www.Santehbillel.wordpress.com Psychologie I-Définition : La psychologie est la science qui étudie les comportements d’un organisme. II- champs d’application : La psychologie moderne se divise en plusieurs spécialités : a- La psychologie de la perception : Etudie les sens et les phénomènes sensoriels en général. Etude des phénomènes psychiques liés aux sensations et aux perception s,généralement en lien avec le temps. Action de percevoir par les organes des sens : La perception des couleurs Saisir quelque chose par les organes des sens : Percevoir les odeurs. b- La psychologie de l’apprentissage : la psychologie de l'apprentissage est un champ de la psychologie qui s'intéresse particulièrement aux processus d'apprentissage, ou comment l'homme est capable de développer de nouvelles attitudes,connaissances et compétences (savoir-être, et savoir-faire) sur le plan de l'acquisition comme de l'invention. c- La psychopathologie : - La psychopathologie (des mots grecs : psukhê, « âme » et pathos, maladie) est l'étude des troubles psychiques par la psychologie, la psychiatrie ou la psychanalyse. -01-C’est l’étude des troubles du psychisme ou encore des troubles mentaux. Il ne doit pas être confondu avec le terme de psychopathie, Un sous-type du trouble de la personnalité antisociale. d- La psychologie des émotions : S’occupe des émotions telles que la crainte, la tristesse, la colère. Emotion ; commotion, ébranlement, émoi, excitation, frisson, saisissement,sensation, trouble Antonymes : calme, sérénité e- La psychologie de la personnalité : La psychologie de la personnalité est une branche de la psychologie étudiant la personnalité et les différences individuelles. La "personnalité" peut être définie comme étant un processus dynamique et organisé de caractéristiques chez un individu influençant uniquement sa cognition, ses motivations et comportements durant de nombreuses situations variées. -02- Cognition connaissance, conscience, doctrine, épistèmê, érudition, gnose,lumières , omniscience, science Antonymes : ignorance f- La psychologie différentielle et la psychométrie : La psychologie différentielle est l'étude des différences psychologiques entre les individus, tant en ce qui concerne la variabilité interindividuelle (entre les individus au sein d'un groupe), que la variabilité intra-individuelle (pour un même individu dans des situations, contextes différents) et la variabilité intergroupe (entre des groupes différents : sexe, milieu social). Variabilité entre individus : l'intelligence] À l'origine, l'intelligence était conçue comme une dimension unique. Progressivement on a mis en évidence des formes d'intelligence diverses : intelligence fluide, cristallisée, spatiale, créative, sociale, émotionnelle, pratique... Il est donc bien plus pertinent de décrire l'individu par un profil plutôt que par un score unique comme le quotient intellectuel. Certaines de formes d'intelligence sont plus ou moins fortement associées, d'où l'idée d'un facteur qui leur serait commun, le « facteur général », qui semble correspondre à la capacité de la mémoire de travail. -04- Variabilité entre individus : la personnalité Dans la perspective différentielle, la personnalité est étudiée au moyen de questionnaires permettant de définir des traits relatifs à des classes plus ou moins larges de situations. De très nombreux traits ont été mis en évidence. Actuellement, il existe un consensus pour souligner l'importance de cinq grands traits (les big five) : l'introversionextraversion, la stabilité émotionnelle, la bienveillance, la conscience (souci de l'ordre, responsabilité) Variabilité entre groupes Plutôt que de comparer les individus on peut comparer des groupes relativement homogènes. On a surtout procédé à des comparaisons selon le sexe et selon le statut social. Les filles et les femmes réussissent un peu mieux que les garçons et les hommes dans le domaine verbal et un peu moins bien dans le domaine spatial. Les garçons et les hommes sont un peu plus agressifs et moins sociables que les filles et les femmes. g- La psychologie sociale : La psychologie sociale est l'étude scientifique de la façon dont les pensées, les sentiments et les comportements des gens sont influencés par la présence réelle, imaginaire ou implicite des autres. Trois principes motivationnels : Le besoin de maîtrise. Les gens ont tendance à essayer