Encyclopédie : Le Garçons aux Bâtons d`Encens

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Encyclopédie : Le Garçons aux Bâtons d’Encens
Extraits de l’Ouvrage encyclopédique – à Thème portant sur la Mythologie hellénique ancienne
DIONYSOS – CHAPITRE VII
Sous – Chapitre : Mythes & Légendes
LES DIOSCURES
Complément d'information et remarques sur Castor et Pollux :
Les Héros Dioscures
CASTOR ET POLLUX
Castor et Pollux sont des fils jumeaux de Zeus et Léda, dans la majeure partie des
recueils, et autrement dits aussi autrefois : « les Dioscures ». Dans le cadre de leur
intervention mythologique la plus connue. C'est effectivement, qu'ils participèrent
notamment à l'Expédition des Argonautes. Menée par le grand héro grec Jason. Jason
(lire sous Jason) était un fils légitime du Roi AEson, un roi mythique qui régna sur la cité
d'Iolcos située en terre de la Thessalie. Jason dut partir un jour pour la contrée de la
Colchide avec cinquante de ses alliés, que l'histoire grecque hellénistique nomma « les
Argonautes ». Ayant survécu à son périple, le prince Jason, aidé des Dioscures
« Castor » et « Pollux ». Revint un jour de la Colchide muni de la célèbre 'Toison d'or
magique' Qu'il avait conquise, mais obtenue grâce à la précieuse aide de la princesse
magicienne Médée, une des filles du roi de la région. Médée était tombée amoureuse de
Jason à son arrivée à la cour royale de son père, lequel avait pour ordre de le tuer. Ce
qu'il n'exécutera pas tout de suite en raison des obligations royales liées aux règles de
l'hospitalité hellénique respectées des grandes cours de cette époque (lire sous le signe
de la Constellation du Bélier, dont la toison d'or avait pour réputation de pouvoir voler
et se mouvoir dans les airs comme un tapis volant...). Dans la mythologie grecque, Castor
et Pollux, appelés par la suite les Dioscures (c'est-à-dire : signifiant « les jeunes de Zeus
», mais autant : « Les faux dieux » « aux erreurs de mœurs »). Sont les fils jumeaux de
Léda. Les sœurs de Castor et Pollux sont Hélène et Clytemnestre. Dans la mythologie
grecque, les héros Castor et Pollux prennent part à la chasse du Sanglier de Calydon.
Ainsi qu'à l'expédition des Argonautes. Ils combattent contre le héros Thésée qui
terrassa pourtant jadis le célèbre Minotaure. Pour récupérer leur sœur Hélène. Que le
Prince Pâris avait ravie et enlevée. En retour, les deux frères jumeaux « raptèrent » et
enlevèrent à leur tour les filles du célèbre Leucippe. Reconnus pour être le symbole grec
de la figure indo-européenne des dieux jumeaux : Les Dioscures sont le symbole des
jeunes gens en âge de porter les armes. Ils apparaissent comme des sauveurs dans des
situations désespérées et sont les protecteurs des marins. « Le feu sacré de Saint-Elme »
était jadis parfois considéré comme le fait de leur manifestation physique. Ils sont
associés à la constellation des Gémeaux. Le dieu Mysos, la Haine - hideuse le plus
souvent - et dont le pouvoir destructeur était jadis assigné au périmètre du royaume
divin du Tartare infernal dans le monde du dieu Hadès, le Tartare étant la grande
prison divine et inviolable des hauts – châtiés : servait Hadès le maître des lieux, mais
également les dieux Chronos, Arès, Héphaïstos et Dionysos ou Éris. Des divinités qui
parfois étaient réputées comme patronnes du symbole géminien sous un aspect négatif.
Janus le dieu des portes étant quant à lui le patron du symbole géminien sous un aspect
positif du signe dioscurien et bicéphale, tel qu’anciennement connu des historiens.
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Mysos dit : « le vénéneux », demeurait l’un des maîtres divins du Tartare et un dieu
ancien des Ténèbres obscures. La Nuit n’était point toujours néfaste habillée des étoiles
de(s) Dieu(x), sans lesquelles elle devenait alors fatalement plutôt : les Ténèbres
meurtrières qui s’incarnaient en la Haine symboliquement nommée : le dieu Mysos.
