1 1 / nombres et calcul numérique différents ensembles de nombres : son nom ensemble définition dire qu’un nombre est entier signifie que ……………………………………………………… dire qu’un nombre est irrationnel signifie que ………………………………………………… un nombre rationnel a (élément de b ) est décimal (élément de ) si … ajouter * (ex : R*, Z*…) signifie que ……………………………………………………….. exercices 46 et 47 page 30 dans le tableau suivant, mettre une croix si le nombre indiqué appartient à l’ensemble correspondant : nombre 0 15 –3 1,5 – 2,5 1 2 8 4 3 5 5 3 7 16 1 16 1 2 puissances entières d’un nombre réel soit a un réel quelconque a1 = a3 = a2 = de façon générale, si n est un entier naturel, an = –2 0 a = a–1= si de plus a est non nul, a = de façon générale, si n est un entier naturel, a – n = effectuez ces calculs, en donnant le résultat achevé le plus simple possible : 2 2 33 2 1 33 2 2 3 32 5 2 4 1 2 2 5 2 4 33 2 1 3 2 3 2 des formules indispensables à connaître sur les puissances : (a et b sont des réels non nuls, n et p sont des entiers) an ap = ………… an ……………… ap (an)p = ………. (ab)n = ………… n a …………. b ci-dessous, donnez le résultat en utilisant des puissances de 2, 3 ou 5 : 10 2 2 4 2 2 25 3 2 1 3 2 4 33 2 2 2 2 6 3 2 2 2 5 1 3 2 3 2 2 3 puissances de 10 : 100 = 101 = 102 = 103 = 10– 1 = 10– 2 = 10– 3 = en général, 10n = (n entier positif) en général, 10– n = (n entier positif) la notation scientifique des nombres : Quand un nombre est très grand, ou très proche de zéro, son écriture contient tellement de chiffres 0 que sa lecture en devient presque impossible. On a alors recours à la notation scientifique, très utilisée en physique : par exemple 240 000 = 2,4 105 la puissance de 10 donne l’ordre de grandeur (ici, les centaines de milliers) ce nombre doit être au moins égal à 1 et strictement inférieur à 10. Ecrire en notation scientifique : 40 000 000 = 0, 000 000 25 = (500)3 = 1 = 2 1 25000 0,000025 remarque : toutes les calculatrices permettent d’obtenir directement les nombres en notation scientifique, notamment avec des touches comme 10x , E ou exp, mais la lecture à l’écran demande une interprétation. Ainsi par exemple, 1.253E-3 devra se lire : 1,253 10-3. Le 1) des exercices 39 & 40 page 29 3 4 les nombres premiers un nombre entier naturel est dit nombre premier s’il possède deux diviseurs et deux seulement (qui sont alors 1 et lui-même) Par exemple 2, 3 et 5 sont premiers, 17 est premier, 37 est premier, etc… Par contre, 4 n’est pas premier (il se divise par 2), 10 n’est pas premier (il se divise par 2 et par 5), 1000 n’est pas premier (il se divise par 10), etc… La liste des nombres premiers est infinie, et tout ordinateur bien programmé vous la sort (tout au moins son début) amicalement et automatiquement. Elle est donnée dans les bons ouvrages de maths ou encyclopédies dignes de ce nom. Voici les nombres premiers inférieurs à 100 : 2, 3, 5, 7, 11, 13, 17, 19, 23, 29, 31, 37, 41, 43, 47, 53, 59, 61, 67, 71, 73, 79, 83, 89, 97 On remarquera que 0 n’est pas premier (il a une infinité de diviseurs) et que 1 n’est pas premier (il n’en a qu’un seul). méthode pour étudier si un nombre entier est premier 1er cas : on programme son ordinateur qui vous sort aussitôt et amicalement la liste de tous les nombres premiers désirés ; si vous savez faire, vous n’avez pas besoin de conseil. 2ème cas : vous disposez d’un ordinateur, mais ne savez pas le programmer ; demandez alors à quelqu’un qui sait de vous refiler son langage et son programme. 3ème cas : vous savez programmer, mais ne disposez pas d’ordinateur. C’est, notamment, ce qui se produira en interro. Voici comment faire : Si le nombre est pair, il n’est pas premier (car il se divise par 2) ; si la somme de ses chiffres donne 3, 6 ou 9 il ne l’est pas (car il se divise par 3) ; s’il se termine par 5 il ne l’est pas (car il se divise par 5). On le divise alors à la calculatrice par les nombres premiers successifs (il faut donc connaître le début, évident, de la liste, disons jusqu’à 30 ou 40…). Si une division tombe juste, le nombre n’est pas premier. Quand le carré du diviseur dépasse le nombre étudié, alors on peut affirmer que celui-ci est premier. Exemple : 193 est-il premier ? Il n’est pas pair ; 1 + 9 + 3 = 13 et 3 + 1 = 4 ; il ne se termine pas par 5. Je prends ma calculatrice et je commence mes divisions par les nombres premiers de la liste ci-dessus : 193 7 27,57.. 