Vocabulaire chapitre 1 Capital : Au sens économique, le capital est l

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Vocabulaire chapitre 1
Capital : Au sens économique, le capital est l'ensemble des moyens durables permettant de produire des biens ou des
services. Il se constitue grâce aux investissements.
Changement social : Modification durable de l’organisation sociale (stratification sociale, mobilité sociale...) ou de la
culture (système de valeur, représentations sociales...).
Chiffre d’affaire : Mesure le montant total des ventes de l’entreprise durant un laps de temps déterminé (le mois ou
l’année).
Croissance intensive / extensive Croissance : La croissance est extensive quand elle est obtenue par une utilisation
accrue des facteurs de production : plus de travail et/ou plus de capital. La croissance est intensive quand elle est
obtenue par une utilisation plus efficace des facteurs de production : une augmentation de la productivité du travail
ou/et du capital.
Développement durable : L’ONU définissait en 1987 le développement durable comme « le développement qui
répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre à leurs propres
besoins ».
Développement : Ensemble des transformations structurelles (économiques, sociales, politiques, etc.) qui rendent
possibles et accompagnent la croissance économique et l’élévation du niveau de vie.
Indice de développement humain (IDH) : L'Indicateur de Développement Humain, ou I.D.H., a comme objectif
d'essayer de mesurer le niveau de développement des pays, sans en rester simplement à leur poids économique mesuré
par le PIB ou le PIB par habitant. Il intégre donc des données plus qualitatives. C'est un indicateur qui fait la synthèse
(on l'appelle indicateur composite ou synthétique) de trois séries de données :
l'espérance de vie à la naissance (qui donne une idée de l'état sanitaire de la population du pays),
le niveau d'instruction mesuré par deux indicateurs : le taux brut de scolarisation (nombre d'élèves dans le
primaire, le secondaire et le supérieur / effectifs des classes d'âge concernées) et le taux d'alphabétisation
des adultes,
le PIB réel (c'est-à -dire corrigé de l'inflation) par habitant, il donne une indication sur le niveau de vie
moyen du pays.
L'IDH est calculé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD). Il se présente comme un
nombre sans unité compris entre 0 et 1. Plus l'IDH se rapproche de 1, plus le niveau de développement du pays est
élevé. Le calcul de l'IDH permet l'établissement d'un classement annuel des pays.
PIB par habitant : Rapport entre le PIB et le nombre d’habitant.
PIB : Le PIB est une mesure des richesses créées dans un pays donné et pour une année donnée. Schématiquement, on
le calcule en faisant la somme des valeurs ajoutées dans le pays.
Population active : Ensemble des personnes qui sont pourvues d’un emploi ou sont au chômage (au sens du Bureau
international du travail).
Productivité du travail, La productivité du travail est la relation qui s’établit entre la production et la quantité de
travail qui a permis la production. Elle est peut être mesurée de plusieurs manières Soit par tête (on divise par le
nombre de salariés) soit horaire (on divise par le nombre d’heure travaillées)
Revenu par tête : Rapport entre le revenu global du pays et le nombre d'habitants de ce pays.
Valeur ajoutée : valeur de la production diminuée de la consommation intermédiaire »
Ce qu’il faut savoir
Les sources de la croissance
Travail notamment lors des 30 Glorieuses avec l’arrivée sur le marché du travail des femmes,
des immigrés et dans les années 60 de la génération du Baby boom. De plus cette main d’ouvre
a gagné en qualité grâce à une meilleure qualification et à une hausse du niveau de formation
(hausse des diplômes acquis par le nouvelle génération d’actifs)
Contribution des
facteurs
Capital. Des gros investissement ont été fait au niveau du capital après guerre et surtout on
assiste à la mise en place du Fordisme qui implique l’achat de convoyeur qui engendre de gros
frais en bien d’équipement durable.
Cette croissance qui se fait grâce à l’apport supplémentaire de facteur de production est dite extensive.
Cependant on constate sur les deux derniers siècles que la croissance s’explique essentiellement par la productivité globale
des facteurs de productivité c’est à dire par le progrès technique. On parle alors de croissance intensive.
La productivité
C’est un indicateur de mesure du rendement des facteur de production. On s’intéresse plus particulièrement à la productivité
du travail. Celle ci peut être horaire (on divise les quantité produite par les heures nécessaires à la production) ou par tête
(on divise les quantité produite par le nombre salariés nécessaires à la production).
D’où viennent les gains de productivité ?