D’après la mythologie grecque ancienne. C’est l’un des régisseurs du signe des Gémeaux.
Affiliation classique :
Les Dioscures apparaissent déjà dans l'Iliade, qui nommait Castor, « le dompteur de
chevaux », et Pollux, « le boxeur ». Le poème ne mentionne pas avec précision le nom de
leurs parents. Mais Hélène les nomme comme ses frères. Dans l’Odyssée, en revanche,
Homère en fait tous deux les fils du Roi Tyndare et de Léda. Inversement, Castor et
Pollux furent tous deux considérés comme étant des fils de Zeus, du moins d'après « Le
Catalogue des femmes » rédigé par le pseudo-Hésiode. Ce qui sera relaté semble-t-il
également dans « les Hymnes homériques », où l'hymne qui leur y est associé, les
qualifie également pour la première fois mythologique de : « Dioscures ». Par ailleurs,
« Les Chants cypriens » introduisent le motif selon lequel Castor est mortel et Pollux est
immortel. Cependant, la légende la plus fréquente établit que leur mère Léda, qui se
serait unie avec Zeus alors qu'il s’était supposément métamorphosé en un voluptueux
cygne blanc (ce qui restait jadis plutôt une caractéristique du dieu Dionysos à cette
époque), aurait pondu deux œufs : l'un contenant Pollux et Hélène, fils de Zeus. Et un
deuxième œuf contenant Castor et Clytemnestre, descendants du roi Tyndare
directement. Comme descendants issus d'un roi mortel : Pollux et Hélène sont donc de
simples mortels, alors que Castor et Clytemnestre sont des demi-dieux.
L'autre recherche du Mythe d'origine :
Pour information, il est bon de savoir que d'après la vieille origine de la légende grecque,
dans la mythologie très ancienne, le héros Pollux se faisait parfois nommer et appeler
différemment. Son nom originellement aurait signifié prétendument, et ce, selon
certaines définitions en grec ancien : 'le Poil', ou 'le poilu'. Ses autres noms étaient :
'Trikòs', 'Trikòtos', "Trikoton", ou parfois encore : 'le Héros de Laknê'. Ou 'le héros de
Trie' (Thridz (?)). Car on le donna jadis pour l'un des fondateurs prétendus de la "ville
de Trieste". Trieste étant une ville d'Italie située au nord - est du grand pays italien. Sur
l'Adriatique, c'est à dire tout au fond du Golfe de Trieste et dont la Cathédrale chrétienne
datait du XIème siècle, et d'après les ruines romaines sur lesquelles elle fut
vraisemblablement construite (mais seulement vers l'an 1000 à 1100 apr. Jésus - Christ).
Trieste ayant peut - être été une très ancienne colonie éloignée de la Ville d'Athènes. La
Ville de Trieste inspira le nom des trières (en nouvelle moquerie des descendants des
Dioscures contre Athéna - les Dioscures étant jadis parfois la désignation de « ceux qui
faussent les prières », et Athéna étant une grande déesse des prières – Sagesse des
prières, ces deux mots francophones se ressemblent à une lettre près il est vrai…). Pour
définition : les Trières, c’était en outre ces bateaux à trois rangs de rames dont le
commandant de bord se nommait un triérarque. À cette époque, en tant que citoyen
athénien, tout commandant d'une trière, était quant à lui tenu d'armer sa trière à ses
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frais. Et il se portait le garant responsable de la traversée, ce, jusqu'aux colonies les plus
éloignées d'Athènes (Poséidon et le commerce maritime antique).
Affiliation ancienne d'après la légende d'origine :
Castor et Pollux et leur influence dans l'Histoire des Villes (en Europe):
Comme expliqué ci - dessus. D'après le mythe ancien qui sera modifié par la suite selon
les connaissances de la mythologie grecque classique et moderne. Il semblerait pourtant
que la naissance des héros Castor et Pollux, ainsi que celle de leurs sœurs Hélène et
Clytemnestre furent plutôt liées aux œuvres fécondes du dieu Dionysos, un puissant fils
de Zeus. Pollux était resté mortel, et son nom signifiait 'le poilu'. Ses autres noms
(jusqu'à ce qu'il devienne définitivement le Pollux actuel et fils de Zeus) en conséquence
étaient connus sous ceux de : 'le héro de Thrie', 'Trikòs', 'le héros de Laknê', 'Trikotos',
'Trikoton'.
