A LA MEMOIRE DES 1 500 000 VICTIMES ARMENIENNES 24 Avril 2007 : 92ème anniversaire du génocide arménien de 1915 perpétré par le gouvernement Jeune-Turc 92 ans de déni : ça suffit ! ------------------------------------------------------------------- VEILLE MEDIA Lundi 26 Novembre 2007 Retrouvez les news sur : http://www.collectifvan.org TURQUIE Turquie : Aghtamar, et après ? Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous propose la traduction de cet article paru en turc dans le journal arménien Agos du 23 novembre 2007. Après la restauration de l’Eglise arménienne Sainte-Croix d’Aghtamar sur le lac de Van en Turquie, Agos annonce de nouvelles restaurations du patrimoine architectural arménien, laissé à l’abandon depuis 92 ans sur les territoires historiques arméniens. Qu’il s’agisse d’opérations « marketing » destinées à présenter un visage décent à l’Europe ou d’opérations économiques, visant à percevoir les fonds d’organismes américains et européens attribués à ces restaurations, toujours est-il qu’il est préférable de voir sauver ces joyaux de l’art architectural arménien. Mais la vigilance est de mise lorsque l’on sait que dans le même temps, le cimetière d’Ani est profané et ses tombes millénaires vandalisées. Car le gouvernement turc est maître dans l’art du double jeu : le 13 novembre dernier, plusieurs fonctionnaires du gouvernement turc ont entrepris de détruire le monastère orthodoxe du Christ SaintSauveur, dans les Iles des Princes au large d’Istanbul… A propos de Kars et d’Ani, nous vous suggérons également de regarder la vidéo (en anglais) du Global Heritage Fund : http://www.globalheritagefund.org/where/index.html Cliquez sur Saving Kars Heritage et choisissez votre player et votre résolution. Les premiers pas après Aghtamar .: Agos N°608 23 11 2007 Suite à la restauration de l’Eglise Sourp Khatch sur l’île d’Aghtamar, de nouveaux pas positifs ont été franchis durant l’année que nous venons de laisser derrière nous, afin de restaurer les œuvres arméniennes, abandonnées à leur sort sur les terres d’Anatolie. Le maire de la ville de Kars, Naif Alibeyoglu, a fait une déclaration porteuse d’espoir lors d’un festival de film organisé à Kars. Alibeyoglu a expliqué que des travaux seront entrepris pour raviver le tissu historique de Kars, les ruines de la ville d’Ani étant les premières à être concernées. Lors de l’interview donnée au journaliste de Azg, Ruzan Bogosyan, Alibeyoglu a annoncé que l’église arménienne Sourp Arakélotz, transformée en mosquée et connue sous le nom de ‘Kumbet Camii’ sera ouverte comme musée culturel au plus tard dans un an. Asiye Saglam, l’architecte travaillant pour L’Institution Régionale des Legs (Vakiflar Bolge Mudurlugu), a confirmé cette information. (Nota CVAN : la plupart des biens arméniens non réclamés sont gérés par cette institution qui, depuis la création de la République turque, légalise le pillage des legs laissés à la communauté arménienne par le biais des églises et des écoles de la communauté). Saglam a dit que la phase de pré-étude du projet était assez avancée pour commencer les travaux de restauration. Des pierres seront apportées d’Erzurum Alibeyoğlu , le maire de Kars, précise que les pierres seront apportées d’Erzurum dans le but de respecter le tissu historique des ruines. Lors de ses explications données à Azg, Alibeyoğlu a dit : « Nous faisons tout notre possible pour que le travail soit correct, l’église était en très mauvaise état, elle allait s’effondrer. Après Aghtamar, les autres églises seront également restaurées. Le gouvernement turc accorde une attention particulière à l’église ‘Arakelotz’ dont la restauration sera terminée l’année prochaine, elle sera transformée en musée et non en Mosquée. » La restauration d’Ani sera entreprise par le ministère Par ailleurs, l’appel d’offres concernant la restauration des trois bâtiments d’Ani a été interrompu sans aucune explication. Le Ministère de la Culture qui attendait le TURSAB depuis 2006, a rompu l’accord avec cet organisme. Le ministère a décidé de mener les restaurations lui-même et dans ce but il a créé une commission ministérielle et a préparé un projet. Un autre projet parallèle pour l’aménagement de l’environnement est en cours. La commission continue à préparer le design du projet d’Ani. La semaine dernière l’appel d’offres concernant les travaux était attendu. Nous espérons que cela ne va pas tarder. © Trad S.C pour le Collectif VAN - 26 novembre 2007 - 09:21 www.collectifvan.org Voir les photos: Turquie : Aghtamar, et après ? http://www.collectifvan.org/article_photo.php?r=6&id=170 Turquie : s’inspirer de la tolérance européenne Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN vous soumet cette traduction d'un article paru en turc dans le journal arménien Agos le 16 novembre 2007. Le Ministre turc de l’Education nationale, Huseyin Celik a pris la parole lors d’une conférence organisée à Malatya. Il a révélé avoir reçu des menaces de mort pour avoir restauré l’Eglise arménienne d’Aghtamar (transformée en Musée) dans l’Est de la Turquie et a ajouté que les assassinats des missionnaires à Malatya avaient donné une image noire de la ville… Huseyin Celik a pris l’exemple d’une Europe tolérante ou, sur 5000 mosquées, 4800 sont ouvertes par les Turcs… Hüseyin Çelik: ‘Nous avons eu des menaces de mort car nous avions restauré Akhtamar.’ Agos N°607 16 11 2007 Le Ministre de l’Education nationale, Huseyin Celik a pris la parole lors d’une conférence organisée à Malatya. Le conférence était intitulée « La Turquie dans la mondialisation » et Huseyin Celik a dit qu’il avait reçu des menaces de mort à cause de la restauration de l’église de Sourp Khatch (Nota CVAN : Sainte-Croix) sur l’île d’Akhtamar à Van. Celik a parlé des échanges de cultures qui enrichissent les cultures mondiales et a dit : “En Europe il y a 5 000 mosquées, dont 4 800 sont ouvertes par les Turcs. Au Pays-Bas ils ont acheté une synagogue et l’ont transformée en mosquée qui a été nommée ‘Mescid-i Aksa Camisi’. A Amsterdam ils ont acheté une grande cathédrale qu’ils ont transformée en mosquée. Les Européens montrent cette tolérance. Nous allons aussi montrer de l’empathie, nous allons apprendre à tolérer ». L’ancien Ministre de la Culture a continué en disant : « J’ai reçu de nombreux appels téléphoniques faisant des menaces de mort car j’avais débuté les restaurations de l’église d’Akhtamar, alors qu’elle fait partie de notre culture ». Çelik a attiré l’attention sur la tolérance mutuelle et ajouté que les assassinats des missionnaires à Malatya avaient donné une image noire de la ville. © Traduction S.C pour le Collectif VAN - 26 novembre 2007 - 09:06 www.collectifvan.org L’Etat turc encourage les meurtriers de Malatya Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Orhan Kemal Cengiz signe dans le Turkish Daily News, un article révélant l’implication, par complaisance et négligence, des plus hautes instances policières et juridiques de l’Etat turc, dans le meurtre de trois missionnaires protestants sauvagement tués en avril à Malatya, dans l'Est de la Turquie : sur les 31 dossiers instruits en 7 mois d’enquête, 15 seulement concernent les meurtriers (membres des Loups Gris). Les 16 autres sont portés - par le Procureur ! – à charge des victimes, dont les activités missionnaires sont considérées comme criminelles. Pis encore, le dossier d’instruction contient la liste de nombreux protestants de Turquie, encore vivants, avec toutes leurs coordonnées : ces détails sont donc entre les mains des meurtriers. Il s’agit ni plus ni moins d’un appel au meurtre émanant des plus hautes instances de l’Etat turc. Rappelez-vous, ce même Etat, dont le Premier ministre Erdogan, déclarait en avril dernier, à la suite du « massacre à la tronçonneuse » de Malatya : “Que nous arrive-t-il pour que nous puissions tuer aussi facilement et brutalement des gens vivant sur notre terre ? ». Des propos cyniques qui masquent mal les véritables intentions des représentants de la Turquie, bientôt membre de l’Union européenne : Messieurs Erdogan et Gül savent pertinemment ce qu’il arrive lorsque, près d’un siècle après les faits, un Etat s’enfonce dans le déni et la justification du génocide arménien de 1915… Le procès des assassins des missionnaires chrétiens a commencé vendredi à Malatya. En présence des avocats de Hrant Dink, le journaliste arménien de Turquie assassiné le 19 janvier 2007 à Istanbul, et du journaliste turc Orhan Kemal Cengiz qui est également l’avocat des familles des victimes. Mais le procès, à peine commencé, a été ajourné au 14 janvier 2008, Orhan Kemal Cengiz ayant demandé que la définition du crime soit requalifiée en “génocide”. Le Collectif VAN vous livre la traduction de cet article de Turkish Daily News. Que se passe-t-il dans l’affaire du massacre de Malatya? Jeudi 22 novembre 2007 Si un procureur considère les activités des missionnaires comme criminelles, il n’est pas difficile de comprendre comment certains individus deviennent fous et tuent ces gens. Turkish Daily News Orhan Kemal Cengiz Il y a sept mois, trois missionnaires chrétiens ont été cruellement assassinés par une bande de nationalistes turcs dans la ville de Malatya, en Anatolie orientale. Les assassins sont entrés par effraction chez l’éditeur de Bible Zirve Yayıncılık, ils ont d’abord torturé leurs victimes puis leur ont tranché la gorge. Sept mois après ces meurtres sanglants, le procureur a enfin présenté le dossier de l’accusation. Pendant sept long mois, il nous a été impossible d’obtenir le moindre document parce qu’ils avaient été déclaré confidentiels. Nous avons attendu sept longs mois pour quoi ? Après avoir lu le dossier, j’en suis arrivé à la conclusion que nous avons attendu pour rien ! Nous ne savons rien de plus qu’il y a sept mois. Alors, qu’a donc fait le procureur pendant tout ce temps ? La mentalité du procureur: Il y a dans ce procès 31 dossiers, et seuls 15 d’entre eux contiennent des informations sur les meurtres et les criminels. Quid des 16 autres ? Vous n’allez pas le croire, mais ces dossiers concernent les activités des victimes qui ont été égorgées. Le procureur a récupéré tous les fichiers des ordinateurs des victimes, et les a versés au dossier comme « preuves ». Si je ne connaissais pas le contexte, je me dirais qu’il y avait deux bandes qui se battaient entre elles et que des membres de l’une ont tué des membres de l’autre, et que le procureur a rassemblé des éléments sur ces deux bandes ! Pourtant, nous parlons en réalité de l’incroyable massacre de trois innocents, dont le seul tort était de mener des activités missionnaires au mauvais endroit ! Mais le procureur a rassemblé toutes les informations sur leurs activités missionnaires. Si un procureur considère les activités des missionnaires comme criminelles, il n’est pas difficile de comprendre comment certains individus deviennent fous et tuent ces missionnaires ! De plus, ces dossiers, qui sont à présent publics, peuvent conduire à de nouveaux assassinats parce qu’ils comportent de nombreux détails sur d’autres protestants qui résident en divers endroits en Turquie. Les adresses, emails, numéros de téléphone de beaucoup d’autres Turcs protestants figurent dans les dossiers, et sont déjà entre les mains des meurtriers. Le procureur n’a pas fait une enquête approfondie, et il a en outre mis d’autres vies en danger. Pourquoi ces informations dans le dossier ? Je crois que personne ne peut l’expliquer. Un simple coup d’œil suffit pour comprendre avec quel degré d’inefficacité les dossiers ont été préparés. Les dépositions n’ont pas été enregistrées correctement, les bonnes questions n’ont pas été posées, et il manque des détails indispensables. J’aimerais vous donner des informations précises mais si j’entrais dans tous les détails des bizarreries de ces dossiers, cet article se transformerait en brochure. Par conséquent, j’aime mieux pour l’instant citer quelques exemples, pour vous permettre de vous faire une idée générale du processus de préparation du procès du massacre de Malatya. Une enquête insuffisante : Emre Gunaydın, le suspect numéro un dans cette affaire, déclare que certaines personnes l’ont orienté vers les protestants, et il mentionne quelques noms. Mais on ne lui a pas demandé comment il a été orienté, ni ce qui lui a été dit. Emre affirme qu’il était membre du Ülkü Ocakları (la branche pour la jeunesse du MHP, le Parti du Mouvement National, un parti ultra-nationaliste) – Nota CVAN : il suffit de voir la page d’accueil de leur site http://www.ulkuocaklari.org.tr/index.asp pour comprendre qu’il s’agit des Loups Gris, mouvement extra-violent, d’obédience fasciste d’un côté mais lié aux extrémistes islamistes et à la mafia turque de l’autre -, mais on ne lui a pas posé une seule question sur son appartenance à cet Ülkü Ocakları dont les membres avaient précédemment manifesté contre les activités missionnaires de la maison d’édition. La déposition de Urhi Polat, qui, indique Emre, lui a parlé des missionnaires et qui est membre du MHP, ne fait qu’une demi-page. Ni la police, ni le procureur, n’ont mené la moindre investigation sur les relations qu’avait cette personne. Polat dit qu’il a parlé une fois avec Emre au téléphone, mais quand vous regardez les relevés de communications téléphoniques figurant au dossier, vous pouvez constater qu’avant que les assassinats soient commis, il y avait eu de nombreuses conversations téléphoniques entre cet individu et Emre. Pourtant personne ne s’est donné la peine de les interroger sur cette contradiction. Même un œil inexpérimenté peut voir que de nombreuses personnes qui ont des contacts manifestes avec les membres de la bande, et qui étaient probablement impliquées à différents niveaux dans le complot, sont simplement mises en liberté pour cause d’investigations insuffisantes sur leurs relations et leurs actes. Les dépositions du dossier sont toutes superficielles, et il y manque des détails essentiels. D’après les dépositions, il est évident que les assassinats avaient été planifiés et préparés pendant au moins quelques mois. On peut difficilement croire que la police ou la gendarmerie n’avaient aucune information sur les projets de ces assassins. Les communications envoyées [par la police] nous permettent de comprendre que l’une des victimes, Necati Aydın, était sous surveillance constante, et dans sa fiche de police il est inscrit comme ancien criminel pour le « crime » d’ « activité missionnaire ». Le procureur qui a versé au dossier toutes sortes de documents sur les activités des victimes n’a pas mené d’enquête sur les articles provocateurs des journaux locaux. En un mot, le procès a été préparé de telle façon qu’il en résulte qu’un groupe de jeunes a été irrité par les missionnaires et a décidé de les éliminer. C’est aussi simple que cela. Massacrer pour la patrie Pourtant, si vous regardez les dernières pages des dossiers, vous aurez un tableau complètement différent. Il y a des lettres que ces assassins ont envoyées à leurs familles et à leurs petites amies. Ils y disent qu’ils n’ont pas honte de ce qu’ils ont fait, parce qu’ils l’ont fait pour le pays et qu’ils se sont sacrifiés pour la patrie. Ils veulent qu’on les félicite et qu’on les apprécie. Et il doit y avoir des gens qui leur donnent ces sentiments positifs. Si les responsables politiques continuent à dire chaque jour que la Turquie court un danger imminent, qu’il y a des ennemis intérieurs dans ce pays, que les missionnaires sont les agents de pays étrangers qui essaient de démembrer la Turquie etc., des crimes aussi horribles sont inévitables. Si des « ennemis intérieurs » comme des missionnaires sont montrés sur d’innombrables pages Web en tant que cibles qu’il est légitime d’abattre, et si la justice ne fait rien contre cette manie, nous verrons d’autres assassinats, d’autres agressions et massacres. Aussi bien le procès Hrant Dink que celui de Malatya sont d’une extrême importance pour l’avenir de ce pays. Le dossier préparé par le procureur m’a énormément déçu. Cependant, les avocats de Dink et certains des avocats de l’affaire Semdinli (l’attentat à l’explosif contre une librairie en 2005 dans la ville de Semdinli, dans le sud-est de la Turquie) vont assister au procès de Malatya. De cette manière, nous allons créer une mémoire collective et j’espère que cette mémoire nous aidera à éclairer un peu cet écheveau de sombres relations. La première audience de ce procès aura lieu ce vendredi à Malatya. Nous allons essayer d’y produire une petite lueur ! [email protected] © Traduction Collectif VAN - 26 novembre 2007 - 08:50 - www.collectifvan.org Lire aussi : La Turquie sous le choc d'une tuerie dans une maison d'édition chrétienne http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=9566 Turquie : après le massacre de Malatya http://collectifvan.org/article.php?r=0&id=12530 Martyrs chrétiens en Turquie http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&&id=11109 Turquie: inculpation de l'instigateur supposé du meurtre de trois chrétiens http://www.collectifvan.org/article.php?r=4&id=10004 La "christophobie" monte en Turquie http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=9900 Turquie : ‘Que nous arrive-t-il pour que puissions tuer aussi facilement ?’ (Erdogan) http://www.collectifvan.org/article.php?r=0&id=9514 © 2005 Dogan Daily News Inc. www.turkishdailynews.com.tr http://www.turkishdailynews.com.tr/editorial.php?ed=orhan_cengiz Lire le texte original dans la rubrique Anglais La 3e Expédition de Vienne: Football ou Conquête militaire? Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN publie cet article paru sur le site Info-Turk le 26 novembre 2007. Le tirage au sort des éliminatoires de la zone Europe de la Coupe du Monde 2010 s'est déroulé ce dimanche à Durban (Afrique du Sud). La Turquie figure dans le groupe 5 avec l'Espagne, la Belgique, la BosnieHerzégovine, l'Estonie et l'Arménie. Le 21 novembre, en battant 1-0 l'équipe de Bosnie Herzégovine à Istanbul, la Turquie avait accédé au 3e championnat d'Europe des Nations de son histoire. Un de plus grands quotidiens de Turquie, Günes, qui avait publié, il y a quelques jours, la carte d'une "Turquie élargie" au détriment de ses voisins, célébrait cette victoire avec une manchette revancharde: "La 3e Expédition de Vienne" Grâce à nos joueurs de l'équipe nationale portant étoile et croissant nous entrons en Autriche, pays duquel nos ancêtres ont été refoulés par deux fois dans le passé. Rappels historiques: 1. Le siège de Vienne de 1529 représentait l’avancée la plus à l’ouest de l’Empire ottoman,suite aux affrontements entre les armées de la Chrétienté et celles de l’Islam. Il peut être signalé comme celui qui finalement bloqua les forces turques (encore qu’elles conquirent ensuite les parties de la Hongrie tenues par l’Autriche). Après plusieurs revers, le sultan Soliman a donné l’ordre de battre en retraite vers Constantinople. 2. La bataille de Vienne eut lieu le 12 septembre 1683 sur la colline du Kahlenberg près de Vienne. La défaite décisive des Ottomans de Kara Mustafa fut le point de départ d'une campagne militaire, achevée en 1699, qui devait permettre aux Habsbourg de récupérer leurs terres de HongrieCroatie et de mettre fin à la menace ottomane en Europe centrale. Un autre rappel: Un membre du Parlement européen d'origine turque, Vural Öger (SPD), avant son élection, avait déjà annoncé une nouvelle tentative de conquête grâce aux Turcs vigoureux: «Ce que le sultan Soliman avait commencé avec le siège de Vienne en 1529, nous allons le réaliser en termes de population, grâce à nos hommes vigoureux et à nos femmes saines. En l'an 2100, il y aura en Allemagne 35 millions de Turcs et le nombre d'Allemands sera d'environ 20 millions.» (Libération, 4 juin 2004) http://www.info-turk.be/351.htm#Viyana Turquie : destruction d’un monastère orthodoxe ZF07111903 - 19-11-2007 Permalink: http://www.zenit.org/article-16663?l=french Turquie : destruction d’un monastère orthodoxe Par des fonctionnaires du gouvernement turc ROME, Lundi 19 novembre 2007 (ZENIT.org) – Le 13 novembre dernier, plusieurs fonctionnaires du gouvernement turc ont entrepris de détruire le monastère orthodoxe du Christ Saint-Sauveur, dans les Iles des Princes. Un communiqué de l’Ordre de Saint-André, dont les membres, nommés archontes du patriarcat œcuménique, et qui a son siège à New York, révèle qu’« en réponse à la destruction illégale d’une église chrétienne orthodoxe historique en Turquie par huit fonctionnaires du ministère de la Sylviculture locale, Sa Sainteté le Patriarche oecuménique Bartholomée avait envoyé une lettre à Mevlut Kurban, chef du district des Iles des Princes, lui faisant part de ses sentiments de déception et d’émoi », après ce qui s’est passé. « Le patriarche œcuménique a souligné que le monastère du SaintSauveur avait survécu à de nombreux incendies et tremblements de terre au cours des siècles, lit-on dans le communiqué. Détruire un édifice sacré d’une telle importance historique et culturelle, est incivil et d’autant plus injuste que la ville d’Istanbul a été choisie comme capitale européenne en 2010 ». Le commandant national de l’Ordre de Saint-André, Anthony J. Limberakis, a condamné l’intervention illégale des fonctionnaires turcs. « Au nom de tous les peuples de foi qui attachent de la valeur à la liberté religieuse, aux droits fondamentaux de l’homme et à la dignité de chaque être humain, nous exhortons le gouvernement turc à mettre immédiatement fin à la destruction de ce monastère historique et à l’incessante persécution contre les humbles gardiens et travailleurs qui vivent dans les propriétés du monastère ». Anthony J. Limberakis a souligné que les archontes sont aux Etats-Unis de fidèles partisans de l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne et qu’ils ont demandé à ce que tous les amis de la Turquie exhortent le gouvernement à traiter tous les citoyens turcs de manière juste et équitable, indépendamment de leurs convictions religieuses. Le monastère se trouvait en phase de restructuration. Les fonctionnaires ont enlevé et jeté les tuiles du toit, ont brisé toutes les fenêtres et leurs encadrements. Ils ont par ailleurs menacé les résidants qui ont été priés de quitter leurs logements avant que l’on ne procède à leur destruction. « Nous prions pour une solution positive à ce tragique événement et attendons anxieusement réparation des dommages causés à notre bienaimé monastère », conclut le communiqué. Le patriarcat œcuménique, fondé par l’apôtre André, constitue un point de référence pour 250 millions de chrétiens orthodoxes dans le monde. © Innovative Media, Inc. http://www.zenit.org/article-16663?l=french Les meurtriers de trois chrétiens jugés en Anatolie Laure Marchand 23/11/2007 | Mise à jour : 22:48 | Commentaires 8 . Le procès de cinq jeunes Turcs s’est ouvert hier sur fond d’intolérance religieuse. Les parties civiles dénoncent une enquête à charge contre les victimes. De notre envoyée spéciale à Malatya Au mur sont accrochés les Dix Commandements. D’une petite cage délicatement emmaillotée dans des broderies, les pépiements d’une perruche s’éparpillent dans le salon de Mustafa et Alp, aussi dépouillé qu’une cellule monacale. Protestants évangéliques, ils se sont installés à Malatya cet été, afin «d’accomplir leur mission pour le Christ, malgré la peur». La foi du converti chevillée au corps, ces deux «frères» en religion expliquent être venus dans cette ville de l’est de la Turquie, où il est «difficile d’être un chrétien», pour reprendre le «travail» de leurs prédécesseurs. Formule pudique s’il en est : le 18 avril, trois missionnaires ont été assassinés dans le local de la maison d’édition Zirve, spécialisée dans la publication de bibles. Avant d’être égorgées, les victimes, deux Turcs et un Allemand, ont été longuement torturées. Ugur Yüksel, transporté agonisant à l’hôpital, avait les cuisses, les testicules, l’anus et le dos «tailladés de dizaines de coups de couteaux, ses doigts avaient été coupés jusqu’à l’os», selon le compte rendu macabre du chirurgien qui tenta de le sauver. Accusés d’avoir créé une «organisation terroriste armée», les cinq meurtriers et sept complices présumés comparaissent depuis hier devant une cour pénale de Malatya. La prison à vie a été requise pour les apprentis tortionnaires lors de réquisitions préliminaires. Avec ce procès, c’est une nouvelle fois le nationalisme qui se retrouve sur le banc des accusés. Mais les parties civiles dénoncent une instruction lacunaire. L’assassinat de Tilmann Geske, Necati Aydin et Ugur Yüksel porte une signature similaire à ceux du prêtre italien