DEVOIR SURVEILLE N°1 Date : 5 octobre 2013 Classe : TES

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DEVOIR SURVEILLE N°1
Date : 5 octobre 2013
Classe : TES
(4 heures)
EPREUVE COMPOSEE
Cette épreuve comprend trois parties.
1- Pour la partie I (Mobilisation de connaissances), il est demandé au candidat de répondre aux
questions en faisant appel à ses connaissances personnelles dans le cadre de l’enseignement obligatoire.
2- Pour la partie 2 (Etude de document), il est demandé au candidat de répondre à la question en
adoptant une démarche méthodique rigoureuse de présentation de document, de collecte et de traitement de
l’information.
3- Pour la partie 3 (Raisonnement s’appuyant sur un dossier documentaire), il est demandé au
candidat de traiter le sujet :
- en développant un raisonnement ;
- en exploitant les documents du dossier ;
- en faisant appel à ses connaissances personnelles ;
- en composant une introduction, un développement, une conclusion.
PARTIE 1 : Mobilisation de connaissances
6 points
1) Présentez le lien entre productivité globale des facteurs et progrès technique. (3 pts)
2) Comment peut-on expliquer les fluctuations économiques ? (3 pts)
PARTIE 2 : Etude d’un document
4 points
Après avoir présenté le document, vous comparerez les évolutions de l’activité
économique dans les différentes zones géographiques.
Croissance annuelle du PIB en volume entre 1999 et 2012 (en %)
Monde
Moyenne annuelle
1999-2008
3,8
2009
2010
2011
-1,2
5,0
3,8
2012
(Prévisions)
3,4
Etats-Unis
2,5
-3,5
3,0
1,7
2,0
Zone euro
2,1
-4,2
1,8
1,6
0,2
Japon
1,2
-6,3
4,1
-0,3
2,0
Source : Perspectives économiques de l’OCDE, n°90, 2011.
PARTIE 3 : Raisonnement s’appuyant sur un dossier documentaire (10 points)
A l’aide du dossier documentaire et de vos connaissances, vous montrerez
comment les institutions publiques sont des acteurs de la croissance.
Document 1 : Les dépenses intérieures de la recherche et développement publique (en millions
d’euros courants)
1992
2007
2008
20091
Etat et collectivités territoriales
5 400
6 427
6 564
6 986
Enseignement supérieur2
3 945
7 663
8 228
8 845
Source : Ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche,
Repères et références statistiques sur les enseignements, la formation et la recherche, septembre 2011.
1. Les données de 2009 sont semi-définitives.
2. Dans les statistiques sur la recherche et développement, on distingue l’Etat de l’enseignement supérieur, qui
comprend les universités et les établissements publics d’enseignement supérieur le CNRS, les centres
hospitaliers universitaires et les centres de lutte contre le cancer. Mais, pour les deux, le financement est public.
Document 2 :
Source : D’après SES terminale, Hatier, 2007.
T.S.V.P
Document 3 :
Dans les pays développés, on a tendance à considérer les droits de propriété comme une évidence ; les
habitants des pays les moins développés savent que l'absence de droits de propriété pose de sérieux
problèmes. En outre, dans de nombreux pays, le système judiciaire est peu efficace : les contrats sont
rarement respectés, la fraude demeure impunie. Dans les situations extrêmes, le gouvernement est non
seulement incapable de faire respecter les droits de propriété, mais il ne les respecte pas lui-même.
Pour pouvoir opérer dans certains pays, les entreprises doivent verser des dessous-de-table aux
représentants des gouvernements. Cette corruption freine le bon fonctionnement des marchés,
décourage l'épargne locale et l'investissement étranger.
Gregory Mankiw, Principes d'économie, Economica, 1998.
CORRECTION DU DS n° 1 DU 5 OCTOBRE 2013
PARTIE 1 :
Q1 : Les éléments qui contribuent à la croissance économique sont essentiellement les facteurs
de production, à savoir le travail et le capital.
● Dans le cas d'une croissance extensive, c'est l'augmentation des quantités de travail et de
capital qui explique l'augmentation proportionnelle de la richesse économique produite.