Le héros Castor (dont l'autre nom fut parfois "Pigmê psilos", soit signifiant : 'le poing
non poilu', ou encore surnommé "Castor Kondilos", soit signifiant : 'Castor au fort coup
de poing'). Était considéré comme mal apprécié de la déesse Athéna (la Sagesse). Il était
immortel, certes. Et il avait pour pouvoir divin de recevoir le bon hasard (en raison de
son immortalité), car Castor fut protégé dès sa naissance de la déesse Tykê (la déesse du
hasard). D'après cette version ancienne. Castor, comme divinité, veillait sans forcément
le savoir sur les hommes et femmes poètes, notamment. Jadis, il aurait joué un rôle
historique dans la fondation de la Ville de Kastalie, qui corroborerait la construction de
la Ville de Castille, elle également divisée en deux parties géographiques nord et sud, et
elle aussi située en Espagne (Pays symbole des deux jumeaux « dioscuriens » en
Europe). Peut - être y eut-il une certaine confusion géographique en référence au mythe
originel consacré au héros Castor.
L’ancienne histoire de Castor
Dans l’ancienne mythologie, la déesse Athéna avait pris le héros Castor en grippe car
elle reconnut un jour en lui, qu'il favorisait le mal, le dieu Mysos, qui sert parfois le dieu
Arès, son ennemi juré (ennemi juré d'Athéna). Mysos d'après la mythologie grecque
ancienne était un dieu mineur "insufflateur" de la haine, notamment de la haine ourdie
contre les gens intelligents. La déesse Athéna qui incarnait la Sagesse pure, ne pouvait
souffrir ni le dieu Arès ; ni le dieu Mysos et ses équivalents : le dieu Arekthès, les déesses
Ekthra (c'est à dire : celle qui soutient ceux qui ont de la Haine, et qui se précipite vers le
bas pour cela) et Arekthéia (la Haine sous sa personnification féminine particulière). La
déesse Athéna la Chaste les avait donc d'autant plus ces divinités mineures en horreur.
Car il semblerait que la fille de Zeus, Athéna. Fut selon les dires d'un culte ancien.
Faussement assimilée avec ces dernières (Ekthra et Arekthéia qui l'usurpaient dans
certains cultes anciens athéniens, avant que la déesse Athéna ne reprenne sa place
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propre, et sa définition première. Notamment au sein du Culte des Panathénées
d'Athènes - rare). Pour se moquer méchamment de la chasteté de la déesse Athéna, sur
le conseil du dieu Arès, le dieu Mysos osa un jour nommer l'une de ses filles, qui venait
de naître : Mysantropia (celle qui a la haine des Hommes. Notamment celle qui a la
haine des Hommes mûres, mâles). Tandis que l'autre fils de Mysos se vit nommer
banalement : Misétos (celui qui est haïssable). Et dont Arès s'occupa de l'éducation aux
armes. En réponse à cette outrage, la déesse Athéna n'eut d'autre choix que de les
maudire tous deux (les enfants de Mysos) et leurs proches. En les affublant chacun d'une
'pneuma' (haleine) insupportable. Le héros Castor fut considéré comme un fondateur
de la Ville de Castille (en Espagne, qui aurait repris son nom dérivé par ses
descendants). Et comme le héros Castor, semblait durant son enfance avoir été placé
sous tutelle de ces divinités négatives, la déesse Athéna fit également en sorte qu'il soit
accablé d'un amour fraternel et intimement secret pour son frère jumeau Pollux, qui, lui,
était resté toujours mortel. Avec devoir de veiller sur lui. Il faut savoir qu'Athéna,
d'après le conte ancien mythologique. Fut en mesure de frapper le pauvre Castor de sa
malédiction de sagesse. Castor étant un fils de Dionysos, d’après la version première,
puis de Zeus selon la seconde interprétation mythologique la plus connue. Pour le bien
du peuple humain (mais simplement de Grèce : l'Humanité de cette époque d'après la
croyance) : Athéna sanctionna Castor. Car le mythe ancien précise. Que Castor, son
frère Pollux et leurs deux soeurs. Ne sont pas directement les fruits de l'amour de Zeus.