Andrea Santoro en 2005 et du journaliste d’origine arménienne Hrant Dink en janvier. Cette fois-ci encore, les exécutants sont jeunes, âgés de 19 à 20 ans, désœuvrés et proches des milieux ultranationalistes. Mais l’enquête n’a pas exploré les possibles connexions politiques, selon les défenseurs des parties civiles. «Pourtant, Emre Günaydin, le leader, a déclaré avoir été membre des Foyers idéalistes (mouvement d’extrême droite des Loups gris, NDLR)», pointe l’avocat Orhan Kemal Cengiz. Ce spécialiste des droits de l’homme accuse le procureur d’avoir mené une enquête à charge contre les victimes : « Sur 31 dossiers, 16 concernent les activités missionnaires. Les noms, les adresses et les numéros de téléphone des personnes contactées par les trois protestants sont répertoriés, ce qui les met en danger.» Psychose collective À Malatya, capitale mondiale de la production d’abricots et ville natale d’Ali Agca, l’homme qui a tiré sur le pape Jean-Paul II en 1981, la présence d’une poignée de missionnaires évangélistes a mené à la psychose collective. Culminant avec le meurtre de trois d’entre eux. « Les médias disaient qu’il y en avait partout dans la ville, qu’il fallait surveiller les enfants, raconte Necdet Akboga, journaliste à Kanal Malatya, une chaîne de télévision locale. À la fin, des habitants appelaient même la police quand ils suspectaient des voisins.» Pour l’enterrement de Tilmann Geske, la victime allemande, «nous étions trois cents, tout au plus, essentiellement des militants de gauche, se souvient Mustafa Türk, un Kurde qui dirige un centre culturel. De la cour de récréation d’une école donnant sur le cimetière, des enfants nous traitaient de “chiens d’infidèles”». Cette atmosphère hostile n’ébranle pas la branche locale du Parti de la grande union (BBP). À Trabzon, l’enquête sur le meurtre de Hrant Dink a mis au jour des complicités entre les meurtriers et cette formation islamonationaliste. À Malatya, les quelques adhérents présents dans le local poussiéreux voient derrière la sauvagerie du triple assassinat, au choix «la main d’al-Qaida, du Mossad, du PKK ou de l’Asala, (groupe terroriste arménien actif dans les années 1970-1980, NDLR) qui cherchent à affaiblir la nation». Morceaux choisis des théories du complot en vogue en Turquie, accusant les ennemis extérieurs. Dans leur ville, rien à signaler, à part l’hospitalité envers la petite minorité chrétienne, selon eux. Jusqu’au génocide de 1915, Malatya était une ville peuplée de nombreux Arméniens. De ce passé, il reste une église murée, quelques familles et le nom de Hrant Dink, qui en était originaire. Harti Minasyian, son cousin, qui y habite toujours, a déménagé précipitamment : «Le jour où les protestants ont été tués, ma maison a été taguée. Ils ont écrit : «Ici c’est une maison arménienne.» Je l’ai vendue. D’autres ont reçu des lettres anonymes de menaces de mort. On a tous peur, on veut tous partir d’ici.» http://www.lefigaro.fr/international/2007/11/24/0100320071124ARTFIG00210-les-meurtriers-de-trois-chretiens-juges-enanatolie.php La Turquie demande l'extradition des membres du PKK 2007-11-26 19:43:54 ANKARA, 26 novembre (Xinhua) -- Le ministre d'Etat et vice- Premier ministre turc, Cecil Cicek, a indiqué que la Turquie appelle à l'extradition des membres du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK) dont on sait qu'ils se trouvent à l'étranger, a rapporté lundi l'agence de presse semiofficielle Anatolia. "Nous demandons l'extradition des membres du PKK qui doivent endosser la responsabilité des attentats contre la Turquie, ces terroristes sont non seulement en Irak, mais également dans d'autres pays", a ajouté M.Cicek. Il a annoncé qu'il y a eu un changement dans les déclarations publiée récemment par le gouvernement irakien, mais que cela ne suffit pas, ajoutant que "le gouvernement irakien doit faire beaucoup plus que juste étiqueter le PKK comme organisation terroriste, et les camps du PKK dans le nord de l'Irak doivent être détruits et les criminels extradés aussi vite que possible". Réaffirmant que le gouvernement turc continuera à répondre aux responsabilités qui lui incombent de lutter contre le terrorisme, M.Cicek a indiqué qu'il n'y a pas d'amnestie sur l'agenda du gouvernement turc pour les membres du PKK. Le PKK a pris les armes contre la Turquie en 1984 avec pour but de créer un pays kurde indépendant dans le sud-est de la Turquie. Les violences liées au PKK ont fait plus de 30.000 morts depuis lors. http://www.french.xinhuanet.com/french/200711/26/content_531752.htm La Turquie demande à la Grande-Bretagne d'accélérer l'extradition des criminels 2007-11-24 10:44:11 ANKARA, 23 novembre (XINHUA) -- Le ministre turc de la Justice Mehmet Ali Sahin a demandé vendredi à la Grande-Bretagne d'accélérer les procédures d'extradition des membres du Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK, illégal), a rapporté l'agence de presse semi-officielle turque Anatolie. Sahin a fait ces remarques lors d'une conférence de presse conjointe avec le secrétaire d'Etat britannique à la Justice Jack Straw à l'issue de leur réunion à Ankara. Sahin a dit attacher beaucoup d'importance à la coopération judiciaire entre les deux pays, soulignant que "de tous les pays de l'UE, c'est avec la Grande-Bretagne que la Turquie a les relations les plus étroites dans le domaine juridique". Rappelant que des accords sur l'extradition de criminels du PKK existaient entre la Turquie et la Grande-Bretagne, Sahin s'est dit déçu qu'aucun progrès n'ait encore été constaté pour ces extraditions. Il a souligné que plusieurs membres présumés du PKK vivaient en Grande-Bretagne et que la Turquie demandaient leur extradition, mais que la procédure d'extradition était "un peu lente". De son côté, Straw a indiqué que la Grande-Bretagne voulait le renforcement de la coopération avec la Turquie sur ce sujet et que des initiatives pour l'extradition des criminels étaient en préparation. http://www.french.xinhuanet.com/french/200711/24/content_530334.htm La police disperse une manifestation de Kurdes dans le sud-est La police turque a dispersé dimanche à l'aide de gaz lacrymogène des centaines de Kurdes qui manifestaient en faveur de la rébellion séparatiste à Diyarbakir (sud-est de la Turquie), a constaté un correspondant de l'AFP. Un rassemblement organisé par le Parti pour une société démocratique (DTP, pro-kurde) pour dénoncer la tentative des autorités d'interdire la formation, a rassemblé quelque 40.000 personnes à Diyarbakir, la plus grande ville du sud-est de la Turquie à majorité kurde. Le rassemblement a dégénéré lorsqu'un groupe d'un millier de manifestants s'est dirigé vers le siège d'un parti d'opposition nationaliste et a lancé des pierres contre le bâtiment et les forces de l'ordre. La police a dispersé la foule à l'aide de bombes de gaz lacrymogènes et a interpellé plusieurs personnes. Les protestataires ont scandé des slogans en faveur du PKK et son dirigeant emprisonné Abdullah Ocalan. La Cour constitutionnelle turque a annoncé vendredi qu'elle n'avait pas décelé de vice de procédure dans un acte d'accusation réclamant l'interdiction le principal parti pro-kurde du pays, le DTP, et qu'elle jugerait l'affaire. (AFP, 25 nov 2007) http://www.info-turk.be/351.htm#disperse Rencontre à Ankara entre généraux turcs et américains De hauts responsables militaires turcs et américains ont discuté de la coopération dans la lutte contre les rebelles du PKK, au cours d'une rencontre samedi à Ankara, a annoncé l'armée turque. Le numéro un de l'armée turque le général Yasar Buyukanit et le commandant en chef des forces américaines en Europe le général Bantz Craddock ont discuté de "la coopération dans la lutte conjointe contre l'organisation terroriste du PKK, dont le partage des renseignements", indique un communiqué de l'armée turque. Le général James Cartwright, vice-président de l'état-major américain, et le général David Petraeus, commandant en chef des forces américaines en Irak, avaient déjà été reçus mardi à Ankara par le numéro deux de l'étatmajor turc, le général Ergin Saygun. Ces rencontres entre responsables de haut rang des deux pays font suite à une rencontre le 5 novembre à Washington entre le Premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan et le président américain George W. Bush. M. Bush avait annoncé que les Etats-Unis fourniraient à Ankara des renseignements "en temps réel" sur les mouvements des rebelles retranchés dans le nord de l'Irak. La Turquie menace d'intervenir militairement dans le nord de l'Irak contre le PKK. Quelque 100.000 soldats ont été déployés près de la frontière irakienne. M. Erdogan a toutefois affirmé mardi qu'Ankara n'aurait pas immédiatement recours à des opérations transfrontalières, autorisées le mois dernier par une motion parlementaire. Le samedi, il a déclaré que l'amélioration des droits démocratiques de la communauté kurde diminuera le soutien au séparatisme et mettra fin à l'existence du groupe rebelle du PKK. Erdogan, dans un discours télévisé prononcé lors d'une réunion de son parti de la Justice et du Développement à Kizilcahamam, près d'Ankara, a précisé que son pays avait atteint une "étape critique" dans sa lutte contre les séparatistes du PKK et que les rebelles étaient "assiégés de toutes parts" grâce au soutien international. "Un climat de liberté est l'ennemi de la violence et du terrorisme", a ajouté le Premier ministre. "Maintenons donc la démocratie pluraliste et renforçons le climat de liberté afin d'obtenir un résultat décisif dans la lutte contre le terrorisme", a encore affirmé M. Erdogan. "Cherchons ensemble les moyens de gagner la population au lieu de nous l'aliéner", a-t-il proposé. (AFP, 24 nov 2007) http://www.info-turk.be/351.htm#Rencontre La Cour constitutionnelle turque va juger le parti prokurde DTP La Cour constitutionnelle turque a annoncé vendredi qu'elle n'avait pas décelé de vice de procédure dans un acte d'accusation réclamant l'interdiction du principal parti pro-kurde du pays et qu'elle jugerait l'affaire. La cour a "décidé d'accepter l'acte d'accusation (et) la procédure judiciaire va se poursuivre" a affirmé le vice-président de la Cour constitutionnelle Osman Alifeyyaz Paksüt, dont les déclarations étaient retransmises à la télévision. L'acte d'accusation va à présent être transmis au Parti pour une société démocratique (DTP), qui aura 30 jours pour présenter sa défense par écrit à la Cour, a indiqué M. Paksüt. Le procureur de la Cour de cassation Abdurrahman Yalçinkaya avait déposé la semaine dernière auprès de la Cour constitutionnelle un acte d'accusation recommandant l'interdiction du DTP au motif qu'il était un "foyer d'activités préjudiciables à l'indépendance de l'Etat et à son unité indivisible". M. Yalçinkaya accusait la direction du DTP d'obéir aux "directives" du chef emprisonné des rebelles kurdes du PKK. Le DTP, qui détient 20 des 550 sièges du Parlement, rejette les accusations de liens avec le PKK, mais a été critiqué pour son refus de qualifier l'organisation de terroriste et pour les sympathies qu'il affiche parfois à l'égard des rebelles. Les poursuites engagées contre le DTP interviennent alors que la Turquie menace d'intervenir militairement contre les rebelles du PKK retranchés dans le nord de l'Irak, dont ils se servent comme d'une base arrière pour leurs opérations dans le sud-est anatolien. (AFP, 23 nov 2007) http://www.info-turk.be/351.htm#Cour Turquie: La conférence d'Annapolis est une opportunité pour relancer le processus de paix au Moyen-Orient 2007-11-26 15:05:59 ANKARA, 25 novembre (XINHUA) -- La Turquie considère la conférence d'Annapolis comme une opportunité pour relancer le processus de paix au Moyen-Orient, a indiqué dimanche le ministre turc des Affaires étrangères Ali Babacan. "Je souhaite que la conférence soit un événement marquant dans les efforts pour (réaliser) une paix au Moyen-Orient", a déclaré M. Babacan, cité par l'agence de prese semi-officielle turque Anatolie. Il a tenu ces propos avant de se rendre aux Etats-Unis pour participer à la conférence d'Annapolis, qui débuter mardi prochain. "La question palestinienne est le point focal de toutes les autres questions au Moyen-Orient", a souligné M. Babacan, et d'ajouter: "il n'est pas possible d'assurer une paix durable au Moyen-Orient avant que la question palestinienne ne soit résolue." Le chef de la diplomatie turque a exprimé le souhait que les participants de cette réunion puissent parvenir à un accord qui ouvrira de nouvelles étapes dans le processus de paix. En juillet 2007, le président américain George W. Bush a annoncé le projet d'organiser une conférence sur la paix au Moyen- Orient en vue de promouvoir les négociations de paix israélo- palestiniennes après sept ans de gel. http://www.french.xinhuanet.com/french/200711/26/content_531422.htm GENOCIDE ARMENIEN/BOSTON Boston aura sa plaque commémorant le génocide arménien lundi26 novembre 2007, par Stéphane/armenews Le parc Rose Fitzgerald Kennedy de Boston aura bien une plaque commémorant le génocide Arménien financée par une association arménienne l’Armenian Heritage Fondation. Cette décision fait suite à une demande de l’association arménienne qui date de l’an 2000 afin de trouver à Boston un lieu pour commémorer les victimes du génocide de 1915. Bien que la formule pour la plaque ne soit pas encore finalisée, l’équipe municipale a pris la décision la semaine dernière au cours d’une réunion que « l’événement historique serait mentionné ». James M. Kalustian, représentant l’association arménienne a confirmé que la discussion a aboutit à « inclure une référence au génocide arménien ». Erkut Gomulu, président de la Société Culturelle Turco-Américaine de la Nouvelle Angleterre, s’est dit opposé à la pose de la plaque dans le parc arguant que quelle que soit la plaque elle ne devait pas faire référence à l’histoire d’un groupe spécifique. « On nous fait croire que cela rendra hommage à tous les immigrants n’est-ce-pas ? » a-t-il dit. « On a prétendu que ce ne serait pas un mémorial. Mais d’autre part il aura le mot génocide dans la formule ». http://www.armenews.com/article.php3?id_article=36385 UKRAINE L'Ukraine marque le 75e anniversaire de la grande famine de 1932-33 Par Ania TSOUKANOVA AFP - Samedi 24 novembre, 18h12 KIEV (AFP) - Messe, drapeaux en berne et des milliers de bougies: l'Ukraine a célébré samedi le 75e anniversaire de la grande famine des années 1932-33 qui a fait des millions de morts et reste l'objet d'un contentieux entre Kiev et Moscou. "C'était un génocide. Une tentative de soumettre la nation, consciente, planifiée et mise en oeuvre", a lancé, le visage grave, le président Viktor Iouchtchenko, un pro-occidental, devant plusieurs milliers de personnes réunies sur la place St Michel, dans le centre de Kiev. "Son organisateur et exécutant était le régime totalitaire communiste. (...) Les crimes du bolchevisme et du communisme sont identiques à ceux du nazisme", a-t-il accusé, après avoir mené un défilé de plusieurs milliers d'Ukrainiens portant des drapeaux nationaux assortis d'un ruban noir en signe de deuil, vers un monument érigé en mémoire aux victimes de la famine. La grande famine, qui à tué entre quatre et dix millions d'Ukrainiens, est "la pire catastrophe" nationale, a estimé M. Iouchtchenko, exhortant à la "condamnation mondiale de la terreur communiste" contre des "peuples innocents: Ukrainiens, Russes, Tatars, Bélarusses, Juifs..." Après une minute de silence, observée dans tout le pays vers 14H00 GMT, des milliers d'Ukrainiens, dont le chef de l'Etat, ont commencé à allumer des bougies sur la place St Michel pour rendre hommage à leurs compatriotes tuée par la famine. Les commémorations ont été ouvertes dans la matinée par un service funèbre célébré en la cathédrale au centre-ville et suivi par le chef de l'Etat, le Premier ministre par intérim Viktor Ianoukovitch, réputé prorusse, et bon nombre de ministres. "Nous prions pour le repos des serviteurs de Dieu tués par la famine en Ukraine", a déclaré un prêtre vêtu d'une chasuble dorée. "Mémoire éternelle" entonnait le choeur d'église. En 1932, les autorités soviétiques ont déclenché une campagne de collectivisation forcée au cours de laquelle elles ont réquisitionné semences, blé, farine, légumes et bétail, acculant les paysans à la famine notamment en Ukraine. Selon des experts ukrainiens et occidentaux, comme le Britannique Robert Conquest, cette famine provoquée intentionnellement par le pouvoir soviétique visait à briser les velléités d'indépendance de l'Ukraine. Les autorités soviétiques avaient bloqué les fournitures de produits alimentaires dans les régions frappées par la famine et continuaient à exporter du blé à l'étranger, alors que des milliers d'Ukrainiens mouraient de faim chaque jour. Depuis des années, Kiev cherche à faire reconnaître par l'ONU la grande famine des années 1932-33 comme un "génocide" contre le peuple ukrainien. Ce projet est cependant mal vu par la Russie, alors qu'un mouvement nationaliste russe, Union eurasiatique de jeunesse, a saccagé à la minovembre à Moscou une exposition ukrainienne consacrée à la grande famine. De leur côté, plusieurs organisations nationalistes ukrainiennes ont demandé ces derniers jours au gouvernement de réclamer des compensations à la Russie pour la famine. L'ambassade ukrainienne en Russie a aussitôt assuré que Kiev n'avait aucune réclamation en ce sens et le président Iouchtchenko a déclaré que les "recherches de la vérité historique" n'étaient pas dirigées contre les autres pays. Même en Ukraine, l'opinion publique est partagée sur ce drame. Une partie des Ukrainiens, notamment des russophiles, doutent de son caractère "génocidaire". Pour eux, il s'agit d'une erreur tragique de la politique communiste et non d'un acte de terreur dirigé contre la nation ukrainienne. Illustration de ces divergences, une loi reconnaissant la famine comme "génocide" n'avait été adoptée qu'à une courte majorité fin 2006 par le Parlement ukrainien. http://fr.news.yahoo.com/afp/20071124/twl-ukraine-urss-histoire-famineprev-c99dde2.html Commémoration de la famine des années 1930 en Ukraine, Kiev veut des archives 16:22 | 26/ 11/ 2007 KIEV, 26 novembre - RIA Novosti. L'Ukraine mènera des négociations avec la Russie afin d'obtenir des archives concernant les famines des années 1921-1923, 1932-1933 et 1946-1947, lit-on dans une ordonnance du cabinet des ministres publiée sur le site Internet du parlement ukrainien à l'occasion du 75e anniversaire de la famine des années 1930. Un programme culturel et historique d'étude de la famine de 1932-1933 et de commémoration de ses victimes devrait également être mis en place. Les pouvoirs locaux ont été chargés d'améliorer le niveau de vie des survivants, ainsi que l'assistance médicale qui leur est portée. Ils doivent organiser le déboulonnement des monuments dédiés aux personnes ayant une responsabilité dans l'organisation de la famine. Certains lieux publics (rues, places, etc.) devraient également être renommés. Le cabinet des ministres a en outre décrété la recherche et le recensement des lieux d'inhumation collective ainsi que des sépultures des personnes décédées au cours de ces événements. Kiev devrait accueillir un mémorial à la mémoire des victimes et un monument dédié au chercheur James Mace, qui a consacré ses recherches à la famine. En 2008, un monument aux victimes devrait être inauguré à Washington. L'Ukraine a connu plusieurs famines au cours du vingtième siècle: après la révolution, pendant la collectivisation et après la deuxième guerre mondiale. La plus catastrophique, baptisée Holodomor ("extermination par la faim") par les historiens ukrainiens, s'est produite en 1932-1933. Le 75e anniversaire de cette tragédie a eu lieu le week-end dernier. Les dirigeants du pays ont activement appelé la communauté internationale à considérer comme un génocide la famine de 1932-1933, à l'instar du parlement ukrainien. 11 pays ont adopté cette position. Entre 7 et 10 millions de personnes ont péri au cours de ces années de famine. Selon les scientifiques russes, la famine de 1932-1933 a principalement touché les régions céréalières de l'URSS: l'Ukraine, le Caucase du Nord, la région de la Volga, le Kazakhstan, la Sibérie occidentale et le sud de l'Oural. Entre 3 et 3,5 millions de personnes ont péri en Ukraine, 2 millions au Kazakhstan et au Kirghizstan et entre 2 et 2,5 millions en Russie. L'année 2008 a été déclarée année du souvenir des victimes de la famine en Ukraine par un décret du président Viktor Iouchtchenko. http://fr.rian.ru/world/20071126/89626014.html BELGRADE "Pas totalement confiance à Belgrade" Christophe Lamfalussy Mis en ligne le 26/11/2007 ----------Interview bilan avec Carla Del Ponte, la Procureure du Tribunal de La Haye. Les problèmes du passé l'empêchent de faire à 100 pc confiance à la Serbie. La communauté interna- tionale n'a pas fait assez pour arrêter Karadzic et Mladic. Entretien Carla Del Ponte a dominé l'actualité des Balkans ces dernières années. C'est elle qui a obligé la Croatie à livrer le général Gotovina, elle encore qui a fait le siège de la Serbie pour demander la reddition des derniers inculpés. Irritante pour les uns, tenace pour les autres, la Procureure du Tribunal pénal international (TPI) quitte ses fonctions à la fin de l'année pour devenir ambassadrice de la Suisse en Argentine. Sa dernière conférence de presse aura lieu le 13 décembre à La Haye. Avant cette échéance, elle a bien voulu répondre par mail aux questions de "La Libre". Madame la Procureure, vous vivez vos dernières semaines de mandat au Tribunal pénal international. Comment vous sentez-vous ? Je crois que nous avons accompli pas mal de choses. Durant les huit ans ici, nous avons décerné des inculpations initiales contre 63 personnes, et 91 accusés ont été placés sous détention par le Tribunal. Des procès contre 44 d'entre eux ont débuté et abouti durant mon mandat. Nous avons prouvé au-delà de tout doute raisonnable qu'un génocide a été commis à Srebrenica, que le viol a été utilisé comme un instrument de terreur et devrait être considéré comme un crime contre l'Humanité, que les crimes contre les civils durant le siège de Sarajevo méritent la plus forte peine et bien d'autres faits très importants à propos des crimes commis en ex-Yougoslavie et de la responsabilité individuelle de ceux qui ont été condamnés. Et pourtant, quand je pense à Mladic et à Karadzic, je ne suis pas totalement satisfaite. Quel conseil donneriez-vous à votre successeur, le Belge Serge Brammertz ? C'est difficile de donner un conseil. Lorsque son engagement sera officiel, je suis sûre que nous aurons amplement l'occasion de nous rencontrer et de parler. Le Tribunal est un mécanisme complexe qui opère dans un environnement international encore plus complexe. À juger de son passé professionnel, M.Brammertz semble avoir beaucoup d'expérience dans ce domaine. Je suis sûre que le passage de témoins se fera raisonnablement en douceur. Pourquoi avez-vous ces derniers mois insisté davantage sur le cas de Ratko Mladic que sur celui de Radovan Karadzic ? Simplement parce que toutes nos preuves indiquent que Mladic est encore en Serbie. Quant à Karadzic, je crois qu'il est encore en ex-Yougoslavie mais je ne suis pas sûre qu'il s'agisse de la Serbie, de la République Serbe de Bosnie ou du Montenegro. Une chose reste claire : tous les fugitifs restants doivent être amenés devant le Tribunal pour procès. L'alternative est l'impunité, et c'est inacceptable. Vous avez à maintes reprises répété que la coopération de la Serbie avec le TPI était "insuffisante" Quel geste de Belgrade a-t-il été déterminant pour vous faire changer d'avis ? Il y a plusieurs facteurs. Le nouveau gouvernement - établi plus tôt cette année - a fait de la coopération avec le Tribunal l'une de ses cinq priorités. De plus, nous avons reçu des documents que nous avions demandés. Nous avons pu accéder à des archives importantes, et il y a eu certaines améliorations dans la traque aux fugitifs. Mais, comme vous avez pu le voir dans mes rapports ces cinq derniers mois, nous suivons la situation de très près et informons la communauté internationale dès que nous rencontrons un obstacle. Alors, mon appréciation de la coopération de Belgrade change aussi souvent que les choses changent sur le terrain. Je ne suis malheureusement pas en mesure de faire totalement confiance à Belgrade après tous les problèmes de ces dernières années. Je reste vigilante. Et, malheureusement, de temps à autre, nous rencontrons des problèmes. Votre ancienne porte-parole Florence Hartmann a écrit que le manque