Les insectes LA MOUCHE La mouche domestique, l`un des insectes

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Les insectes
LA MOUCHE
La mouche domestique, l'un des insectes les plus connus et les plus répandus ne fait pas
qu'agacer : elle est l'un des principaux porteurs de germes. Son corps grouille de milliers de
bactéries, principalement transportées sur les poils des pattes ou avalées et vomies. Par la
suite, elle les déposent sur les aliments. C'est ainsi qu'elle répend d'innombrables maladies,
notamment le typhus, la dysenterie, la tuberculose et la poliomyélite. La mouche femelle,
insecte le plus abondant et le mieux connu dans l'habitation humaine peut pondre 500 oeufs
blancs et ovales, ceux-ci éclosent en 24 heures, la transformation qui mène l'oeuf à l'adulte
dure 2 semaines mais par beau temps, l'éclosion peut se produire en quelques heures et le
stade adulte peut-être atteint en 10 jours. C'est seulement deux semaines après la ponte que
les jeunes femelles pondent à leur tour de sorte que le bref intervalle qui sépare chaque
génération permet la multiplication de l'espèce à un rythme effrayant. Les aires de
reproduction préférée sont les immondices, les excréments, les fientes, les détritus. Elle ne
pique pas mais c'est un insecte dangereux, car elle mange n'importe quoi et transporte
souvent des germes du fumier jusqu'à notre nourriture.
Pour combattre les mouches, utilisez le MASTERMATIC
LE MOUSTIQUE
Le moustique n'a plus besoin d'être présenté. Quoique les mâles se nourrissent en suçant le
jus des plantes, les femelles qui sans doute faisaient de même autrefois, se sont mises à
sucer le sang, et en fait ne peuvent devenir fécondes si elle ne le font pas. Le culex: le
moustique habituel de nos maisons est inoffensif : tout au plus ses piqûres sont
désagréables quand on n'y est pas allergique! D'autres sortes de moustiques sont
redoutables en tant que vecteurs de maladie: la malaria, la fièvre jaune, la dengue sont
toutes transmises par la piqûre d'un moustique. Les oeufs sont déposés à la surface de l'eau
(des étangs, des mares ou des puits...), dans les trous des arbres ou encore dans des
récipients abandonnés. Les oeufs éclosent au bout d'un ou deux jours et les larves se
nourrissent de débris organiques.
Pour combattre les moustiques, utilisez le MASTERMATIC
LES BLATTES
HABITATS :
Les blattes appelées aussi cafards, cancrelats, vivent dans les imeubles, les maisons,
environ 3500 espèces sont répertoriées à ce jour, certaines d'entres elles, vivent dans la
nature cachées sous les feuilles, pierres, etc...En Europe l'on rencontre particulièrement, la
blatte germanique, l'orientale et l'americaine.
CLASSIFICATION :
Nom: Blatta sp.
Ordre: Dictyoptères
Classe:Insectes
Sous classe: Ptérygotes
MODE DE VIE : Les blattes sont photofobes, ainsi pendant toute la durée du jour, elles se
cachent et c'est au crépuscule que l'on peut les aperçevoir.
Dans les maisons une fois la nuit venue, elles se mettent en quête de nourriture et si l'on
éclaire le local ou elles se trouvent, quelques secondes leurs suffiront à se cacher sous les
meubles. Elles volent peu ou pas du tout mais courent très vite !
ANATOMIE :
Insecte d'une longueur variant de 1 à 4 cm, la blatte a un corps mou et ovale.
Elle possède deux très longues antennes d'une sensibilité remarquable.
Des ailes rigides appelées aussi élytres, recouvrent son corps.
Sa couleur selon l'espèce est souvent brune ou noir. Ses pattes sont velues et vectrices de
nombreux parasites. Des recherches ont démontrés que leurs excréments, en sèchant, se
tranforment rapidement en une sorte de poussière très légère, qui sous l'effet des nombreux
mouvements d'air d'une habitation normale se répendent dans ceux-ci, causant ainsi des
alergies particulières aux voies respiratoires.
MODE DE REPRODUCTION :
Les blattes se reproduisent toute l'année, le degré d'hygrométrie, la température ambiante et
l'accès à la nourriture sont des facteurs importants concernant une fécondité quantitative.
Tout comme chaque individu, quelque soit son espèce, elle aime à se sentir bien et
sécurisée. Les oeufs, en général de 12 à 50 sont pondus dans une enveloppe (Oothèque)
que la femelle transporte au bout de l'abdomen et sont déposés peu avant l'éclosion, aussi
les larves qui en sortent se muent aussitôt en minuscules blattes dépourvues d'ailes. Après
quelques mois ( 5 à 12 mues ) elles sont adultes. Dans de bonnes conditions de vie,
Température (25-32°) Humidité (70%) sa fécondité peut s'avérer exponentielle. Un couple
peut générer 100.0000 individus !!