193 11 17,54.. 193 13 14,84 aucune de ces divisions ne tombe juste. Inutile de chercher plus loin, car 17 2 289 et 289 > 193. On peut donc affirmer que 193 est bien un nombre premier. Le b) de l’exercice 61 page 32 4 5 la décomposition d’un entier en produit de facteurs premiers C’est une opération banale et classique, utile dans de nombreux exercices (notamment les calculs avec des fractions). Si le nombre est premier, il est tout décomposé. Ainsi 2 = 2, 3 = 3, etc… Si le nombre n’est pas premier, on recherche tous ses facteurs premiers et on écrit : 4 2 2 , 6 2 3 , 8 2 3 , 12 2 2 3 , etc… Jusque là le problème est franchement évident. Il ne l’est plus autant avec des nombres à 3 ou même 4 chiffres. Voici comment procéder et disposer avec, par exemple, 600 : 600 2 300 2 150 2 on effectue les divisions successives par les nombres premiers de la liste : 75 3 25 5 5 5 1 on peut alors écrire : 600 2 3 3 52 le b) de l’exercice 72 page 35 la recherche du PGCD de deux nombres entiers PGCD est l’abréviation de « plus grand commun diviseur ». Ne me demandez pas pourquoi on ne dit pas « plus grand diviseur commun ». Pour rechercher le PGCD de deux entiers n et p on dispose de deux méthodes : 1 méthode(la plus facile à programmer sur un ordinateur) : par divisions successives. On divise n par p, puis p par le reste de la division, puis le diviseur par le reste de la division, etc… Le PGCD cherché est le dernier reste non nul de ces divisions successives. exemple : recherche par la 1ère méthode du PGCD de 50 et 80 : 80 50 1 reste 10 50 10 5 reste 0 On a donc PGCD (50 , 80) = 10 ère 2ème méthode : 1) on les décompose en produit de facteurs premiers ; 2) on conserve les facteurs premiers communs affectés de leur plus petit exposant. exemple : recherche par la 2ème méthode du PGCD de 50 et 80 : 1) 50 2 52 et 80 2 4 5 2) on a donc PGCD (50 , 80) = 2 5 10 recherchez PGCD (400 , 480) Pour simplifier une fraction de deux entiers a on divise a et b par leur PCGD. b Deux nombres entiers sont dits « premiers entre eux » si leur PGCD est égal à 1. a une fraction de deux entiers est irréductible si les deux entiers a et b sont premiers entre eux. b 5 6 effectuez ces calculs élémentaires : 1 1 1 2 3 4 3 1 7 5 3 1 2 2 5 3 1 1 2 3 2 1 2 3 5 3 4 1 2 3 4 3 1 2 5 3 5 1 2 1 1 5 3 3 4 2 1 1 2 5 3 2 3 les racines carrées l’écriture a n’est permise que si a est un réel ……………………………... par définition, a est ………………………………………………………………………. ………………………………………………………………………………………………… simplification des racines carrées pour simplifier l’écriture a où a est un entier naturel : 1) On calcule a à la calculatrice. Si le résultat est entier, la simplification est toute trouvée ; 2) Si le résultat n’est pas entier, on décompose a en produit de facteurs premiers ; 3) On garde les exposants pairs les plus grands possibles ; 4) On sort de la racine les facteurs d’exposants pairs, en divisant ces exposants par 2. Par exemple pour simplifier 500 : 1) on écrit 500 2 2 53 2 2 52 5 2) on a donc 500 2 5 5 en conclusion 500 10 5 6 7 simplifier ces racines et calculs : 49 175 468 121 625 72 1080 588 27 48 12 32 18 50 formulaire des racines ab a b a b a b ATTENTION !!! 27 8 2 49 la racine d’un produit est égale au produit des racines la racine d’un quotient est égale au quotient des racines la racine d’une somme (ou d(une différence) n’est pas égale à la somme (ou à la différence) des racines !!!! 18 125 25 72 8 12 225 9 25 24 rendre rationnels les dénominateurs pour les cas suivants, on multiplie numérateur et dénominateur, par le dénominateur. 1 1 3 2 3 2 6 pour les cas suivants, on multiplie numérateur et dénominateur, par le conjugué du dénominateur 1 2 3 52 32 2 3 3 53 exercice 36 page 29 7