Mais plutôt bel et bien les fruits directs de l'amour de Dionysos (fils de Zeus) qui était
opposé à Tyndare. D'après une union amoureuse survenue entre le dieu Dionysos et la
princesse Léda, mais que Zeus courtisait également. Léda succomba au fils de Zeus :
Dionysos, métamorphosé en Cygne blanc (animalier de Dionysos - version rare et
occultée, cependant). Ce qui provoqua dans un premier temps le courroux de Zeus
contre Dionysos. Athéna en profita donc. Il ressort que le mythe des deux œufs est bel
et bien véridique d'origine. Mais à ce détail, que la paternité serait parfois faussement
attribuée à Zeus. De plus, il semblerait qu'avant de mourir, Castor eut le temps d'avoir
plusieurs descendances au cours de ses voyages. Ces descendances furent nommées
anciennement : « les Kastellanoï » ou « les Kastes ». Dont les autres noms furent
également celui de « Gênos » et de « Phylê », c'est à dire « les fous d'orgies », ou plus
précisément : « les fous orgiaques ». Qui bénéficient des privilèges du fils : et soit qui
sont les descendants de Dionysos (d'après le culte orgiaque). Dionysos qui, à cette
époque, semblerait avoir été considéré comme étant un dieu protecteur des nouvelles
forteresses antiques, ainsi que comme une divinité protectrice des apothicaires, mais
quand ils font notamment des comptes compliqués et mesquins (dès le 5ème siècle ? –
lire sous Dionysos). Et par différenciation des pharmaciens herboristes protégés du
dieu Apollon prétendument. D'après la croyance d'époque (lire sous Apollon). Ce sont
vraisemblablement eux qui jouèrent un rôle dans l'érection de la Ville de Castille en
Espagne et qui porte depuis, du reste, le souvenir et le poids de la destinée de ce nom,
notamment pour cette raison. Elle fut longtemps associée aux Dioscures (Castor).
Ce nom fut également conservé semble-t-il pour rappeler le privilège sur la mort que les
dieux anciens de Grèce attribuèrent à l'un des deux frères, plutôt qu'à l'autre. Reflet
d'une injustice, et source d'un motif de haine entre les hommes et les dieux. Et que l'un
des jumeaux résorba finalement avec sagesse, ce, au terme de sa propre destinée. Selon
le souhait secret de la déesse Athéna. En léguant son immortalité à son frère. Pour qu'il
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survive à ses fatales blessures alors qu'il fut mortellement atteint d'une flèche en plein
cœur durant la Guerre de Troie (lire sous Thémis). Dans cette version isolée et
ancienne du mythe grec. Castor reste le frère jumeau immortel. Et Pollux est le frère
jumeau mortel. Par opposition à aujourd'hui où il est précisé le plus souvent le contraire
dans la mythologie classique. La déesse Athéna, dont la Sagesse était sans limite, et par
l'exemple de leur mort. Avait souhaité donner une leçon d'humilité à son frère divin
Dionysos, dont la naissance des fils jumeaux avait enorgueilli le dieu jusqu'aux outrages
envers son propre père Zeus. Dionysos ayant remis en question l'ordre de la Vie et
l'ordre de la Mort. En ressuscitant sa propre mère (Sémélé) des Enfers du dieu Hadès
qui est le souverain suprême du monde souterrain. Ainsi : La mort de Pollux (selon le
but caché et final de la déesse Sage). Conjura du reste pour un temps la laideur humaine
qui semblait s'être emparée des habitants de cette région durant la Guerre et durant
toute cette époque manifestement. Mais ceci ne put empêcher à long terme les
événements à venir en Grèce ancienne (lire sous Thémis). Soit les guerres qui
détruisirent la civilisation hellénique, définitivement. Ensuite, outre ces informations
réservées, il faut impérativement rappeler que certains détails mythologiques furent
clairement et délibérément altérés. Dès l'époque des Apôtres (du Christ). Ce qui semble
correspondre en parallèle à l'Apogée des croyances de la mythologie grecque encrée
dans ces contrées. Et qui correspond également à l'explication superstitieuse selon
