et Aléa comme la belote. Dans les
deux la possibilité de perdre est inérante et la possibilité de gagner est alors un plaisir.
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4.1.3 Mimicry :
Acceptation temporaire d'une action fictive située en dehors de la vie courante, dissimuler la
réalité. Ex : le théatre.
4.1.4 Lilinx :
Regroupe tous les jeux de vertige qui consiste en une tentative de troubler la stabilité de la
perception et ressentir une panique voluptueuse. Projection dans l'espace, la chute.
Ex: Manèges, saut à l'élastique, accrobranche.
4.2 Classification à partir de la « logique » interne des
pratiques :
Résultats des recherches de Parlebas :
Structures des sports à partir des structures motrices utilisées dans la pratique sportive. Il part
du principe qu'il faut prendre : 2 rapports :
➢
➢
rapport à l'espace
rapport à autrui (autrui et adversaire).
4.2.1 Le rapport à l'espace :
Est-ce que l'espace dans lequel évolue l'athlète est-il un espace certain, ou un espace incertain.
–
–
–
certain : plus le milieu est stable, plus les actions motrices pourront être automatisées. Ex : 110
m haies, manège équestre, terrain de foot, toujours le même, même configuration.
Incertain : quand le milieu est incertain, l'individu devra prendre en compte de la qualité de
l'environnement. Ex : eau, neige.
Semi-incertain, semi-domestique : réduction volontaire de l'incertitude. Ex : la descente de
ski, on balise, on prépare mais il reste une incertitude mais moins importante.
A partir d'une même pratique suivant l'environnement dans lequel on le pratique on peut faire
appel à un espace différent.
4.2.2 Le rapport à autrui :
Les adversaires, les partenaires vont avoir des actions sur l'individu et va jouer sur ses
structures motrices. Ce qui implique des compétences motrices : sociomotricité.
Ex : dans un match de foot on doit analyser le jeu de notre équipe et le jeu de notre adversaire. Plus
l'individu est un expert, plus ses analyses seront fines et adaptées.
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4.2.3 Diagramme de l'ensemble des situations sportives.
3 paramètres : incertitude ( I ), partenaire ( P ), adversaire ( A ), et rien ( R ). L'incertitude
vient des adversaires. (attente du polycopié du diagramme).
4.3 La nomenclature des activités physique et sportives
(N.A.P.S)
Besoin de regrouper.
4.3.1 Diversité des sports et besoin de regrouper.
Le besoin s'est fait ressentir en 2000 les lois d'un enquête. L'enquête est une extrême densité
des activités selon les français : 335 disciplines.
Ils répartissent ces disciplines en 34 familles (encore trop dense).
On regroupe de nouveau, c'est ce qu'on appelera les NAPS : 9 grandes familles d'activités.
4.3.2 Critères à l'origine des NAPS
Il y a des critères variés. A partir des 34 familles on a appliqué 12 critères socio-économique :
–
critères sociologiques :
* 1- type de pratique : individuelle ou collective
* 2- instrumentation : fortement instrumenté (cheval ou vélo) ou non
* 3- effectif de praticants : entre 15 et 75 ans
* 4- part des femmes praticantes
* 5- part des licenciés dans la pratique
* 6- âge moyen des praticants : âgés ou non
* 7- effectif des sportifs de haut niveau
–
critères économiques :
* 8- Budget des fédérations
* 9- budget du secteur professionnel
* 10- diffusion à la télévision : chaines Hertzienne.
* 11- médiatisation dans l'équipe (journal)
On a fait des thèmes à l'intérieur de ses critères :
Sociologie du sport
–
–
–
–
–
nature du sport : 1 et 2
démographie : 3, 4, 5, et 6
haute performance : 7 et 9
degré d'organisation : 5 et 8
Médiatisation : 10 et 11
Il existe 9 classes d'activités :
➢
Loisir équipées autonomes (LEA) :
pêche, musculation, bowling, escalade, montagne, roller, spéléo,(chasse et marche = activités
loisir)
Peu de sportifs de haut niveau, médiatisation faible, peu de licenciés. 160 000 licences pour
9500000 praticants.
➢ Socioludiques (SOL) :
marche sportive, boules, tennis de table, badminton, danse, squash.
Sport aux effectifs importants, fédérations à faible budget, médiatisation faible, fort caractère
convivial et souvent pratiqué en vacances, augmentation des effectifs licenciés = phénomène de
sportivisation.
➢
Activité à haut degré d'organisation (HDO) :
judo, arts martiaux, escrime, tir, sports aériens ...
Difficilement praticable sans encadrement, peu professionnalisé, effectif limité, peu
médiatisé.
➢
Individuelles, instrumentées (II) :
pratiques sur glace, glisse sur eau, golf, avion, canoé.
Implique des espaces spécifiques. Accès limité par le coût des instruments.
➢ D'équipage : (DEQ) :
Equitation, Voile
Pratique encore plus instrumentée et se passe en milieu naturels, budgets fédéraux importants.
➢
Individuelle de de masse (IDM) :
natation, vélo, athlétisme, gymnastique, sport de neige.
Se caractérise du fait qu'elle s'apprennent dès l'enfance par la diversité des niveaux des
pratiquants (occasionnel, acidu). C'est une pratique dûe à une volonté d'entretien pas forcément de
recherche de performance, budgets fédéraux importants.
➢ Activités mécaniques : MEC
Sports mécaniques
Ils sont très instrumentées, ont une identité propre, peu répandus, très médiatisés, il y a
d'importants flux financiers et où il n'y a pas de femmes.
➢ Semi-professionnel (SPR) :
tennis, volley, basket, sports co, base-ball
Médiatisation moins que le foot et rugby, où la part des femmes est élevée.
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➢
Professionnelle (PRO) :
Foot, rugby
Très médiatisé avec un budget professionnel important et beaucoup d'adhérents.
Dans chaque catégorie on va trancher, écarter des éléments et en même temps lorsqu'on étudie
une catégorie, il faut voir sur quels points elle a été formée, ce qui était pris en compte.