de prédire ou comprendre les évènements qui se produisent dans l'environnement extérieur et la société afin d'obtenir une récompense telle que la survie, la sécurité ou encore l'estime qu'on a de soi. Le besoin de contact. Les gens accordent de l'importance aux contacts sociaux tels l'amour et le soutien en provenance des individus et des groupes qui leur sont proches. La valorisation du « moi » et du « mien ». Les gens ont tendance à se comparer aux autres avec un biais positif et valorisent ce qu'ils aiment et possèdent. -05- h- La psychologie de l’éducation : la psychologie de l'éducation est la discipline qui s'intéresse au développement, à l'évaluation et à l'application : des théories de l'apprentissage et de l'enseignement ; du matériel éducatif, des programmes, des stratégies et des techniques issues de la théorie contribuant aux activités et aux processus éducatifs impliqués tout au long de la vie ; des programmes d'intervention de rééducation et correctifs auprès de différents publics. Le psychologue en éducation tente d’apporter des outils et des connaissances dans les domaines cliniques, de l’éducation spécialisée, de la psychologie scolaire et de l’évaluation. i- La psychologie de l’orientation professionnelle : Guide les indus dans le choix d’une carrière. orientation scolaire et professionnelle ou orientation professionnelle, universitaire et de carrière consiste à proposer à une personne en âge de scolarité et même aux adultes (obligatoire ou postobligatoire, voire permanente ou continue) les différentes filières dans lesquelles elle pourrait s’insérer en fonction de ses intérêts, de son parcours scolaire antérieur, et de sa personnalité. Les différents paramètres qui entrent en ligne de compte peuvent le cas échéant être déterminés grâce à des tests psychométriques, des questionnaires d'intérêts ou encore des tests projectifs. -06- III- L’enfance 1- Relation mère-enfant : La relation mère-enfant, est un rôle capital dans le développement de l’enfant. Cette relation est cruciale pour l’acquisition du langage. En effet, des interactions tout à fait particulières s'établissent entre une mère et son enfant. Ainsi le nouveau-né « connaît » la voix de sa mère. Des études ont montré qu’il préfère écouter celle-ci plutôt que la voix d'une autre femme. L’enfant réagit également à l'odeur maternelle. Très tôt l’enfant reconnaîtra le visage et certaines expressions de sa mère. Dès la naissance, le nouveau-né interagit avec le comportement de sa mère. 2- Réponse sourire : Vers trois mois, cette réponse est provoquée par n’importe quel objet en mouvement. 3- A l’âge de 9 mois : L’enfant s’attache à sa mère. Présence de la mère est indispensable. 4- Développement de la communication : - Premier moyen : le premier contacte que l’enfant fait pour communiquer et de pleuré. - A 06 six mois : âge moyen de l’apparition du premier mot. - A 24 mois : âge moyen d’associé deux mots significatif. 5- Formation de l’image du corps : Vers l’âge d’un an et demi (18 mois) que se développera cette idée de lui-même. -07- 6- Négativisme : 02 ans à 05 ans : Cette attitude se manifeste dans tous les domaines ; - Dire « non » c’est p ar désire de faire seul ; - Désire de devenir autonome ; Période des questions : l’enfant pose des questions à des âges différents ;. A l’âge de 04 ans que l’enfant pose beaucoup de questions 7- Complexe d’Œdipe : Définition : Le complexe d'Œdipe est le désir inconscient d'entretenir un rapport sexuel avec le parent du sexe opposé (inceste) et celui d'éliminer le parent rival du même sexe (parricide). Ainsi, le fait qu'un garçon tombe amoureux de sa mère et désire tuer son père répond à l'impératif du complexe d'Œdipe. A l’âge de 05 ans que l’enfant découvrira la différence entre les deux sexes de point de vue caractéristique physique. Définition du mot : œdipe Nom masculin singulier (psychanalyse) mode relation entre l'enfant et ses parents, caractérisé par un attachement sexualisé de l'enfant au parent du sexe opposé et opposition au parent du même sexe à la fois aimé et haï -09- 8- Période de latence : entre 06 et 11 ans. La période de latence, désigne un moment du développement psycho-sexuel de l'enfant qui, dans la théorie psychanalytique de Freud, fait suite à la période du complexe d'Œdipe, et qui s'étend jusqu'au début de la puberté et l'adolescence. Durant la période de latence