de volonté des grandes puissances d'arrêter les principaux auteurs du massacre de Srebrenica "fait de nos dirigeants des complices de la pire tuerie en Europe depuis l'Holocauste". Partagez-vous cette analyse ? Je l'ai dit à plusieurs reprises. Je crois que la communauté internationale n'a pas fait assez pour arrêter immédiatement ces fugitifs juste après la guerre - en 1996, 1997. Tant Mladic que Karadzic circulaient librement en Bosnie parce que la communauté internationale croyait que leur arrestation allait provoquer une nouvelle guerre. Au moment où elle a réalisé l'importance d'arrêter des criminels de guerre présumés, ils s'étaient mis à couvert. Avez-vous subi des pressions politiques lors de votre mandat ? Le boulot des professionnels de la Justice est de résister à toutes les pressions politiques. En même temps, les cours internationales comptent aussi fortement sur le soutien de la communauté internationale pour obtenir la coopération des Etats. De cette façon, le Procureur a besoin de l'assistance des politiques - des représentants des Etats. J'ai appris une chose dans ce travail : la meilleure façon de résister à cette pression politique est de maintenir votre intégrité et de suivre votre preuve là où elle vous mène. Le Tribunal doit en principe clôturer ses procès en appel en 2010. Estimez-vous que toutes les fonctions du Tribunal - dont notamment la protection des témoins - doivent être transférées aux juridictions locales, serbes ou bosniaques, qui seront amenées à juger les derniers cas ? Ce sujet et d'autres sont actuellement en discussion au sein du Tribunal et du quartier général de l'Onu à New York. Je suis sûre qu'une solution adéquate sera trouvée. Quelle décision du TPI d'après vous est la plus significative pour le droit international ? En singulariser une seule ne serait pas juste tant il y a eu de décisions. Les cours ont admis les arguments de l'accusation selon lesquels le viol est une arme de guerre et peut constituer un crime contre l'Humanité. Elles ont aussi admis qu'un responsable civil, et pas seulement un commandant militaire, peut être tenu pour responsable de crimes durant un conflit armé, que répandre la terreur dans la population civile de Sarajevo est criminel et justifie la plus forte peine, que ceux qui se font les complices d'autres qui commettent un génocide, des crimes contre l'Humanité et des crimes de guerre sont aussi responsables de ces mêmes crimes et que les soldats ne peuvent pas simplement échapper à leurs responsabilités simplement parce qu'ils avaient reçu l'ordre de commettre ces crimes. La mort inopinée de Slobodan Milosevic, en 2006, a privé des milliers de victimes d'un jugement de la justice internationale. Si vous deviez lui prononcer le dernier réquisitoire, que lui diriez-vous ? Vous êtes coupable. http://www.lalibre.be/article.phtml?id=10&subid=91&art_id=385560 GENOCIDE RWANDAIS Génocide rwandais: Kigali "étonné" du dessaisissement du TPIR au profit de la France Il y a 2 jours KIGALI (AFP) — Le gouvernement rwandais s'est dit "étonné" samedi de la décision du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) de se dessaisir au profit de Paris des poursuites contre deux Rwandais accusés de génocide et vivant en France. "Ce que nous savions, c'est que le TPIR avait demandé à la France de lui remettre les deux accusés. Maintenant, c'est l'inverse qui se passe. Ca nous étonne", a déclaré à l'AFP le ministre rwandais de la Justice, Tharcisse Karugarama. "Nous allons demander au TPIR de nous expliquer ce qui se passe", a-t-il poursuivi. Le TPIR, qui siège à Arusha (Tanzanie), a annulé mercredi ses ordonnances demandant à Paris de lui remettre Wenceslas Munyeshyaka, prêtre catholique de 49 ans, et Laurent Bucyibaruta, ex-préfet de Gikongoro (sud du Rwanda), 62 ans, tous deux accusés de génocide. Le Chambre de première instance du TPIR avait auparavant "ordonné" que les actes d'accusation contre les deux hommes soient "renvoyés aux autorités françaises, à charge pour celles-ci d'en saisir immédiatement la juridiction compétente". Un accord passé entre Paris et le tribunal international en juin 2006 prévoit la possibilité que les procès aient lieu en France, le TPIR devant achever ses procès en première instance à la fin 2008. "On doit garder confiance en l'appareil judiciaire partout dans le monde mais force est de constater que la France n'a pas encore démontré sa volonté de juger les génocidaires", a estimé M. Karugarama. La justice rwandaise a affirmé à plusieurs reprises que la France n'avait "pas d'autorité morale" pour juger des accusés du TPIR, étant elle-même mise en cause par le Rwanda pour une collusion avec le régime génocidaire. Les transferts de certains dossiers devant des juridictions nationales font partie de la stratégie de fin de mandat de ce tribunal des Nations Unies auquel le Conseil de sécurité a demandé de terminer au plus tard à la fin de l'année prochaine les procès en première instance. Basé à Arusha, en Tanzanie, le TPIR a prononcé, à ce jour, 29 condamnations et 5 acquittements. http://afp.google.com/article/ALeqM5g9OHTjdarrXX9Mwr8DDlJ7A82OsA DARFOUR Des rebelles contre l'envoi d'un détachement chinois au Darfour Par Andrew Heavens Reuters - Samedi 24 novembre, 16h57 KHARTOUM (Reuters) - Les rebelles soudanais du Mouvement pour la justice et l'Egalité (Jem) ont exigé le retrait des premiers militaires chinois dépêchés dans le Darfour dans le cadre de la future force "hybride" OnuUnion africaine censée ramener la paix dans cette province meurtrie. Un premier détachement de plus de 130 soldats chinois du Génie coiffés du béret bleu de l'Onu est arrivé samedi à Nyala, capitale du Sud-Darfour, pour préparer le déploiement, à terme, de 26.000 militaires internationaux. La Chine, qui vend des armes à Khartoum, est un gros importateur de pétrole soudanais. Le Jem, qui accuse Pékin de souffler sur les braises du conflit au Darfour en soutenant le gouvernement central de Khartoum, a fait savoir qu'il ne permettrait pas aux soldats chinois de se déployer dans les territoires placés sous son contrôle. Khalil Ibrahim, chef du Jem, a déclaré à Reuters: "Les Chinois ne sont pas les bienvenus (...) Ils ne seront jamais autorisés à pénétrer dans les secteurs placés sous notre juridiction". Il a ajouté: "Nous y sommes hostiles parce que la Chine ne s'intéresse pas à la défense des droits de l'homme. Pékin ne s'intéresse qu'aux ressources du Soudan. Nous les invitons à plier bagages, notamment dans les régions riches en pétrole". En septembre, des éléments du Jem avaient attaqué une installation pétrolière chinoise de la région du Kordofan, à l'est du Darfour. Mais le dirigeant rebelle s'est refusé à dire si ses hommes prendraient les soldats du Génie chinois pour cible. "Je ne dis pas que nous les attaquerons, et je ne dis pas que nous ne les attaquerons pas. Ce que je dis, c'est qu'ils viennent prendre notre pétrole en échange de sang". Il a ajouté: "La Chine n'a jusqu'ici offert qu'un million de dollars pour les déplacés du Darfour. Pendant ce temps, ils vampirisent le Soudan à hauteur d'un million de barils par jour. Ils ne sont pas les bienvenus chez nous". http://fr.news.yahoo.com/rtrs/20071124/twl-soudan-darfour-chinebd5ae06.html Darfour: le JEM menace les casques bleus chinois Soudan, 26/11 - Le chef du Mouvement pour la justice et l`égalité, Khalil Ibrahim, a affirmé que les 135 ingénieurs n`étaient pas les bienvenus, accusant Pékin d`être complice dans le conflit au Darfour, a annoncé la BBC. L`avertissement des rebelles est intervenu quelques heures après l`atterrissage des 135 soldats chinois dans la capitale du sud Darfour à Nyala. Ibrahim Khalil, le chef du JEM a indiqué que les troupes chinoises n`étaient pas les bienvenues au Soudan et devaient se retirer immédiatement. Il a accusé Pékin d`avoir contribué à exacerber cette crise avec l`envoi d`armes et son soutien au gouvernement soudanais. Le contingent chinois doit préparer le terrain pour le déploiement de l`opération de paix conjointe Nations Unies/Union Africaine attendue pour le début de l`année prochaine. http://www.angolapress-angop.ao/noticia-f.asp?ID=577412 FRANCE TF1 : Des assurances-vie récupérées 90 ans après le génocide arménien Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - La journaliste Claire Chazal a très bien présenté le reportage sur AXA, diffusé le 25 novembre 2007 au journal de 20 heures de TF1. L'assureur Axa a commencé à verser des indemnités pour les descendants de victimes du génocide arménien en Turquie qui disposaient avant 1915 d'une police d'assurance-vie. Visionnez rapidement la vidéo sur : http://tf1.lci.fr/infos/jt/0,,3634313,00-assurances-vie-recuperees-ansapres-genocide-armenien-.html Vérifiez si vos grands-parents ou arrière-grands-parents font partie des souscripteurs d'AXA : http://www.armenianinsurancesettlementaxa.com/ BRUXELLES Le CCAF appelle à la mobilisation générale le 14 décembre 2007, à Bruxelles Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Collectif VAN diffuse le Communiqué de Presse du Conseil de Coordination des Organisations Arméniennes de France paru sur le site du CCAF le 23 novembre 2007. Le Conseil de Coordination des Organisations Arméniennes de France (CCAF) appelle tous les Arméniens de France à se mobiliser en participant à la manifestation, le 14 décembre 2007 à Bruxelles, organisée par la FRA Dachnaktsoutioun. Ce jour-là, les 27 chefs d’Etat et de gouvernement des pays membres de l’Union européenne se réuniront pour se prononcer sur le rapport d’étape de la Commission européenne. Tout est mis en oeuvre pour que la question de la reconnaissance du génocide arménien, en tant que préalable à l’adhésion de la Turquie, soit exclue du cadre des négociations. C’est pourquoi, nous devons marquer notre présence avec force, intensifier notre action et amplifier notre mouvement. Le 14 décembre, toute la communauté arménienne en Europe doit faire entendre sa voix auprès des chefs d’Etat et de gouvernement pour faire barrage à une Turquie génocidaire et négationniste. Le Conseil de Coordination des Organisations Arméniennes de France (CCAF) salue l’initiative de la FRA Dachnaktsoutioun et s’y associe pleinement, afin que ce rassemblement soit aussi l’affirmation de notre indéfectible unité. Paris, le 23 novembre 2007 http://www.ccaf.info/item.php?r=0&id=293 GEORGIE Géorgie: l'opposition unifiée projette de mener une manifestation "contre la violence" 18:28 | 24/ 11/ 2007 TBILISSI, 24 novembre - RIA Novosti. Le Conseil national de l'opposition unifiée (OU) estime que le principal objectif de la manifestation fixée au 25 novembre sera d'exprimer une protestation contre la violence, a annoncé lors d'une conférence de presse samedi le représentant de l'OU, le leader du Parti conservateur, Zviad Dzidzigouri. Des "actions symboliques" seront organisées sur la place Rike "où un meeting de l'opposition a été dispersé", puis sur l'avenue Roustaveli "où une violence a également eu lieu", a-t-il indiqué. Selon lui, l'opposition doit faire tout pour empêcher le président en place, Mikhaïl Saakachvili, de remporter la présidentielle anticipée fixée au 5 janvier. "Le président Saakachvili présentera sa démission demain ou aprèsdemain, nous devons donc l'empêcher d'occuper de nouveau ce poste", a affirmé M. Dzidzigouri cité par l'agence News Georgia. Le Conseil national de l'opposition unifiée compte neuf partis politiques qui ont présenté pour la présidentielle anticipée le candidat unique Levan Gatchetchiladze. http://fr.rian.ru/world/20071124/89429026.html MONDE RUSSE L'opposant Garry Kasparov condamné à cinq jours de prison LEMONDE.FR avec AFP et Reuters | 24.11.07 | 16h17 • Mis à jour le 25.11.07 | 10h38 A une semaine des élections législatives en Russie, le leader d'opposition et ancien champion du monde d'échecs Garry Kasparov a été arrêté avec une quarantaine d'autres opposants, samedi 24 novembre à Moscou, à l'issue d'une manifestation contre le président Vladimir Poutine. Garry Kasparov a été condamné à cinq jours d'emprisonnement pour avoir marché en direction de la Commission électorale centrale à l'issue du rassemblement anti-Poutine qui a réuni entre 2 000 et 3 000 personnes, selon les sources, et pour avoir refusé d'obéir aux ordres de la police. Seul le rassemblement était autorisé, pas la marche dans les rues de Moscou. Les opposants avaient défilé dans le calme, scandant"Russie sans Poutine", "Nous avons besoin d'une autre Russie" ou encore "Poutine va-ten !" "Notre but est le démantèlement de ce régime qui couvre le pays de honte et le déteste (...) Nous allons sortir de ce marécage de corruption et de mensonge et nous gagnerons !", avait lancé à la foule Garry Kasparov, candidat de L'Autre Russie à la présidentielle de mars 2008. UNE CONDAMNATION "NON FONDÉE" M. Kasparov a été interpellé alors qu'il tentait de rejoindre la commission électorale centrale avec un groupe de partisans pour dénoncer des élections législatives "injustes" attendues le 2 décembre. Après avoir été plaqué contre un mur avec ses gardes du corps par des policiers antiémeutes, M. Kasparov a été poussé vers un bus et embarqué dans le véhicule. Il a été ensuite conduit dans un commissariat avant d'être transféré au tribunal Mechtchanski. M. Kasparov, chef de file du mouvement L'Autre Russie, a jugé sa condamnation "non fondée". "J'ai été arrêté alors que la manifestation était terminée", a-t-il insisté devant la presse, en annonçant son intention de faire appel. Une nouvelle manifestation de l'opposition est prévue dimanche à SaintPétersbourg. Parallèlement à la manifestation de L'Autre Russie, les jeunesses proKremlin avaient organisé plusieurs contre-manifestations. Près du Kremlin, 2 000 jeunes des Nachi (Les Nôtres) se sont rassemblés en soutien au président Poutine, avec une grande banderole annonçant un "Front d'opposition du peuple aux gens du 'désaccord'". http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0@2-3214,36-982293@51972553,0.html Presse russe: revue du 26 novembre Revue de la presse russe du 26 novembre 16:54 | 26/ 11/ 2007 MOSCOU, RIA Novosti Vedomosti Lutte électorale en Russie: les autorités font-elles le jeu de l'opposition? L'opposition radicale est parvenue à ses fins: les "marches du désaccord" sont devenues la principale nouvelle du week-end dernier. Les autorités ont contribué à réaliser cet objectif en poursuivant le leur, qui consiste à mobiliser les électeurs à la veille des élections. Les autorités continuent de repousser l'opposition vers un "espace non systémique", en refusant de tolérer la concurrence politique, même dans une situation tout à fait favorable pour elles. Pourquoi les autorités interdisent-elles les marches de l'opposition et appréhendent ses organisateurs par la suite? Malgré la faiblesse et la discordance de l'opposition, le pouvoir se doit de redouter des scénarios "orange", car après que les élections du 2 décembre aient été transformées en un référendum de confiance envers Vladimir Poutine, le chiffre final de ces élections se doit d'être beaucoup plus important. Il ne suffit plus pour Russie unie de recueillir 50% ou même 60% des voix, car le résultat sera comparé à celui obtenu par M. Poutine lors de la dernière élection présidentielle (71,31%). Si elles ont besoin d'un résultat on ne peut plus élevé, les autorités seront obligées de pousser jusqu'à la dernière limite l'ancienne logique de réduction de l'espace politique. A chaque fois lors des législatives, toujours moins de partis étaient autorisés à participer aux élections. Cette fois-ci, il aurait été possible de s'arrêter à un système biparti. Le processus de simplification politique n'aurait alors pas été poussé jusqu'à l'absurde. Mais à présent, elles ont besoin d'une simplicité maximale: un seul leader, un seul parti. Malheureusement, la logique de la simplification est également valable dans l'économie. Si l'on veut influer sur la prise de décisions, on doit détenir le "bloc d'actions". Si l'on est un "actionnaire minoritaire", on n'est rien. La situation sera poussée à l'absurde lorsque les autorités estimeront qu'elles ne pourront pas appliquer leur politique économique sans avoir étatisé les entreprises. SmartMoney Le vertige des pétrodollars éloigne la Russie de l'Occident industrialisé La Russie a occupé cette année la place de premier producteur mondial de pétrole. En janvier-octobre, elle a extrait 9,87 millions de barils par jour, soit 10 à 12% de plus que l'Arabie Saoudite, qui caracolait en tête de ce classement en 2006. Les Saoudiens auraient pu facilement accroître leur production et ainsi devancer la Russie en volumes de pétrole extrait, mais ils ont choisi sciemment de ne pas le faire. Les Etats-Unis qui figurent également parmi les plus grands producteurs de pétrole réduisent ces dernières années leurs volumes d'extraction. En revanche, ils augmentent leurs capacités de raffinage. Aux Etats-Unis, le raffinage de pétrole dépasse déjà de 2,8 fois l'extraction. La Russie, elle, transforme moins de la moitié de son pétrole et, d'ailleurs, le niveau moyen de raffinage (part des produits pétroliers blancs) n'est que d'un peu plus de 70%, alors qu'il est de 85 à 95% en Occident La course insensée à l'extraction pourrait entraîner sa réduction en Russie dans les années à venir: non pas parce que le pays commencera à économiser ses matières premières, comme le font les Américains, mais tout simplement à cause de l'impossibilité de compenser la réduction de la production dans les régions d'extraction traditionnelles. La plupart des compagnies pétrolières ne peuvent plus augmenter l'extraction, et la croissance est aujourd'hui due, pour l'essentiel, aux projets de Sakhaline. En ce qui concerne le raffinage, la situation n'est pas meilleure. La Russie utilise actuellement environ 80% des capacités existantes. Le raffinage s'accroît de 5 à 6% à par an, cependant, selon un bilan statistique de BP, ces trois dernières années, les capacités de raffinage en Russie sont restées au même niveau. Cela signifie qu'au moment où l'accroissement de l'extraction deviendra problématique, il est douteux que la Russie puisse développer ses activités de raffinage. En effet, si elle ne construit pas de nouvelles installations, les capacités existantes ne suffiront pas pour cela. Il ne reste qu'à regretter que les milliards de dollars dépensés par les compagnies publiques pour l'achat d'actifs n'aient pas été investis dans l'extraction (pour assurer la continuité de la stratégie misant sur l'exportation), ou mieux encore dans le raffinage sur la base des technologies modernes occidentales. Nezavissimaïa gazeta Prix du gaz: Achkhabad pose ses conditions à Moscou et Kiev Les calculs de Moscou et de Kiev, qui ont failli se mettre d'accord, semblet-il, sur le prix du gaz qui doit être livré à l'Ukraine en 2008, en le fixant à 150-160 dollars les mille mètres cubes. Le Turkménistan a exigé vendredi que le prix du gaz fourni à la Russie soit augmenté d'au moins 30%. Etant donné que l'ensemble de ce gaz est finalement vendu à l'Ukraine, Moscou et Kiev seront obligés de négocier un nouveau prix. Le prix du gaz turkmène, s'élevant à 100 dollars les mille mètres cubes pour 2007-2009, avait été fixé en septembre 2006. "Achkhabad joue sur deux fronts: n'ayant pas l'intention de renoncer à l'itinéraire russe, il essaie en même temps de s'assurer des garanties dans d'autres directions", note Ekaterina Kravtchenko, analyste gazière de la compagnie Brokercreditservice. Dans ces conditions, Moscou se gardera de dicter un prix à Achkhabad. Selon Sergueï Pravossoudov, directeur de l'Institut de l'énergie nationale, le problème essentiel des livraisons de gaz turkmène réside dans le fait que le Turkménistan, qui a signé avec la Russie un accord sur des livraisons à long terme, n'a pas de gaz disponible. C'est pourquoi la variante des livraisons de gaz turkmène via la Russie vers l'Ukraine reste pour le moment la seule réalité, et toutes les négociations qui ont lieu entre les représentants de pays européens et les dirigeants turkmènes sont plutôt menées pour la galerie. La lutte principale, d'après l'expert, est menée dans le cadre du triangle Ukraine-Russie-Turkménistan, où Achkhabad souhaite augmenter le prix du gaz, Moscou joue le rôle d'intermédiaire et Kiev cherche à tout prix à empêcher l'augmentation du prix du combustible bleu. Gazprom insiste actuellement sur la signature avec l'Ukraine d'un document fixant le prix du gaz, afin de le porter progressivement au niveau européen, et parallèlement, ses représentants mènent des négociations analogues avec le Turkménistan, en ayant pour objectif d'établir un calendrier de l'augmentation des prix. Gazprom est enclin à accorder des réductions de prix pour ses partenaires, lorsqu'il reçoit l'accès au système de transport de gaz [de ces pays], ce dont témoigne le phénomène des prix assez bon marché pour la Biélorussie et l'Arménie. Mais l'Ukraine refuse cette variante et préfère faire parade de son statut de pays transitaire, empêchant à Gazprom d'accéder au tuyau. Kommersant Sotchi 2014: EDF et Gaz de France en négociations avec le russe UES UES (Electricité de Russie) a trouvé le moyen de financer la construction de centrales électriques appelées à répondre aux besoins des Jeux olympiques de 2014 à Sotchi. D'après le schéma de financement prévu par le projet, trois centrales d'une puissance totale de 1.000 MW pourraient être construites. Les groupes Gaz de France et EDF ont déjà manifesté leur intérêt. Mais les experts estiment que ce projet ne sera intéressant que si les futures centrales sont approvisionnées en gaz. "Puisque l'argent manque pour la construction de ces trois nouvelles centrales, nous aurons recours à des investisseurs extérieurs. Des négociations sont en cours avec EDF et Gaz de France", explique une source proche d'UES. Les deux compagnies françaises se sont refusées à tout commentaire. Selon les analystes, ces projets ont toutes les chances d'intéresser les investisseurs. "Surtout si UES résout la question du gaz, car, dans la plupart des cas, c'est ce problème qui s'avère le plus difficile dans la construction de n'importe quelle centrale électrique", affirme Igor Vassiliev, analyste de la société d'investissement Troïka Dialog. Mejreguiongaz (compagnie appartenant à 100% à Gazprom) a fait savoir qu'UES lui avait demandé d'approvisionner en gaz de nouvelles capacités de production d'électricité dans le territoire de Krasnodar, sans préciser pour autant si sa réponse avait été positive ou négative. Vassili Sapojnikov, du groupe financier Otkrytie (Ouverture), ajoute qu'un tel mécanisme permet aux compagnies étrangères d'accéder au marché en passant des "barrières relativement insignifiantes". Selon Ekaterina Tripoten, analyste de Sovlink, le coût de construction de centrales de ce type peut être évalué à 1.000-1.200 dollars par capacité de production d'1 kW, mais, selon Vassili Sapojnikov, il peut atteindre 1.200 à 1.500 dollars. Mme Tripoten rappelle que ce coût peut changer, comme cela a été le cas lors de la construction de la centrale thermique de Sotchi, où il avait atteint 2.000 dollars en raison du danger de coulées de boue et de séismes. "Toutes ces difficultés se sont révélées non pas au stade de l'établissement du dossier de faisabilité, mais au cours de la construction", précise Ekaterina Tripoten. D'ailleurs, les analystes ne sont pas certains que l'investisseur potentiel sera obligatoirement étranger, car la perspective des Jeux olympiques de Sotchi est attrayante pour n'importe quel investisseur. Business & Financial Markets Le destin de l'alliance Prokhorov-Rusal entre les mains de Vladimir Potanine Rusal (premier producteur mondial d'aluminium primaire) pourrait s'allier à Norilsk Nickel (groupe minier) au sein d'une corporation métallurgique internationale par le biais d'un échange d'actions. La transaction ne sera possible que si Vladimir Potanine (copropriétaire de Norilsk Nickel) ne profite pas avant le 4 janvier prochain de l'offre qui lui a été faite par Mikhaïl Prokhorov de racheter 25% plus une action du groupe minier de Norilsk. L'alliance entre Prokhorov et Rusal dépend donc de la décision de son principal partenaire actuel: Vladimir Potanine devra trouver 15,7 milliards de dollars s'il veut en effet saisir cette occasion. Mikhaïl Prokhorov veut être payé en espèces, et exclut tout échange d'actifs avec le groupe Interros, dirigé par Vladimir Potanine. United Company Rusal et le groupe Onexim (holding de Mikhaïl Prokhorov) ont signé un accord conformément auquel Rusal s'apprête à acquérir un paquet de 25% plus une action de