MODE ALIMENTAIRE :
La blatte est omnivore, elle se nourrit de tous type de déchets alimentaires ou non. Son jeun
peut atteindre une dizaine de jours, mais en réalité sa cause de mortalité est la soif. Sans
cesse elle se met en quête de la moindre mollécule d'eau vitale à sa survie. C'est sur ce
dernier point que des chercheurs ont donné naissance à un leurre, permettant d'éviter une
croissance d'individus trop abondante dans les milieux urbains..car elles sont partout.....ou
presque...!!
LES FOURMIS
HABITATS :
Les fourmis vivent dans le sol, les galeries qu'elles y creusent sont nombreuses et bien
ramifiées. La conception de celles-ci est intelligente, en effet, il est quasi impossible de noyer
un nid, de nombreuses chambres de survie les protègent de la noyade. Elles logent souvent
aussi sous les pierres, les troncs et le bois mort. Certaines espèces s'installent dans les
maisons.
CLASSIFICATION :
Ordre: Hyménoptères
Sous ordre: Apocrites
Classe: Insectes
Sous classe: Ptérygotes
MODE DE VIE :
Les fourmis vivent en sociétés hiérarchisées qui comprennent plusieurs centaines, voire
plusieurs milliers d'individus. Ces colonies sont composées en grande majorité d'ouvrières,
femelles stériles, qui ont pour missions l'entretien de la fourmillière et l'élevage des larves.
Quelques mâles font partie de ce petit monde. Une ou plusieurs reines à la tête de cette
société dont la seule fonction est la ponte.
ANATOMIE :
Insecte d'une longueur variant de 7 à 15mm selon l'espèce dans nos régions. Nombre
d'espèces connues (Myrmicides 2500) (Formicides 2200)
MODE DE REPRODUCTION :
Il vous est peut-être déja arrivé cette mésaventure désagréable dans un endroit de votre
habitation.....En règle générale à la fin de l'été, dans un lieu donné, les adultes sexués de la
même espèce s'envolent tous ensemble le même jour. Ces " Fourmis volantes " effectuent
leur vol nuptial. Des couples se forment et se posent au sol, où a lieu l'accouplement . Les
mâles meurent peu après et les femelles fécondées perdent leurs ailes.
MODE ALIMENTAIRE :
Selon les espèces, les ouvrières récoltent des végétaux, du pollen et du nectar. Les
pucerons ou
" Vache à traire " des fourmis, nous proposent un excellent exemple de complicité
intelligente. En effet, les pucerons de vos rosiers se gavent du suc des jeunes bourgeons et
des parties les plus tendres de la plante, ils fabriquent une substance sucrée, appelée"
miellat "que s'empressent de venir récolter une multitude d'ouvières dans un ballet incessant.
En contre partie les fourmis débarrassent les prédateurs de ces derniers. Elles capturent
aussi de petits animaux (chenilles).
LES TAONS
Comme les mouches, les taons appartiennent à l’ordre des Diptères (insectes n’ayant que 2
ailes) et à la famille des Tabanidés. Les femelles pondent (parfois plusieurs centaines
d’oeufs) sur les végétaux, au sol et en particulier dans la vase ou directement dans l’eau
pour les espèces que l’on rencontre fréquemment. En fonction des espèces, les larves sont
donc terrestres, mais souvent semi-aquatiques ou aquatiques. Elles sont généralement
carnivores et s’attaquent aux autres insectes aquatiques, aux vers de vases, aux mollusques
ou aux crustacés. D’autres sont plutôt détritiphages (mangeuses de détritus) et consomment
des débris organiques.
Les femelles de taons doivent sucer du sang afin d’avoir l’énergie nécessaire au
développement de leurs oeufs. Elles recherchent des vertébrés comme les chevaux, les
bovins et, parfois, l’homme. Elles complètent souvent leur repas en butinant ou en buvant.
Les mâles butinent également, mais ne piquent pas. En France, seules quelques espèces
sur une centaines présentes sont susceptibles de piquer l'Homme. C’est le cas notamment
du Taon des pluies (Haematopota pluvialis), du Taon des boeufs (Tabanus bovinus) ou du
Taon des sudètes (Tabanus sudeticus).
Comme chez les moustiques, les femelles évitent de se poser sur un vêtement clair afin de
ne pas se faire repérer et lorsqu’elle sont chassées d’un revers de main, elles ne s’envolent
que pour se reposer à quelques centimètres.
Comment lutter ? Difficile, car les larves sont nombreuses et généralement aquatiques. Si
leurs lieux de vie (mares, étangs, etc.) ne sont pas pollués, il y aura des prédateurs efficaces
pour limiter leur population (insectes prédateurs, batraciens, oiseaux, etc.). Ensuite, il serait
intéressant qu’elles trouvent suffisamment de vertébrés à piquer avant nous : si notre
environnement était plus riche en faune, les taons seraient moins obligés de venir sur nous.
Ces remarques concernent également les moustiques...
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