laquelle la déesse Aphrodite fut rendue malade par le dieu de la Folie (Dionysos - lire
sous Aphrodite). Au profit de la Chrétienté : l’idée que les dieux grecs sont devenus
imparfaits et peuvent être atteints contribua à l’abandon de leurs anciens cultes en
Grèce, comme pour les dieux du nord de l’Europe (Allemagne) vers le XIème siècle. Pour
ce motif, le culte d'Athéna s'opposa au Culte du dieu Dionysos (malédiction chimique,
les mystères du vin), dès cette époque. De sorte que quelques explications sont
incertaines. Ce qui n'empêchera pas la défaite d'Athènes. Mais ce sont les dates
chronologiques qui posent problèmes dans leur enchaînement. Selon de vieilles
croyances, certes, et qui furent surpassées par les nouvelles croyances religieuses
qu'alimentèrent parallèlement la nouvelle Chrétienté. Pollux (le frère mortel de Castor)
quant à lui. Aurait fondé comme son frère, une ville durant leur courte séparation : ce
serait la Ville de Thrie (Tridz) en Italie du nord. Pollux avait pour avantage de calmer et
de tempérer son frère Castor, dans le combat. Mais la légende de la mythologie détaillée
qui relate la mort de l'un des Dioscures nous reprécise bien en quelles circonstances,
l'immortalité et la mort de l'un. Sauva de la mort, la vie de l'autre. En ce sens, parfois, les
rôles attribués à l'un et à l'autre peuvent diverger en de nombreux points de ce qui
précède ci - dessus expliqué. Mais au final, toutes les données mythologiques qui les
concernent. Permettent de comprendre relativement bien toute la profonde symbolique
du mythe originel de Castor et Pollux dans la mythologie grecque au moins. Et à quoi, la
mort de Castor et Pollux contribua. Le dieu Mysos fut vaincu. Selon le souhait de la
déesse Athéna de démontrer l'orgueil que la folie génère parfois sans remords
(Dionysos). Ce sera l’une des symboliques du mythe. Dionysos qui à ses heures, avait
réputations d'attiser l'esprit destructeur lors du sentiment de compétition. Chez les
Grecs. Dionysos serait au final considéré comme l'influence divine qui fut à l'origine de
leur défaite. D'après les explications d'époque, Dionysos épousera la princesse Hélène
de Sparte, dont il prendra le nom pour en honorer l'un de ses principaux attributs divins
(lire sous Dionysos).
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La mort des Dioscures d'après la mythologie moderne :
Les Dioscures sont morts tous les deux quand débute la Guerre de Troie, ce qui
explique qu'ils n'y prennent pas part. La version majoritaire du mythe, dans laquelle les
jumeaux ont un destin particulier, se trouve pour la première fois dans l'Odyssée.
Pendant la Nekuia, le héros Ulysse les rencontra sous terre où « ils restent vivants tous
les deux sous la terre féconde ; Cependant, même là en-bas, Zeus les comble d'honneurs ;
De deux jours l'un, ils sont vivants et morts à tour de rôle. Et ils sont gratifiés des mêmes
honneurs que les dieux.» Alcman évoque un sommeil magique, en compagnie de
Ménélas, dans le sanctuaire de Thérapné, en Laconie ; chez Pindare, les jumeaux
passent un jour sous la terre à Thérapné, l'autre aux côtés de Zeus, sur l'Olympe. En
effet, selon la version qui fait de Castor un mortel et de Pollux un demi-dieu, celui-ci à sa
mort, voit son père lui proposer l'immortalité. Mais Pollux refuse que son frère Castor
demeure aux Enfers en raison de son statut de mortel pour seul motif. Le Roi des dieux
lui propose alors de demeurer un jour sur deux aux Enfers avec Castor et un jour sur
deux sur l'Olympe également avec lui (d'autres versions proposent un partage de six
mois dans chaque lieu, ce qui n'est pas sans rappeler le mythe de Perséphone enlevée
par Hadès et qui partage son temps entre sa mère et son époux, ainsi que la légende
d'Adonis). Les héros Castor et Pollux ont été placés parmi les constellations et désignés
par l'amas des étoiles connues sous le nom des Gémeaux (les Jumeaux d'or, en
référence à leurs qualités héroïques durant la bataille).