Norilsk Nickel. En échange, Onexim recevra un paquet de 11% des actions de Rusal ainsi que de l'argent. En outre, des représentants de Mikhaïl Prokhorov seront introduits au conseil des directeurs du géant russe de l'aluminium. Les compagnies n'ont donné aucune précision concernant la transaction. Selon les évaluations des analystes, la valeur de Rusal est d'environ 40 milliards de dollars, par conséquent, 11% représenteraient 4,4 milliards de dollars. Le paquet de Norilsk Nickel proposé à la vente est estimé à environ 13 milliards de dollars. Il y a quelques jours, Mikhaïl Prokhorov a annoncé être prêt à vendre à Vladimir Potanine sa minorité de blocage de Norilsk Nickel à 293,6 dollars l'action, plus 12,5% de prime, soit au prix de 15,7 milliards de dollars. Les intervenants du marché estiment que Vladimir Potanine ne dispose pas de la somme nécessaire. Cependant, Interros a déjà choisi des consultants pour cette transaction: Debevoise & Plimpton pour les questions juridiques et Citigroup Global Markets pour les questions financières. Vladimir Potanine a 45 jours pour trouver de l'argent. Entretemps, Rusal a déjà reçu les garanties des banques ABN Amro, BNP Paribas, Crédit Suisse et Merrill Lynch pour un éventuel crédit. Selon Valentina Bogomolova, analyste d'Alfa-Bank, la fusion n'assurera pas la synergie de la production qui n'est possible que sur la base d'une diversification des actifs des deux compagnies. Kommersant L'oléoduc Sibérie orientale-Pacifique ou la rentabilité politique Le ministère russe de l'Industrie et de l'Energie a fait part d'un certain retard dans la préparation du schéma de trafic de la première étape du projet d'oléoduc Sibérie orientale-Pacifique (VSTO). Les délais de construction de l'oléoduc et son coût officiel pourraient être revus. Selon les analystes, l'absence d'approbation du schéma freine le règlement du problème des tarifs du VSTO: sans subventions de l'Etat, l'exportation pourrait s'avérer non rentable pour les compagnies. A la deuxième étape, il est prévu de construire 2.100 km de pipe-line supplémentaires et de porter son rendement à 80 millions de tonnes. En 2004, la mise en oeuvre de la première tranche du VSTO (TaïchetSkovorodino et le terminal pétrolier dans la baie de Kozmino d'un rendement de 30 millions de tonnes) avait été évaluée à 6,6 milliards de dollars et le tarif prévu du transport était de 38,8 dollars la tonne. En 2006, le coût du projet a atteint 11,3 milliards de dollars, mais, selon les évaluations, il dépasse aujourd'hui 13 milliards de dollars. En mars 2007, l'ex-premier ministre Mikhaïl Fradkov a émis des appréhensions selon lesquelles l'accroissement ultérieur du tarif du transport par le VSTO, en raison de l'augmentation du coût du projet, pourrait rendre ce dernier non rentable: le tarif du transport du pétrole de Skovorodino à Nakhodka par chemin de fer est de 44 dollars la tonne. Les analystes estiment que le retard de l'approbation du schéma de trafic est dû à l'absence d'un tableau économique intelligible des tarifs et des coûts du projet. "Les tarifs sont inconnus, les coûts montent, il en résulte qu'il est plus avantageux d'exporter des produits pétroliers, et non pas du brut, par conséquent, toutes les compagnies ne se précipiteront pas pour remplir ce tuyau", estime Valeri Nesterov, de Troïka Dialog. Selon lui, le calendrier de construction du VSTO et l'évaluation initiale du projet étaient "trop optimistes", mais, compte tenu de l'importance du projet pour l'Extrême-Orient, "l'Etat fera tout son possible pour qu'il ne devienne pas un "chantier sans fin". "Les frais réels de transport y seront quatre à six fois plus élevés que ceux du transport en provenance de Sibérie occidentale vers l'Ouest", a déclaré Mikhaïl Kroutikhine de Rus Energy. "On propose d'adopter un tarif par secteurs, mais répartir une telle somme entre tous les exportateurs de pétrole, c'est de la folie. Ou bien le gouvernement subventionnera les tarifs du VSTO, ou bien sera trouvée une autre solution, non pas économique, mais purement politique", affirme l'analyste. Ces articles sont tirés de la presse et n'ont rien à voir avec la rédaction de RIA Novosti. http://fr.rian.ru/analysis/20071126/89637654.html AZERBAIDJAN Ambassade de France en Azerbaïdjan : Revues de presse du 23 novembre 2007 La revue de la presse azerbaidjanaise du 23 novembre 2007 La Une des journaux Politique intérieure Relations internationales Relations arméno-azerbaïdjanaises Image de la France La Une des journaux « Les officiels arméniens torturent les prisonniers azerbaïdjanais », titre « Yeni Azerbaycan ». « Zerkalo » rapporte la présence d’espions arméniens en Azerbaïdjan. « 1.100 Azerbaïdjanais ont été privés de leur école en Géorgie », titre « Ekspress ». « Une amnistie pourrait être signée par le chef de l’Etat le mois prochain », titre « 525-ci gazet ». « C’est Ilham ALIEV qui a commandité l’arrestation de Ganimat ZAHID », rapporte « Azadlyg ». « La session d’hiver de l’APCE pourrait être plus tendue que prévue », titre « Ayna ». « Ekho » couvre la conférence à Bakou sur les technologies de l’information et de la communication. Politique intérieure La Cour d’Appel a maintenu la décision de première instance condamnant Ganimat ZAHID à 2 mois de détention provisoire pour désordre public. Ses avocats prévoient de s’adresser à la Cour européenne des Droits de l’Homme. Le juge a refusé également la libération sous caution de G. ZAHID. « Après le procès d’aujourd’hui, je suis certain que cette arrestation est commanditée par le chef de l’Etat », a déclaré Osman KAZIMOV, avocat du journaliste. (« Azadlyg », « Yeni Musavat », « Zerkalo », « Ayna ») Le comité pour la défense de la liberté d’expression a prévu de tenir une manifestation le 9 décembre prochain pour soutenir les médias indépendants et les droits de l’homme. Certains partis d’opposition, comme le Parti de l’Indépendance nationale, l’Umid (Espoir) et le Musavat, ont déjà confirmé leur participation à cette action. Le parti Démocrate estime pour sa part que cette manifestation ne permettra pas de résoudre le problème, alors que le Front populaire annoncera sa décision après consultations internes. (« Azadlyg », « Ekho », « Gün ») Selon Musa PANAHOV, vice-ministre des Transports, l’Azerbaïdjan mène des pourparlers avec une société de construction sud-coréenne pour la construction d’un pont de 14km de long dans la baie de Bakou, sur la mer Caspienne, pour relier les deux extrémités de la presqu’île. Ce projet sera réalisé sur une durée de 6 ans, avec un budget d’un milliard de dollars. (« Ekho ») Selon Azay GULIYEV, député et membre de la commission des Grâces auprès du Président, une amnistie pourrait être signée par le chef de l’Etat le 31 décembre prochain à l’occasion de la journée de la solidarité des Azerbaïdjanais du monde. Il n’a pas exclu que ce décret puisse concerner les journalistes emprisonnés. (« 525-ci gazet », « Azadlyg ») « Les engagements pris par l’Azerbaïdjan devant le Conseil de l’Europe pourraient faire l’objet des débats de la session d’hiver de l’APCE. L’augmentation du nombre de journalistes emprisonnés et de prisonniers politiques, ainsi que la course aux armements menée par le pays parallèlement aux négociations avec l’Arménie, pourraient faire l’objet des critiques du Conseil de l’Europe lors de cette session », a déclaré Leyla YUNUS, défenseur des droits de l’homme. (« Ayna ») Une conférence sur les nouvelles technologies de l’information a commencé hier à Bakou. Ali ABBASOV, ministre des technologies de l’information et des communications, a déclaré à cette occasion que les revenus de l’Azerbaïdjan dans ce domaine dépasseraient ceux du pétrole entre 2015 et 2020. (« Ekho ») Relations internationales Aujourd’hui, le groupe des amis du GUAM au sein de l’UE sera présenté à Riga, en Lettonie. Elmar MAMMADYAROV, MAE azerbaïdjanais, représentera l’Azerbaïdjan à cette occasion. (« Ekho ») « L’Azerbaïdjan ne s’apprête pas à adhérer à l’OTAN », a déclaré Khazar IBRAHIM, porte-parole du MAE azerbaïdjanais, en commentant les propos attribués à Yagub EYYUBOV, vice-PM azerbaïdjanais, qui avait évoqué l’adhésion à long terme de son pays à l’Alliance atlantique. « M. EYYUBOV parle d’une intégration et non pas d’une adhésion », a dit M. IBRAHIM, selon lequel le but actuel de l’Azerbaïdjan vise à respecter les engagements pris dans le cadre de la coopération avec l’OTAN. (« Ekspress », « Ayna ») « Ekspress » rapporte la fermeture d’une école azerbaïdjanaise en Géorgie en raison du mauvais état du bâtiment. Près de 100 enseignants travaillaient dans cette école fréquentée par 1.100 élèves azéris. (« Ekspress ») Relations arméno-azerbaïdjanaises Les médiateurs du GdM rencontreront séparément les MAE arménien et azerbaïdjanais en marge de la réunion des MAE des pays de l’OSCE à Madrid le 27 novembre prochain. (« Ekho », « Ekspress », « Yeni Musavat ») Massim BINNATOV, civil azerbaïdjanais enlevé par les forces arméniennes dans la région de Gazakh, dans le nord-ouest du pays, est détenu à Erevan, rapportent les journaux. « Zerkalo » dénonce le manque de vigilance des soldats azerbaïdjanais à la frontière, qui ont pu laisser entrer sur le territoire azerbaïdjanais des espions arméniens, auxquels le quotidien attribue cet enlèvement. (« Zerkalo ») Image de la France Le politologue Vafa GOULOUZADE commente les propos du Président SARKOZY sur la nécessité de « prendre un risque pour la paix » dans le règlement du conflit du HK. M. GOULOUZADE qualifie la position du Président français de pro-arménienne. « Il invite le Président ALIEV à faire des compromis. Ces compromis ne sont pas clairement exprimés car ils sous-entendent que l’Azerbaïdjan devrait céder le HK et la région de Latchine à l’Arménie », estime le politologue. Il a également rappelé une proposition similaire faite par Bill CLINTON, qui avait appelé Heydar ALIEV en 1999 à prendre des risques pour la paix. « Le Président SARKOZY peut exprimer son opinion, mais nous agirons selon nos intérêts », a ajouté le politologue, pour qui l’Azerbaïdjan a plus de moyen d’influence sur la France que cette dernière n’en a sur Bakou. A titre d’exemple, il évoque la possibilité d’expulser Total du marché azerbaïdjanais. (« Azadlyg ») http://www.ambafrance.az/article.php3?id_article=920 ANGLAIS What is going on in the Malatya massacre case? Thursday, November 22, 2007 If a prosecutor sees missionary activities as criminal, then it is not difficult to understand how some people can become crazy and kill these people Orhan Kemal Cengiz Seven months ago, three Christian missionaries were ruthlessly murdered by a gang of Turkish nationalists in the eastern Anatolian city of Malatya. The killers broke into Zirve Yayıncılık, a Bible publisher, and first tortured and then killed their victims by slitting their throats. Seven months after the bloody murders, the prosecutor finally brought his case against the perpetrators. For seven long months we could not get any documents from the file because they had been declared confidential. We waited seven months for what? After reading the file, I have come to the conclusion that we waited for nothing! We do not know anything more than we knew seven months ago. So, what did the prosecutor do during that long period? The prosecutor's mentality: There are 31 files in this case and just 15 of them comprise information about the murder and the perpetrators. What about the other 16 files? You will not believe, but these files are about the activities of the victims whose throats were slit. The prosecutor retrieved all documents from the computers of the victims and put them in the case file as “evidence.” If I did not know the background I would think that there were two gangs fighting each other and the members of one gang killed the members of the other, and that the prosecutor collected evidence about both these gangs! In reality though we are talking about an unbelievable slaughter of three innocent people, whose only wrongdoing was carrying out missionary activities in the wrong place! But the prosecutor collected all information about their missionary activities. If a prosecutor sees missionary activities as criminal then it is not difficult to understand how some people can become crazy and kill these missionaries! Furthermore, these files, which are public now, may lead to new murders because they include many details on other Protestants who reside in different parts of Turkey. The addresses, emails, telephones of many other Turkish Protestants are in the files, which have already been in the hands of the murderers. The prosecutor failed to make a thorough investigation and he has also put many other lives in danger. Why all this information in the file, I do not think anyone can explain this. Only a glimpse into the files is enough to understand how inefficiently they were prepared. The statements are not taken properly, correct questions are not asked, and necessary details are not traced. I would like to give you some specific information but if I went into all details of the weirdness of the files, this article would turn into a small booklet. Therefore, I would like to give you some examples for the time being in order you to get a general picture of the preparation process of the Malatya massacre trial. Insufficient investigation: Emre Gunaydın, number one suspect in the case file, states that some people directed him toward Protestants and he gave some names. But he was not asked any question about how exactly he was directed or what he was told. Emre states that he was a member of the Ülkü Ocakları (the youth wing of the ultra-nationalist Nationalist Movement Party, or MHP) but he was not asked a single question about his membership in this Ülkü Ocakları whose members had previously demonstrated in protest to missionary activities of the publishing house. Ruhi Polat's statement, who Emre indicated informed him about missionaries, and who is a member of the MHP, is just half a page long. Neither the police, nor prosecutor conducted any investigation about the connections of this person. This person says he talked over the telephone with Emre once, but if you look at the telephone traffic in the file, you can see that before the murders took place, there had been many telephone conversations between this person and Emre. Yet no one bothered to ask them about the contradiction. Even an uneducated eye can see that many people who have apparent contacts with the gang members and who were probably involved in different stages of this plot are just set free because of the insufficient investigation into their relations and actions. All statements in the file are cursory and lack vital details. From the statements it is clear that this murder had been in planning and preparation for at least a couple of months. It is really very difficult to believe that the police or the gendarmerie had no intelligence about the plans of these murderers. From the communications sent to the file we understand that Necati Aydın, one of the victims, had been under constant surveillance and in his police record he was recorded as a former criminal for the “crime” of “missionary activity.” The prosecutor who put all kinds of documents about the activities of the victims did not conduct any investigation about the provocative publications of the local newspapers. In short the case has been prepared in such a way to say a bunch of young people got angry with the missionaries and decided to eliminate them. That's simple. Massacre for the homeland: If you just look at the last pages of the files however you can see a completely different picture. There are letters these murderers sent to their families and their girl friends. In these letters, they say that they are not ashamed of what they did, because they did it for the country, and that they sacrificed themselves for the homeland. They want to be praised and appreciated. And there must be some people who give them these positive feelings. If state officials keep talking everyday that Turkey is in imminent danger, that there are internal enemies of this country, that missionaries are the agents of foreign states who try to break up Turkey and so on, such horrible crimes are inevitable. If “internal enemies” such as missionaries are shown on countless Web pages as legitimate targets, and no legal action is taken against this mania, we will continue to see new murders, attacks and slaughters. Both the Hrant Dink and Malatya cases are extremely important for the future of this country. The file prepared by the prosecutor created huge disappointment for me. However, Dink's lawyers and some lawyers from the Şemdinli case (a bookstore bombing in the southeastern town of Şemdinli in 2005) will be attending the Malatya case. In this way we will create a collective memory and I hope this memory will help us to cast a light on the web of dark relations. The first hearing in this case is this Friday in Malatya. We will try to make a spark! [email protected] © 2005 Dogan Daily News Inc. www.turkishdailynews.com.tr http://www.turkishdailynews.com.tr/editorial.php?ed=orhan_cengiz SITE DU COLLECTIF VAN Utilisez au mieux le site du Collectif VAN Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le site du Collectif VAN met à jour quotidiennement des dizaines d'articles. Sachez naviguer dans les rubriques ! Rubrique News Tous les articles de la presse française sont mis en ligne dans la Rubrique News (bandeau clignotant : "Toutes les News : cliquez ici pour accéder à la Revue de Presse". http://www.collectifvan.org/rubrique.php?page=1&r=4 Info Collectif VAN Toutes les traductions, résumés, informations propres au Collectif VAN sont en ligne à l'accueil dans la Rubrique Info Collectif VAN http://www.collectifvan.org/rubrique.php?r=0&page=1 Tout sur VAN Mieux connaître le Collectif VAN : rendez vous à la rubrique Tout sur VAN. http://collectifvan.org/rubrique.php?r=1&page=1 Tout sur VAN : vous y trouverez également les courriers des lecteurs Les courriers des sympathisants du Collectif VAN nous font chaud au coeur et nous confortent dans la certitude que notre approche du combat que nous menons, est juste. Et comme ça fait toujours du bien de relire de temps en temps leurs encouragements et dans la mesure du possible, nous mettons en ligne les mails reçus, du plus récent au plus ancien (en ne gardant que les initiales des sympathisants) : http://www.collectifvan.org/article.php?r=1&id=6137 http://www.collectifvan.org/article.php?r=1&id=2203 http://www.collectifvan.org/article.php?r=1&id=538 Salle de Presse Tous les articles de la presse française rendant compte des actions réalisées par le Collectif VAN sont en ligne dans la rubrique Salle de presse. http://collectifvan.org/rubrique.php?r=2&page=1 Communiqués Les Communiqués du Collectif VAN se trouvent dans la rubrique Communiqués. http://collectifvan.org/rubrique.php?page=1&r=9 Actions VAN Tous les articles présentant les actions organisées et réalisées par le Collectif VAN sont mis en ligne dans la rubrique Actions VAN. http://collectifvan.org/rubrique.php?r=3&page=1 Agenda Les annonces parlant des événements culturels à venir (réunions publiques, manifestations, conférences, concerts, projections de films, expositions, parution d'ouvrages, etc.), sont mises en ligne dans la rubrique Agenda. http://collectifvan.org/rubrique.php?r=5&page=1 Photothèque De nombreux photos-reportages sont disponibles en ligne dans la rubrique Photothèque http://collectifvan.org/rubrique_photo.php?r=6 Veille-Media Toutes les Veilles-Media à télécharger sur : http://www.collectifvan.org/rubrique_veille.php?r=9&page=1 TEMOIGNAGES Armin Wegner et le génocide arménien : http://www.collectifvan.org/article.php?id=4287 Serge Klarsfeld : http://www.youtube.com/watch?v=LWAAHiHmc3I ARMENIE MON AMIE : LE SITE OFFICIEL http://www.armenie-mon-amie.com AGENDA TV, RADIO & CINEMA AGENDA TV, RADIO & CINEMA Agenda Media : Novembre 2007 Lun 26/11 Destination monde Carrefours de Turquie. 06h00-06h49 Voyage Pilot Guides La Géorgie et l'Arménie. 09h40-10h40 Voyage Mar 27/11 Pilot Guides La Géorgie et l'Arménie. 13h15-14h15 Voyage Jeu 29/11 Etapes à... En Turquie. 16h25-16h49 Odyssee Sam 1/12 Les détectives de l'Histoire La rafle du Vél'd'Hiv, la France coupable? 13h55-14h51 France 5 Mar 4/12 Thema Darfour, la fin de l'enfer? 20h40-20h45 Arte Darfour Autopsie d'une tragédie. 20h45-21h50 Arte Les déplacés du Darfour 21h50-22h14 Arte Darfour, la fin de l'enfer ? 22h15-22h44 Arte Jeu 6/12 Darfour Autopsie d'une tragédie. 10h00-10h00 Arte Ouverture Darfour, la fin de l'enfer? 10h00-11h05 Arte Les déplacés du Darfour 11h05-11h59 Arte RASSEMBLEMENTS – EXPOSITIONS – CONCERTS - SPECTACLES Agenda - « La Reine Anahide » n’a pas peur d’Harry Potter mercredi 31 octobre 2007 Paris, le 1er novembre 2007 Les Editions du Bonhomme Vert viennent d'éditer « La Reine Anahide », conte d’Arménie pour enfants, adapté par Hugues Beaujard et illustré par Séta Papazian. L’ouvrage est disponible à partir du 5 novembre 2007 et clôt une Année de l’Arménie http://www.armenie-mon-amie.com/ fertile en publications. Si « La Reine Anahide » ne craint pas la concurrence du jeune Harry Potter (!), c’est que ce conte arménien a obtenu des aides magiques : celles de la Ville de Marseille http://www.marseille.fr/vdm/jsp/index.jsp , de la Mairie des 11ème et 12ème arrondissements de Marseille, de l'école privée arménienne de Marseille Hamaskaïne http://www.hamaskainefrance.com/ , de l'association Art Est Ouest http://mailto:[email protected]/ et du Conseil Régional Languedoc-Roussillon http://www.cr-languedocroussillon.fr/ . « La Reine Anahide », d’après un conte original de Ghazaros Aghayan, est un classique de la littérature enfantine arménienne, écrit en 1881. Il narre l’histoire très moderne d’une jeune bergère qui repousse les avances du fils du roi, tant que ce dernier n’a pas appris un métier. Un vrai métier ! Le prince apprend donc à tisser des tapis pour conquérir le cœur de sa belle et ce savoir précieux lui sauvera la vie. « La Reine Anahide », d’après un conte original de Ghazaros Aghayan, est un classique de la littérature enfantine arménienne, écrit en 1881. Il narre l’histoire très moderne d’une jeune bergère qui repousse les avances du fils du roi, tant que ce dernier n’a pas appris un métier. Un vrai métier ! Le prince apprend donc à tisser des tapis pour conquérir le cœur de sa belle et ce savoir précieux lui sauvera la vie. Les vertus pédagogiques de ce récit ont convaincu les acteurs institutionnels et les équipes enseignantes de 10 écoles primaires de Marseille qui, à l’occasion d'Arménie Mon Amie et de concert avec l’illustratrice, ont fait travailler leurs classes sur toutes les étapes du conte, des premières ébauches jusqu’à sa forme définitive. Dès le démarrage du projet, Hugues Beaujard qui a mené l’adaptation française du conte et Séta Bibérian, directrice de l’école arménienne Hamaskaïne http://www.hamaskaine-france.com/ de Marseille, ont voulu s'adresser à une artiste susceptible d’apporter la touche visuelle arménienne nécessaire à l’atmosphère de ce conte. Leur choix s’est tourné vers Séta Papazian qui signe ainsi ses premiers dessins entièrement réalisés sur ordinateur, 25 ans après avoir obtenu la Médaille d’Argent à la Foire du Livre de Leipzig (1982) pour les illustrations de la Goutte de Miel publié aux Editions Parenthèses en 1980. L’illustratrice, résidant à Issy-les-Moulineaux http://www.issy.com/ dans les Hauts-de-Seine, espère mettre à la portée des jeunes générations, un art pictural arménien, revisité par les techniques du numérique : « Recommencer à dessiner m’a procuré un vrai bonheur. Je pratique depuis 17 ans la création assistée par ordinateur, mais cela reste dans un cadre publicitaire et promotionnel. Devoir franchir le cap du toutnumérique pour les illustrations que je devais remettre aux Editions du Bonhomme Vert, m’a tout à la fois terrorisée et ravie. Je suis amoureuse des arts graphiques arméniens : je me nourris de l’iconographie des miniatures, bas-reliefs, architecture, art du tapis, qui sont tous d’une richesse et d’une modernité infinie. Mais 30 ans après "L'Alphabet arménien à colorier" (travaillé à la plume) et plus de 25 ans après "La Goutte de miel" (dessiné au crayon), je craignais de ne pas retrouver mes marques... Je suis donc heureuse d’avoir relevé ce challenge avec les encouragements et l’aide de mes amis marseillais que je remercie pour ce cadeau inespéré : je ne les nomme pas, ils se reconnaîtront ! J’invite tous les amateurs de littérature enfantine à soutenir Cécile