les forces de l’enfant sont surtout misent à la conquête du monde extérieur. L’école forme la majeure partie des éléments nouveaux. A cet âge l’enfant appartient à un groupe auquel il se soumit totalement. latence : accalmie, atermoiement, cessation, délai, éclaircie, hystérésis,intervalle, pause, rémission, répit, repos, tergiversation Antonymes : action, activité Depuis les éléments développés par de Berta Bornstein et plus récemment les travaux de Christine Arbisio, la période de latence est mieux définie en deux sections présentant des caractéristiques différentes, de 5 ans et demi à huit ans et de huit ans à dix ans. Stade oral Jusqu'à 18 mois → Stade anal (+ oral) De 18 mois à 3 ans → Stade phallique → Période de latence (+oral, +anal) (+oral, +anal, +phallique) De 3 ans à 7 ans Situation œdipienne Dès 7-8 ans → Stade génital Adolescence Conclusion : L’enfant à besoin d’une éducation qui répond à ses besoins primordiaux : - Besoin de sécurité et d’amour ; - Besoin d’autonomie (négativisme ne pas l’étouffer) ; - Besoin d’identification sexuel (complexe d’Œdipe) ; - Besoin de connaitre (réalité de la vie). -10- IV- L’adolescence QU’EST-CE QUE L’ADOLESCENCE ? définition -> Origine latine « adolescere »= grandir vers. Adolescence : -période qui sépare l’enfance de l’âge adulte, caractérisée par des transformations physiques, psychologiques et sociales. L’âge de l’adolescence est très variable selon les individus entre 12 et 19 ans. L’adolescence est d’abord une transformation biologique et corporelle. Les organes génitaux sont capables de fonctionnement et l’enfant grandit et prend un corps d’adulte. Cette transformation se fait le plus souvent très rapidement et oblige l’adolescent à changer le comportement de manière d’être, de parler, de sentir les choses et de vivre ces relations avec autrui. C’est d’abord une sorte de préoccupation intérieure qui dévoile le changement qui va se faire l’image que l’enfant avait de lui-même est remise en question et entraine une grande angoisse. -11- V- La vieillesse Généralité : Les différences sont très grandes entre les individus aussi bien pour l’âge, que le physique et la mentalité. La vieillesse dépond beaucoup des qualités et de la personnalité de la personne. Elle est actuellement beaucoup plus tardive qu’elle ne l’était autre fois a cause des progrès de la médecine. Elle est encore retardée chez ce qui a un bon équilibre affectif et intellectuel. Le vieillard : Il y a un affaiblissement sensoriel, il est plus difficile d’apprendre des choses dans le domaine d’apprentissage manuel ou intellectuel. Il y a aussi un affaiblissement de la mémoire non pas du passé lointain mais les choses récentes. Les fixations des souvenirs se fait moins biens. Il n’y a de même une perte de souplesse adaptative ; c’est à dire que le vieillard est totalement perdu dans une situation nouvelle et il ne parvient que difficilement à s’y adapter. Par exemple le vieillard que l’on met en maison de vieillards devient triste, très désorienté, très perdu. Coté affectif du vieillard : Dans le domaine affectif, il est faux de dire qu’un vieillard sent moins ou a moins d’émotions que quelqu’un jeune. Ce qui est plus important, c’est le manque de sécurité que vie le vieillard, de la tristesse devant le faite qu’il lui reste que le perd de temps et de ce qu’il est moins bien dans son corps voire inutile et à la charge de ses enfants ; d’être isolé et devant la mort et les gens de son âge sont presque inexistants. -12- Prise en charge des vieillards par l’entourage : Pour qu’il ce passe bien dans cette période de la vie, l’aide de l’entourage est aussi importante. Il faut donc que le vieillard a des intérêts personnels, une sorte de continuation de la vie adulte. Quelques amis, L’essentiel qui reste dans sa famille. Que ses enfants comprennent qu’il lui laisse le sentiment de sa valeur personnel au sein de sa famille. -13- VI- Psychologie du malade Réaction de l’adulte : Pour l’adulte, être malade est plus encore hospitalisé. Interférer avec ses occupations habituelles. Il doit s’adapter à cette nouvelle situation, il doit alors remettre temporairement ses responsabilités à d’autres personnes. - Responsabilité du travail ; - Responsabilité à la maison comme parent, soutien de famille. De telles circonstances peuvent mener à se sentir facilement dévalorisé et engendreront un sentiment