Leur légende aurait inspiré tout un opéra du compositeur Jean - Philippe Rameau
(L'Opéra Castor et Pollux). Rameau fut un théoricien de la musique française qui vécut
de 1683 à 1764. Il fut un remarquable organiste et claveciniste, et publia plusieurs
traités d'harmonie, rendus capitaux à la compréhension de l'harmonie musicale
moderne. Il se consacre à l'Opéra dès les années 1730. Dès cette période, il composera
trente - deux tragédies lyriques, comédies et ballets, et opéras comiques (comme : "Les
Indes galantes", "Castor et Pollux", "Platée", ...) qui illustrent un style nouveau qui fait
place et honneur à l'émotion et au sentiment dramatique, et qui se rendent admirables
de par leur invention mélodique, leur couleur orchestrale et leur recherche de timbres
instrumentaux. Jean - Philippe Rameau se trouva impliqué dans la querelle fameuse qui
opposa les tenants de la musique française de l'époque, à ceux de la musique italienne.
Rameau écrit par ailleurs un recueil de Pièces de clavecin en concert. L'opéra 'Castor et
Pollux' est l'un des plus notables qu'eût écrit le compositeur français Jean - Philippe
Rameau.
Dans la Nature
Définition du Castor :
Pour en revenir aux héros grecs justement. Le nom du héros Castor aurait été attribué
également à une célèbre espèce animale parmi les mammifères rongeurs amphibiens
des pays froids, à large queue plate. Et dont la force prodigieuse de la queue contribua à
la réputation de cette espèce, de même que sa fourrure et sa capacité à construire des
barrages dans le lit des rivières. Ce sont de remarquables pêcheurs. Par ailleurs, il est
intéressant de relevé peut - être que dans la langue française, la peau traitée de manière
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à évoquer la fourrure du castor se nomme 'la castorette'. Et que la substance tirée à
partir des glandes sexuelles de l'animal se nomme, du latin : 'le castoréum'. Les
historiens et archéologues prennent pour référence une célèbre œuvre d'art illustrant
vraisemblablement Castor le Vigoureux et Pollux le Lumineux, selon le détail d'un relief
de Palazzo Altemps, à Rome. Pollux : aurait donné son lieu à la Ville de Thrie (Italie).
Castor : aurait donné son lieu à la Ville de Kastille (Espagne). Peut - être en raison de
cette légende ancienne, la Ville de Castille hérita d'une dualité (mais géographique), la
dualité étant une caractéristique du mythe qui fonde d'après cette explication, son
origine : soit, la Sagesse (Athéna) contre la Folie (Dionysos).
Culte des Dioscures à Sparte (Ville d’Arès)
Leur principal lieu de culte est à Sparte et dans la ville voisine de Thérapné. Pindare les
appelle les "intendants de Sparte". Ils sont le modèle et la garantie de la dyarchie royale.
Ils protègent l'armée civique, qui part toujours en campagne avec les dokana, une arme
sous forme d’un ensemble de deux bâtons liés entre eux et qui les représente. Quand l'un
des deux rois reste à Sparte, l'un des Dioscures reste également en arrière. Ils sont
vénérés lors des Théoxénies : on dresse pour eux une table et une banquette avec deux
coussins, ainsi que deux amphores contenant un mélange de grains. La salle est ensuite
close pour permettre aux Dioscures de prendre leur nourriture. Des reliefs et des vases
les représentent apparaissant dans les airs, montés sur des chevaux, au-dessus du
banquet. Ils sont également figurés par des serpents s'enroulant autour des amphores.
Leurs apparitions sont nombreuses. Ils se manifestent au roi Lysandre avant la bataille
d'Aigos-Potamos ; celui-ci les associe ensuite à Zeus, Artémis et Apollon dans son exvoto de remerciement, à Delphes. Pausanias rapporte bon nombre de leurs miracles.