Raphanel, jeune éditrice indépendante de la région nîmoise, qui s’est lancée dans cette aventure avec nous ». Séta Papazian voit également dans ce travail la continuité de son engagement personnel : que ce soit dans un cadre éducatif en tant qu’Institutrice de CP au Collège arménien de Sèvres durant six années ou dans un cadre militant avec la lutte contre le négationnisme du génocide arménien par la Turquie (elle anime depuis 2004 le Collectif VAN http://www.collectifvan.org/ [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] dont le siège est à Issy-les-Moulineaux http://www.issy.com/ ), elle désire faire aimer et découvrir l’Arménie aux grands et aux petits. C’est en tous cas le chemin déjà suivi par Hugues Beaujard, l’auteur de cette jolie adaptation de "La Reine Anahide", qui, à l’instar de Robert Guédiguian et bien que 100% Français, a tenu à faire en 2007, son « Voyage en Arménie », pour aller à la découverte de ce très beau pays, passerelle foisonnante de culture entre l’Orient et l’Occident… Souhaitons que ce conte incite également tous les enfants issus de cette diaspora, à se réapproprier une culture oubliée dont on ne peut qu’espérer le renouveau. © [email protected] http://lareineanahide.blogspot.com/ La Reine Anahide Conte d’Arménie d’après un conte original de Ghazaros Aghayan Adapté par Hugues Beaujard Illustré par Séta Papazian Aux Editions du Bonhomme Vert. Diffusion : Pollen. En vente à partir du 5 novembre 2007 dans toutes les bonnes librairies : Fnac, Cultura, Librairies enfantines, Amazon… Prix éditeur :15 Euros Les Editions du Bonhomme Vert 408 Chemin du Mas de Boyer 30300 Comps [email protected] Biographie express : Née à Paris en 1956, Séta Papazian a suivi l’enseignement de l’Ecole Sornas, de l’Esag Penninghen et de l’Ensad de Paris (Arts Déco). Au terme de ce parcours artistique, elle a illustré : L’Alphabet Arménien à colorier (Editions La Noria, 1977 et Editions Entente, 1989), La Goutte de miel (Editions Parenthèses, 1980, primé à la Foire internationale du Livre de Leipzig), Grégoire (Collection «un prénom, un saint», Editions Fleurus, 1990). Actuellement Directrice de la Communication auprès de la SSII Groupe Infodis (France), elle a travaillé de 1990 à 2002 comme infographiste et formatrice en PAO dans le domaine de la publicité. Elle a également enseigné au Collège arménien de Sèvres, où elle a été en charge du Cours Préparatoire durant six années de 1982 à 1988. Publié par La Reine Anahide à l'adresse 15:13 Libellés : Illustrations de livres pour enfants – 2007 http://lareineanahide.blogspot.com/2007/10/la-reine-anahide-na-paspeur-dharry.html Agenda - "La Reine Anahide", conte d'Arménie www.collectifvan.org La Reine Anahide Conte d’Arménie d’après un conte original de Ghazaros Aghayan Adapté par Hugues Beaujard Illustré par Séta Papazian Aux Editions du Bonhomme Vert En vente à partir du 5 novembre 2007 dans toutes les bonnes librairies : Fnac, Cultura, Librairies enfantines, Amazon… Prix éditeur :15 Euros Un livre entièrement dessiné à la petite souris… Le prince Vatchakan, héritier unique du royaume arménien, inquiète ses parents : il rêve de consacrer sa vie à l’étude, retiré dans un couvent. Un jour de chasse, cherchant l’eau et la fraîcheur d’une fontaine, son regard croise les beaux yeux noirs d’Anahide. Le coeur du prince s’enflamme ! Mais il ne suffit pas d’être un beau prince pour épouser Anahide… Dans la tradition orale arménienne, l’histoire de la Reine Anahide est l’un des contes les plus populaires. Copyright © 2007, Editions du Bonhomme Vert (30300 Comps) Avec le soutien financier de la Ville de Marseille: (Politique de la ville) et la Mairie des 11ème et 12ème arrondissements, et en partenariat avec l'école privée Hamaskaïne et l'association Art Est Ouest ([email protected]). Cet ouvrage a été publié avec le concours du Conseil Régional Languedoc-Roussillon Les Editions du Bonhomme Vert 408 Chemin du Mas de Boyer 30300 Comps [email protected] A propos de… : Hugues Beaujard Si j’ai écrit ce conte, c’est la faute à beaucoup de monde ! il est bien naturel que je les dénonce : en premier lieu, c’est la faute à Marie-Jo Moussu, ma conseillère pédagogique préférée : elle voulait que nos chers écoliers marseillais découvrent la culture arménienne. Puis ce fut la faute à Séta Bibérian, la très dynamique directrice de l’école Hamaskaïne de Marseille : elle a tout de suite été partie prenante. Elles souhaitaient que j’écrive une nouvelle version du conte, en m’incitant à partir d’une nouvelle traduction. Et Sosse et Simon Manakian, et Séta Bibérian, fautifs parmi les fautifs, réalisèrent la traduction, qui fut la matière première de mon adaptation. Fautifs aussi, Marina et Wladimir Marine et Artak Karapetyan de l’Association Art Est Ouest : soutenus par la politique de la ville de Marseille, ils organisent des échanges culturels entre la France et l’Arménie. Ce livre est l’un des fruits de cet échange. C’est la faute à Séta Papazian, bien sûr, sans les illustrations de qui, l’éclat de ce fruit serait bien moindre. Et à notre éditrice qui réalisa le bel objet que vous avez entre les mains. Enfin, c’est la faute à Suzanne, Nazéli, Astrig et André Berbérian qui, de Marseille à Erevan, n’ont pas ménagé leurs efforts pour que je découvre l’Arménie, ce très beau pays, passerelle foisonnante de culture entre l’Orient et l’Occident ! Séta Papazian Née à Paris en 1956, Séta Papazian a suivi l’enseignement de l’Ecole Sornas, de l’Esag Penninghen et de l’Ensad de Paris (Arts Déco). Au terme de ce parcours artistique, elle a illustré : L’Alphabet Arménien à colorier (Editions La Noria, 1977 et Editions Entente, 1989), La goutte de miel (Editions Parenthèses, 1980, primé à la Foire internationale du Livre de Leipzig), Grégoire (Collection «un prénom, un saint», Editions Fleurus, 1990). Actuellement Directrice de la Communication auprès de la SSII Groupe Infodis (France), elle a travaillé comme infographiste et formatrice en PAO dans le domaine de la publicité. Elle a également enseigné au Collège arménien de Sèvres, où elle a été en charge du Cours Préparatoire durant six années. Engagée dans la défense des droits de l’homme, Elle anime depuis 2004 le Collectif VAN [Vigilance Arménienne contre le Négationnisme] www.collectifvan.org dont le siège est à Issy-les-Moulineaux (92). Descendante d’une dynastie de peintres arméniens par son arrière-grandmère maternelle, Sophie Hovnatanian, Séta Papazian espère mettre à la portée des jeunes générations, un art pictural arménien, revisité par les techniques du numérique. Agenda - Christianisation de l’Arménie: Retour aux sources http://www.sourcesdarmenie.com/achat.php L’association Sources d’Arménie a une de ses quatre collections, intitulée Armenia Christiana, qui est consacrée à l’histoire religieuse et à la spiritualité de l’Arménie chrétienne. Les trois premiers volumes traiteront de christianisation de l’Arménie. Tous les éléments du débat sur cette question importante et fondatrice de l’identité arménienne seront traité et enfin disponibles pour tous. Pour cet important programme de publication, commencé en 2002, notre association bénéficie du soutien de l’Eglise apostolique arménienne de France. Chaque ouvrage sera centré sur plusieurs corpus de sources en sept langues (grec, latin, arménien, syriaque, éthiopien, géorgien et copte) traduites en français, parfois pour la première fois, et commentées. Autour de ces recueils de textes, il y aura des chapitres de synthèse pour analyser les textes anciens et tenter d’expliquer simplement le déroulement des faits. sur ce lien : http://www.sourcesdarmenie.com/pi.php vous pouvez : Voir la Table des matières Lire l’introduction Voir et lire un texte grec traduit et commenté Lire le résumé en anglais – English summary Accéder à la souscription Histoire du christianisme arménien Volume I : La genèse de l’Église d’Arménie Le premier volume traitera de la genèse de l’Eglise chrétienne d’Arménie. Il paraîtra fin novembre 2007. Tous les éléments du débat sur la prédication des apôtres en Arménie, la place l’Arménie dans la Bible, les sources sur la date de la conversion de Tiridate au christianisme ou la consécration épiscopale de saint Grégoire l’Illuminateur seront enfin disponibles pour tous. Présentation du volume : Quelle est la place de l’Arménie dans la Bible ? Le paradis terrestre était-il situé en Arménie ? Où échoua l’arche de Noé ? L’arménien fut-il une des langues parlées par les disciples lors de la Pentecôte ? L’apôtre Barthélemy est-il venu évangéliser l’Arménie ? Le disciple Thaddée a-t-il été mis à mort par le roi d’Arménie Sanatrouk ? Bardesane d’Édesse a-t-il prêché en Arménie ? Le prophète Mani est-il venu prêcher en Arménie ? Y a-t-il eu une Église manichéenne d’Arménie ? Quelle est l’influence de la Syrie sur la christianisation de l’Arménie ? Denys, évêque d’Alexandrie, a-t-il correspondu avec un évêque arménien ? Quelle était l’importance de la communauté chrétienne avant saint Grégoire l’Illuminateur ? Cet ouvrage tente de répondre à toutes ces questions et à beaucoup d’autres. Après trois chapitres introductifs, qui présentent le contexte politique et religieux de l’Arménie, aux trois premiers siècles de notre ère, cinq chapitres traduisent, parfois pour la première fois dans une langue moderne, et analysent les sources de la christianisation de l’Arménie en langues grecque, arménienne, latine, arabe, syriaque ou géorgienne. La place de l’Arménie dans la Bible ; la venue d’apôtres et de disciples ; les hérésies et l’émergence d’une Église chrétienne d’Arménie sont les principaux thèmes de ces corpus de textes. Enfin, quatre chapitres de synthèse tirent les conclusions des 80 textes traduits et présentés. Il traitera des origines de l’Église chrétienne d’Arménie. Après trois chapitres introductifs, qui présentent le contexte politique et religieux de l’Arménie, aux trois premiers siècles de notre ère, cinq chapitres traduisent et analysent, parfois pour la première fois dans une langue moderne, les sources de la christianisation de l’Arménie en langues grecque, arménienne, latine, arabe, syriaque ou géorgienne. La place de l’Arménie dans la Bible, la venue d’apôtres et de disciples ; les hérésies et l’émergence d’une Église chrétienne d’Arménie sont les principaux thèmes de ces corpus de textes. Enfin, trois chapitres de synthèse tirent les conclusions des 80 textes traduits et présentés. Contact : Par E-mail : [email protected] Par Courrier : Sources d'Arménie BP 2566 69217 Lyon cedex 02 Agenda - Le Fou de Raffi L’un des romans majeurs de Raffi, dont l’oeuvre est inédite en France. Une fresque épique qui, écrite en 1880, s’ouvre sur les massacres d’Arméniens perpétrés par les Turcs et les Kurdes en Anatolie durant la guerre russoturque de 1877-1878. Mais l’essentiel tient en un long retour sur la montée de l’oppression subie dans leur vie quotidienne par les Arméniens, dont Raffi décrit de l’intérieur les villages, les moeurs, les coutumes, la mentalité, les relations qu’ils entretiennent avec les autres populations d’Anatolie. Il le fait avec un rare sens de la mise en scène et de la progression dramatique, faisant vivre des personnages d’une étonnante épaisseur, tels ce « * fou » de Vartan et sa bien-aimée Lala, le patriarche Khatcho, le machiavélique Thomas effendi ou le fougueux monsieur Doudoukdjian. C’est au XIXe siècle que se noue le funeste destin des Arméniens. Témoin ce roman historique du « Zola » arménien, paru en 1880. Il s’agit du premier texte de Raffi traduit en français. Une révélation. Ce livre a été traduit et publié avec le concours du Centre national du livre. Il paraît alors que la France célèbre « l’année de l’Arménie » qui prendra fin à la mi-juillet. Nous pouvons naturellement, si vous le souhaitez, vous mettre en relation avec son traducteur, Mooshegh Abrahamian, qui a pris l’initiative de traduire en français ce roman majeur de Raffi. Jean-Marc Pennetier – [email protected] – 04.70.45.72.50 – 06.74.53.38.80 Tintin 2 - Le Temple du Soleil LA SOUSCRIPTION EST OUVERTE POUR LE TEMPLE DU SOLEIL en arménien Parution prévue pour début Juillet 2007 Souscrivez maintenant pour être sûr de recevoir votre exemplaire en avant-première. "Les 7 Boules de Cristal" fut le premier album de Tintin traduit en arménien. Après le succès incontestable de ce premier album, voici à présent la suite de cette histoire avec /Le/ /Temple du Soleil./ Couverture cartonnée, envoi postal protégé. *Nouveau !* *Possibilité de payer par CB ou Mastercard (système sécurisé PayPal)* Ou bien par chèque ou virement bancaire. voir les détails : http://editions.sigest.net/page000100d9.html#I0000ecdd Pour les acheteurs par CB hors France veuillez compléter votre panier par autant de vignettes supplémentaires de 1€ pour les frais postaux (barèmes indiqués sur la page). En cas de doute contactez nous par courriel nous vous indiquerons le montant exacte de la transaction. *Prisoners of Sun in Armenian Public sales date : June28, 2007 Subscribe now to get your copy in first hand. *After the first translation in Armenian of /The 7 Cristal Balls/ which encountered a real success Sigest continues with the suite /The Prisoners of Sun/ in armenian. *New!* *You can pay now by Visa or Mastercard thru paypal securised system.* see all the details on http://editions.sigest.net/page000100d9.html#I0000ecdd The purchasers by card outside France must complete postal charges buy adding 1€ vignettes in their caddies. If you have a doubt send us an email and we will indicate you the exact amount of transaction. * * Cordialement, Best regards, L'Equipe Tintin en arménien www.tintinenarmenien.com Agenda - « Les Khatchkars entrent au Louvre » Un film documentaire « Les Khatchkars entrent au Louvre » vient d'être réalisé, nous vous proposons de le découvrir à travers le DVD dont ciaprès le résumé : - Aventure du transport des Khatchkars (croix en pierre) depuis l'Arménie et le Kharabagh jusqu'au Musée du Louvre à Paris pour l'exposition " ARMENIA SACRA" où ils seront présentés au public pour la première fois. - Parcours d'un artiste plasticien d'origine arménienne parti découvrir ses origines en réalisant des empreintes au fusain des khatchkars sur ses toiles. C'est le seul film labellisé « Arménie mon amie » pour l'année de l'Arménie. Sa seule diffusion sous forme DVD en fait un objet unique; le thème du transport des « Khatchkars » renforce cette idée et en fait un produit culturel original. ( jacquette du DVD en pièce jointe) BON DE COMMANDE ( cocher la case correspondante) Société :…………………………………………………Nom :…………………………………… Adresse : …………………………………………………………………………………………… Téléphone : ……………………………e-mail :…………………………………………………… A imprimer et à renvoyer par courrier au G2IA- 91 rue Blomet 75015 Paris, accompagné de votre chèque d'acompte à l'ordre de "Evasion Video": O Lot de 25 DVD : 18 Euros HT l'unité frais de port inclus O Lot de 50 DVD : 18 Euros HT l'unité frais de port inclus O Lot de 100 DVD : 18 Euros HT l'unité frais de port inclus O Lot de 250 DVD : 15 Euros HT l'unité frais de port inclus O Lot de 500 DVD : 12 Euros HT l'unité frais de port inclus O Lot de 1000 DVD : 10 Euros HT l'unité frais de port inclus Plus sur devis O Personnalisation de la jaquette : +300 Euros (bandeau avec mention : « Ce DVD vous est offert par la société …… » Ci-joint un chèque de 50 % à la commande, le solde à réception des DVD ( tva 19.6%). Délai de livraison : 3 semaines après réception du chèque d'acompte. Signature : Cachet de l'entreprise : Agenda - Témoignage chrétien : VOYAGE Papier d'Arménie Témoignage chrétien Sommaire du numéro 3272 du 25 octobre 2007 VOYAGE Papier d'Arménie par Ivan du Roy Papier d’Arménie Aux confins de l’Occident, la jeune république d’Arménie trace tant bien que mal son chemin. Enclavé entre les puissances russe, turque et iranienne, le pays commence tout juste à s’ouvrir au tourisme. Le parcourir à pied permet de découvrir un étonnant patrimoine historique et spirituel. Pas de doute, nous sommes bien dans une ancienne république socialiste soviétique. À Erevan, les vieilles Lada n’ont pas encore été détrônées par les rares Mercedes. Quelques faucilles et marteaux en fer forgé ornent encore l’entrée des larges bâtiments officiels qui encadrent la Place de la République. Elles n’ont pas subi le même sort que la statue de Lénine en basalte remplacée par un parterre de fleurs. .. La suite dans TC Liste des points de vente Dans son édition datée du 25 octobre, l’hebdomadaire Témoignage chrétien propose : PAPIER D’ARMÉNIE Un long reportage de 10 pages, dans lequel Ivan du Roy nous propose de découvrir diverses facettes de l’Arménie d’aujourd’hui : * Carnet de route : d’Erevan au lac Sevan en passant par Djermouk, Sisian et Martuni. * Randonnée : dans le Caucase (Gorges de Garni, autour de la ville de Sissian ou du lac Sevan) * Culture : gastronomie (vins de la région de Vayots Dzor, pain lavash...) la musique * Patrimoine architectural et religieux : musée des manuscrits anciens (Erevan), monastères de Khor Virape (lieu de départ de la christianisation), de Novarank et de Tatev, histoire des khatchkars. * Histoire et politique : histoire religieuse, genèse et raisons du génocide de 1915, enjeux géopolitiques actuels d’un pays coincé entre la Russie, la Turquie et l’Iran. Ce numéro de Témoignage chrétien sera en vente du 25 octobre au 6 novembre. Notre titre n’est pas présent dans tous les points de vente. La diffusion de ce numéro sera renforcée dans les principales zones d’implantation des communautés arméniennes. Rens. : 01 42 46 02 20 ou www.trouverlapresse.com On peut également commander ce numéro au 01 44 83 82 82. Témoignage Chrétien, 49 rue du faubourg Poissonnière - 75009 Paris E.T.C , Société anonyme, au capital de 249.671 €. RCSParis B 582 130 670 http://www.temoignagechretien.fr/journal.php?ref=copyright Agenda - Arméniens et Grecs en diaspora : approches comparatives Arméniens et Grecs en diaspora : approches comparatives. Actes du colloque européen et international organisé à l'E.F.A. (4-7 octobre 2001). Edités par BRUNEAU (M.), HASSIOTIS (I.), HOVANESSIAN (M.)et MOURADIAN (C.). XI-615 p., 10 fig., 9 cartes, 2007, (1650 g) Les Arméniens et les Grecs appartenant au même espace impérial pluriethnique byzantin puis ottoman, entre Europe et Asie, ont été confrontés aux mêmes contraintes nées de l’apparition des Etats-nations. Leur tropisme ancien les amenant à se disperser en diasporas marchandes sur le continent eurasiatique ne s’est-il pas appuyé sur un lien communautaire dont la dimension religieuse a toujours été fondamentale ? Les massacres et génocides dont ils ont été victimes, de la fin du XIXe siècle à la première guerre mondiale, ont beaucoup contribué à renforcer leur dispersion en deux diasporas mondiales. Cet ouvrage aborde la plupart des dimensions de ce phénomène : la famille et la parenté, les réseaux associatifs et entrepreneuriaux, les identités ethno-culturelles dans leurs rapports à la langue et à la littérature, les iconographies et la mémoire, le rôle que l’Etat-nation grec ou arménien entend jouer vis-à-vis de ses périphéries diasporiques, les mobilités et la multipolarité... La mise en regard de ces deux peuples-monde ne contribue-t-elle pas à éclairer la complexité de deux processus de dispersions migratoires provenant d’un même espace d’origine, aboutissant souvent dans les mêmes pays d’accueil, mais conservant chacun leurs spécificités politiques et culturelles ? AUTEUR(S) : BRUNEAU (M.), HASSIOTIS (I.), HOVANESSIAN (M.), MOURADIAN (C.). PRIX : 85 euros http://www.deboccard.com/francais/Rub/Nouv.htm Agenda - Mémoire orale des Arméniens de Marseille L’association Paroles Vives réalise depuis septembre 2006 une campagne de collectage de la mémoire orale des arméniens de Marseille et des Bouches du Rhône. Nous recueillons les récits de vie et les souvenirs familiaux afin de créer une collection d’archives sonores publiques inédites auprès des Archives Départementales des Bouches du Rhône. Il s’agit de laisser pour les générations futures, un témoignage unique d’une des facettes de la culture et de l’histoire régionale. L’association travaille en partenariat avec les Archives Départementales 13 et la Maison Méditerranéenne des Sciences de l’Homme. Toute personne désireuse d’apporter son témoignage peut prendre contact avec Corinne Cassé, directrice de l’Association par téléphone 06.98.26.00.80 par mail : [email protected] Tous les renseignements sur : http://parolesvives.over-blog.fr Agenda - « Comprendre les génocides du XXème siècle : Comparer-Enseigner » Pour aborder, avec les élèves de collège et de lycée français, le sujet des génocides du XXème siècle, les deux professeurs d’histoire-géographie, proposent dans ce livre une approche pédagogique novatrice, ce qui permet de mieux faire comprendre la singularité, mais aussi l’universalité de ces crimes de masse. Plusieurs spécialistes de renom contribuent également à une meilleure compréhension de la notion de génocide et des phénomènes de négationnisme. Rappelons que Barbara Lefebvre est une des responsables de la Ligue Internationale contre le Racisme et l’Antisémitisme (LICRA) au niveau national et coopère activement avec le CCAF et les organisations concernées pour la lutte contre le négationnisme. http://www.ccaf.info/item.php?r=0&id=278 Agenda - Ouvrage hors-série de référence: « Tout sur l’Arménie » « TOUT SUR L’ARMÉNIE » A l’occasion de la clôture de l’Année de l’Arménie, France Arménie édite un ouvrage hors-série de référence Il est vivement recommandé de lire ce « Tout sur l’Arménie » pour y voir clair. « …. Avec ses 3000 ans d’histoire officielle (5000 selon certaines fouilles), ses douze capitales successives ou simultanées, ses quatre lieux saints, ses deux variantes d’une même langue et surtout près des trois quarts d’arméniens vivant hors de « leur » patrie, l’Arménie a une sérieuse tendance à brouiller les frontières. Du coup, un « guide » socio-culturel, économique, politique et géopolitique comme celui-ci n’est pas de trop pour s’y retrouver … » Varoujan Sarkissian, Rédacteur en chef Le patrimoine architectural, les relations franco-arméniennes, l’évolution de la société arménienne, les défis régionaux, internationaux et environnementaux qui s’ouvrent à elle pour ce 21è siècle … sont autant de sujets traités sur le fond, au travers de 118 articles abondamment documentés, proposés par 58 auteurs et intervenants spécialisés,. Les annexes reprennent en complément les données d’histoire, de géographie, de société. Cet ouvrage de référence de 324 pages (24x32 cm, richement illustré) prend la forme d’un magazine haut de gamme, servi par une conception graphique moderne, vivante, très agréable à consulter et indispensable à conserver. L’ouvrage est disponible auprès de l’éditeur FRANCE ARMÉNIE , au prix de 30 € (port compris) . Possibilité d'achat sécurisé en ligne sur le site de France Arménie: www.france-armenie.fr Contact : Nicole Kenderian 05 56 32 37 91 ou 06 17 74 30 63. e-mail: [email protected] ou par courrier au 17 place Ferrandière, 69003 Lyon Contact presse : Sylvie Perret– [email protected] Agenda - Parution de l'ouvrage : "Histoire du peuple arménien " Gérard Dédéyan Nouvelle édition de l'ouvrage paru aux éditions Privat en 1982 sous le titre Histoire des Arméniens Prix (TTC) : 30.00 € Année de Parution : 2007 Editeur : PRIVAT Langue : FR Nombre de Pages : 1008 Avis du libraire : Nouvelle édition de l'ouvrage paru aux éditions Privat en 1982 sous le titre Histoire des Arméniens. Œuvre d'une équipe internationale (France, Italie, Royaume-Uni, États-Unis, Canada, Arménie) d'universitaires de renom, elle est la seule étude exhaustive, en français, sur l'histoire trimillénaire des Arméniens. L'ouvrage a été largement complété pour le quart de siècle décisif aboutissant à l'année 2006, et scrupuleusement mis à jour pour les périodes précédentes (avec un chapitre additionnel sur la première République d'Arménie, 1918-1921). À noter : on célèbre – de septembre 2006 à juillet 2007 – l'Année de l'Arménie en France. Biblioteca, Paris Mot de l'éditeur Vieille nation, mais jeune État», le peuple arménien, vieux de trois millénaires, a vu son indépendance restaurée en 1991 à la suite de l'implosion de l'Union soviétique. Jusqu'au XIVe siècle, dans la région montagneuse à laquelle ils ont donné leur nom et en Cilicie, leur deuxième foyer, les Arméniens se sont acharnés à défendre leur liberté contre leurs adversaires venus de l'est et de l'ouest. Privés d'État (mais non d'autonomies locales) pendant plus de cinq cents ans, ils ont au moins su maintenir leur identité confessionnelle et