Cependant, dans le cas d'une croissance intensive, la combinaison des facteurs travail et capital
ne suffit pas pour expliquer la croissance économique.
● La part de la croissance non expliquée par les contributions respectives du travail et du capital
est la productivité globale des facteurs. Celle-ci serait essentiellement due au progrès
technique, c'est-à-dire l'ensemble des innovations qui accroissent la production sans augmenter
les quantités de facteurs, voire en les économisant.
Ainsi, la mise en œuvre de nouvelles méthodes de production ou une nouvelle organisation
du travail permet des gains de productivité, soit une augmentation de la productivité globale des
facteurs.
Q2 : Les fluctuations économiques représentent les mouvements de la croissance économique.
Celle-ci peut connaître des phases d'accélération (expansion) ou de ralentissement (récession),
voire même de dépression si la production baisse durablement. Elles peuvent s'expliquer par des
chocs d'offre et de demande ainsi que par le cycle du crédit.
• La croissance économique peut être affectée par des chocs d'offre et de demande. Dans le
premier cas, les conditions de la production se trouvent modifiées. C'est le cas lorsque le prix des
facteurs de production (salaires, prix des matières premières) évolue. Ainsi, une hausse de ces
prix provoque un choc d'offre négatif et ralentit la croissance. Ce ralentissement peut être
également dû à un choc de demande négatif : baisse des investissements, de la consommation ou
des exportations. À l'inverse, des chocs d'offre et de demande positifs impliquent une
accélération de la croissance qualifiée d'expansion.
• Les variables financières ont également des effets sur les fluctuations économiques. Ainsi, en
période d'expansion, les agents économiques s'endettent et ont des comportements spéculatifs.
La valeur des titres financiers augmente, provoquant une bulle financière qui finit par éclater et
provoquer un krach financier. Dès lors, l'activité économique ne peut plus être financée. C'est ce
qui génère une récession, et parfois une dépression, comme c'est le cas aujourd'hui dans certains
pays de l'Union européenne.
La succession de périodes d'expansion et de récession, constituant les fluctuations
économiques, s'explique par des chocs d'offre et de demande ainsi que par le cycle du crédit.
PARTIE 2 :
Introduction
Ce document est un tableau statistique, publié par l’OCDE (Organisation de coopération et de
développement économiques) en 2011, présente des taux de croissance économique annuels en
pourcentage, sur 2009-2012, ainsi que le taux de croissance annuel moyen (TCAM) en
pourcentage sur la période 1999-2008. Ces données concernent deux pays (Etats-Unis et Japon),
la zone euro et le monde dans son ensemble.
Développement
• Pour chaque ensemble étudié, la croissance annuelle est positive pour la période 1999-2008, ce
qui témoigne d'une augmentation des stocks de richesses créées dans les différentes zones. Il
existe cependant d'importantes disparités entre les zones étudiées.
Les États-Unis connaissent une croissance supérieure de 0,4 % à celle de la zone euro, et l'on
constate qu'elle est deux fois plus élevée que celle du Japon. La croissance mondiale est
supérieure de 1,3 % à celle des États-Unis, cette différence s'expliquant par la forte croissance
des pays émergents, notamment le Brésil, l'Inde et la Chine, véritables moteurs de l'activité
économique mondiale.
• L'année 2009 marque une rupture pour toutes les zones, suite à la crise des subprimes venue
des États-Unis. Le recul de la production de biens et services est alors général. Les économies
développées sont alors davantage touchées que l'ensemble du monde, le Japon connaissant
même un recul (- 6,3 %) supérieur de 2,1 % à celui de la zone euro et de près de 3 % à celui des
États-Unis.
• Les chiffres de l'année 2010 témoignent d'un véritable sursaut pour la croissance économique
par rapport à 2009. L'année 2011 marque un nouveau coup d'arrêt pour les pays de la Triade qui
connaissent une croissance molle (États-Unis, zone euro) voire négative pour le Japon en raison
des conséquences de l'accident nucléaire survenu à Fukushima. L'économie mondiale renoue
quant à elle avec le rythme qui était le sien entre 1999 et 2008.