La productivité du travail peut augmenter grâce :
 A l’achat de nouvelle machine qui vont le rendre plus performant (remplacement de la machine à écrire par un
ordinateur à traitement de texte pour un dactylo par exemple)
 Meilleure formation du personnelle qui va mieux savoir gérer son matériel et son temps et meilleure organisation
du travail ( mise en place du convoyeur dans le fordisme pour éviter la « flânerie des ouvriers »)
 A la fois meilleur rendement grâce au capital et à une meilleur organisation du travail, c’est à dire à une
amélioration de la productivité globale des facteur.
Les effets le la productivité sur la croissance
Baisse
Hausse
Des prix
des salaires
Hausse des prélèvements
obligatoires
Hausse des
profits
Hausse de la
Concurrence
Hausse des dépenses
publiques
Hausse des
investissements
Hausse de la
consommation
Hausse de la demande
Hausse de la production = croissance
Le Rôle des acteurs et du contexte socio culturel
Le rôle de l’entrepreneur.
Le chef d’entreprise joue un rôle primordiale en matière croissance car c’est lui qui décide d’investir et de se lancer dans de
nouvelle activité et éventuellement de prendre de risque. C’est à ce niveau que Schumpeter distingue l’entrepreneur qui va
innover et prendre des risque du chef d’entreprise qui est un simple suiveur, qui va simplement imiter les autres.
Le rôle de l’Etat.
Même dans le cadre libéral où l’Etat ne doit assuré qu’un minimum de fonction dites ( Police, justice, armée), il intervient
en investissant au niveau des activités dites régaliennes qui ne sont pas rentables pour une unité privé (Justice) ou pour
assurer le bien être public (Education).
Cependant on constate que l’Etat intervient de plus en plus dans le financement des investissements peu rentables pour
assurer un certain niveau de rentabilité au pays et lui permettre d’atteindre une bonne compétitivité vis à vis de l’extérieur.
En effet, étant des plus compétitive, nos entreprises vont vendre plus, créer des emplois… et surtout faire rentrer des devises
qui vont servir à financer les dépenses publiques.
Importance du contexte socio culturel.
Pour que la croissance se mette en place, il faut que la population soit ouverte à ce type de progrès. Une société
traditionnelle ne verra pas arriver le progrès d’un bon œil et il faudra beaucoup de temps avant que les gans accepte les
bouleversements socio économiques que cela implique ; Au début les billets ont eu beaucoup de mal à s’imposer, pour la
plupart, c’était un simple bout de papier sans valeur, maintenant, il sont accepté sans aucun problème.
Les religion peuvent être un frein ou accélérateur au développement du capitalisme. Certain nous dise que la nonchalance
des africains font qu’ils n’arriverons jamais à intégrer les règles du capitalisme ??????
La croissance à LT
Les coûts de la croissance.
les coûts environnementaux :
Ceux sont les externalités sur l’environnement.
 Les déchets ménagés augmentent dans les pays développés.
 Les PED pour rattraper leur retard nésite pas a pollué.
 C’est également la pollution l’air et des nappes phréatiques.
les coûts sociaux :
C’est la faiblesse des coûts de mains d’œuvre, des conditions de travail etc.… surtout dans les NPI.
Dans les pays développé croissance = intensification du travail ceci implique des mauvaises condition de travail des
nouvelles pathologies liées.
 Fragilisation des biens sociaux (surtout aux USA)
Quelle croissance pour demain ?
la thèse de la décroissance :
(C’est la baisse du taux de croissance = limites des pollutions : préserver les ressource naturels en rationalisant la production
et les consommations)
Le but  adapter les besoins humains aux capacités biologiques mais c’est difficile car son coût social (chômage par exp.)
serait trop élevé.
le développement durable
Développement durable : c’est le développement fondé sur une croissance économique permettant de satisfaire les besoins
des générations actuels tout en en préservent la possibilité de satisfaire les besoins des générations futures (conférence de
Rio en 1992).
 Cette notion ne remet pas forcément en cause les effets négatifs de l’économie de marché.
 Les amandes sont inférieures au coût que serait la misa en place de nouveau matériaux moins polluants.
Donc ceci n’incite pas les entreprise a produire plus propre.
le protocole de Kyoto :
Objectif : diminuer le rejet de CO2 il est rentré en vigueur le 16/02/05
Mais sont impacte est limité : en effet les USA, L’inde et chine ne l’ont pas ratifiés. Alors que se sont de gros pollueurs.
De plus du fait :
 qu’il n’y est pas d’instance internationale de régularisation
 et que les enjeux politique prime sur les enjeux économiques
Ce protocole n’a pas beaucoup d’effet sur l’environnement.
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