culturelle, grâce à une religion officielle, le christianisme, et à un alphabet spécifique qui garantit la pérennité de leur langue. Le XXe siècle porte l'empreinte tragique du génocide, perpétré par le gouvernement jeune-turc en 1915, qui accélérera le processus diasporique. Le début du troisième millénaire, avec la reconnaissance de cette extermination par, entre autres, une loi de la République française en 2001, suscite à nouveau l'espoir des Arméniens. Œuvre d'une équipe internationale d'universitaires de renom, l'Histoire du peuple arménien prend en compte l'importance décisive de ce dernier quart de siècle, ce qui fait de ce livre la seule étude exhaustive publiée en langue française. Cet ouvrage est riche de vingt-quatre cartes réalisées par les meilleurs spécialistes de géographie historique de l'Arménie. Gérard Dédéyan est professeur d'histoire médiévale à l'université de Montpellier-lll et membre à l'étranger de l'Académie nationale des sciences d'Arménie. Il a déjà publié plusieurs travaux portant sur ce sujet, dont Les Arméniens, histoire d'une chrétienté (Toulouse, Privât, 1990), Les Arméniens entre Grecs, musulmans et croisés (Lisbonne, Fondation Calouste-Gulbenkian, 2003), prix Schlumberger de l'Académie des inscriptions et belles-lettres en 2006. Ouvrage édité dans le cadre d'«Arménie, mon amie, année de l'Arménie en France Extrait du livre : Avant les Arméniens : les Ourartéens, guerriers et bâtisseurs LES ORIGINES Pour comprendre le patrimoine culturel du royaume d'Ourartou (ou de Van), il faut se pencher sur les débuts de l'histoire des Hourrites, race dont le rôle dans le Proche-Orient ancien reste encore à évaluer. Bien que les liens linguistiques entre l'ourartéen et le hourrite puissent difficilement être mis en doute, il serait inexact d'assimiler l'ourartéen au hourrite de la dernière période. Lors de la création de l'État d'Ourartou, les Hourrites s'étaient divisés depuis longtemps en plusieurs groupes, ne partageant plus désormais une culture commune ; mais il n'en avait pas été toujours ainsi. La première manifestation de la race hourrite au Proche-Orient doit être recherchée du côté de l'ancienne culture de la Transcaucasie, qui s'étendait sur une vaste zone allant du Zagros central (en Iran occidental) au Caucase, et de la République de Géorgie à la région de Malatya (Mélitène). Pendant longtemps, les divergences locales furent bien moins apparentes que l'unité de cette zone remarquablement vaste. Les origines de cette culture se perdent dans la préhistoire : comme pour l'Ourartou de nombreux siècles plus tard, les zones de plus grande prospérité et de plus longue occupation dans le temps étaient situées sur les bordures et non sur les hauts plateaux du centre, balayés par le vent. Les témoignages de la céramique semblent désigner la vallée de l'Arak's comme un possible point de départ pour l'ancienne culture transcaucasienne ; mais il serait imprudent de supposer qu'elle ait eu sa seule origine dans cette zone assez restreinte. La population, nomade, s'était déjà plus probablement dispersée sur cette vaste zone, ne laissant aucune trace observable sur le plan archéologique, avant d'adopter un mode de vie sédentaire, durant le IVe millénaire avant notre ère. Ce fut seulement lorsqu'ils souffrirent trop du manque de ressources qu'une partie des peuples de la Transcaucasie ancienne émigrèrent audelà de leur monta gneuse terre natale, en Syrie et en Palestine à l'ouest, et dans la région du Zagros central à l'est. L'assimilation de ces populations aux Hourrites ne peut être prouvée de façon certaine ; mais il n'y a pas de meilleure théorie et il n'existe aucune autre identité plausible qui puisse être suggérée pour ces anciens Transcaucasiens. Agenda - Nouveautés sur le site du GAB - Economie de l'Arménie et du Sud Caucase Dernières mises en lignes sur Last updating on www.gab-ibn.com Le site de l'économie arménienne The web-site of the armenian economy -----Nouvelles économiques hebdomadaires en bref : 17 - 23 Septembre 2007 Weekly economic news in brief :17 - 23 September 2007 -----Sud Caucase - une sélection de la presse internationale : 16 au 31 août 2007 - 1er au 15 septembre 2007 South Caucasus - a selection of international newspapers : 16th to 31st August 2007 - 1st to 15 th September -----Bulletin mensuel n° 17 : Septembre 2007 Monthly bulletin n° 17 : Septembre 2007 Bulletin périodique téléchargeable gratuitement sur le site www.gab-ibn.com Agenda - du 20 juin au 30 novembre 2007: La Shoah par balles Evénement : exposition consacrée aux fusillades massives des Juifs en Ukraine de 1941 à 1944 Du 20 juin au 30 novembre 2007, le Mémorial de la Shoah consacre une exposition aux fusillades massives qui ont eu lieu en Ukraine entre 1941 et 1944 : la "Shoah par balles". Entre 1941 et 1944, près d’un million et demi de Juifs d’Ukraine ont été assassinés suite à l’invasion de l’Union soviétique par l’Allemagne nazie. Seule une minorité d’entre eux l’a été après déportation dans les camps d’extermination. L’immense majorité est morte sous les balles des Einsatzgruppen (unités de tueries mobiles à l’Est), d’unités de la Waffen SS, de la police allemande et de collaborateurs est-européens. Depuis 2004, Le père Patrick Desbois et l’association Yahad-In Unum mènent un travail méthodique sur cette partie encore peu connue de la Shoah : identifier et expertiser tous les sites d'exterminations des Juifs perpétrées par les unités mobiles nazies en Ukraine pendant la Seconde Guerre mondiale. L’exposition organisée au Mémorial de la Shoah du 20 juin au 30 novembre 2007 présente ces recherches toujours en cours, qui, en reconstituant les procédés des assassins, amènent à mieux comprendre comment a été mis en œuvre le génocide des Juifs à l’Est de l’Europe. Il devient enfin possible de préserver et de respecter la sépulture des victimes. http://www.memorialdelashoah.org/upload/minisites/ukraine/index.htm Agenda - 29 novembre: Le concert arménien ou le proverbe turc "Ne laisse jamais parler un Arménien, les mots finiraient par lui manquer" (Proverbe turc) Un compositeur d'origine arménienne s'apprête à donner en récital sa "Suite Odysseus" pour piano. Mais l'épopée d'Homère, inspiratrice de sa "Suite" entre si bien en résonance avec les spectres qui le hantent que, loin de l'en soustraire, elle les rappelle inexorablement, faisant naître une galerie de personnages pittoresques, louffoques ou inquiétants, qui le traversent, le bousculent... et l'éclairent. Une chose est certaine: pour être en paix avec le passé, il faut se jouer de lui en riant. Le 29 Novembre 2007 à 20 heures 30 au Pole Culturel Parvis des Arts, 94140 Alfortville Réservations au 01 58 73 29 18 Plus d'informations sur le site du spectacle: http://www.gerardtorikian.com/leconcertarmenien/ Contact diffusion et presse: Olivier Talpaert Tel: 06 77 32 50 50 -e-mail: [email protected] Agenda - 30 novembre: Charles Aznavour à la librairie Gibert Joseph à Paris Nouvelle date ! Venez rencontrer Charles Aznavour le vendredi 30 novembre à partir de 15h30 Charles Aznavour signera son recueil de nouvelles Mon père, ce géant qui vient de paraître chez Flammarion. Librairie Gibert Joseph 26 boulevard Saint-Michel 75 006 Paris Mon Père, Ce Géant Présentation de l'éditeur Avec un formidable talent de conteur, Charles Aznavour nous offre seize petits bijoux d'humour et de fantaisie, qui sont autant de confidences sur les surprises, les drames et les bonheurs de l'existence. Charles Aznavour Passionnement Présentation de l'éditeur Aznavour est l'un des derniers grands monstres sacrés de la chanson française avec une carrière d'une exceptionnelle longévité. Cela fait plus de 60 ans qu'inlassablement, il monte sur scène pour interpréter des chansons qui appartiennent à notre patrimoine musical, comme La Bohème, Les comédiens, Emmenez-moi ou La Mamma... Charles Aznavour a tout fait et a eu tous les honneurs. Vedette internationale, auteur, compositeur, interprète et comédien, il est, à quatre-vingt-trois ans, toujours aussi créatif. Cette biographie révèle une vie et une carrière d'une richesse incomparable : son enfance mouvementée, ses débuts, son amitié perturbée avec Edith Piaf, les années difficiles, mais aussi l'ascension internationale et son engagement humanitaire. De nombreux amis, des collaborateurs et des proches, dévoilent des anecdotes inédites et témoignent tout au long de ces pages. Paul Mauriat, Francis Lai, JeanPierre Mocky, Françoise de Panafieu, Malik Zidi, Marthe Villalonga, Michèle Torr et une cinquantaine d'autres ont tenu à participer et à faire partager leur Aznavour intime. Charles Aznavour Ou Le Destin Apprivoisé Présentation de l'éditeur Charles Aznavour (82 ans le 22 mai) est le chanteur français vivant le plus connu dans le monde. Fils d'émigrés arméniens, débutant à neuf ans au théâtre, à douze au cinéma, c'est finalement dans la chanson qu'il deviendra une star inégalée. Après s'être produit huit ans en duo (avec Pierre Roche), il repart en solo en 1950. Reconnu très vite comme auteurcompositeur, il lui faudra un professionnalisme, un courage et une volonté de fer pour s'imposer comme interprète avec son physique et sa voix hors normes. Dès les années 60, il connaîtra une première apogée marquée par des succès inoubliables (de Je m'voyais déjà, Tu t'laisses aller, à La Mamma, La Bohème, Que c'est triste Venise?) ; depuis une quinzaine d'années, son implication humanitaire (notamment pour l'Arménie), ajoutée à son talent, l'a placé sur une apogée définitive qui l'a rendu « incontournable ». Hormis la monographie parue chez Seghers en 1964, Charles Aznavour n'avait jamais accepté de participer à une biographie le concernant. Il s'est sans réserve confié ici (tant au sujet de Piaf, que de Manouchian, que de la chanson et du « métier », que de l'Arménie et d'autres sujets très actuels), au fil des près de cinquante chapitres qui retracent avec précision toute sa carrière, en la situant en permanence dans une perspective historique et en accordant une place centrale à l'analyse sensible de ses chansons, l'ensemble étant éclairé par de nombreux témoignages exclusifs de ses proches (dont sa fille Katia) et d'artistes (Patrick Bruel, Patachou, Annie Cordy, Fred Mella, Serge Lama, Lynda Lemay?). Au final, cet ouvrage (qui devrait faire environ 500 pages, avec des annexes comprenant contributions d'artistes, index, filmographie et discographie exhaustives) constituera sans aucun doute LA bio de référence de Charles Aznavour. Aznavour, Images De Ma Vie Présentation de l'éditeur L'auteur compositeur inteprète ouvre au public ses albums de photographies, des tirages sépia un peu guindés aux clichés plus spontanés d'une vie professionnelle et familiale bien remplie. A travers les marges rédigées de l'album, Aznavour fait passer sa manière de concevoir la vie entre audace et attendrissement. Le Temps Des Avants Présentation de l'éditeur Cette success story n'est pas une histoire comme les autres : si le monde entier connaît Charles Aznavour le chanteur, et parfois l'acteur, peu ont la chance de connaître l'homme. Un homme qui n'a jamais oublié ses racines. Qu'il évoque l'Arménie, la bohème, les voyages, l'amour, l'amitié ou Hollywood, c'est un homme vrai et toujours humble qui, après soixante-neuf ans de carrière, revient sur son passé. Des moments drôles ou dramatiques, inattendus et émouvants, qui nous permettent de comprendre un peu mieux ce personnage emblématique du paysage culturel français. Agenda - Colloque présences du passé mémoires et sociétés du monde contemporain http://www.ifre.fr/ Premier colloque des Instituts français de recherche à l'étranger 30 novembre et 1er décembre 2007 Musée du Quai Branly, Paris PRESENCES DU PASSÉ MEMOIRES ET SOCIETE DU MONDE CONTEMPORAIN Le premier colloque des Instituts français de recherche à l'étranger s'ouvre aux mémoires du monde et à leurs enjeux contemporains. Vingtcinq chercheurs francophones venus de quatre continents croiseront leurs regards sur la mémoire du communisme, celle des grands traumatismes du XXe siècle (shoah, apartheid, partitions, génocides, guerres), sur la dialectique entre mémoire et constructions nationales, et sur la mémoire des groupes dominés, en se penchant sur l'Allemagne, l'Europe de l'Est, la Turquie, Israël, le Liban, le Yémen, l'Inde, la Chine, le Japon, l'Afrique du Sud, le Pérou, le Mexique. Avec aussi Maurice Aymard, Marc Ferro, Thierry Garcin, Pierre Ganz, Marie-Claire Lavabre, Pierre Lévy, George Mink, Pierre Morel, Yves SaintGeours, Marie-Claude Smouts, Jean-Claude Vatin, Dominique Wolton. A l'initiative du Ministère des Affaires Etrangères et Européennes, ce colloque est organisé par la Fondation Maison des Sciences de l'Homme, en partenariat avec le Musée du Quai Branly, le CNRS, France 24, France Culture, Radio France Internationale, le magazine L'Histoire et Transcontinentales, la revue du réseau des Instituts français de recherche à l'étranger. Programme du colloque L'entrée du colloque est gratuite (inscription ici ) 30 novembre et 1er décembre 2007 Musée du Quai Branly, Paris PREMIER COLLOQUE DES INSTITUTS FRANÇAIS DE RECHERCHE À L'ÉTRANGER 30 NOVEMBRE & 1ER DÉCEMBRE 2007 MUSÉE DU QUAI BRANLY 37 Quai Branly, 75007 Paris - Amphithéâtre Claude Lévi-Strauss PRÉSENCES DU PASSÉ MÉMOIRES ET SOCIÉTÉS DU MONDE CONTEMPORAIN Ce premier colloque des instituts français de recherche à l'étranger donne la parole, sur ce thème des actives présences du passé, à quelque 25 chercheurs venus de treize instituts établis en Europe, en Asie, en Amérique latine et en Afrique. Une conférence inaugurale définira les enjeux qui s'attachent aux différents paradigmes de la mémoire. Suivront quatre sessions où seront abordés la mémoire du communisme en Europe de l'Est et en Chine; celle des grands traumatismes du vingtième siècle; le jeu de la mémoire dans les constructions nationales; la dialectique de la mémoire collective et des parcours individuels. Une table ronde de clôture s'interrogera sur les usages de la mémoire - des mémoires- face aux défis du présent. A l'initiative du Ministère des Affaires Etrangères et Européennes, ce colloque est organisé par la Fondation Maison des Sciences de l'Homme, en partenariat avec le Musée du Quai Branly, le CNRS, France 24, France Culture, Radio France Internationale, le magazine L'Histoire et Transcontinentales, la revue du réseau des instituts français de recherche à l'étranger. Organisation : Jean-Luc Racine Comité scientifique : Arnaud d'Andurain, Maurice Aymard, Marie-Elizabeth Ducreux, Pierre Lanapats, Michel Pierre, Jean-Luc Racine Entrée gratuite Inscription ici ou par fax auprès de Hind Ben Farès Contact Fondation Maison des Sciences de l'Homme : Hind Ben Farès - Tél : 01 49 54 20 20 - Fax : 01 49 54 21 33 Vendredi 30 novembre Le Musée du Quai Branly ouvre ses portes au public à 9h30 9h45 Ouverture Madame Anne Gazeau-Secret, Directrice Générale de la Coopération Internationale et du Développement, Ministère des Affaires Etrangères et Européennes Madame Marie-Françoise Courel, Directrice du Département Sciences Humaines et Sociales du CNRS 10h15 Conférence inaugurale PARADIGMES DE LA MÉMOIRE Marie-Claire Lavabre (CNRS, Maison Française d'Oxford) 11h00-13h00 Première session MÉMOIRES DU COMMUNISME Six regards croisés sur le communisme et ses suites, en Europe de l'Est et en Chine Présidence : Marie-Claire Lavabre (CNRS et Maison Française d'Oxford) Modératrice : Catherine Goussef (CNRS et Centre Marc Bloch, Berlin) Mémoires du Rideau de fer, mémoires du communisme : Ceské Velenice, une ville tchèque à la frontière de l'Autriche Muriel Blaive (Institut Boltzmann, Vienne) La gestion territoriale du passé en Bohème occidentale : frontière, dégermanisation, socialisme et post-communisme Paul Bauer (EHESS, Centre Français de Recherche en Sciences Sociales, Prague) La mémoire tchèque du ghetto de Terezin au fil de la presse communiste, 1945-1973 Thomas Hejda (Université Paris I, Centre Français de Recherche en Sciences Sociales, Prague) Nostalgie pour les années 1980 en Hongrie Maté Zombory (Université de Budapest, Centre Français de Recherche en Sciences Sociales, Prague) Entre fiction et mémoire : l'écriture de la Révolution culturelle dans L'Âge d'or de Wang Xiaobo Sébastian Veg (EHESS, Centre d'Etudes Français sur la Chine Contemporaine, Hong Kong) L'histoire au service du développement économique en République Populaire de Chine Gilles Guiheux (Université Paris VII, Centre d'Etudes Français sur la Chine Contemporaine, Hong Kong) 14h30-18h30 Deuxième session LES GRANDS TRAUMATISMES : NAZISME, SHOAH, PARTITION, APARTHEID, GÉNOCIDES, GUERRES Le travail de mémoire - ou son esquive - sur les tragédies du vingtième siècle Présidence : Pierre Lévy, Directeur du Centre d'Analyses et de Prévision du Ministère des Affaires étrangères et européennes 14h30-15h45 NAZISME ET SHOAH Modérateur : Dominique Bourel (CNRS. Ancien directeur du Centre Français de Recherche à Jérusalem) La mémoire du nazisme : le souvenir entêtant d'Adolf Eichmann Florent Brayard (CNRS, Centre Marc Bloch, Berlin) Quelle mémoire pour la Shoah ? Nathalie Zajde (Université Paris VIII. Centre de recherche français à Jérusalem) La Constitution allemande et le passé nazi à la lumière de l'expérience autrichienne Thomas Hochmann (Université Paris I, Centre Marc Bloch, Berlin) 16h00-18h30 PARTITION, APARTHEID, GÉNOCIDES, GUERRES Modérateur : Jacques Semelin (CNRS - CERI Sciences-Po) Le Japon, la Corée et la mémoire : l'après-guerre des relations nippocoréennes au prisme du souvenir Lionel Babicz (Maison franco-japonaise, Tokyo) Entre Inde et Pakistan : mémoire de la partition et partition de la mémoire Lionel Baixcas (Sciences-Po, Centre de Sciences Humaines, New Delhi) Justice, mémoire et vérité : Ouganda, Rwanda, Afrique du Sud, Cambodge, Iraq Tyrone Savage (Université de Stellenbosch, Institut Français d'Afrique du Sud, Johannesburg) L'histoire dans l'Afrique du Sud post-apartheid : le musée Hector Peterson de Soweto Adrien Delmas (EHESS, Institut Français d'Afrique du Sud, Johannesburg) Karbala, ici et maintenant. Théâtre rituel, martyre et mémoire de la guerre au Liban-Sud Sabrina Mervin (CNRS, Institut Français du Proche Orient, Beyrouth) Beyrouth, centre ville : espace mémoriel et reconstruction Sophie Brones (Université Paris X, Institut Français du Proche-Orient, Beyrouth) Mémoires andines du " Sentier lumineux " : produire l'histoire locale de la violence politique au Pérou Valérie Robin Azevado (Université Toulouse le Mirail, Institut Français d'Etudes Andines, Lima) Samedi 1er décembre 2007 Le Musée du Quai Branly ouvre ses portes au public à 9h30 9h30-13h00 Troisième session MÉMOIRE, IDENTITÉS, NATIONS Présidence : Thierry Garcin, producteur délégué à France Culture 9h30-11h00 ENJEUX IDENTITAIRES Trois mondes, trois questionnements identitaires Modérateur : Jean-Luc Racine (CNRS, Fondation Maison des Sciences de l'Homme) Passés diasporiques et " malaise créole " : L'Île Maurice en quête d'une mémoire partagée Catherine Boudet (Université de La Réunion) & Julie Perghini (Paris 8, Institut Français d'Afrique du Sud, Johannesburg) Jeux de mémoires, enjeux d'identités : Indiens teenek et nahuas au Mexique Anath Ariel de Vidas & Odile Hoffmann (Centre Français d'Etudes Mexicaines et Amérindiennes, Mexico) Les enjeux politiques et identitaires de l'écriture de l'histoire au Yémen Jean Lambert (CNRS-Musée de l'Homme, Centre Français d'Archéologie et de Sciences Sociales, Sanaa) 11h15-12h45 LA TURQUIE ET SES PASSÉS De l'antiquité à Ataturk, quels passés pour la Turquie contemporaine ? Modérateur : François Georgeon (CNRS et Centre d'histoire du domaine turc de l'EHESS) Entre appropriation et déni : le passé gréco-romain de la Turquie, préfiguration des valeurs européennes ou symbole d'altérité Pierre Chuvin (Université Paris X, Institut Français d'Etudes Anatoliennes, Istanbul) Usages et abus du passé ottoman Edhem Eldem (Université du Bosphore, Institut Français d'Etudes Anatoliennes, Istanbul) D'une guerre à l'autre : 1915-1922 dans les mobilisations idéologiques et l'agenda politique de la Turquie d'aujourd'hui. Alexandre Toumarkine (Institut Français d'Etudes Anatoliennes, Istanbul) 14h30-16h15 Quatrième session LIGNES DE VIE. MÉMOIRE DES DOMINÉS, MÉMOIRE DES DÉPLACÉS La mémoire personnelle et familiale dans la construction du présent individuel et collectif Présidence : Pierre Ganz, directeur Antenne Monde, Radio France Internationale Modérateur: Dominique Fournier (CNRS, Fondation Maison des Sciences de l'Homme) Mémoire et récits de vie des adolescents travailleurs déscolarisés de Lima : être exclu au Pérou Robin Cavagnoud (Université Paris III, Institut Français d'Etudes Andines, Lima) Quand la mémoire danse… Mémoire et modèles musico-chorégraphiques chez des migrants d'Ayacucho (Pérou) Jeanne Saint-Sardos (Université Paris IV, Institut Français d'Etudes Andines, Lima) La mémoire collective au secours de la mémoire individuelle : la mobilité ascendante des Dalits en Inde Jules Naudet (IEP Paris, Centre de Sciences Humaines, New Delhi) " Flucht und Vertreibung " : mémoire publique et mémoire privée de la fuite et de l'expulsion en Allemagne Alice Volkwein (Université Paris III, Centre Marc Bloch, Berlin) 16h30-18h00 Table-ronde de clôture QUE FAIRE DU VINGTIÈME SIÈCLE ? Mémoires des passés, mémoires pour le présent Table ronde animée par Maurice Aymard (EHESS, Fondation Maison des Sciences de l'Homme) avec : Marc Ferro (EHESS) Georges Mink (CNRS, Université Paris X) Pierre Morel (Ambassadeur de France en Chine, en Russie et au Vatican), Yves Saint-Geours (Président de l'Établissement Public du Grand Palais), Marie-Claude Smouts (CNRS, Sciences-Po), Jean-Claude Vatin (CNRS) Dominique Wolton (CNRS) Depuis la fin du vingtième siècle, les problématiques mémorielles occupent dans le débat public une place de plus en plus centrale. Les historiens, les ethnologues et les anthropologues ont depuis longtemps développé des questionnements sur les rapports entre les " lieux de mémoire ", les constructions identitaires, les usages politiques de l'histoire, son écriture -et ses réécritures. Sociologues et politologues se sont emparés de ces thématiques aiguisées par l'effondrement des régimes communistes en Russie et en Europe de l'Est, par les tensions entre constructions nationales et mondialisation, et par la relecture de l'expérience coloniale. Façonné par la quête des origines et l'interprétation sélective des temps longs de l'histoire, le monde présent porte aussi l'empreinte des tragédies du siècle dernier : nazisme et shoah, partitions et massacres, guerres et apartheid. Pouvoirs établis, mouvements contestataires ou collectivités dominées, les acteurs multiplient les usages de la mémoire pour stimuler les mobilisations contemporaines, ou restent prisonniers d'un " passé qui ne passe pas. Agenda - Braderie de Noël de CHENE les 1&2 décembre Chène Les 1 et 2 décembre 2007 de 10h00 à 20h00 Sans interruption Braderie de Noël au Collège Samuel Moorat Agenda - Jeudi 6 décembre - Table des citoyens du monde : Noël arménien au Club AVIS Jeudi 6 décembre au Club de la Presse de 18h30 9, Rue Martenot 35000 Rennes 02 99 38 60 70 Dans le cadre de l'année de l'Arménie, notre prochaine Table des citoyens du monde aura pour thème ce pays. Nous aurons le plaisir de débattre et de lancer les festivités de fin d'année avec Metaksia Agabjanian traductrice et interprète arménienne et Angéla Sarkissyan, employée au Club, autour d'un buffet, de chants et musique arméniens. Participation de 8.00 € par personne. Venez accompagné de vos amis. Afin d'organiser cette soirée le mieux possible, merci de vous inscrire dès maintenant. Contact : Tél. Club au 02 99 38 60 70 ou par mail : [email protected] http://www.clubpresse-bretagne.com/ Agenda - 13 décembre: Henri Tachan en concert à Issy-les-Moulineaux A l'occasion de la sortie de son nouvel album (le 25/10) Henri Tachan sera en concert à Issy les Mlx Jeudi 13 décembre 2007 à 20h30 Auditorium du conservatoire Niedermeyer 11/13, rue Danton (Mail Raymon Menand - M Mairie d'Issy Renseignements: (01) 41 09 97 00 Pré ventes de billets - Tarifs préférentiels 2 billets - 34euros (au lieu de 47.60euros) - Billets supplémentaires 17euros 5 billets achetés le 6ème est gratuit soit 85euros (au lieu de 102euros) Pour commnader vos billets: Envoyer votre chèque à l'ordre de FNAC BILLETERIE, ainsi qu'une enveloppe timbrée avec votre adresse complète pour l'envoi de vos billets à l'adresse suivante: FNAC Billeterie - Bureau 402 - Concert Henri Tachan 28/30, rue Palloy - 92612 Clichy cedex Vous recevrez vos billets par retour de courrier Billet ni échangeable, ni remboursable - offre valable dans la limite des places disponibles Agenda - 14 décembre: Exposition photos - "Bribes d'Arménie" "Bribes d'Arménie" Vendredi 14 décembre 2007 10 bis rue Thouin 75005 Paris Conférence organisée à l'occasion de l'exposition-photos de la campagne 2007 de la DA-connexion. Une projection et un buffet accompagneront la soirée. Photographies de Floriane Pinard Contact: Karine Sarikas: 06 12 98 54 51 Agenda - Reconstruire la nation. Les réfugiés arméniens au Proche-Orient et en France. 