• Enfin, les prévisions pour l'année 2012 pointent le déficit de croissance de la zone euro par
rapport aux autres zones étudiées. Si la croissance mondiale prévue reste élevée (3,4 %), et que
les prévisions pour les États-Unis et surtout le Japon prévoient une légère progression pour les
premiers et un retour de la croissance pour le second, la zone euro semble s'engager dans la voie
de la récession avec un modeste 0,2 %. La crise de la dette dans nombre de pays européens et les
difficultés des pays de cette zone à s'entendre pour proposer des solutions permettant une sortie
de crise pérenne sont à l'origine de ces prévisions pessimistes.
Conclusion
Après la croissance moyenne honorable du début des années 2000, la crise des subprimes a
constitué un coup d'arrêt pour l'économie de l'ensemble de la planète. Si les États-Unis, le Japon
et plus globalement l'ensemble de l'économie mondiale semblent repartir de l'avant depuis, la
zone euro reste engluée dans une croissance faible, source de chômage et de tensions institutionnelles.
PARTIE 3 :
Introduction
L'innovation est au cœur de la croissance économique. Selon J. Schumpeter, l'entrepreneurinnovateur est le principal agent qui favorise l'innovation. Cependant, les institutions publiques
jouent un rôle important, à la fois en créant un environnement favorable à l'innovation et en
l'encourageant.
1. Le rôle des institutions publiques dans l'innovation
• L'innovation constitue, pour l'ensemble de l'économie nationale, une externalité positive, c'està-dire qu'elle profite à l'ensemble des agents économiques sans que ceux-ci aient à rétribuer
l'agent innovateur.
• Elle est le produit du processus de recherche et développement qui nécessite un financement
important dont la rentabilité peut être faible, voire nulle. C'est pourquoi les pouvoirs publics
financent une part non négligeable de ce processus. Entre 1992 et 2009, les dépenses de
recherche et développement de l'État et des collectivités territoriales ont été multipliées par 1,3
environ (doc 1).
• Durant la même période, ce sont les dépenses consacrées à l'enseignement supérieur, - que l'on
distingue dans les statistiques de la recherche et du développement - qui ont le plus fortement
augmenté : elles ont plus que doublé (doc 1). Ce financement public permet surtout de financer
la recherche fondamentale, étape qui précède, dans le processus de recherche et développement,
la recherche appliquée, puis la construction d'un prototype aboutissant enfin à l'innovation.
Cependant, la recherche implique des chercheurs ayant un niveau de formation élevé et
l'utilisation des innovations de procédés nécessite une main-d'œuvre plus qualifiée. En prenant
en charge les dépenses de formation, l'État favorise l'amélioration du capital humain dont
profiteront toutes les entreprises (externalité positive décrite dans le doc 2).
2. Les institutions publiques, garantes d'un environnement stable pour le marché
• La croissance économique exige un environnement économique et politique stable, ainsi que
des institutions fortes. Les institutions publiques ont donc également un rôle à jouer en
garantissant la stabilité de l'environnement des agents économiques.
• Ainsi, l'existence de droits de propriété donne aux agents la garantie de pouvoir bénéficier de
leurs innovations (doc 3). Ces droits de propriété permettent de définir une législation sur les
brevets, ceux-ci donnant à l'entreprise innovatrice une situation temporaire de monopole qui,
selon Schumpeter, génère un surprofit, ou rente de monopole. Cependant, l'État doit également
légiférer pour faire respecter les principes de la concurrence, car celle-ci est le principal aiguillon
de l'innovation.
Conclusion
Les institutions publiques sont un acteur important de la croissance. Elles favorisent l'innovation
en prenant en charge une partie des dépenses de recherche et du développement, ainsi que
celles concernant l'éducation du capital humain. De plus, les institutions publiques assurent un
environnement stable aux agents économiques grâce aux règles mises en place par les pouvoirs
publics.