Un jour, ils se présentent comme des étrangers dans leur ancienne demeure spartiate et
demandent l'hospitalité. Le maître des lieux leur refuse leur ancienne chambre, occupée
par la jeune fille de la maison – le lendemain, celle-ci a disparu, mais on retrouve dans la
chambre l'effigie des Dioscures. Pendant la deuxième guerre de Messénie, leurs
fantômes et celui d'Hélène déjouent la tentative des Messéniens d'attaquer Sparte de
nuit. Au cours de la même guerre, deux jeunes Messéniens se déguisent en Dioscures, se
rendent à des festivités spartiates en l'honneur des jumeaux divins et, profitant de
l'adoration qu'ils suscitent, massacrent les fidèles. En punition de ce sacrilège, les
Dioscures poursuivent les Messéniens de leur courroux et ne leur permettent pas de
regagner leur terre avant l'époque d'Épaminondas. Pour remarque, parfois, les
Dioscures figurèrent autant les deux serpents reptiles ornant le bâton du dieu Hermès.
Le dieu étant le protecteur des messagers, des serviteurs, des greffiers et des médecins,
et celui des scribes, notamment (très rares – lire sous Hermès).
Culte des Dioscures à Rome :
Le culte de Castor et Pollux apparaît également à Tusculum et Rome. En 484 av. J.-C., les
Romains leur bâtissent un temple sur le Forum romain, ce, en remerciement pour la
victoire du lac Régille. Selon la légende, les Dioscures sont intervenus dans le combat en
personne, sous l'apparence de grands et beaux cavaliers, puis ont annoncé eux-mêmes
sur le Forum la victoire romaine. Leur nom est souvent employé dans les jurons, celui de
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Castor étant réservé aux femmes. Représentation des fils de Dionysos (dans la version
ancienne classique): Ils sont représentés portant une tunique blanche, une chlamyde
pourpre et le pilos, un chapeau conique qui a la forme d'une moitié d'œuf et rappelle les
circonstances de leur naissance. Ils figurent souvent en compagnie des chevaux Xanthe
et Cyllare, comme dans le célèbre groupe, qui encadre actuellement la place du Capitole,
à Rome. Ils figurent sur le coffre de Cypsélos, entourant Hélène, avec Éthra gisant sur le
sol à leurs pieds ; une inscription indique : « Les Tyndarides emmènent Hélène et enlèvent
Aethra d'Athènes ». On les retrouve également dans les représentations des différents
épisodes de la quête des Argonautes, comme les métopes du trésor des Sicyoniens à
Delphes. Ils figurent sur le cratère des Niobides, qui représente peut-être le départ des
Argonautes, Castor portant le pilos et tenant la bride d'un cheval, Pollux tenant un
bâton, le pilos porté autour du cou par une courroie et un manteau sur le bras[31]. Enfin,
le rapt des Leucippides est représenté sur un relief en bronze au temple d'Athéna
Chalkioikos (« à la maison de bronze ») et sur le trône d'Apollon à Amyclées. JeanPhilippe Rameau leur consacre une tragédie lyrique, « Castor et Pollux ». Dans la
chanson Les Copains d'abord, Georges Brassens fait allusion aux jumeaux mythiques.
Note utile :
Le dieu guerrier Arès eut de nombreuses relations amoureuses, dont notamment :
Aphrodite, Harmonie (fille divine d’Aphrodite). Et surtout sous notion retrouvée :
Hécate (la déesse de la Nuit : lire sous Nyx, lire sous Morphée) son épouse officielle dans
l’ancienne mythologie hellénique, quand le dieu Arès est également considéré comme
étant un dieu de la Nuit. Puis, sous notion très rare : Artémis, la déesse de la Lune (et
meilleure amie d’Hécate). Enfin, la déesse romaine Bellone, quand Arès se retrouve sous
son nom de dieu Mars, est citée comme étant son autre épouse officielle. Bellone étant la
correspondance exacte à la déesse grecque Ényo.
Source : LE GARÇON AUX BÂTONS D’ENCENS - CHAPITRE VII – Dionysos
Sous – chapitre : Les Dioscures – Mythes & Légendes
Mots clés : Dioscures, Ménades, Bacchantes, Sémélé et Zeus, Ariane, Hélène de Sparte, Satyres, → Arès
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