1917-1945 L'exposition sera visible à la Cité du 16 octobre 2007 au 11 janvier 2008. Présentation Cette exposition retraçant les diasporas arméniennes du début du siècle a été conçu en deux temps. Une première exposition intitulée Les Arméniens (1917-1939). La quête d’un refuge au Proche-Orient a d’abord été conçue par Raymond Kévorkian, Lévon Nordiguian et Vahé Tachjian. Coproduite par l’Université Saint-Joseph de Beyrouth (département d’histoire et bibliothèque orientale) et la bibliothèque Nubar de l’Union générale arménienne de bienfaisance (Paris), elle a été présentée à Beyrouth en mai 2006. Un second volet intitulé Se reconstruire en exil. L’arrivée des réfugiés arméniens en France a ensuite été réalisé, sous l’autorité scientifique de Raymond Kévorkian, par le Centre du Patrimoine Arménien à Valence, en partenariat avec la Cité. Ce second volet est présentée à Valence du 2 mars au 29 avril 2007. L'exposition Mêlant textes, cartes et une importante documentation iconographique, cette exposition revient sur les diasporas arméniennes du début du siècle. S’intéressant surtout aux communautés arméniennes installées au ProcheOrient (particulièrement au Liban et en Syrie) et en France, cette exposition, réalisée entre Beyrouth et Paris, revient sur les processus d’adaptation aux sociétés d’accueil des différentes vagues migratoires arméniennes. Si dans un premier temps l’immigration, particulièrement difficile pour des populations regroupées dans des camps de réfugiés, était vécue comme une étape transitoire, après la Seconde Guerre mondiale les Arméniens prennent conscience du caractère définitif de la diaspora. Ils veillent alors à assurer la pérennité de la langue et de la culture arménienne en constituant des partis politiques, des églises, des associations, des établissements scolaires spécifiques, etc. Parallèlement, ils ont en même temps réussi à s’enraciner dans les pays où ils se sont installés en en devenant des citoyens à part entière, actifs dans différents secteurs d’activités. C’est ce double mouvement de sauvegarde d’une spécificité culturelle et d’intégration dans les sociétés d’accueil ainsi que la complexité de l’identité de cette diaspora que l’exposition souhaite mettre en lumière. L'arrivée des arméniens en France L’arrivée massive de réfugiés arméniens en France, dès 1922, est étroitement liée aux bouleversements géopolitiques survenus au ProcheOrient, notamment à l’évacuation de Smyrne, en septembre 1922, et l’entrée des Turcs kémalistes en Cilicie, après le retrait de la France. Environ 58 000 réfugiés arméniens débarquent dans le port de Marseille entre 1922 et 1924. Beaucoup vont s’établir dans des camps de fortune, comme les camps Oddo, Saint-Jérôme, Les Mille, etc., avant d’aller, pour une partie d’entre eux, tenter leur chance dans la vallée du Rhône et jusqu’à Paris. L’insertion socio-économique de ces réfugiés va passer par la création d’organisations à vocation humanitaire, éducative, culturelle, sportive et, surtout, d’associations "compatriotiques". Ces dernières jouent un rôle capital grâce à l’entraide qu’elles organisent. Elles lancent également des collectes de fonds destinées à la construction des écoles et des églises arméniennes. La presse et l’édition servent enfin de lien entre tous ces déracinés qui vont progressivement trouver leur place dans la société française. Dans les années 1930-1940, nombre de ces réfugiés s’insèrent dans en France en pratiquant des métiers emblématiques, comme cordonniers ou tailleurs. Mais c’est véritablement la Deuxième Guerre mondiale qui fait de ces réfugiés arméniens des citoyens français : leur engagement dans la résistance et la nouvelle donne politique engendrent une "naturalisation" massive de ces anciens réfugiés. Les diasporas arméniennes L’intégration des Arméniens dans leurs patries d’adoption, en France et au Proche-Orient, est passée par plusieurs étapes, parfois douloureuses, dont la mémoire tend à s’estomper. Avant de devenir citoyens français, libanais ou syriens, ils ont vécu l’expérience de tout réfugié déraciné, en quête d’un pays d’accueil, où ils pourraient trouver l’environnement propice à une reconstruction. Les bouleversements géopolitiques consécutifs à la Première Guerre mondiale ont redessiné la carte du Proche-Orient et offert aux réfugiés arméniens l’espace nécessaire au redémarrage d’une vie collective. Après l’anéantissement de 1915, les Arméniens ont eu la ferme volonté de reconstruire la nation, comme pour démontrer que le plan génocidaire conçu par le régime Jeunes-turcs, aussi systématique soit-il, n’était pas parvenu à les détruire totalement. D’immenses efforts ont été déployés par les instances arméniennes, ainsi que par quelques organisations caritatives internationales, pour récupérer femmes et enfants dispersés dans tout le Proche-Orient et les réhabiliter. De vastes programmes de construction de quartiers urbains ou d’implantations rurales ont été menés par les agences pour les réfugiés de la Société des Nations, l’administration mandataire française et des organisations « compatriotiques » arméniennes, soutenues par l’Union Générale Arménienne de Bienfaisance. Ils ont permis l’évacuation progressive des camps, aux conditions de vie catastrophiques, vers des habitats plus décents. Des refuges, des orphelinats, des écoles, des églises ont été installés, parfois sous des tentes ou dans des baraques en bois, avant d’être édifiés en dur. La période de l’entre-deux-guerres a été pour les réfugiés arméniens comme un vaste chantier contribuant à la restauration de leur vie collective et à la construction d'un destin commun avec leurs pays d’accueil. Autour de l'exposition Ouvrages publiés a l’occasion de l’exposition : - Les Arméniens 1917-1939. La quête d'un refuge. RMN éditions : 22 x 28 cm, broché, 350 pages, prix : 45 € environ. ISBN : 978-2-7118-5352-6 Catalogue sous la direction de Raymond KEVORKIAN, Lévon NORDIGUIAN et Vahé TACHJIAN. - La revue Hommes & Migrations, éditée par la Cité Nationale de l'Histoire de l'Immigration, a consacré son premier dossier de l'année à la diaspora arménienne. Ce dossier couvre plusieurs périodes historiques en parcourant des générations successives d’Arméniens et compare différentes aires géographiques : la France (avec des articles sur Paris, Marseille et la région Rhône-Alpes), mais aussi Thessalonique, Montréal, Los Angeles, Buenos Aires et Moscou en soulignant la diversité des dynamiques et les différentes évolutions des diasporas selon les territoires où elles s’implantent. Martine Hovanessian (anthropologue et chercheur au CNRS-Urmis) a mobilisé l’ensemble des sciences humaines pour réaliser ce vaste panorama de la diaspora arménienne à travers le monde. Le sommaire de ce numéro est disponible sur le site de la revue Lire en fête Vendredi 19 octobre à 16h00 - rencontre avec Vartan BERBERIAN, auteur du Figuier de mon père En savoir plus Conférences - Vendredi 9 novembre à 16h – conférence-débat avec Martine HOVANESSIAN « Diaspora arménienne et constructions d’un imaginaire national» et Krikor Beledian, « Diaspora arménienne et littérature» - Samedi 17 novembre à 17h00 - conférence-débat avec Raymond H. KEVORKIAN « Les réfugiés arméniens en quête d’un refuge » - Samedi 8 décembre à 17h00 - conférence-débat avec Sossie ANDEZIAN « Les réfugiés arméniens en Palestine à l’époque du mandat britannique» Table ronde Samedi 1er décembre à 17 h– Table ronde animée par Inessa DARBINIAN « Projets de la jeunesse arménienne en France » En savoir plus Télécharger le dossier d'information au format PDF (août 2007 - 9,3 Mo) Télécharger la bibliographie au format PDF (octobre 2007 - 252 Ko) Consulter le dossier enseignants Contact Laure Barbizet-Namer http://www.adri.fr/index.php?lg=fr&nav=595&flash=0 Agenda - Arménographie (2007) à Genève Anna Barseghian (1969) & Stefan Kristensen (1975) (Suisse) Arménographie (2007) Vivent et travaillent à Genève. Elle est née en Arménie en 1969 et lui au Danemark en 1975. Après des études d'architecture dans son pays, Anna Barseghian commence à travailler comme artiste et curatrice. Elle s'installe à Genève en 1998 et obtient un diplôme en systèmes d’information, option visualisation et communication infographiques à l'Université de Genève en 2001. Après avoir conçu et réalisé l'événement Utopiana à Yerevan, elle fonde l'association du même nom dont le but est d'organiser des événements sur les thématiques suivantes: utopie et réalité, territoire et représentation, et sur les questions liées à la migration, aux identités multiples et à la culture dans le cadre de la globalisation. Stefan Kristensen obtient, en 2002, un diplôme d’études supérieures en philosophie à l'Université de Genève sur La phénoménologie et les approches cognitives de l’homme. Il partage actuellement son temps entre la recherche en philosophie et son engagement dans l'association Utopiana. http://www.12bim.ch/expositions.php?id=34 Autres liens : http://www.12bim.ch/ After Quimper and Thessaloniki, "Armenography" is presented at the 12th Biennal of Moving Images in Geneva, from October 12 to Deccember 16 2007. "Armenography" isadocumentary project of Anna Barseghian and Stefan Kristensen about the territories of the Armenian dispersion. More information at . A series of lectures about the Armenian diaspora is organized during the exhibition cf. the program below. Introduction According to the theoretician of diasporas Khachig Tölölyan, Armenians make up a 'transnation', a term designating a totality formed by a country and its diasporan communities within which the state constitutes just one of the institutions that fabricate identity. 'Diasporas', Tölölyan says, 'are the model communities of the transnational moment'. How, concretely, is this 'moment' incarnated in the Armenian case. The exhibition brings together eight video films from fifteen to twenty-five minutes in length. They are condensations of the interviews we conducted. Six stage the world as it appears when viewed from certain highly symbolic places: Aleppo, Kessab, Beirut, Anjar, Istanbul and Yerevan. The other two offer a rostrum to leading Armenian intellectuals living in the West. These 'Views from the West' are intended to spawn others, to be gathered up on voyages to Los Angeles, New York, Montreal, Buenos Aires, and places still to be discovered. Finally, a space apart has been reserved for the projection of a haunted world, Eastern Anatolia, the mythical Old Country that Armenians have dreamt of for generations. Since the 1990s, more and more Armenians from all over the world are setting out on voyages to their ancestors' birthplace. What do they hope the experience will bring, and what do they actually find? Armenography means to do more than merely depict the scattered existence of a nation. It seeks to contribute to a quest of the sort that is crucially necessary if we are to find models for the development of an identity and a culture capable of reconciling three imperatives: active reworking of the past, rather than a rehashing of well-worn clichés; the development of collective structures, without which cultural production cannot be sustained; and the primacy of individual research over group values. Such are the conditions that must be met if a transnation is to become the germ of a resolutely contemporary culture. Armenography is a coproduction of Utopiana and the Center for contemporary Image Saint Gervais Genève, and was supported by the State and the City of Geneva, by Le Quartier Center for Contemporary Art of Quimper and the Thessaloniki Biennale. UTOPIANA Anna Barseghian,Stefan Kristensen Quai Capo d'Istria 9,1205 Genève,Suisse 0041(0)22 3209830, 0041(0)79 8249313 Zaroubyan 34, Erevan, Arménie t.00374(10)565026, t.m. 00374(0)93518184 Agenda - Concert arménien: Aram Khatchatourian Orchestre Symphonique Paris rive droite Concert arménien Aram Khatchatourian Concerto pour violon et orchestre Soliste: David Galoustov Suite N3 Gayané Cueillette du coton, Danse des jeunes kurdes, Introduction et dans des vieux hommes, Tisserands de tapis, Danse du sabre, Hopak Valse de Mascarade Direction: Alexandra Cravero-Hovaguimian Jeudi 29 novembre 2007 à 20h30 Samedi 1er décembre 2007 à 18h30 Cathédrale Sainte-Croix des Arméniens Catholiques 13 rue du Perche (angle rue Charlot), Paris 3ème Métro: Saint-Sébastien-Froissart ou Rambuteau Prix des places: 13 euros - 10 euros (tarifs étudiants, chômeurs, CV) Réservations: 06 10 13 16 12 www.parisrivedroite.com Agenda - Le CIC et Utopiana proposent un cycle de rencontres arménographiques Le Centre pour l'image contemporaine et Utopiana proposent un: Cycle de rencontres «arménographiques»: Du 2 novembre au 5 décembre à 18h30 au Bac, Bâtiment d’art contemporain, rue des Bains 28, 1205 Genève Le Centre pour l'image contemporaine et Utopiana proposent une série de rencontres qui seront autant d’occasions de découvertes et de réflexions sur la vie en diaspora. M. Nichanian abordera le rapport intime qui lie la diaspora à la nation à l'époque moderne. G. Minassian éclairera les défis actuels de la diaspora arménienne, à l’exemple des Arméniens de France. M. Hovanessian parlera de la manière dont les communautés arméniennes se sont installées dans leurs nouveaux territoires et dont l'espace diasporique se structure. Kh. Tölölyan aidera à cerner la typologie des diasporas et les enjeux des études diasporiques aujourd'hui. Enfin, P. Haidostian partagera les défis des communautés arméniennes du Proche-Orient, et le rôle d'une institution comme l'Université Haigazian dans le contexte actuel du Liban. L'enjeu dépasse la question arménienne proprement dite, mais concerne la valeur de la diaspora comme forme de vie sociale au-delà de l'Etat-nation. Plus d’infos sur www.12bim.ch ou [email protected] Programme : 2.11 – Marc Nichanian, professeur d'études arméniennes, Université Haigazian, Beyrouth. «La diaspora comme sujet de son histoire» 7.11 – Gaïdz Minassian, historien et politologue, Paris, «Les nouveaux défis de la diaspora» 14.11 – Martine Hovanessian, anthropologue, CNRS, Paris. «Les espaces de la diaspora» 21.11 – Khachig Tölölyan, sociologue, rédacteur de la revue Diaspora, a Journal of Transnational Studies, Boston. «Autour de la notion de diaspora» (en anglais) 5.12 – Paul Haidostian, théologien protestant, président de l'Université Haigazian, Beyrouth. «Les Arméniens du Proche Orient: le rôle de l'éducation» Les conférences ont lieu au BAC à 18h30 Bac, Bâtiment d’art contemporain, rue des Bains 28, 1205 Genève Centre pour l'image contemporaine Saint-Gervais Genève 5, rue du Temple CH-1201 Genève T +41 22 908 20 00 F +41 22 908 20 01 e-mail [email protected] www.centreimage.ch bac (bâtiment d'art contemporain) 10, place des Vieux Grenadiers 28, rue des Bains CH- 1205 Genève Agenda - Trames d'Arménie (1900-1940) Tapis et broderies sur le chemin de l'exil Expositions temporaires du 16 juin 2007 au 6 janvier 2008 Entre récit et histoire, l'exposition présente plus de quatre-vingt-dix images réalisées au Proche-Orient entre 1890 et 1935 par des photographes réputés comme es frères Abdullah ou par des amateurs, saisis par la écessité de sauvegarder une mémoire. Ces hotographies racontent le long itinéraire des savoir-faire textiles arméniens (tapis et broderies), ouvent seul bagage d'une population contrainte à 'exil, entre les villes de l'Empire ottoman et arseille Cette exposition s'inscrit dans le programme des Rencontres d'Arles - Photographie. Informations pratiques Museon Arlaten – 29 rue de la République – 13200 Arles Accueil du public : 04.90.52.52.31 Standard : 04.90.93.58.11 fax : 04.90.93.80.55 [email protected] Périodes et horaires d'ouverture Le musée est ouvert toute l’année D’octobre à mars : 9h30 à 11h30 / 14h à 16h Avril, mai, septembre : 9h30 à 11h30 / 14h à 17h Juin à août : 9h30 à 12h / 14h à 17h30 Fermeture des portes 1 heure après Fermeture hebdomadaire : le lundi d’octobre à juin Fermetures exceptionnelles : 25 décembre, 1er janvier, 1er mai, 1er novembre http://www.museonarlaten.fr/museon/CG13/pid/20 Agenda - 30 janvier 2008: documentaires de Werner Weick au Centro culturale S.Fedele Vient de paraître: Janine e Vahram Altounian, Ricordare per Dimenticare. Il genocidio armeno nel diario di un padre e nella memoria di una figlia. * Con un saggio di Manueala Fraire, Donzelli Editore, Saggine, 2007. avec cet extrait dans « La Repubblica » du samedi 3 novembre, l’un des principaux journaux italiens. * contient, entre autres: Terrorismo di un genocidio di Janine Altounian; 10 agosto 1915, mercoledi, tutto quello che ho patito dal 1915 al 1919 di Vahram Altounian Postfazio di Krikor Beledian Terrore et oblio La letterature come mezzo per salvare la figura del padre di Janine Altounian Télévision Suisse de langue italienne Une série de documentaires de Werner Weick, pour la série «Il filo d’oro», diffusé mercredi 10 octobre 2007, TSI 2, 21 heures Le 30 janvier 2008, ce documentaire sera projeté sur un grand écran au Centro culturale S.Fedele, dans le centre de Milan, à partir de 20.30. 1) ARMENIA, FERITA APERTA (Arménie, plaie ouverte) est fondé sur le témoignage d’un Suisse d’origine arménienne, Sarkis Shahinian, depuis des années sur la voie de la reconnaissance du génocide à l’encontre de son peuple: un million et demi de personnes déportées et massacrées en 1915 par le régime des Jeunes Turcs. La réalité de ce génocide continue à être niée par les autorités d’Ankara et cette obstination engendre chez les descendants des victimes une obsédante soif de justice et de vérité. Interviews avec les chercheurs et écrivains Raymond Kévorkian, Yves Ternon, Janine Altounian, Sen Arevshadian, Samuel Karapétian. Images mises à disposition par le Musée et Centre de Recherche sur le Génocide des Arméniens d’Erévan (Directeur: Dr. Haik Démoyan) et du Centre de Documentation et Information Arménie de Berlin (Directrice: Dr. Tessa Hofmann). Agenda - "Urgence Darfour" Urgence Darfour Sous la direction de Morad El Hattab 21 € 25 Mai 2007 Droit de citer 140x205 288 pages Documents / Actualité Morad ELHATTAB est écrivain et philosophe.Héritier d’Averroès, d’OmarKhayyâm, de Rûmi, mais aussi de Montaigne, il affirme avec véhémence un profil d’humaniste irréductible. Influencée par l'éthique du philosophe Emmanuel Levinas, sa pensée est profondément ancrée dans le respect de la dignité humaine et la recherche de la vérité. Il mène un combat résolu pour la reconnaissance de la souffrance humaine et appartient au collectif Urgence Darfour, créé à l’initiative de huit associations et bénéficiant du soutien de plus de 150 associations françaises, dont SOS Racisme et la LICRA, et de 500 personnalités. Un ouvrage comprenant plusieurs contributions de personnalités du collectif « Urgence Darfour » quimène le combat de lutter contre le silence qui entoure « le premier génocide du XXIèmesiècle » dans cette région du Soudan. Depuis février 2003, ce conflit « oublié » a fait de 180 000 à 300 000 morts, il s'agit d'une guerre civile qui oppose le régime islamiste de Khartoum allié à des milices arabes, à des groupes rebelles issus de la population noire locale.Comme le souligne JackyMamou, président du collectif et ancien dirigeant deMédecins duMonde, « au Darfour, il y a plein de gens, plein d'ONG qui y sont allés et qui ont essayé de raconter ce qu'ils ont vu.Mais ça ne passe pas, l'indifférence demeure ». PourtantKofiAnnan, l’ex-secrétaire général des NationsUnies, a déclaré que « le Darfour, c'est l'enfer sur terre ». Pour lutter contre « le silence qui couvre la poursuite des massacres » et contre « l'inaction générale », les personnalités du collectif « Urgence Darfour » ont donc décidé de signer cet ouvrage en apportant leurs visions de la situation et des solutions envisageables. Avec notamment les contributions de JACKY MAMOU (président du collectif et ancien dirigeant de Médecins du Monde), BERNARD-HENRI LÉVY (écrivain, cinéaste et éditorialiste), GÉRARD PRUNIER (historien et chercheur au CNRS, spécialiste du Soudan et de l’Afrique de l’Est), JACQUES JULLIARD (écrivain, historien et éditorialiste au Nouvel Observateur), PIERRE LELLOUCHE (député et conseiller de Paris), BERNARD KOUCHNER (ministre des affaires étrangères, Créateur de Médecins sans Frontières), DOMINIQUE SOPO (Président de Sos Racisme),ANDRÉGLUCKSMANN(philosophe engagé dans de nombreux combats, écrivain) et PHILIPPE VAL (Chroniqueur à France Inter, créateur du nouveau « Charlie Hebdo », intervenant sur France Culture et I-Télé, écrivain). Un document inédit signé par de très grandes personnalités d’horizons divers mais se battant pour la même cause. Un document qui lève le voile sur un drame humanitaire encore très peu connu et reconnu. Tous publics. Un sujet dont on parle peu mais néanmoins de plus en plus car il commence à attirer l’attention de l’opinion publique. Une des prochaines grandes causes humanitaires à soutenir. Raphaël Stainville: Pages de sang Raphaël STAINVILLE Un prêtre français témoigne du massacre des Arméniens Département Documents Thème Histoire , Récits et témoignages Mise en vente 1 mars 2007 « Mercredi de Pâques. 14 avril 1909. Onze heures du matin. Des coups de fusil, des coups de revolver partent de tous les points de la ville. On tire des fenêtres, des terrasses, des minarets. Les balles pleuvent, drues comme la grêle. Quelques instants après, un cri retentit, lugubre : “askna ghiaours, askna !” Depuis le marché d'abord. Puis, de toute part. “Coupez, coupez les infidèles !” » C'est ainsi que débute ce récit unique et terrible. Et plus loin : « Au premier bruit de la fusillade, on afflua chez nous par toutes les portes, les églises aussi étaient pleines. Les mal-heureux cherchaient à échapper à la mort. Ce matin, monsieur Ourfalian, un riche Arménien, n'eut pas le temps de se mettre à l'abri. Un homme l'abattit en criant : “Au nom d'Allah très grand, c'est par toi que nous commençons !” » Avec une charge de vérité rarement atteinte, nous assistons au fil des pages au massacre des Arméniens, en Turquie. Premier génocide d'une série qui fait du XXe siècle le plus sanglant de tous les temps. Retrouvé par l'auteur au fond d'une malle oubliée, dans un ancien monastère chrétien, le journal tenu à l'époque par un prêtre missionnaire français fournit la trame de ce récit sans concession, dont le but n'est pas d'accuser mais de témoigner d'un martyre dont la mémoire continue à être bafouée. Plus qu'un document de première main, Pages de sang est un témoignage venu éclairer l'Histoire. Biographie : Raphaël Stainville est journaliste au Figaro. Il a 28 ans. "Pages de sang" est son deuxième ouvrage publié. Après des études littéraires, Raphaël part à 23 ans à Jérusalem, à pied. Pendant près d'un an, il vivra de l'hospitalité et de la générosité des habitants. Traversant la France, l'Italie, la Grèce, la Turquie, la Syrie et la Jordanie, il parviendra en Terre Sainte en dépit de la reprise de l'Intifida. Aujourd'hui journaliste au 'Figaro Magazine', il a déjà publié 'J'irai prier sur ta tombe', le récit de ses pérégrinations à pied de Paris à Jérusalem (F.