Epreuve composée – Partie 2 – Etude du document statistique (4 points)
Niveau d’exigence
Compétence
Indicateur
Barème
Non
Plutôt non
Plutôt oui
Oui
Pré
sent Ide
er ntifi
le er :
doc Le
um typ
ent e
(tab
leau
stati
stiq
ue),
le
cha
mp
(la
tria
de
des
pay
s
indu
stria
lisés
:
Etat
sUni
s,
Eur
ope
soit
17
pay
s
con
cern
és-,
et
Jap
on,
2 éléments sont présents
Fournir une lecture
correcte
Présence d’une ou plusieurs phrases de lecture correctes
complètes et donnant du sens : ici c’est une variation annuelle
moyenne : ce qui varie est le sujet du verbe augmenter ou
diminuer.
Ex : Le PIB réel mondial a augmenté entre 1999 et 2008 de 3,8%
en moyenne et par an.
Absence de
chiffres
Ou erreur de
lecture
- Une périodisation est proposée : récession de 2009 (crise
financière) avec -6,3% pour le Japon et seulement -1,2% dans le
monde <=> poids des économies émergentes dans la croissance
mondiale.
Absence des
- Des comparaisons chiffrées sont établies : les TCAM des
Sélectionner /
éléments de
manipuler des données pays de l’OCDE sont toujours inférieurs à celui du monde => les
réponse
pays de l’OCDE ne tirent pas la croissance mondiale vers le haut
statistiques
pertinents pour
- Des tendances sont repérées : l’ensemble des pays et des zones
pour répondre à la
répondre à la
renouent avec la croissance après 2010 sauf pour le Japon
tâche
tâche
(Fukushima) et la Zone euro (crise de l’euro).
Lecture sans
reformulation
3 éléments sont
présents
Une seule phrase
bien construite
Plusieurs
phrases bien
construites
présentant les
différentes
variables
5 éléments de
réponse sont
présents
Au moins 7
éléments de
réponse chiffrés
permettent de
répondre à la
tâche
/
1 pt
/
2 pts
pour répondre à la tâche
Soit 10 données sont utilisées pour répondre à la tâche
Barème : « oui » c’est le maximum des points de la compétence ; « plutôt oui », au moins la moitié des points ; mais « non », c’est zéro.
Epreuve composée – Partie 3 – Raisonnement s’appuyant sur le dossier documentaire (10 points)
Niveau d’exigence
Compétence
Indicateurs
Barème
Non
Plutôt non
Plutôt oui
Oui
Cadrage du sujet spatial (France) et temporel (depuis 1990)
Introduire
Définition des termes du sujet : institutions publiques (ensemble
des institutions et des services permettant de gouverner et
d’administrer un pays comprenant les administrations centrales et
les collectivités territoriales) et croissance (variation des richesses
créées au cours d’une année et mesurée par la variation du PIB réel)
Tâche à accomplir : «Quels sont les différents moyens par
lesquels l’Etat favorise la croissance économique ? »
Absence de cadrage
Cadrage
ET
Reprise du sujet
ET
de reprise du sujet
Reprise du sujet
0,5 pt
Utilise les mots clés du thème : institutions publiques cad l’Etat
ET croissance du PIB en volume cad déflaté
Respecter le sujet
La tâche est respectée : le sens logique du sujet :
I) Le rôle des institutions publiques dans l’innovation
II) les institutions publiques sont aussi garantes d’un
environnement stable pour le marché.
Les mots clefs du sujet sont correctement utilisés (distinction
valeur/volume et illustration du rôle de l’Etat)
Il ne reprend aucun motclef du sujet ou
confusion sur leur
signification.
Reprend trop peu
d’aspects relatifs aux
mots clés
ET
Présence d’argument(s) pour la défendre
L’élève peut sur une
petite partie ne pas
respecter soit le sens,
soit la tâche
Présence d’une illustration
ET illustration
Seulement un des
indicateurs
MAIS pas d’argument
OU
Idée ET illustration
MAIS partiellement
argumenté
OU
Idée ET argument
SANS illustration
ET la réponse est
structurée
Idée
ET
arguments
ET
illustration
(2 fois)
2 pts
argument sans rapport
avec l'idée ou
contredisant l'idée (dans (1 fois)
la même séquence)
(il s’agit ici d’évaluer seulement la cohérence de l’argumentation)
Notions du programme : Fluctuations économiques, crise
économique, capital, travail, croissance endogène, déflation,
Mobiliser des
dépression, désinflation, investissement, productivité globale des
connaissances en
facteurs, PIB, progrès technique, innovation, destruction créatrice,
plus des notions du droits de propriété, institutions, R&D
sujet pour répondre
Mécanismes : processus de destruction créatrice de Schumpeter,
au sujet
rôle des institutions dans l’innovation, Croissance endogène
1,75 pts
ET la tâche est
respectée.