d’insécurité. -14- VII- La relation soignant - soigné Le soignant : Etymologiquement, le mot " soignant" qui rejoint le mot " soigner" vient du latin " soniare" qui signifie : s'occuper de. Soigner : -c'est " s'occuper du bien être et du contentement de quelqu'un " et " s'occuper de rétablir la santé " (ROBERT), -c'est " consacrer son activité, son dévouement à la guérison de quelqu'un" et " s'occuper avec sollicitude de quelqu'un " (LAROUSSE). Le soignant effectue des soins définis comme étant "un ensemble de moyens hygiéniques, diététiques et thérapeutiques mis en œuvre pour conserver et rétablir la santé ". Un soignant est donc une personne qui s'occupe à la fois de rétablir la santé et d'apporter du bien être à une autre personne avec toute l'humanité possible. Être soignant, c'est prendre soin d'autrui. L'infirmier, l'aide-soignant, le médecin, le kinésithérapeute,… , sont considérés comme des soignants. Le soignant en tant qu'être humain Le soignant est avant tout un être humain fait d'une personnalité qui lui est propre de qualités et de défauts. Ceci signifie qu'un soignant peut être impatient, de mauvaise humeur, triste… Le soignant a aussi une vie privée. En tant qu'être humain prend soin d'êtres humains, il doit respecter et être respecté. -15- Cependant, du fait de sa profession, le soignant doit faire abstraction de ses émotions et bien différencier les soucis personnels et la vie professionnelle. Il doit être attentif à ne pas projeter sa mauvaise humeur sur ses patients. Il doit pouvoir détecter la souffrance du patient auprès duquel il intervient en étant à l’écoute de ce dernier. LE SOIGNE DIT « PATIENT » Le terme "patient" vient du latin "patiens" qui signifie " souffrir", "supporter". "Un patient" est une personne qui fait l'objet d'un traitement médical ou chirurgical (LAROUSSE). C'est une personne en perte de santé qui se trouve par son état dans une situation de dépendance. L'univers personnel de l'être malade est un monde où la fatigue, la douleur, la souffrance et souvent l'anxiété prennent toute la place. L'hospitalisation tend à infantiliser le malade en oubliant qu'il est avant tout une personne au même titre que le soignant. Le patient en tant que personne Une personne est un être de raison, de conscience et de liberté ayant le sens de sa propre identité. Sous l'angle médicosocial, on peut le définir comme un être respectable avec une capacité de se suffire à soi-même et de subvenir à ses propres besoins. Chaque personne est un être humain : - unique, c'est pourquoi chaque soin doit être adapté au patient et surtout individualisé, - avec un sexe (homme ou femme), une couleur de peau, un physique différent d'où l'importance du respect des différences et de la tolérance du soignant, -16- - qui communique par différents langages : parole, écrit, signes non verbaux (toucher, mimiques, regard,…) - avec une culture, des croyances, - qui évolue dans un environnement : c'est pourquoi le soignant doit tenir compte de son milieu, de son entourage… - qui évolue dans le temps, d'où l'importance de connaître son passé (anamnèse), son présent, sa perception du futur. La pyramide de Maslow Survie : besoins physiologiques : faim, soif, sommeil, … Sécurité : besoins de sécurité : protection morale et physique… Socialisation : besoins de socialisation : amitié, affection, échange… Estime : besoins d’estime : respect de soi, considération, prestige… Accomplissement : besoins d’accomplissement : réalisation personnelle… -17- LA RELATION SOIGNANT-SOIGNE Définition: relation La relation est une activité pratique, concrète par laquelle deux ou plusieurs personnes communiquent ou se fréquentent. Dans quelque domaine C'est un lien de dépendance ou d'influence réciproque. Les différents types de relations soignantsoigné - La relation sociale de civilité. volonté individuelle d'un comportement agréable, sociable avec convivialité dans l'échange. elle correspond à des propos banals sans réels intérêts ("parler de la pluie et du beau temps"). Ce mode de relation comporte une certaine distance relationnelle de proximité avec l'autre dans lequel l'individu se sent le plus à l'aise (proximité sur le plan physique et sur le plan psychique). Cette distance relationnelle permet aux personnes en relation de se protéger de l'autre en évitant une trop grande implication. Elle permet de créer un climat de confiance