-X. de Guibert, 2002)". http://www.presses-renaissance.com/livre.php?ean13=9782750901431 Lumière de l'Arménie chrétienne Catégorie : Histoire, géographie Histoire de l'Europe, Ref 9400033 Auteur(s) : Raymond Kervokian 160 pages, illustrations en couleurs, , 9782858229284 Collection : , éditeur : Patrimoine, 2007 (42 €) Nouveauté, 490 gr Présentation de l'éditeur Pays de la pierre, pays de l'esprit, l'Arménie porte un héritage trois millénaires riches d'histoire. Guidée par de grandes dynasties royales, unie par un christianisme fervent et par un alphabet unique, la nation arménienne a initié entre le IXe et le XIIIe siècle un renouveau architectural dont maints monastères, églises et chapelles, inscrits dans des paysages grandioses, témoignent encore. Depuis Ani, la capitale de l'an mil, depuis l'" île royale " d'Aghtamar, jusqu'à Tatev, aux confins du Karabagh, de vallées en lacs s'égrènent les joyaux du patrimoine arménien : Gochavank, Haghbat, Géghart, Etchmiadzin, Tégher, Novarank... Eglises dressées à flanc de rocher, pierres tombales aux surprenants basreliefs, tympans finement sculptés, khatchkhars- ces " pierres-croix " sans équivalents hors d'Arménie- magnifiquement photographiés, sont ici mis en regard d'un choix de poèmes ou de textes d'historiens, du Ve au XVIe siècles, portés par une même foi. Dans ce dialogue de la pierre et de l'esprit s'affirme avec force l'identité arménienne. http://www.arretauxpages.com/catalogue/fiche.php?Rech=reference&par am=9400033 Les archives Ringelblum : exposition, rencontres et projections À l’occasion de l’exposition Les archives clandestines du ghetto de Varsovie (15 décembre 2006-29 avril 2007), le Mémorial de la Shoah présente un cycle de films, conférences et rencontres consacré aux ghettos d’Europe centrale, à la vie des Juifs dans la Pologne d’avantguerre, et aux différentes formes de résistance dont le soulèvement du ghetto de Varsovie est devenu le symbole. De 1940 à 1943, le ghetto de Varsovie est isolé du monde, assailli par la faim, le froid, la maladie et la terreur. Cependant, au coeur de cet enfer, un groupe d’hommes et de femmes, rassemblés autour de l’historien Emmanuel Ringelblum, se désignant sous l’expression yiddish d’Oyneg Shabbes («plaisir du shabbat»), mènent un patient et périlleux travail d’étude et de recueil d’informations sur le sort de la communauté juive au sein du ghetto et plus généralement dans les territoires occupés par les nazis. Soigneusement caché, puis partiellement retrouvé après guerre dans les ruines du ghetto, ce témoignage unique est passé à la postérité sous le nom d’Archives Ringelblum. http://www.memorialdelashoah.org/upload/minisites/ringelblum/shoah/in dex.htm Négationnisme : le DVD du grand meeting républicain du 17 janvier 2007, en vente dès maintenant Pour mieux faire connaître la nécessité d’une loi de protection contre le négationnisme, le CCAF a organisé le 17 janvier 2007 à la Mutualité à Paris, un meeting républicain. L'évènement était majeur et méritait d'être conservé : le CCAF commercialise donc un DVD de 120 minutes reprenant les temps forts de ce meeting. Vous y retrouverez les discours de Bernard-Henri LEVY, philosophe et écrivain, de Serge KLARSFELD, historien et avocat, Président des Fils & Filles de Déportés, et de Maître Christian CHARRIERE-BOURNAZEL nouveau Bâtonnier de Paris, avocat de la Licra pour le procès Papon ; Ces personnalités ont apporté, par leur engagement, un éclairage de grande portée philosophique, morale et juridique ; elles ont plaidé pour la nécessité de faire obstacle aux négationnistes, et pour que ne soit pas perpétué le crime de déni, parachevant l'oeuvre de mort. Vous retrouverez également dans ce DVD, les moments forts des discours des personnalités du monde politique (François HOLLANDE, Patrick DEVEDJIAN, Hélène LUC), ainsi que celui de Charles AZNAVOUR clôturant ce rassemblement d'exception. Les commandes en nombre (supérieur à 10 DVD), seront facturées au prix de 17.50 Euros (frais de port compris) au lieu de 20.50 Euros. Pour commander, cliquez ICI http://www.ccaf.info/annexe/DVD.htm http://www.ccaf.info/annexe/DVD.htm Agenda : Lancement du Blog Zépure, affichage urbain sur les murs de Paris Info Collectif VAN - www.collectifvan.org - Le Sénat s'est refusé à examiner la loi pénalisant la négation du Génocide arménien, votée en première lecture à l'Assemblée nationale le 12 octobre 2006. Face à ce refus de démocratie, les citoyens prennent la parole et s'expriment sur les murs de Paris. Génocide arménien : Zépure et autres portraits, de nouveau sur les murs de Paris L'Artiste Anonyme nous donne un blog à consulter : Zépure sur les murs de Paris http://zepure.blogspot.com/ , avec l’historique des affichages antérieurs effectués sur Paris durant cette année de l’Arménie. Mise à jour et nouvelles photos pour ce début de semaine. Guide Evasion Arménie (Hachette Tourisme) Note Collectif VAN : Un très bon guide proposé par Sèda Mavian. Découvrez l'Arménie en suivant les pas de cette spécialiste, historienne et journaliste, correspondante permanente à Erevan pour les Nouvelles d'Arménie Magazine. Seda Mavian (Photographies Max Sivaslian) Editeur : Hachette Tourisme Collection : Guides Evasion Des itinéraires avec cartes et plans pour découvrir : …- Erevan, la capitale, et la plaine d’Ararat. …- Le Nord et la diversité de ses paysages : austérité pierreuse du plateau du Chirak, escarpement du Lori, coteaux du Tavouch …- Le centre : les contreforts de l’Aragatz et le lac Sèvan, sites naturels exceptionnels. …- Le Sud : longtemps isolée des circuits touristiques, une région aux traditions et au patrimoine préservés. …- La République du Haut-Karabagh : pays de montagne et de forêts, strié de cours d’eau. …Un portrait vivant et documenté de l’Arménie : …- Une destination culturelle, au patrimoine religieux exceptionnel : plus de 4 000 monuments majeurs (monastères et églises). …- Le peuple arménien : ses 3 000 ans d’histoire, son actualité, les arts et les savoirs-faire, la gastronomie, l’hospitalité …- Une destination nature, aux paysages extrêmement variés : massifs escarpés, hauts-plateaux et vallées encaissées, paysages à l’aspect lunaire, steppe, forêts et prairies, lacs et cascades … Superbe livre ! Voyage en ARMENIE, un livre événement Pour la première fois un ouvrage est entièrement consacré aux paysages des provinces historiques du haut plateau arménien. A travers une épopée de plus de dix voyages au cœur de l'Arménie Paul Kazandjian a rapporté 190 photographies d'une terre riche en couleurs. Ouvrage édité par Éditions ASTRIG, association à but non lucratif, 24 rue Louis Blanc 75 010 Paris. Photographies et textes de Paul KAZANDJIAN. M. Paul KAZANDJIAN, 06 64 35 42 79, [email protected]. Année de l'Arménie en France Juin –décembre PATRIMOINE Trames de mémoires Museon Arlaten, Arles Exposition mêlant photographies, documents, objets ethnographiques et témoignages oraux pour montrer comment entre 1900 et 1940 se transmettent sur les chemins de l’exil les motifs et les savoirfaire traditionnels arméniens, liés aux travaux de broderie et de fabrication de tapis. Prêts consentis, entre autres, par la bibliothèque Nubar (Paris) et l’université Saint-Joseph (Beyrouth). Contact : Lilia Grairia T. 04 90 52 52 38 / [email protected] « Reconstruire la Nation : les réfugiés arméniens au Proche-Orient et en France, 1917-1945 » : exposition d’ouverture de la Cité nationale de l’histoire de l'immigration Du 16 octobre 2007 au 11 janvier 2008 au Palais de la Porte Dorée, Paris www.histoire-immigration.fr http://www.culturesfrance.com/evenement/Le-Monde-2/ev40.html Arménie : BiblioMonde BiblioMonde s'associe à l'Année de l'Arménie en France, qui déroule ses manifestations du 21 septembre 2006 au 14 juillet 2007, en proposant un dossier et une bibliographie qui s'étofferont peu à peu au cours des semaines... L'Arménie ne se limite pas à la petite république qui fête le 21 septembre le quinzième anniversaire de son indépendance. Elle existe également à travers les témoignages de sa culture éparpillés sur un territoire beaucoup plus vaste et une diaspora qui occupe en France une place particulière. Ce dossier bibliographique a pour but d'explorer 3000 ans d'histoire et les vastes contours d'une « arménité » à cheval sur l'Orient et l'Occident. Pour une première approche Arménie Sèda Mavian Hachette-Tourisme Collection Guides bleus évasions octobre 2006 Un guide touristique complet pour découvrir l’Arménie et en même temps une excellente première approche de ce pays méconnu L'Arménie à l'épreuve des siècles Annie Mahé Jean-Pierre Mahé Gallimard-Jeunesse Collection Découverte 2005 Une bonne petite synthèse de l’histoire de l’Arménie, richement illustrée Arménie : entre Orient et Occident Raymond Kévorkian BnF 1996 Un beau livre qui décrit trois millénaires l'histoire des échanges intellectuels, matériels et diplomatiques de l'Arménie, pays bipolaire à cheval entre l'Orient et l'Occident Beaux livres Les Arts arméniens Patrick Donabédian Jean-Michel Thierry de Crussol Citadelles & Mazenod Collection L'art et les grandes civilisations 1987 Un ouvrage de référence qui porte principalement sur l’architecture, mais la sculpture, la peinture monumentale et les miniatures ne sont pas négligées pour autant Arménie : avant-poste chrétien dans le Caucase (L') Françoise Ardillier-Carras Olivier Balabanian Glénat 2003 Un beau livre réalisé par des spécialistes de l’Arménie et de ses campagnes Voyages d'aujourd'hui Un nôtre pays Denis Donikian Publisud, 2003 Trois voyages en troisième Arménie : un regard sans concession sur l’Arménie d’aujourd’hui Mes papiers d'Anatolie Jean Kéhayan Aube (L') Collection Aube poche, 2006 Le voyage pour la mémoire d'un fils de rescapés du génocide Voyages d'autrefois Voyage en Arménie Ossip Mandelstam Mercure de France, 2005 Une œuvre en prose, véritable ode à cette république soviétique méridionale que le poète découvre Livres de photographie Les Yeux brûlants Antoine Agoudjian Actes Sud Collection Photopoche, 2006 Un inventaire des lieux de mémoire arméniens par un photographe français d’origine arménienne Témoignages et enquêtes Invités de la terre : Arménie, Karabagh (1988-1992) Myriam Gaume Le Seuil, 1993 Un livre-témoignage unique sur ces hommes qui ont pris les armes dans le Haut-Karabakh : paysans philosophes, intellectuels devenus guerilleros, enfants de la diaspora venus offrir leurs vie... Les noces noires de Gulizar Arménouhie Kévonian Parenthèse, 2005 L'auteur raconte l'histoire de sa mère, un témoignage sur la vie dans la plaine de Mouch, aux confins de l'Empire ottoman, à la fin du XIXe siècle Religions Les Arméniens Krikor Beledian Brepols, 1994 Une approche religieuse de la civilisation arménienne Géopolitique Géopolitique de l'Arménie Gaïdz Minassian Ellipses Collection Référence Géopolitique, 2005 Un outil pour décrypter de l'actualité caucasienne et comprendre les enjeux géopolitiques qui lient l'Europe, la Russie et les États-Unis à travers la question arménienne Histoire Arménie (L') Claire Mouradian PUF Collection Que sais-je ?, 2002 Une bonne petite synthèse de l'histoire de l'Arménie des origines à nos jours Atlas historique et culturel de l'Arménie Claude Mutafian Autrement Collection Atlas/Mémoire, 2001 Proche-Orient et Sud-Caucase du VIIIe au XXe siècle : l'Arménie replacée dans son environement géopolitique Histoire, le XXe siècle 1918-1920, la République d'Arménie Anahide Ter Minassian Complexe Collection Histoire, 2006 La Première République d’Arménie (1918-1920), fondée en Transcaucasie, dans le sillage de la Première Guerre mondiale et de la Révolution russe De Staline à Gorbatchev : histoire d'une république soviétique, l'Arménie Claire Mouradian Ramsay, 1990 L'Arménie soviétique de 1920 à 1989 Mémoires du génocide 1915, le génocide des Arméniens Gérard Chaliand Yves Ternon Complexe Collection Histoire, 2006 La mise en perspective de la déportation et des massacres en masse des populations arméniennes d’Anatolie durant la Première Guerre mondiale par le gouvernement jeune-turc, ainsi que du cheminement qui a ramené l’attention sur ce génocide et sa reconnaissance par diverses instances internationales 100 réponses sur le génocide des Arméniens Claire Mouradian Anne Dastakian, 2005 Un petit ouvrage d'initiation sous forme de questions/réponses Dette de sang (La) Archavir Chiragian Complexe, 2006 Un Arménien traque les responsables du génocide Mémoire de ma mémoire Gérard Chaliand Julliard Collection Les Passants de l'Histoire (Les), 2003 L'auteur a longtemps refusé de porter le poids du génocide de 1915 dont a été victime la famille de ses grands-parents. Il publie un texte écrit par bribes au cours une vingtaine d'année Génocide des Arméniens (Le) Raymond Kévorkian Odile Jacob, 2006 Une somme : l'histoire, mais aussi la « géographie » exhaustive du génocide, région par région. Une étude rigoureuse et complète permetant de comprendre la genèse de ces crimes de masse Histoire, les siècles antérieurs Les amiras, seigneurs de l'Arménie ottomane Pascal Carmont Salvator, 2003 L’évocation de ces seigneurs arméniens qui ont joué un rôle majeur dans l’administration ottomane aux XVIIIe et XIXe siècles, une époque où le concept de la nationalité n’avait pas encore sa dimension contemporaine Histoire, le Moyen Âge Le Royaume arménien de Cilicie, XIIe-XIVe siècle Claude Mutafian CNRS Éditions, 2002 Un très bel ouvrage, richement illustré, décrivant cette « Arménie hors de l'Arménie », État refuge créé après la conquête byzantine de l'Arménie Arménie au Moyen-Âge (L') Jean-Michel Thierry de Crussol Zodiaque Collection Les Formes de la nuit, 2000 L'art arménien, depuis ses débuts au IVe siècle jusqu'à la fin du XVe siècle, quand le pays fut ruiné par les invasions turcomanes Ani, capitale de l'Arménie en l'an mil Raymond Kévorkian Paris-Musée, 2001 Un très beau livre, catalogue d'une exposition, sur une ancienne capitale arméniennes dont les ruines sont situées aujourd'hui en Turquie orientale Histoire, l'Antiquité Tiridate III roi d'Arménie, premier État chrétien Marig Ohanian Harmattan (L'), 2001 Une évocation de ce roi, Tiridate III qui, par son baptême en 301, fit de l’Arménie, le premier État chrétien du monde Anatolie hellénistique (L') Maurice Sartre Armand Colin Collection Collection U, 2004 De l'Égée au Caucase (334-31 av. J.-C.) Les relations avec la France Communauté arménienne de France 1920-1950 (La) Harmattan (L') Collection Mémoire du XXe siècle, 2001 Les caractéristiques de la grande vague migratoire des années 1920, puis l'origine et le fonctionnement des organisations autour desquelles s'articulait l'existence quotidienne des Arméniens de France, et l'activité politique en diaspora Les écrivains d'aujourd'hui L'homme le plus triste Berdj Zeytountsian Parenthèse, 2002 Un roman allégorique, sorte de « fable soviétique » destiné à contourner la censure Les classiques de la littérature La vie comme elle est Krikor Zohrab Parenthèse, 2005 Un recueil de nouvelles évoquant la « belle époque » de la bougeoisie stambouliote Soleil d'automne Hrant Matévossian Albin Michel Collection Les Grandes Traductions, 1994 Un recueil de huit nouvelles racontant la vie à Tsemakout, petit village en Arménie non loin du mont Ararat Poésie La poésie arménienne : du Ve siècle à nos jours Vahé Godel Différence (de la) Les écrivains de la diaspora Miniaturiste (Le) Martin Melkonian Parenthèse, 2006 Une enfance dans la rue du Faubourg-Saint-Martin, dans les années 1960, à Paris (roman autobiographique) Pénélope prend un bain Gohar Marcossian Belfond Collection Les étrangères, 2002 Roman : en ce matin de l'hiver 1994, la jeune Pénélope n'a qu'une idée en tête : prendre un bain. Mais, à Erevan, capitale d'une Arménie en guerre, où l'on ne dispose d'électricité qu'une ou deux heures par jour, l'affaire s'annonce délicate... Quelque part dans les Balkans - 1 Sevda Sevan Esprit des Péninsules (L') Collection Balkaniques, 2001 Une grande fresque historique évoquant la diaspora arménienne dans l'empire ottoman, de la fin du XIXe siècle au génocide de 1915, à travers l'histoire d'une famille vivant sur les bord de la mer de Marmara La littérature ancienne David de Sassoun Gallimard Collection L'aube des peuples, 1990 L’épopée nationale arménienne, écrite au début du Moyen Âge, à la fois de la chanson de geste, conte folklorique et récit mythologique Le pays a inspiré des écrivains Arménie, guide littéraire Myriam Gaume Favre, 2000 Une anthologie des plus beaux textes consacrés à l'Arménie, depuis la Bible jusqu'aux auteurs contemporains originaires de tous pays Les Quarante jours de Musa Dagh Franz Werfel Albin Michel Collection Les Grandes Traductions, 1986 Un des chef-d’œuves du roman historique évoquant la résistance de paysans arméniens du Moussa Lèr en 1915 pour échapper au génocide Livres pour les plus jeunes Contes d'Arménie : épopée, récits et légendes populaires Vilo, 2006 Un abum destiné aux enfants (à partir de 7-8 ans) pour découvrir onze contes et légendes arméniens, adaptés de Toumanien, MelkonianMinassien ou tirés d'épopées arméniennes Légende arménienne de David de Sassoun (La) Jean Guréghian Albin Michel, 2006 Un conte arménien pour les enfants La langue Arménien chez soi (L') Takvor Takvorian Ophrys, 2000 Une méthode pour aprendre l'arménien occidental (celui de la diaspora) Art de vivre Ma cuisine arménienne Édisud Collection Voyages gourmands, 1998 Plus d'une centaine de recettes de cette cuisine où abondent les épices, les herbes et les parfums Livres sur l'art Les Arts arméniens Patrick Donabédian Jean-Michel Thierry de Crussol Citadelles & Mazenod Collection L'art et les grandes civilisations, 1987 Un ouvrage de référence qui porte principalement sur l’architecture, mais la sculpture, la peinture monumentale et les miniatures ne sont pas négligées pour autant Le cinéma Cinéma arménien (Le) Jean Radvanyi Centre Pompidou Collection Cinéma Pluriel, 1993 Le cinéma de l'Arménie soviétique, mais aussi celui de la diaspora jusqu'aux années 1990 L'économie Arménie des campagnes (L') Françoise Ardillier-Carras Harmattan (L'), 2004 La transition post-soviétique, malgré son cortège d'incohérences et de tâtonnements, révèle la capacité à réagir de cette ancienne république socialiste soviétique Guides touristiques Arménie Sèda Mavian Hachette-Tourisme Collection Guides bleus évasions, octobre 2006 Un guide touristique complet pour découvrir l’Arménie et en même temps une excellente première approche de ce pays méconnu http://www.bibliomonde.net/pages/fiche-geo.php3?id_ent_geo=18 SITES GENOCIDE ARMENIEN Visitez nos liens http://www.collectifvan.org/liens.php?r=7 -----------------------------------------------------------------------------------------N’oubliez pas qu’en tant que téléspectateurs vous pouvez témoigner de votre satisfaction (et de votre mécontentement lorsque c’est le cas) auprès des media qui traitent l’information. Quelques adresses et tél. : TF1 - 1, quai du point-du-jour 92656 Boulogne cedex Tel : 01 41 41 12 34 / 0803 809 810 — Fax : 01 41 41 28 40 Internet : www.tf1.fr France 2 - 7, esplanade Henri-de-France 75907 Paris cedex 15 Tel : 0825 033 333 Fax : 01 56 22 98 74 Internet : www.france2.fr Email : [email protected] France 3 - 7, esplanade Henri-de-France 75907 Paris cedex 15 Tel : 0825 033 333 Fax : 01 56 22 75 02 Internet : www.france3.fr Email : [email protected] [email protected] Canal + - 85-89 quai André Citroën 75711 Paris cedex 15 Tel : 01 44 25 10 00 Fax : 01 44 25 12 34 Internet : www.cplus.fr France 5 - 8, rue Marceau 92785 Issy-les-Moulineaux cedex 9 Tel : 01 55 00 74 74 — Fax : 01 55 00 77 00 Internet : http://www.france5.fr/ Email : http://www.france5.fr/contact/ Ecrivez à Alain Le Garrec, médiateur des programmes sur : http://www.france5.fr/contact/W00069/2/71909.cfm Arte - 2a rue de la Fonderie 67080 Strasbourg cedex Tel : 03 88 14 22 55 — Fax : 03 88 14 22 00 Internet : www.arte-tv.com Email : [email protected] M6 - 89, av. Charles de Gaulle 92575 Neuilly/Seine cedex Tel : 0825 06 66 66 - Fax : 01 41 92 66 10 Internet : www.m6.fr I-Télévision - 6 allée de la Deuxième DB 75015 Paris Tel : 01 53 91 50 00— Fax : 01 53 91 50 01 Internet : www.itelevision.fr LCI - 54 av. de la Voie Lactée 92656 Boulogne cedex Tel : 01 41 41 23 45— Fax : 01 41 41 38 50 Internet : www.lci.fr Quelques émissions radios où les auditeurs peuvent intervenir Europe 1 www.europe1.fr Semaine de 18h55 à 20h00 Michel Field Chaque jour, du lundi au vendredi, de 18h55 à 20h00, Michel Field “accouche” en direct les auditeurs, sur un thème d’actualité. Sans se contenter du pour et du contre, il les fait dialoguer à plusieurs sur un même sujet. Ils se forgent ainsi eux-mêmes leur opinion comme lors d’un travail journalistique : croiser des sources puis se rendre compte que la vérité est souvent de l’ordre du compromis entre des idées tranchées. C’est aussi une façon de prendre chaque jour le pouls de l’opinion publique sur des sujets lourds et graves mais aussi légers et futiles comme en distille, chaque jour, l’actualité. Pour discuter avec Michel Field, il suffit d’appeler le 01 42 32 14 14 ou d’envoyer un courrier électronique sur www.Europe1.fr. Semaine de 10h30 à 12h00 Jean-Marc Morandini Coup de pied dans le PAF chaque matin : Jean-Marc Morandini nous dit tout sur le monde du petit écran au travers de reportages et d’enquêtes dans les coulisses de la télé. Egalement en studio chaque matin, une star du petit écran ou un patron de chaîne répondra aux questions de Jean-Marc Morandini et des auditeurs. A découvrir aussi, le zapping de la Télé de la veille et les commentaires des auditeurs qui donnent leurs coups de cœur et leurs coups de gueule sur le répondeur de l’émission au 01 42 32 42 32 ou en direct au 01 42 32 15 15. RTL www.rtl.fr Semaine de 13h00 à 14h00 Pierre-Marie Christin Les auditeurs ont la parole Rendez-vous phare de l’information, le 12h30 accueille un nouveau présentateur. C’est en effet Pierre-Marie Christin qui succède à Christophe Hondelatte et Jérôme Godefroy aux commandes du journal de la mi-journée. Pierre-Marie Christin présente ensuite, de 13h00 à 14h00, “Les Auditeurs ont la Parole”. Réagissez à l'actualité par téléphone (32 10) ou sur internet. Entre 10H et 14H, une standardiste prend votre témoignage. Avant 10H et après14H, vous pouvez laisser vos message sur le répondeur, sans oublier de laisser vos coordonnées téléphoniques si vous voulez participer à l'émission. Chaque vendredi, cette heure d’expression prend une coloration week-end. Les loisirs sont à l’honneur avec la participation des journalistes spécialisés de la rédaction, ou d’intervenants extérieurs. Et, à la veille du week-end, Louis Bodin dialogue avec les auditeurs sur les phénomènes météo de la semaine écoulée ou des deux jours de repos à venir. France Inter www.radiofrance.fr Semaine de 19h20 à 20h00 Le téléphone sonne Si vous voulez poser une question, témoigner et/ou intervenir à l'antenne... - le téléphone 01.45.24.70.00 dès 17h - Internet, en utilisant le formulaire de la page "Pour intervenir". - le SMS+ pour réagir pendant l'émission, de 19h20 à 20h : sur votre téléphone mobile, saisir le code " TEL " suivi d'un espace, votre question puis valider et envoyer au 6 20 30. (0.35€ par message plus le prix du sms) Le lundi, mardi, jeudi et vendredi à 19h20, nous vous invitons à réagir sur un thème de l'actualité, à poser vos questions aux invités du téléphone sonne. Vous pouvez également, après la diffusion, réécouter l'émission dans son intégralité Le répondeur « Là-bas si j’y suis » : 01 56 40 37 37 soit sur notre mail : [email protected] et nous donnerons suite ! RMC www.rmcinfo.fr BOURDIN & Co Le 1er show radio d'info Du lundi au vendredi de 6h à 10h. Découvrez une nouvelle façon de traiter l'info du matin avec "Bourdin & Co" ! Finis les journaux austères et redondants. Voilà enfin un espace de liberté où auditeurs, politiques et journalistes sont logés à la même enseigne. Jean-Jacques Bourdin agite, provoque, polémique, et vos réactions ne se font jamais attendre! Un ton débridé et sincère pour des échanges parfois musclés mais toujours respectueux. Pour intervenir : Appelez le 3216 (0,34€/min). ============================================= L'association des auditeurs de France Culture L'association des Auditeurs de France Culture (aafc), créée en 1984, rassemble les personnes qui veulent manifester leur intérêt pour cette chaîne de radio dont les émissions sont écoutées et appréciées au delà de nos frontières. L'objet de l'association est de regrouper les auditeurs de France Culture pour favoriser des rencontres et coordonner les actions visant à : - l'évolution de la chaîne dans le maintien de sa qualité ; - la préservation de son identité et de sa spécificité ; - l'amélioration de sa technique et de son confort d'écoute ; - son ouverture aux différents aspects de la culture ; - son rayonnement et développement de son influence ; - sa pérennité. L'Association se déclare attachée au caractère de service public de France Culture et ne saurait en aucun cas se substituer à lui. Elle se veut pluraliste et indépendante de tout engagement politique, confessionnel, syndical et philosophique. Association des auditeurs de France Culture 83 boulevard Beaumarchais 75003 Paris Téléphone : 01 42 09 03 67 Courriel : [email protected] ---------------------------------------------------------------------------Collectif VAN Vigilance Arménienne contre le Négationnisme Boîte vocale : 08 70 72 33 46 [email protected] Collectif VAN - BP 20083 92133 Issy-les-Moulineaux Cedex Les News en ligne chaque jour sur : www.collectifvan.org