La tâche n’est pas
respectée.
Présence explicite d’une idée par séquence reliée au sujet
Il exploite tous les
aspects des mots-clefs
ET la tâche est respectée ET la tâche est respectée
Idée
Mettre en œuvre
des séquences
argumentatives
pour répondre au
sujet
Reprend plus d’aspects
des mots-clés mais de
façon incomplète
Moins de 6 attentes
6 attentes présentes
dans la séquence
argumentative
10 connaissances
attendues sont
présentes dans
l’argumentation
Moins de 2 attentes
2 indicateurs
présents dans
l’argumentation
3 indicateurs
présents dans
l’argumentation
Au moins 15
connaissances
Attendues sont
présentes dans
l’argumentation
Au moins 4 indicateurs
présents dans
l’argumentation
2,5 pts
20 éléments présents dans l’argumentation
Interprétation / compréhension
- Entre 1992 et 2009 le financement de la R&D par l’Etat et
collectivités territoriales a été multiplié par 1,3
- financement de l’enseignement supérieur a plus que doublé
Mobiliser des
données statistiques
pour répondre au Lecture / manipulation / calcul
-Au moins 2 lectures correctes entre 1992 et 2009
sujet
- au moins 2 calculs (CM ou écarts en millions d’euros courants)
Soit 6 éléments présents
1 pt
Compréhension : lecture et interprétation du schéma
- relation évidente entre dépenses publiques (celles de l’Etat) et la
croissance
- ces dépenses => externalités positives car dépenses d’éducation
=> amélioration de la qualité du travail et donc hausse de la
Mobiliser des
productivité du travail
informations issues
- ces dépenses => favorisent le progrès technique par l’innovation
du texte ou du
schéma pour
Compréhension : Sélection d’informations du texte
répondre au sujet
- rôle des institutions publiques comme garantes des droits de
propriété => droits fondamentaux pour le bon fonctionnement du
marché et sa pérennité
Moins de 2 attentes
2 indicateurs
présents dans
l’argumentation
3 indicateurs
présents dans
l’argumentation
Au moins 4
indicateurs
présents dans
l’argumentation
2 pts
Soit 5 éléments présents
Absence de conclusion
Conclure
Réponse au sujet
OU
Réponse qui récapitule
les idées apportées
Reprise du sujet
Barème : « oui » c’est le maximum des points de la compétence ; « plutôt oui », au moins la moitié des points ; mais « non », c’est zéro.
0,25 pt
NOM :
Prénom :
Compétence
Intr
odu
ire
Respecter le sujet
Mettre en œuvre des séquences
argumentatives pour répondre au
sujet
Bar
Plutôt Plutôt
Non
Oui èm
non oui
e
/ 0,5
/ 1,75
/2
Mo
bilis
er
des
con
nais
san
ces
en
plu
s
des
noti
ons
du
suj
et
pou
r
rép
ond
re
au
suj
et
/ 2,5
Mobiliser des données statistiques
pour répondre au sujet
/1
Mobiliser des informations issues du
texte ou du schéma pour répondre au
sujet
/2
Con
clur
e
/ 0,25
Tot
al
/ 10
NOM :
Prénom :
Compétence
Intr
odu
ire
Respecter le sujet
Mettre en œuvre des séquences
argumentatives pour répondre au
sujet
Bar
Plutôt Plutôt
Non
Oui èm
non oui
e
/ 0,5
/ 1,75
/2
Mo
bilis
er
des
con
nais
san
ces
en
plu
s
des
noti
ons
du
suj
et
pou
r
rép
ond
re
au
suj
et
/ 2,5
Mobiliser des données statistiques
pour répondre au sujet
/1
Mobiliser des informations issues du
texte ou du schéma pour répondre au
sujet
/2
Con
clur
e
/ 0,25
Tot
al
/ 10
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