dès l'accueil du patient. -18- La relation fonctionnelle. Réalisée dans le but d'effectuer un recueil de données (anamnèse), indispensables à la prise en charge. Ici, le soignant conduit la relation dans le but d'acquérir certaines informations concernant le patient et ses besoins et de mieux le connaître. La relation d'aide. Elle permet d'apporter un réconfort au patient. Elle passe par une écoute attentive de la part du soignant et par une attitude empathique c'est à dire compréhensive et sans jugement. Elle ne peut débuter sans la relation de confiance qui permet au patient d'exprimer ses affects (craintes, difficultés, émotions…). Particularité de la relation soignant-soigné La particularité de cette relation par rapport à tous les autres est qu’elle se caractérise par une relation de dépendance du patient à l’égard du soignant. Mais vigilance, le patient dépend du soignant dans un cadre précis. -19- Relation soignant famille du patient : Le soignant se trouve confronté à une complexité toute particulière dans ses fonctions ; Celle d’accompagner les familles pour leur apprendre à stimuler (ni trop : maltraitance ; ni pas assez : laisser faire). - Accompagner les familles dans les soins, - éduquer sur les gestes. Il est assez difficile pour certains soignants de passer le relais, de faire faire et apprendre à faire. Ils s’approprient le patient ou pensent que cela va plus vite de faire à la place. Le soignant doit être vecteur de sérénité ; pour ce faire il doit comprendre et savoir : -accompagner un endeuillé, - faire un travail de deuil, - se situer dans sa juste place de soignant vis-à-vis de la famille, - savoir gérer l’agressivité, les conflits, - savoir être en éveil pour réagir de façon adaptée avec des réponses justes auprès des familles. Parce qu’elle échappe à tout protocole, la relation entre famille et soignant autour d’un patient atteint d’une maladie grave est complexe et fluctuante. Le patient semble rester le référent mais la famille, les proches sont de plus en plus inclus dans les processus de soins. Les soignants doivent donc aussi prendre soins d’eux. Pari difficile à tenir entre idéal et réalité, l’adaptabilité de chacun est mise en jeu. Une situation clinique est proposée à titre d’exemple. -20- Relation soignant et équipe soignante : L’équipe soignante est composée de : - un cadre paramédical : chargé de l’organisation et du fonctionnement du service, - des Infirmières : qui dispensent les soins prescrits par le médecin et ceux relevant de leur rôle propre, - des aides-soignantes : qui collabore ave l’infirmière pour la dispensation des soins - agents des services hospitaliers : qui sont assurent les tâches hôtelières du service (entretien et hygiène des locaux, distribution des repas,…) A leurs côtés, une équipe pluridisciplinaire comportant : - médecin - psychologue - kinésithérapeute - diététicienne Chaque agent est identifié soit sur sa tenue professionnelle soit au moyen d’un badge (nom et fonction) NOTIONS PSYCHO-SOCIOLOGIQUE DU GROUPE : L’équipe de soins constitue un tout, dont chaque membre fait partie selon les exigences de travail, permet de prendre totalement en charge le patient pendant son séjour à l’hôpital. Dans tout groupe organisé, se pose une multitude de problèmes d’ordre individuel et collectif, pour les résoudre avec égalité et justice, le responsable doit avoir des notions de base qui doivent se dégager de l’entente et la bonne humeur qui doivent régner dans un service afin de permettre un développement normal de ce groupe. -21Evaluation de psychologie Questions : 1- Citer les besoins primordiaux qu’a besoin l’enfant pendant son éducation. 2- Définir l’adolescence. 3- Le patient est un être respectable qui a ses propres besoins. Décrivez ces besoins dans la pyramide de maslow. 4- La relation soignant-soigné a une grande importance pour une bonne prise en charge du patient. – donner une définition de la relation. – Citer les différents types de relations. 5- Définir le complexe d’œdipe. A quel âge peut-il apparaitre ce complexe ? 6- L’enfant est toujours attaché à sa mère. Mais à un âge bien précis, la présence de sa maman demeure très indispensable. citer cette période. 7- Entre deux (02) ans et cinq (05) ans de son âge, l’enfant se manifeste dans tous les domaines, c’est par désire de faire seul et devenir autonome ; - Qu’appelle-t-on cette période ?